| | Dialogues de soutien - Conquête - | |
| | Auteur | Message |
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Kratos Wright Admin
Fe préféré ? : Genealogy of The Holy War Messages : 1936
| Sujet: Dialogues de soutien - Conquête - Jeu 19 Mai - 13:30 | |
| Ici seront poster les dialogues de soutiens de la version Conquête. Je ferait un récapitulatif des dialogues déjà rédigés au fur et à mesure.
Dialogues déjà rédigés :
Camilla & Leo
Dernière édition par Kratos Wright le Lun 23 Mai - 14:03, édité 3 fois | |
| | | Other M
Fe préféré ? : Genealogy of the Holy War Messages : 20 Age : 70
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Conquête - Lun 23 Mai - 13:58 | |
| - Camilla & Leo:
C
Leo : Bonjour, Camilla. Mais tu es ravissante ! Est-ce que tu as changé de coiffure ? Camilla : Oooh, merci Leo. Mais non, je n'y ai pas touché. C'est gentil quand même. Et puisque les compliments sont de rigueur, je trouve ton armure tout à fait adorable. Leo : Ador... ? C'est bien la dernière chose que je souhaite que l'on dise de mon armure ! Camilla : Hé hé... Désolée, petit frère. C'est la vérité. Et tes collants ressortent à merveille avec cette petite jupette bleu marine. Leo : Bon sang... Camilla : Oh, Leo... je sais bien que tu es l'un de nos plus féroces guerriers... Mais à mes yeux, tu restes et resteras toujours un petit bout de chou. Leo : Un « bout de chou »... Formidable. Camilla : Quel est le problème ? Ne t'en fais pas, je ne m'amuserai pas à te pincer les joues en pleine bataille. Leo : ... Camilla : Tu ne veux plus me parler, c'est ça ? Bon. J'ai des choses à faire de toute façon. À plus tard, Leo. Leo : J'aurais dû me taire...
B
Leo : Camilla, est-ce que tu as une minute ? Camilla : Bien sûr, Leo. En quoi puis-je t'être utile ? Leo : Eh bien... J'ai découvert un tome très intéressant dans les archives. Mais j'ai beaucoup de mal à déchiffrer certaines de ses inscriptions. Est-ce que tu veux bien y jeter un œil ? Camilla : Si toi, tu ne peux pas les comprendre, alors pourquoi moi j'y arriverais ? Tu as toujours été le plus studieux de nous deux. Tu te souviens ? Leo : Je ne dirais pas ça. Enfin... Camilla : Allons, allons, pas de fausse modestie. C'est toi, le petit surdoué de la famille. Il y a bien des années que l'élève a dépassé le maître. Si j'ai un jour été maître... Leo : ... Camilla : Qu'est-ce qu'il y a ? Est-ce que j'ai dit quelque chose de mal ? Leo : Ce n'est rien. Ne t'inquiète pas. Camilla : Oh, ne fais pas cette tête-là, je t'en prie. Je suis fière d'avoir un frère aussi talentueux. Leo : J'aimerais parfois être moins talentueux... Comme ça, tu ferais peut-être plus attention à moi... Camilla : Comment ? Qu'est-ce que tu marmonnes ? Je n'entends rien. Leo : Rien, rien. Oublie ça. Non, attends. J'aimerais te dire quelque chose. Est-ce que tu m'écoutes ? Au cours de cette guerre, je vous prouverai à toi et aux autres, de quoi je suis capable. Tout ce que tu as à faire, c'est garder les yeux ouverts. Et attendre. Camilla : Bien sûr. Mais tu n'as rien à prouver à personne. Je suis de tout cœur avec toi. Leo : Je ne te demande que de croire en moi.
A
Leo : Camilla, j'ai quelque chose d'important à te dire. Camilla : Qu'est-ce qui ne va pas ? Leo : Je veux que tu saches que... je suis loin d'être aussi talentueux que tu le penses. Pourquoi serais-tu fière de moi ? Je ne le mérite pas. Alors arrête de faire semblant. Camilla : Mais qu'est-ce que tu racontes, enfin ? Leo : Je suis loin d'égaler la puissance et la férocité de Xander. Je n'ai pas le talent d'Elise pour nouer des relations. Et je n'arrive même pas à la cheville de quelqu'un comme ton/ta cher/chère Corrin. Camila : Leo... Leo : C'est la stricte vérité ! Je suis le seul à ne pas mériter ton affection. Camilla : Tu n'as pas le droit de penser une chose pareille. Je suis réellement fière de toi. Il est vrai que j'aime aussi Xander, Elise et Corrin... Mais mon cœur est bien assez grand pour vous tous. Toi compris. Leo : Je ne suis plus un enfant. Tu peux me dire les choses telles qu'elles sont. Camilla : Bon, très bien. Il est vrai que j'ai toujours été plus distante de toi que des autres. Mais c'est uniquement parce que je ne voulais pas gêner ta progression ! Tu es destiné à accomplir de grandes choses, Leo. Et je n'en raterai pas une miette. Leo : ... Camilla : Tu ne me crois pas ? J'ai pourtant vu ce que tu as fait lors de la dernière bataille... Leo : V-Vraiment ? Camilla : Tu t'es précipité au secours de l'un de tes frères d'armes. Au mépris de tout danger, tu t'es jeté dans la mêlée pour le sortir du pétrin. Leo : Eh bien, c'est vrai, je... Camilla : Ce n'est pas tout, je te vois étudier, tard le soir, quand les autres dorment. J'ai conscience du temps que tu passes à t'entraîner et à encourager les autres. J'ai toujours gardé un œil sur toi, Leo. Tu mérites amplement ma fierté. Leo : J'ignorais que tu faisais autant attention à moi. Camilla : Leo... Tu travailles dur. Mais tu t'inquiètes trop. Et c'est en partie de ma faute. J'aurais dû me montrer plus à l'écoute. Me pardonneras-tu ? Je te promets de mieux me comporter avec toi, à l'avenir. Leo : Non, c'est à moi de travailler là-dessus... J'ai fait preuve d'égoïsme en te demandant plus d'attention. C'est à toi de me pardonner. Et à moi de me montrer plus digne de ta fierté. Camilla : Bien, si ça peut te faire plaisir : je te pardonne. Maintenant, oublions tout ça et faisons comme si de rien n'était, d'accord ? Je vais retourner à mes habitudes de sœur poule, et toi à tes manuscrits. Marché conclu, petit génie ? Leo : Ha ha, marché conclu.
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Conquête - Mer 10 Aoû - 19:16 | |
| Elise & Silas - Spoiler:
Soutien C Silas : Bonjour, Dame Elise. J’ai rempli avec succès la mission que vous m’aviez confiée. J’ai livré des provisions à la famille démunie dont vous m’aviez parlé. Elise : Ouf, c’est bon à entendre ! Merci, Silas ! Désolée de vous avoir demandé un si gros service. Merci infiniment, vraiment ! Silas : Ce n’est rien, Madame. Aider les autres est ma vocation. Elise : Hi hi, vous êtes vraiment génial. Comment puis-je vous remercier ? Silas : Vous m’avez déjà remercié. Deux fois. C’est plus que suffisant, Madame. Elise : Oh, ne faites pas l’idiot. Vous aimeriez sans doute une récompense ? Qu’est-ce que vous voulez ? Allez, ne soyez pas timide ! Dites-moi ! Dites-moiii ! Silas : Ah, euh, eh bien… Vous êtes sûre ?! Bon… alors… Pour être honnête, j’ai bien quelque chose en tête. Peut-être… pourriez-vous être ma petite sœur, juste une journée. Elise : Quoi ?! Silas : C’est un peu embarrassant, mais… Quand je vous vois avec Corrin, cela me donne envie d’avoir moi aussi une sœur. Elise : C’est vraiment ce que vous voulez ? Une sœur pour une journée ? Silas : Oui. Vous ne trouvez pas ça amusant ? Elise : Je trouve ça… absolument formidable ! Ça va être du tonnerre ! Silas : Alors, vous voulez bien ? Ouah ! M… Merci, Dame Elise ! Elise : Pas de problème ! Mais euh… on doit faire quoi exactement à cette occasion ? Silas : Mmh… Je n’avais pas pensé à ça. Laissez-moi y réfléchir et nous en reparlerons. Soutien B Elise : Silas ! Coucou ! Vous avez trouvé quoi faire pour notre journée ? Silas : J’y ai réfléchi, et je crois que je tiens quelque chose. Elise : Oooh, youpi ! Allez, dites-moi. Vite ! Je meurs d’impatience ! Silas : Ha ha, alors… Je me disais… que nous pourrions nous disputer ! Elise : Nous disputer ? Vraiment ?! Je ne comprends pas… Silas : C’est ce que font les frères et sœurs, pas vrai ? Et il paraît que plus ils se chamaillent, plus ils sont soudés ! Elise : Je n’ai jamais entendu parler de ça, non. Je vais être honnête, Silas. C’est l’idée la plus ridicule du monde. Faisons quelque chose d’amusant, plutôt ! Silas : Oh… D’accord. Vous avez sans doute raison. Elise : Vous avez autre chose en tête ? Silas : Non… C’est tout ce que j’avais trouvé. Elise : Oh… Silas : Que suggérez-vous, Dame Elise ? Y a-t-il quelque chose que vous ne faites qu’avec Corrin ? Elise : Oh ! Oooh ! On s’entraîne ensemble, parfois ! Silas : Vous vous entraînez ? Pour… le combat ? Elise : Ouais ! Qu’est-ce que vous en pensez ? Silas : Je ne sais pas… Et si je vous blessais ? Je ne pourrais jamais me le pardonner. Elise : Pourquoi ? Silas : Pourquoi ?! Parce que blesser d’adorables petites filles pour s’amuser… c’est mal. Elise : Pff. Mais bien sûr. S’entraîner rapproche beaucoup les frères et sœurs. Croyez-moi ! Silas : Oh bon sang… Soutien A Silas : Bonjour, Dame Elise. Elise : Salut, Silas ! Silas : J’ai réfléchi à notre journée et j’ai pris une décision. Si vous voulez que nous nous entraînions ensemble, c’est ce que nous ferons. Elise : Ha ? Vraiment ? Silas : Oui. Et si un accident horrible arrive, je suis prêt à en payer le prix. Les gens me jetteront des pierres, et mes amis nohriens me pendront sûrement… Mais si c’est ce que vous voulez, alors, ainsi soit-il. Elise : Hum… Alors, euh, oui… à ce propos… Silas : Quelque chose ne va pas ? Elise : Disons queee… maintenant que j’y pense, ce n’est peut-être pas une très bonne idée. Silas : Oh ? Pourquoi avez-vous changé d’avis ? Elise : Je me suis rendu compte que les frères et sœurs ont chacun une relation unique. Je ne me suis jamais entraînée avec Xander, par exemple ! Alors, si vous devenez mon frère, Silas, nous devrions créer notre propre lien ! Vous n’êtes pas fâché ? Je sais que vous aviez pris votre décision mais… Silas : Aucun problème. Nous trouverons quelque chose. C’est plus difficile que prévu… Elise : Oh, je sais ! Si on demandait aux autres ? Comme ça, on aurait de nouvelles idées. Oooh ! On pourrait même organiser un goûter pour discuter en buvant du thé ! Ça va être amusant ! Tout le monde pourra raconter ses histoires de frères et sœurs. On entendra bien une proposition qui sera parfaite pour nous deux ! Silas : C’est une idée formidable, Dame Elise. Elise : Oui, hein ? Très bien ! Invitons tout le monde ! Silas : Oui, allons-y ! Soutien S Silas : Dame Elise ! Je voulais vous remercier pour l’autre jour. Ce goûter était exquis. Et je ne me souviens pas d’avoir autant ri ! Je chérirai pour toujours cette belle journée. Elise : Contente que vous ayez passé un bon moment. Pour ma part, je suis déçue. J’espérais vraiment que nous trouverions quelque chose d’amusant à faire ensemble. Pff… Mais c’est sans espoir. Silas : À vrai dire… ce n’est pas un problème. J’aimerais changer de récompense. Elise : Hein, vraiment ? Après tout ça ?! Qu’est-ce que vous voulez, alors ? Silas : Au lieu d’être ma sœur, je me demandais… Euh… Eh bien… J’espérais que… Que peut-être vous consentiriez à devenir ma femme, plutôt. Elise : Euh… Hum… Hum… Oh ! J’ai compris. Devenir votre femme pour une journée, c’est ça ? Aucun problème. Silas : Plutôt… pour la vie. Bien que je puisse aisément comprendre que vous refusiez. Elise : Silas… Silas : J’ai des sentiments pour vous. Vous occupez toutes mes pensées. Je pensais qu’être près de vous me suffirait, d’où mon idée de devenir votre frère. Je devrais sans doute taire tout cela, mais je n’y arrive plus. Elise : Je n’en savais rien… Silas : Dame Elise, je ne le redemanderai pas. Dites non et je vous laisserai en paix. Vous êtes tout pour moi. Me feriez-vous l’honneur de devenir mon épouse ? Elise : Oh… Quelle magnifique bague ! Mais je ne sais pas si… Silas : Puis-je connaître la cause de votre hésitation ? Je ne suis pas digne de vous ? Elise : Ce n’est pas ça ! Vous êtes bon et loyal, et… Je partage vos sentiments. Mais nous ne saurons pas plus quoi faire en tant qu’époux… Silas : Oh, c’est donc cela ? Ce n’est pas un problème ! Je ne trouvais pas de suggestions parce que je ne voulais rien vous révéler. Une fois mariés, nous pourrons faire ce que nous voulons. Promenades, pique-niques… Ma seule préoccupation sera de vous rendre aussi heureuse que possible. Elise : Oh, Silas… Vous le pensez vraiment ? Silas : De tout mon cœur, Madame. Je sais qu’un simple chevalier n’est pas digne d’une princesse, mais… Elise : Ne parlez pas comme ça de mon futur mari ! Silas : V… Vous voulez dire que… ? Elise : Je serais honorée de partager ma vie avec vous, cher Silas. Je suis si heureuse ! Elise : Merci, douce Elise. Je ne pouvais espérer plus belle récompense…
Arthur & Effie - Spoiler:
Soutien C Arthur : Salutations, Effie ! Peux-tu m’accorder un instant ? C’est très important ! Effie : Arthur ? Que se passe-t-il ? Est-ce que Dame Elise va bien ? Arthur : Ha ha ! Euh, oui, bien sûr. Désolé, je ne voulais point t’alarmer. Mais ce que j’ai à dire pourrait bien t’ébranler comme jamais tu ne l’as été ! Effie : Eh bien parle, qu’est-ce que tu attends ?! Arthur : Effie, il faut que l’on discute. Effie : C’est ce que nous sommes en train de faire ! Pourrais-tu enfin me dire ce qui se passe ? Arthur : Certainement. Effie, je suis à la traîne concernant la garde d’Elise. Quand je vois ton implication fiévreuse à chaque instant de sa vie, je suis envieux. Dis-moi quel est ton secret, je t’en prie. Effie : Il n’y a pas de secret. Mais l’implication compte beaucoup, il est vrai. Plus que la vassale de la princesse, je suis son amie fidèle. Je ferais tout pour elle. Mais que cela ne te préoccupe pas outre mesure, tu restes son héros. Arthur : Ces paroles me réchauffent le cœur, mais je crains que cela ne soit pas suffisant. Le combat devient plus féroce chaque jour, je dois connaître le secret de ta force. Effie : Je vois. Eh bien, ma force vient de mon entraînement. Libre à toi de venir t’entraîner avec moi quand tu le souhaites. Arthur : Fantastique ! Je suis impatient de combattre jusqu’à l’évanouissement… Effie : Plaît-il ? Arthur : De mon énergie. Jusqu’à évanouissement de mon énergie, voulais-je dire… Pardon. Soutien B Effie : Arthur, j’ai repensé à notre conversation de l’autre jour. Et j’ai réalisé quelque chose. Si tu te sens redevable envers Dame Elise… C’est certainement parce que tu en fais toujours beaucoup pour les autres. En ce sens, tu es bien plus généreux que moi. Arthur : Généreux ? Ho ho ho ! Eh bien, oui, je suis un altruiste convaincu ! Mais pas plus que toi, ma chère. Effie : Tu plaisantes ? Tu fais toujours passer les autres avant toi ! Quand il y a danger, c’est Arthur qui vient nous aider, Arthur ! Si Dame Elise a soif, je lui donne de l’eau, quitte à laisser se propager un incendie. Arthur : Oh ho ! Rappelle-moi de ne jamais prendre feu à proximité d’Elise alors ! Hum. Sérieusement, je vois où tu veux en venir. Peut-être que je passe trop de temps à aider les vieilles dames à traverser la route. Ou à faire des grimaces pour faire rire les enfants qui passent… Effie : Arthur, non ! Ne change rien. Ce n’est pas ce que je voulais dire. Le monde a besoin d’un héros. Un héros qui se dresse pour la justice ! Un héros qui se range toujours du côté des faibles ! Arthur : Merci, Effie ! Cette conversation a été délicieusement enrichissante. À présent, si tu veux bien m’excuser, j’ai une crise identitaire héroïque à résoudre… À l’aide de crème glacée et d’une bonne dose de sommeil ! À la revoyure ! Soutien A Effie : Arthur, il faut qu’on parle. Arthur : Vraiment ? Que puis-je faire pour toi, ô belle enfant ? Effie : Pour être honnête… je voudrais savoir ce qui ne tourne pas rond chez toi. Arthur : Qu’entends-tu par là ? Effie : Lors de la dernière bataille, tu semblais apathique, comme si tu étais épuisé. Arthur : Tiens donc ? Eh bien, j’ai éprouvé de nouvelles méthodes d’entraînement… Effie : De nouvelles méthodes ? Et en quoi consistent-elles, exactement ? Arthur : Ah ! C’est plutôt ce en quoi elles ne consistent pas qui est important. J’ai décidé de me concentrer sur Son Altesse Dame Elise. Comme toi ! Par conséquent, je n’ai aidé aucune vieille dame à traverser la route… Fi d’escalader les arbres à la rescousse de chats trop peureux pour descendre… Cela fait plus d’un mois que, comme toi, je voue mon existence à la gente dame… Et que comme toi, je fais du lever de troncs d’arbres. À ce sujet, comment fais-tu pour que ça paraisse aussi facile ? Effie : Arthur. Arrête les idées fixes. Ne cherche pas à être celui qui soulève des troncs d’arbre. La place est déjà prise. Souviens-toi, quand on t’appelle, tu surgis du ciel pour sauver les chats pleins d’effroi. Puis tu disparais, toujours aux aguets, pour faire rire les bébés. Redeviens ce héros que l’on connaît et que l’on aime tant. Oublie cet entraînement. Arthur : Ha ha ha ! Je connais ce refrain… Mais rien qu’à entendre cette critique venue de nulle part, mon sang se glace ! Effie : Ne sois pas courroucé, Arthur. À chacun sa méthode. Il n’en est pas une qui soit meilleure que l’autre. Chacun a sa propre valeur. Le meilleur service que tu puisses rendre à Dame Elise… c’est de rester toi-même. Arthur : Très bien, je reviens pour vous aider, chats, chiens, vieilles dames et bébés ! Effie : Oui, c’est ça ta légende, Arthur, la légende que je connais ! Arthur : Et l’amour dans tout ça ? Il ne veut pas entrer dans l’histoire, l’amour ? Effie : L’amour, l’amour, tu sais, ça va, ça vient… Arthur : Ha ha ! Mais quand ça vient, ça va ! Fort bien, je disparais… Toujours aux aguets… Effie : Voilà une conversation fort étrange. Soutien S Effie : Arthur, pourquoi tenais-tu tant à me rencontrer aujourd’hui ? Arthur : Bonjour, Effie ! Navré de t’avoir convoquée si prestement sous des prétextes fallacieux. Mais la vérité est bien plus tragique : l’orfèvre a failli à sa tâche. Effie : Est-ce que c’est en lien avec cet écrin ? Arthur : Où est-ce que tu as eu ça ? Effie : Je l’ai reçu ce matin. Nos noms sont inscrits dessus. Et… Il y a un anneau à l’intérieur. Arthur : Seigneur ! Tu as ouvert l’écrin ? Oh, non… Effie : Je suis désolée, mais nos noms y étant gravés, je me suis permis de l’ouvrir. Arthur : Ho ho, tout va pour le mieux ! Oui, cette histoire d’anneaux est rondement menée ! En effet ! Ho ho ! Fantastique ! Euh… Allons Arthur, reprends-toi. Effie : Arthur ! Est-ce que ça va ? Tu parles tout seul ? Tu es possédé ? Je sais ! C’est cet anneau ! Je pars le jeter dans les flammes d’un volcan ! Arthur : Non, ne fais pas ça ! Effie : C’était juste un moyen de te faire recouvrer tes esprits. Arthur : Hum, oui, mes excuses. J’ai perdu le contrôle de moi-même un instant… Je t’ai précisément appelée pour te demander d’accepter cet anneau. Effie : Oh. Très bien. J’accepte. Arthur : Voilà qui fait suinter mon cœur ! J’espérais toutefois… que tu l’accepterais en tant que cadeau de mariage. Effie : Cadeau de mariage ?! En voilà une histoire. Tu te maries avec moi… sans mon accord ? Arthur : Ha ha ! Non, bien sûr que non. Effie : Oh tant mieux. Parce que je ne pense pas que nous puissions nous marier. Non que tu ne sois pas séduisant ou que je n’aime pas passer du temps avec toi… La raison est que… Ma vie est vouée à Son Altesse la princesse Elise. Elle compte plus que tout et a le dernier mot ! Pas de place pour toi ! Arthur : Oh, Effie ! Nous marier ne changera rien à ton devoir envers Elise. En fait, je pense que cela nous rendra encore plus précieux à ses yeux. Comme tu l’as dit, nous sauvons chacun la veuve et l’orphelin à notre manière. Et nos talents sont complémentaires. Quoi de mieux que de les combiner ? Effie : Je suppose que c’est logique. Nous combattons si bien, ensemble sur le champ de bataille. Et tu as déjà une telle place dans ma vie. Tu es quelqu’un d’héroïque sur qui on peut compter. Je sais que tu seras là pour moi. Oui ! Marions-nous, Arthur ! Arthur : Fantastique ! Non, fantastique n’est pas assez fort… Splendide… Magnifique… C’est tout bonnement superbe… Les superlatifs me manquent. Donne-moi un instant, ma douce… Effie : Ne te force pas, Arthur. Viens ! Allons annoncer la bonne nouvelle à Dame Elise. Arthur : Ha ha ! Bien sûr. Après toi, ma fleur des champs.
Corrin (Femme) & Effie - Spoiler:
Soutien C Effie : Miam miam miam… Crunch… Miam… Corrin : Ah, Effie. Vous avez organisé un festin ? Qui d’autre est invité ? Effie : Oh, bonjour, Dame Corrin. Non, je ne fais rien de tel, pourquoi ? Corrin : Hum… Parce qu’il y a à manger pour 10. Effie : 10 ? Grands dieux, non. C’est mon déjeuner, rien de plus. Je dépense beaucoup d’énergie dans mon entraînement, vous voyez. Je dois me sustenter pour bien protéger la princesse Elise ! Corrin : Je vois. Elise a de la chance d’avoir quelqu’un comme vous à ses côtés. Effie : Merci pour ces paroles ! J’espère que je fais un bon travail. Je lui dois beaucoup, après tout… Corrin : Vraiment ? Que voulez-vous dire ? Effie : Eh bien, sans elle, je ne serais pas la personne que je suis aujourd’hui. Corrin : Cela semble une histoire digne d’intérêt. Voulez-vous bien m’en dire plus ? Effie : Je pense, oui. Mais c’est un récit fort long, et je préfère manger tant que c’est chaud. Corrin : Mais bien sûr. Pardonnez-moi. Effie : Merci, Dame Corrin. Miam miam miam… Crunch ! Soutien B Corrin : Effie, vous voilà ! Je vous cherchais partout. Attendez, mais qu’êtes-vous donc en train de faire ? Effie : Oh, Dame Corrin ! Rien de spécial. Je colmate simplement ce mur. J’ai remarqué que les averses de l’autre jour avaient fragilisé sa structure. On ne peut pas rester là à rien faire, si ? Corrin : Je ne comprends pas. Quel genre de réparations… ? Effie : Je vais vous montrer. Gniii ! Corrin : Incroyable ! Comment pouvez-vous soulever ce rocher à mains nues ? Effie : Ah, ce n’est rien. Je dois ça à mes années d’entraînement au service de Dame Elise. Corrin : C’est vrai, oui… Vous aviez accepté de me raconter cette histoire, la dernière fois… Voulez-vous bien m’en dire plus ? Effie : Bien sûr. Mais, vous ne m’en voudrez pas si je continue à travailler tout en parlant ? Corrin : Pas du tout. Effie : Bien, commençons par le commencement. Je suis née dans une famille extrêmement pauvre. Dans la rue, pour ainsi dire. Mais Dame Elise me rendait souvent visite, sous couvert d’un déguisement. Corrin : Ah bon ? Je n’en savais rien. Effie : Eh oui. Une minute, j’attrape un autre de ces rochers… Yaaah ! Dame Elise me rendait donc souvent visite, et nous nous sommes vite liées d’amitié. Et hop ! Gniii ! Pfiou ! Un jour que nous nous amusions, des gardes nous ont prises à partie. Dame Elise a dû révéler son identité pour qu’ils nous laissent tranquilles. Corrin : Je vois. Effie : Si vous aviez vu son visage… Cette furie éclatante, resplendissante, même… Yaaah ! Corrin : Pardonnez-moi, Effie, ces réparations perturbent quelque peu mon attention. Effie : Comment cela ? Corrin : Je n’ai jamais vu rien de tel… Je vais finir par applaudir plutôt que vous écouter ! Peut-être devriez-vous me raconter la suite une autre fois. Effie : Bien sûr, Dame Corrin. Mais… j’ai une faveur à vous demander. Corrin : Certainement. Je vous écoute. Effie : Ces travaux m’ont donné faim. Je sais que ce n’est pas dans vos attributions, mais… Auriez-vous l’amabilité de m’apporter quelque chose à manger ? Quelque chose de copieux, de préférence. Corrin : Bien sûr, Effie. Donnez-moi une minute. Effie : Merci, Dame Corrin ! Et euh… N’ayez pas peur d’en ramener trop ! Prenez tout ce que vous pouvez ! Soutien A Corrin : Bonjour Effie. Vous voulez bien finir votre histoire ? J’ai hâte de connaître la suite. Effie : Bien sûr, Dame Corrin. Où en étions-nous restées ? Corrin : Des gardes vous ont prises à partie. Elise a été forcée de révéler son identité. Effie : Ah oui. J’étais triste en réalisant que nous ne pourrions plus jouer ensemble. J’ai pleuré pendant des heures avant de trouver une solution pour la revoir. Corrin : Continuez… Effie : Devenir un soldat au service du palais ! Corrin : Oui, c’est logique. Effie : Devenir un soldat impliquait de passer du temps au palais en sa présence. Elle a toujours eu un effet apaisant sur moi… Envoûtant, presque. Depuis ce jour, j’ai voué ma vie à ma formation de soldat. J’ai heureusement quelques… facilités dans ce domaine. Un talent inné. Corrin : Oui, il semble bien… Effie : Mon rêve n’a mis guère longtemps à se réaliser. Dame Elise m’a recrutée dans sa garde personnelle. Elle m’a apporté l’espoir dans mes jours les plus sombres. Je ferais tout pour elle. Et voilà ! Fin de l’histoire ! Corrin : Effie, merci d’avoir partagé ce récit avec moi. Je crois l’avoir déjà dit, mais Elise a beaucoup de chance de vous avoir. Effie : Merci. Ça fait toujours plaisir à entendre, mais… Corrin : Mais ? Qu’y a-t-il ? Effie : Dame Corrin… Je dois résoudre un conflit intérieur. Ces derniers temps, vous êtes devenue quelqu’un de très important pour moi. Corrin : Cela vous dérange ? Effie : Oui… Non ! Mais, je veux dire que… Dame Elise doit rester ma priorité. Mais en même temps, vous avez été si utile sur le champ de bataille. Et vous semblez porter un intérêt sincère à l’humble histoire de ma vie… Corrin : Effie, ne vous inquiétez pas. Je comprends vos sentiments pour la princesse. Je n’ai pas l’intention de m’interposer entre vous. Je sais qu’elle passe avant tout. Effie : Je suis si soulagée de l’entendre ! Parce que nous faisons une si bonne équipe… Sur le champ de bataille. Corrin : Oui, comme vous dites. Sur le champ de bataille.
Elise & Arthur - Spoiler:
Soutien C Arthur : N’ayez crainte, Dame Elise ! Votre fidèle ami Arthur accourt pour vous sauver ! Pff, pff… Pfiou. Mille excuses, Madame. Il n’était pas dans mon intention de vous faire languir. Quand je pense que quelque canaille aurait pu vous approcher ! Je suis impardonnable. Elise : Oh non, ne vous inquiétez pas, Arthur. Je voulais juste vous poser une question. Arthur : Faites, Madame. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour vous répondre ! Elise : Vous êtes un homme de justice, n’est-ce pas, Arthur ? Je me demandais… Jusqu’où iriez-vous pour secourir une personne en détresse ? Arthur : C’est simple, je me jette à chaque fois corps et larmes pour aider mon prochain ! Si une gente dame venait à perdre son fils, je parcourrais le monde à sa recherche. Lorsque je vois un vieillard qui peine à marcher, je lui prête mes jambes. Elise : Vous êtes si bon. Arthur : Si une personne a l’âme en peine, je la chatouille jusqu’à lui rendre le fou rire. J’œuvre pour la paix future, c’est pourquoi j’interviens toujours dans les jeux de mains. Et je pense que les ennemis d’hier peuvent devenir des alliés dès demain. Euh… Oui enfin, vous avez compris. Comme toujours, je suis le pourfendeur du mal, le défenseur des plus faibles ! Je suis Arthur ! Le héros justicier ! Elise : Vous êtes si brave ! N’y a-t-il donc rien que vous ne puissiez faire ? Arthur : Absolument rien, Madame. Elise : Vous êtes vraiment incroyable, Arthur ! Vous êtes bien plus qu’un héros, vous êtes un… Un ultrahéros ! Arthur : Vous me flattez, Madame. Mais pourquoi toutes ces questions, ô princesse ? Êtes-vous souffrante ? S’il est quoi que ce soit qui vous perturbe, je fais le serment de l’anéantir pour vous. Elise : Vraiment ? Eh bien, Arthur, en fait, je… Je, euh… Oubliez cela. Arthur : Qu’est-ce là ? Dites-moi ce qui vous trouble, Dame Elise, je vous en conjure. J’ai juré de vous aider à chaque instant, vous le savez. Elise : Ha ha ! Oui, je sais… Désolée. Faites comme si je ne vous avais rien dit. Il y a certaines choses contre lesquelles même les ultrahéros ne peuvent rien faire… Donc, euh… Au revoir ! Arthur : Nom d’une pipe fendue, cette jeune femme est parfois bien mystérieuse… Soutien B Arthur : Salutations, très chère Madame. Elise : Bonjour Arthur. Est-ce que quelque chose ne va pas ? Arthur : Je suis toujours tourmenté par notre dernier entretien. Oserais-je vous demander ce que vous étiez sur le point de me dire ? Je suis à votre service, Madame. Si vous le vouliez, je mettrais ma main coupée au feu. Pour vous, je décrocherais la lune dès le premier croissant. Je sauterais nu d’une falaise en criant votre nom. Je défierais le ciel septentrional tout en plongeant dans un cercle de feu ! Elise : Euh… Ce ne sera pas nécessaire. Non, vraiment, n’en faites rien. Ce… Ce que j’étais sur le point de vous dire… Ce n’est pas facile. Arthur : Je vous crois. Vous n’étiez que l’ombre de vous-même ces derniers jours. Mais je suis prêt ! Ordonnez, je m’exécuterai sur-le-champ de bataille. Elise : Fort bien. Vous l’aurez voulu. Ce que je voulais vous demander… concerne Messire Xander. Arthur : Messire Xander ? Elise : Oui, j’espérais que vous puissiez le faire… Arthur : O… Oui… ? Elise : Je me demandais si vous pouviez le faire sourire ! Arthur : Les dieux soient loués ! J’ai cru que vous vouliez le faire « souffrir » ! Voilà qui est hilarant ! Ha ha… Ha ha ha ! Elise : Hum ? Arthur : Euh, non rien, Madame. Ce n’est pas si drôle que ça. Elise : Allons, gardez votre bonne humeur, Arthur. Vous en aurez besoin. Je vous avais dit que ce ne serait pas facile, même pour un héros de votre trempe. Arthur : Ha ! Vous plaisantez ! Rien ne me résiste ! Surtout lorsqu’il s’agit de voler au secours de mon prochain ! Elise : Allons, Arthur. Vous êtes gentil, mais ne vous forcez pas pour moi. Arthur : Me forcer ? Mais pas du tout. Je vais retrouver Messire Xander séance tenante. Vous allez voir ! En avaaant ! Elise : Il… Il y va vraiment maintenant ?! Arthur : Dame Elise ! Je suis de retour. Elise : Arthur ? C’était rapide ! Dites-moi vite, comment ça s’est passé ? Arthur : À merveille. Messire Xander a ri à en avoir mal au ventre tout le temps où j’étais avec lui. Elise : Vraiment ?! Comment avez-vous fait ? Arthur : Eh bien, quand je suis arrivé, Messire Xander était au sommet d’une colline. Je suis monté aussi vite que possible, mais, alors que j’arrivais au sommet… Une pierre a eu raison de ma progression, et m’a renvoyé bouler jusqu’en bas… C’était épique, croyez-moi ! Je crois que je n’avais jamais vu le prince rire autant… Elise : Oh… Ce n’est pas vraiment ce que j’avais en tête. Arthur : Oui, euh… C’est ce que je redoutais. Mais on peut toujours espérer. Elise : Bon, peut-être que c’est impossible après tout. Il faudrait un miracle… Merci quand même, Arthur. Arthur : Dame Elise… Soutien A Arthur : Dame Elise ! J’ai vu Messire Xander et me suis entretenu avec lui. Nulle chute à déplorer, cette fois. Elise : Vraiment ?! Arthur : Oui. Je lui ai dit sans détour que son air lugubre ne lui rendait pas service. « La morosité ne sied guère à un roi ! », lui ai-je dit. Il doit faire montre d’humanité ! Au nom de Nohr, je lui ai suggéré de sourire de temps à autre. Elise : Vraiment ? Mais c’est génial, Arthur ! Vous a-t-il écouté ? Qu’a-t-il dit ? Arthur : Il a ri. Elise : Comment ? Arthur : C’était plus comme un rire de moquerie, à vrai dire. Elise : … Arthur : Enfin, on peut dire qu’il riait… Euh… De moi. Elise : … Arthur : Voyez-vous, j’ai été pris d’une soudaine envie de… me soulager, en sa présence. Je me suis donc retenu comme j’ai pu, jusqu’à danser alors que nous parlions. Ma vessie m’a fait souffrir, mais la douleur de la défaite aurait été insurmontable. Pour ne pas vous décevoir, Madame, je suis prêt à tous les sacrifices. Elise : Oh, Arthur… Je suis désolée. J’espère que vous allez mieux. Je me disais bien que les choses ne pouvaient pas bien se passer. Vous avez fait de votre mieux, c’est tout ce qui m’importe… Arthur : Dame Elise… Elise : Xander était si heureux, avant… Il prenait plaisir à plaisanter et à jouer avec moi, mais depuis que la guerre a éclaté… Il n’est plus le même. Il sourit toujours, bien sûr, mais pas de la même façon. C’est pour ça que j’ai demandé votre aide. Je veux juste qu’il redevienne comme avant. Je ne veux pas qu’il passe son temps à broyer du noir. Arthur : Dame Elise… Je comprends. Laissez-moi faire. Elise : Non, ce que je demande est impossible. Xander sera bientôt roi. Je suis sûre qu’il a d’autres chats à fouetter. Des chats et plein d’autres choses que je n’imagine sûrement même pas… Arthur : Sauf votre respect, je ne suis pas d’accord. Ce n’est pas impossible ! Je suis Arthur, le héros justicier. Et, devrais-je ajouter, votre serviteur dévoué ! J’existe pour vous servir, vous, ainsi que le trône de Nohr, dans la vie et dans la mort. Cela me prendra peut-être du temps, mais un jour, je réussirai ! Et ça, je vous le promets. Elise : Merci Arthur… Je suis rassurée rien que de vous entendre. Je savais que je pouvais compter sur vous. Arthur : Madame est trop aimable. Je ne suis pas digne de sa générosité ! Soutien S Arthur : Ah, vous voilà ! Je vous remercie d’être venue. Elise : Qu’y a-t-il ? S’agit-il de Messire Xander ? Arthur : Non, pas exactement… Bien que ce soit lié. Elise : Vraiment ? Parce que je voulais vous demander d’oublier ce dont je vous ai parlé. Vous savez, faire sourire Xander ? C’est probablement de ma faute, alors… Arthur : Ne dites pas cela, comment pourriez-vous rendre Messire Xander malheureux ? Elise : Non, Arthur. Je ne veux pas dire que c’est de ma faute s’il est malheureux. Je pense juste que ce que j’ai demandé est absurde. J’ai toujours vu Xander comme mon héros. Comme une petite fille qui regarde son père avec admiration, vous savez ? Sauf que je n’ai jamais ressenti cela envers notre père, justement. Quand ça n’allait pas, c’est vers Xander que je me tournais. Il souriait toujours, à l’époque, et passait son temps à rire. Mais parfois, il faut que les gens changent pour pouvoir accomplir leur destinée. Avec un tel poids sur les épaules, comment aurait-il pu garder son insouciance ? Si ça avait été le cas, nous n’aurions personne vers qui nous tourner, à présent. Arthur : Dame Elise… Elise : Pardon, je crois que j’ai été piquée de nostalgie. Je suis simplement triste de ne plus pouvoir jouer avec lui comme autrefois. C’est mon problème, pas le sien. Je dois juste accepter de partager mon héros… Arthur : Votre héros ? Et à quoi ressemble-t-il, le héros de vos rêves ? Elise : Pardon ? Arthur : Quand vous pensez au héros de vos rêves, que voyez-vous ? Elise : Euh… Je ne sais pas. Tout bien réfléchi… Je crois qu’il vous ressemblerait beaucoup, Arthur. Arthur : C… Comment ? Elise : Vous êtes quelqu’un de bon et de loyal. Et un justicier par-dessus le marché ! En plus, je suis sûre que vous feriez un très bon père, c’est évident. Avec trois enfants sous chaque bras et votre femme à vos côtés… Oui, parfait ! La femme que vous allez épouser sera très heureuse, Arthur, j’en suis sûre. Arthur : Dame Elise… Elise : Quelque chose ne va pas ? Arthur : Ce n’est rien. Je suis content, voilà tout. J’ai quelque chose à vous dire, moi aussi. Cela concerne précisément ce dont vous venez de parler. Elise : Pardon ? Arthur : Dame Elise, vous êtes la femme la plus simple qu’il m’ait été donné de rencontrer. Vous regarder soulage mon cœur de 1 000 fardeaux. Vous êtes absolument unique. C’est cela qui me pousse à vouloir vous procréer. Euh… vous protéger. Il ne s’agit pas de devoir ni de justice. En vérité, je ne puis imaginer vivre sans vous. Alors, si vous pensez que j’en vaux la peine, ma mie… Voulez-vous m’épouser ? Elise : Quoi ? Arthur : Dame Elise, voulez-vous devenir ma femme ? Elise : Je… Je ne sais pas quoi dire. Arthur : Je comprends. Il est normal que vous hésitiez. Même si vous m’aimez, je ne suis pas de votre pointure… Une princesse doit épouser un prince, après tout, n’est-ce pas ? Notre union risque de faire sandale à la cour. Euh… scandale. Alors je vous en prie, prenez le temps d’y réfléchir. Cela doit venir de vous. Elise : Oh, Arthur. C’est vrai, je vous aime, mais ce ne sont pas les nobles que je crains. C’est Xander… Quelque chose me dit que ça ne va pas lui faire plaisir. Arthur : N’ayez crainte, ma mie. Je porterai moi-même la nouvelle à Messire Xander. Et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour qu’il accepte notre réunion. Messire votre frère sourira bien, et je sourirai le dernier. Elise : Eh bien, présenté comme ça… Oui, Arthur… Je le veux !
Jakob & Effie - Spoiler:
Soutien C Jakob : Effie ? Excuse-moi mais… qu’est-ce que tu manges ?! Effie : Crounch, crounch… Du gâteau. Jakob : J’en étais sûr ! J’avais préparé ce gâteau spécialement pour Dame Corrin ! Effie : Ah bon ? Tu ne devrais pas le laisser traîner. On pourrait le manger par erreur. Jakob : Pourrais-tu laisser ce qu’il en reste tranquille, s’il te plaît ?! Effie : Mais ça passe vraiment bien après un gros entraînement ! Crounch… Jakob : Si tu n’arrives pas à te contrôler, je… Je t’arrêterai par la force ! Effie : Crounch, crounch. Jakob : Comme tu voudras ! Yaaah ! Effie : Crounch, crounch. Jakob : Quoi ?! Mon attaque ne t’a rien fait… Effie : Il va falloir faire mieux que ça. Et quand bien même, tu ne pourrais pas m’arrêter. Jakob : Bon sang, Effie ! Qu’est-ce que je vais servir pour le thé, maintenant ?! Effie : Si j’étais toi, je referais le même gâteau. Il était délicieux ! Soutien B Effie : 137… 138… 139 ! Jakob : Elle soulève d’énormes barils d’eau. Elle est folle ! C’est pour ça qu’elle a aussi faim. Effie : Tiens, Jakob… Tu n’aurais pas un peu de gâteau par hasard ? Jakob : Bien sûr que non ! Et je ne t’en aurais pas donné, de toute façon ! Effie : Ce n’est pas très gentil. Jakob : Imbécile ! Tu viens de détruire ce baril d’eau ! Effie : Oups. Jakob : Il faudrait que tu arrêtes ces entraînements ridicules… Effie : Hors de question. Les gens comptent sur moi, je dois être la plus forte possible ! Je ferais tout pour protéger mes amis… Même si je dois pour ça donner ma vie. Jakob : Mais c’est horrible ! Pourquoi es-tu si cruelle envers tes amis ? Effie : Quoi ? Jakob : Je ne voudrais pas que tu meures à cause de moi. Quel fardeau ! Si c’est pour vivre avec le souvenir de ton noble sacrifice… Merci ! Effie : Euh… D’accord. Soutien A Effie : Hé, Jakob… Jakob : Je n’ai pas de gâteau, Effie, alors ne viens pas m’embêter… Effie : Je ne veux pas de gâteau. J’aimerais juste discuter avec toi. Jakob : Oh, ça change de d’habitude. Effie : Tu as dit que tu n’aimerais pas que je meure en te protégeant… Jakob : En effet. Je n’ai pas besoin de ça dans ma vie. Effie : Mais Jakob, tu es mon ami. Si tu as des ennuis, je me sens obligée de t’aider ! Jakob : Dans ce cas, il faudra m’aider tout en restant en vie… Effie : Rester en vie ? Jakob : Je me fiche que tu me protèges ou non. Je veux que tu restes en vie. Effie : Comment puis-je te promettre cela ?! Jakob : Tu n’es pas encore morte, non ? C’est que tu te débrouilles bien. Continue comme ça. Effie : D’accord. Je ferai de mon mieux pour ne pas mourir. Jakob : Bien, me voilà soulagé. Maintenant, excuse-moi, je dois y aller… Soutien S Effie : Crounch, crounch. C’est le meilleur gâteau du monde ! Jakob : N’est-ce pas ? C’est de moi qu’on parle tout de même ! J’y ai ajouté trois cuillères de protéines en poudre, comme tu aimes. Effie : Tu as fait un gâteau spécial, rien que pour moi ? Je me sens privilégiée. Jakob : Ah ! Si c’est tout ce qu’il te faut, je t’en ferai un tous les jours. Effie : C’est vrai ?! Oh, oui, s’il te plaît ! Jakob : Mais à une condition… Tu dois devenir ma femme. Effie : Euh, je rêve ou tu parles de… Jakob : De mariage. Si tu acceptes, je te promets de te faire des plats pleins de protéines. Effie : Pardon, mais… je devrais t’épouser juste pour tes gâteaux ? Jakob : Bien sûr que non. Je sais aussi repasser, faire la vaisselle, la lessive, le ménage… Effie : Arrête ! C’est peut-être vrai, mais ça ne suffit pas pour se marier ! Jakob : Ah bon ? Effie : Jakob, je ne vais pas me marier avec toi pour tes prouesses domestiques… Je vais me marier avec toi pour ta gentillesse ! Jakob : Euh… Alors tu acceptes ma proposition ?! Effie : Oui ! À première vue, tu sembles rustre, mais tes amis comptent vraiment pour toi. Jakob : C’est cette qualité qui m’attire chez toi également, Effie. Je t’aime. Effie : Bien. Maintenant, parlons gâteaux. Tu as dit un par jour, c’est ça… ? Jakob : Tu vois ? Je savais que tu ne pourrais pas y résister !
Niles & Corrin (Femme) - Spoiler:
Soutien C Corrin : Oh, bonjour, Niles. Qu’est-ce que vous faites ? Niles : Ah, Dame Corrin. Quelle bonne surprise. Eh bien, essayez de deviner. Qu’est-ce que je fais, d’après vous ? Corrin : Difficile à dire, d’ici. Niles : Eh bien, vous devriez vous approcher. Ne vous inquiétez pas, je ne mords pas. Corrin : D’accord… Niles : Miaou ! Corrin : Aaah ! Pourquoi avez-vous fait ça ? Niles : Désolé, c’était juste pour vous taquiner. Voilà, j’ai fini. Si vous êtes curieuse de savoir ce que je fais… Approchez-vous donc encore un peu… Corrin : Hum, eh bien… Niles : Vous avez peur que je vous refasse quelque chose ? Je ne peux pas vous en vouloir. Je n’ai pas encore gagné votre confiance. Vous avez raison de vous méfier. Corrin : Non, non… Je vous fais confiance. Niles : Vraiment ? Quelle folie ! Après tout, moi, je ne vous fais pas encore confiance. Corrin : Quoi ?! Pourquoi pas ? Niles : Parce que nous nous connaissons à peine, Madame. La confiance résulte souvent d’une confrontation ou d’un traumatisme. Mais je suppose que vous avez eu une enfance dorée, loin de toute inquiétude. Corrin : Je n’ai aucun souvenir de mon enfance. Niles : Mes excuses. À l’évidence, c’est un sujet délicat. Je suis pourtant bien placé pour savoir qu’il ne faut pas remuer un passé douloureux. Corrin : Comment ça, vous êtes « bien placé » pour le savoir ? Que vous est-il arrivé ? Niles : Ho ho ! Vous n’offrez rien et vous espérez avoir des secrets croustillants en échange. Désolée, ma chère, mais il va falloir faire mieux que ça. Soutien B Corrin : Niles, auriez-vous un moment ? Niles : Vous êtes toujours à la recherche de révélations sur mon passé sordide ? Corrin : Non, ce n’est pas ça. Je pense que, comme j’ai si peu de souvenirs… Je suis toujours curieuse d’en savoir plus sur l’histoire de chacun. Niles : Je vois. Vous savez, en fait, je vous crois quand vous dites être sincèrement curieuse. Corrin : C’est le cas. Alors, voudriez-vous partager un peu de votre passé avec moi ? Niles : Très bien. Mais je vous préviens tout de suite que mon passé est loin d’être tout rose. Depuis mon plus jeune âge, j’ai dû faire beaucoup de choses abjectes pour survivre. Voler, mendier, tuer… autant d’activités quotidiennes pour le petit Niles. Corrin : Par tous les dieux… Niles : Vous êtes surprise ? Et ce n’est que le début… Corrin : Je suis désolée. Je pense que j’en ai assez entendu pour le moment. Je n’aurais pas dû me montrer si indiscrète. Niles : Je vous en prie, c’est du passé à présent. Mais sachez que, si nous continuons, vous avez de bonnes chances de vous évanouir. Corrin : Je suis désolée. Vous faites bonne figure, mais je peux imaginer… Niles : Non. C’est plutôt à moi de m’excuser. Vous m’avez demandé si gentiment, et voilà que je vous tourmente sans scrupules. J’ai eu une enfance difficile, et il est vrai que j’ai beaucoup souffert. Mais tout cela est derrière moi désormais, et ça ne m’ennuie pas d’en parler. En tout cas, pas à une personne dont l’intérêt est pur et sincère. Comme c’est, je le pense, votre cas. Corrin : Eh bien, je vous remercie. Peut-être pourrions-nous en reparler une autre fois… Niles : Certainement, Dame Corrin. Dites-moi quand vous voudrez planifier une autre séance de « tissage de confiance ». Soutien A Niles : Bonjour, Dame Corrin. Corrin : Niles ? Est-ce qu’il y a un problème ? Niles : Non, bien sûr que non. Je pensais juste vous faire profiter d’un peu de ma compagnie. Corrin : Oh. Eh bien, d’accord ! C’est avec plaisir, nous n’avons pas discuté depuis longtemps. Niles : Discuter ? Alors qu’il y a une infinité d’activités plus stimulantes à disposition ? Corrin : Oserais-je vous en demander un exemple ? Niles : Hum, voyons… Quid de la mêlée stratégique par faible friction ? Corrin : Euh… Jamais entendu parler. En quoi est-ce que ça consiste ? Niles : Oh, c’est une technique d’entraînement éprouvée. D’abord, nous simulons la faible friction en nous badigeonnant d’un corps gras. Ensuite, nous pratiquons diverses techniques situationnelles de mêlée. Corrin : Cela ressemble beaucoup à de la lutte à l’huile. Je ne pense pas être prête pour ça. Niles : Très bien ! Alors discutons. Mais il va falloir que ce soit extrêmement stimulant. Corrin : Bien, faisons cela. Niles : Hum… Corrin : … Niles ? Niles : En fait, je crois que je n’ai aucun sujet de conversation stimulant à vous proposer. Corrin : Oh… je vois. Niles : N’est-ce pas étrange ? Je n’ai rien de particulier à vous dire, et pourtant je suis venu vous voir. Je me demande bien pourquoi ? Corrin : Je… Je ne saurais vous le dire. Niles : Peut-être que je voulais seulement revoir cette expression confuse sur votre visage. Non, il y a autre chose… Peut-être ai-je éprouvé l’aspiration perverse d’établir un lien avec une autre personne. Corrin : Euh, Niles… Il n’y a rien de pervers là-dedans. C’est tout à fait normal. Niles : Vraiment ? C’est la première fois que quiconque utilise ce mot en parlant de moi. Seriez-vous farouchement opposée à l’idée de retenter d’établir un lien une autre fois ? Corrin : Bien sûr que non. J’en serais heureuse. Soutien S Niles : Bonjour, Dame Corrin. Corrin : Bonjour, Niles. Que puis-je faire pour vous ? Niles : Vous allez trouver cela inattendu, mais j’espérais avoir une conversation sérieuse. Corrin : Oh, vous me faites peur. Est-ce que tout va bien ? Niles : Hum. Eh bien, cela dépend de votre réaction face au sujet que je vais aborder. Corrin : Bien… Alors, dites-moi, de quoi souhaitiez-vous me parler ? Niles : Je me demandais… si vous pensez qu’une personne peut être irrévocablement abîmée. Corrin : Vous parlez de vous-même… Est-ce que vous le pensez, vous ? Niles : Non. Mais je me demandais si c’était ainsi que vous me voyiez. Corrin : D’où cela sort-il ? Niles : Pensez-vous qu’une personne au passé troublé puisse bâtir un avenir stable ? Corrin : Eh bien, je l’espère. Comme vous le savez, ma vie n’a pas été un conte de fée. Niles : Oh, oui, je sais ! Alors, d’après vous, qu’arriverait-il si deux personnes ayant un passé complexe… s’unissaient pour bâtir un avenir meilleur ? En tant que couple marié. Corrin : C… Couple marié ?! Niles : Oui. J’y ai beaucoup réfléchi. Nous avons tant en commun. Vous êtes la première personne qui ait fait preuve d’une réelle empathie envers moi. Et je ne pense pas que ce soit une coïncidence. Corrin : Cela fait beaucoup de choses à assimiler. Niles : Pensez-vous que vous pourriez m’épouser ? Je veux vous offrir cette bague. Corrin : Niles… Niles : Vous semblez hésitante. Très bien, je savais que mes chances étaient maigres… Corrin : Vous allez trop vite en besogne, Niles. Niles : Hum ? Corrin : En vérité, vous me fascinez. Vous avez surmonté tant d’obstacles. Notre passé est derrière nous et il nous est impossible d’en changer. Vous m’avez montré comment aller de l’avant. Alors… oui, je veux vous épouser. Niles : Ah, je savais que j’avais raison à votre sujet. C’est merveilleux ! Bien, maintenant que toutes ces choses niaises et ennuyeuses sont réglées… Nous n’avons plus à nous montrer aussi réservés. Corrin : Attendez, vous étiez réservé jusque-là ? Niles : Ho ho ! Vous n’avez encore rien vu. Avez-vous la moindre idée de ce qui vous attend ? J’espère que non…
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| | | Sheezune
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Conquête - Mar 16 Aoû - 2:10 | |
| Corrin (Femme) & Arthur - Spoiler:
Soutien C Arthur : Vous sentez cette odeur, Corrin ? Mmh… C’est l’odeur de la justice ! Corrin : Tiens, on dirait que vous revenez de mission… La justice a-t-elle triomphé ? Arthur : J’ai entendu dire qu’un groupe de malfaiteurs rôdait dans la région. J’ai mis un terme à leurs agissements et sauvé les villageois qu’ils terrorisaient. Corrin : Des malfaiteurs, dites-vous ? Intéressant. La bataille a dû être difficile. Arthur : Pas du tout ! Croyez-moi, le mal courbe l’échine devant moi, comme le blé au vent. Corrin : Hé hé… Formidable. Je n’en attendrais pas moins du héros de Nohr. Votre dévouement envers la protection des innocents sans défense est admirable. Arthur : Vous êtes trop bonne, Madame ! Mais ce n’était rien du tout, je vous assure. Corrin : Vos vêtements ont l’air d’avoir passé un sale quart d’heure. Vous ont-ils blessé ? Arthur : Oh, ça ? J’ai simplement été renversé par deux ou trois calèches en revenant. Corrin : Deux ou… ? Vous voulez dire que vous avez été renversé plus d’une fois en un jour ? Arthur : Oui, et le chef de la milice du village m’a pris pour un voleur et m’a donné la chasse. Ils m’ont pourchassé sur… Oh, je ne sais pas… 15 kilomètres ? Peut-être plus. Corrin : Bon sang… On dirait que vous n’êtes pas né sous la bonne étoile… Arthur : Ha ! C’est ce qu’on me dit souvent. À présent, veuillez m’excuser, je vous prie. J’ai promis d’apporter des remèdes aux anciens du village dans la journée. Merci pour cette conversation, Dame Corrin ! Corrin : Quel sacré personnage… J’espère qu’il reviendra en un seul morceau. Soutien B Arthur : Et le soleil se couche sur une nouvelle journée passée sous le signe de la justice ! Corrin : Bonjour Arthur. Quels nouveaux actes héroïques avez-vous accomplis, cette fois ? Arthur : Eh bien, on m’avait demandé d’organiser un banquet pour les plus démunis. J’en reviens à l’instant, en fait ! Tout s’est très bien passé. Corrin : Merveilleux. Je suis fière de vous, comme d’habitude. Arthur : Merci ! On m’avait aussi demandé de servir de goûteur. C’était une première pour moi. Malheureusement, les vivres que j’ai goûtés n’étaient plus de première fraîcheur… Les autres goûteurs ont eu plus de chance. Moi, j’ai un de ces maux d’estomac… Enfin bon, au moins, le banquet était très réussi. J’en suis très content. Corrin : Oh, mon pauvre Arthur… Pourquoi ne suis-je pas surprise ? Arthur : La vie est pleine de surprises, Madame. Souvent mauvaises en ce qui me concerne. Mais je ne me plaindrai que le jour où l’une d’elles parviendra à me tuer ! Ha ha ! Ha ha ! Corrin : Ha… Ha… Hum. Prévenez-moi si vos douleurs d’estomac empirent, d’accord ? Arthur : D’accord ! Bien, voyons voir… Quelle nouvelle quête héroïque avais-je prévue ? Hum… Rien d’autre, on dirait. Bien ! Je vais aller préparer la journée de demain. Corrin : Qu’avez-vous de prévu demain ? Arthur : Je me suis porté volontaire pour aider la brigade anti-incendie d’un village voisin ! Corrin : Anti-incendie ?! Vous voulez dire que… ? Arthur : Oui ! Je vais leur montrer comment éteindre un feu de forêt ! Que c’est amusant ! Corrin : Un feu de forêt ?! Hum… Arthur… Vous voulez bien me rendre un service ? Arthur : Pour sûr ! Vos ordres sont mes désirs ! Et inversement. Enfin, je crois… Corrin : Avant d’allumer ce feu… Allez donc faire trempette dans un lac, d’accord ? Arthur : Euh… Pardon ? Corrin : Et faites en sorte d’avoir une bonne dizaine de seaux d’eau à portée de main. Vous me le promettez ? N’oubliez pas, d’accord ? Arthur : Eh bien, c’est une requête des plus étranges, mais… Vous avez ma parole ! Soutien A Corrin : Ah ! Arthur ! Comment s’est passée votre démonstration anti-incendie ? Arthur : Dame Corrin ! J’espérais justement vous rencontrer. Je me suis baigné dans la rivière, comme promis. Tout s’est très bien passé. Corrin : Ah, tant mieux. J’avais peur que cette histoire de feu de forêt ne finisse mal. Je suis bien contente de vous en avoir parlé à temps… Arthur : Le feu de forêt ? Que voulez-vous dire ? Ça n’avait rien à voir avec le feu de forêt… Corrin : Ah non ? Mais alors en quoi votre baignade dans la rivière s’est-elle bien passée ? Arthur : La démonstration a eu lieu à côté de la rivière. La sécurité d’abord, comme on dit ! J’ai suivi vos recommandations et me suis approché du bord avant de commencer… Et puis… J’ai glissé dans la boue et je suis tombé dans l’eau, la tête la première. Corrin : … Hum… Rien d’étonnant jusque-là. Mais alors, tout ne s’est pas bien passé ? Arthur : Attendez, ce n’est pas tout ! J’ai été entraîné dans de périlleux rapides. Je suis le meilleur nageur du coin mais là, il était impossible de lutter… Corrin : Oh, bon sang… Et ensuite ? Arthur : Eh bien, malheureusement, je n’étais pas le seul à lutter contre le courant ce jour-là… Avec la pluie de la veille, la rivière était pleine de rochers et de grosses branches. Inutile de vous dire que chaque brasse était accompagnée d’une nouvelle bosse. Mais il faut toujours garder son calme dans les situations désespérées ! Aussi n’ai-je pas perdu espoir, et j’ai nagé et nagé avec la force de 1 000 requins ! Seules ma détermination et la chance m’ont permis de regagner la rive sain et sauf… Lorsque j’ai refait surface, j’ai été accueilli par les acclamations des villageois. Ils m’ont dit que c’était la plus belle démonstration qu’ils aient vue ! Encore mieux qu’un feu de forêt ! Corrin : Arf… Arthur : Il faut savoir rester vigilant dans ce monde de fou, Dame Corrin. Sans vos conseils, je n’aurais jamais pu affronter une telle épreuve de force. Et je viendrai vous demander conseil plus souvent, afin d’en affronter d’autres. Je suis convaincu que c’est là le début d’une belle amitié ! Corrin : Je suis heureuse de vous avoir… rendu service, Arthur. Et que vous soyez sauf. Arthur : Je suis plus que sauf ! Je suis au top de ma forme ! Vous êtes mon porte-bonheur. Corrin : Hum… Eh bien… Merci. Soutien S Corrin : Bonjour, Arthur ! Arthur : Ah, Dame Corrin ! Merci d’avoir accepté mon invitation. Corrin : C’est avec plaisir, mais… Est-ce que tout va bien ? Il est un peu tard pour discuter. Arthur : Veuillez me pardonner, Votre Altesse. L’heure est tardive, en effet. Mais vous comprendrez tout une fois que vous verrez… Corrin : Une fois que je verrai… quoi ? Arthur : Eh bien… Suivez-moi ! Je vais vous montrer. Qu… Ouaaah ! Corrin : Arthur ?! Vous allez bien ? Arthur : J… Je vais bien, merci. Qui a creusé un trou ici ? Quel manque de savoir-vivre… Bref, donnez-moi une minute, je vous prie… Bon sang, qu’est-ce que ça glisse, par ici ! N’ayez crainte ! Le trou dont je ne pourrai m’extraire n’est pas encore… creusé. Il en faut plus pour mettre en échec la force de la justice que je suis… Oh hisse ! Hh… pff. Hh… pff. Vous… voyez ? C’était… Hh… pff… C’était trois fois rien. Corrin : Quel soulagement ! J’ai bien cru que j’allais devoir descendre à votre secours. Arthur : Hé… Hum ! Bref, nous y voilà. À deux pas d’ici se trouve le spectacle le plus magique que le monde puisse offrir. Préparez-vous à être émerveillée. Un simple coup d’œil et l’espoir renaît ! Ta… Da… ? Corrin : … Arthur : … Corrin : Hum… Ce brouillard est plutôt épais, non ? Arthur : Oui… On m’avait pourtant dit que la vue serait dégagée ce soir. Soit, nous n’y pouvons rien. Nous avons au moins un beau ciel étoilé au-dessus d… Corrin : … Arthur : … Corrin : Le ciel est assez couvert, non ? Je n’ai pas vu autant de nuages depuis très longtemps. Arthur : En effet, Madame… On dirait que Dame Nature est d’humeur facétieuse, en cette belle soirée… Bon, tant pis… Mais je vous jure que la vue est imprenable. Et inoubliable. Hum. Je, euh… Dame Corrin… Si je vous ai fait venir ici ce soir, c’est pour une autre raison. J’espérais… J’espérais que vous consentiriez à… lier votre vie à la mienne. Corrin : Arthur… Arthur : Attendez, s’il vous plaît. Vous m’inspirez à poursuivre mon idéal de justice ! Et je souhaite faire de vous mon acolyte, non, mon épouse ! Ma partenaire… Corrin : C’est tellement soudain, je… Je ne sais que dire. Arthur : Oh, attendez ! J’ai apporté une alliance, aussi. Là, voilà pour vous… Corrin : Euh… Arthur ? Cet écrin est vide… Arthur : Quoi ? Oh non… Le bijoutier l’a sûrement oubliée après l’avoir nettoyée… J’aurais dû vérifier… Raaah, quelle guigne ! Pourquoi maintenant ?! Pff… Bon, ça va, j’ai compris. C’est le destin. Excusez-moi, je dois aller pleur… Corrin : Hé. Hé hé ! Ha ! Ha ha ha ha ha ha ! Arthur : Dame Corrin… Pardon, mais je ne vois vraiment pas ce qu’il y a de drôle là-d… Corrin : Ne vous en faites pas, Arthur. Je n’ai pas besoin d’une alliance pour comprendre. Je sais ce que vous ressentez. Et je le partage. Vous êtes bon, courageux et déterminé à aider ceux dans le besoin… J’ai bien peur que vos vertus ne m’aient séduite. Arthur : Dame… Enfin, Corrin ! Est-ce que vous êtes sincère ?! Corrin : Hé hé… Je le suis. Et oui, je serais honorée de vous avoir pour époux. En plus… Arthur : Oui, ma chère ? Corrin : Eh bien, si nous sommes ensemble, je pourrai garder un œil sur vous. Arthur : Garder un œil sur moi ? Mais… Dans quel but ? Me prenez-vous pour un incapable ? Corrin : Quoi ? Mais non, pas du tout, voyons… C’est simplement parce que vous êtes beau ! Vous et votre ceinture si seyante. Arthur : V… Vous l’avez remarquée ? Le « H » veut dire « Héros ». Il me rappelle de toujours agir avec altruisme. Merci, ma chère Corrin. J’ai hâte d’arpenter le chemin de la justice à vos côtés ! Corrin : Et moi donc ! Arthur : Je vous aime plus que tout. Votre amour m’enivre plus encore que la douce, très douce odeur de la justice ! Mais ne dites rien à Dame Justice, d’accord ?
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| | | Sheezune
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Conquête - Mar 4 Oct - 14:09 | |
| Soutiens des enfants Nina & Corrin (Femme) - Spoiler:
Soutien C Nina : Hi hi ! Corrin : Bonjour Nina. Nina : Corrin ! Depuis quand êtes-vous ici ? Corrin : Euh, je… Je viens d’arriver. Est-ce que tout va bien ? Nina : Oui. Donc ça ne fait pas des heures que vous êtes là à me regarder, hein ? Ouf… Corrin : Non, bien sûr que non. Mais maintenant, je suis curieuse… Que faisais-tu, Nina ? Nina : Oh, rien d’intéressant. Rien qui vaille la peine d’en parler. Je suppose que si j’avais quelque chose à dire, je dirais que… j’observais les gens. Corrin : Tu observais les gens ? Nina : Oui ! Vous voyez ce type là-bas ? Revenant de l’entraînement couvert de sueur ? Corrin : Oui, on dirait que l’entraînement était dur. Nina : Et puis là-bas, il y a un homme qui s’occupe de quelques chevaux. Et si les deux se rencontraient… pour prendre le thé ? Ne serait-ce pas parfait ? De quoi parleraient-ils ? Deviendraient-ils amis rapidement ? Ou plus si affinités… Corrin : Ou plus si affinités ? Je ne suis pas sûre de comprendre… Nina : Oh, euh… Oubliez ça ! Imaginez deux amis de longue date… Qui un jour, se retrouvent à se fixer intensément du regard… Hi hi hi ! Corrin : Quoi ? Nina : Oh vous êtes toujours là. Parlais-je à voix haute ? Eh bien ! Faites comme si je n’avais rien dit. Corrin : Étrange… Soutien B Nina : Non, non, non ! Attends… Oui ! Oui, oui ! Oh, cette amitié fait des progrès… de beaux progrès ! Corrin : Nina ? Que fais-tu ? Nina : Corrin ? Aaah ! Corrin : Désolée. T’ai-je fait peur ? Ça fait cinq minutes que je te fais des signes et que je t’appelle. On aurait presque dit que tu étais en transe. Nina : Vraiment ? J’en suis désolée. Je me perds dans mon petit monde parfois. Corrin : Sans rire… Bref, une bonne partie du groupe prépare un festin. Je suis venue te demander si tu voulais te joindre à nous. Mais tu as l’air préoccupée par quelque chose. Nina : Oh… non pas vraiment. J’étais juste, vous savez, en train d’observer les gens. Corrin : Eh bien, tu avais l’air d’être très concentrée sur tes observations. Nina : Je suis comme ça. Je ne fais jamais rien à moitié. On me lit comme un livre ouvert. Corrin : Je suis un peu jalouse. J’aimerais être aussi passionnée par… eh bien… tout. Nina : Eh bien, pourquoi ne vous joindriez-vous pas à moi ? Allez, ce sera amusant. Corrin : Ça ne te dérangerait pas ? Ça me plairait, Nina. Puisque nous combattons ensemble, nous devrions apprendre à mieux nous connaître. Nina : Très bien ! Mais je dois vous prévenir, mon passe-temps peut créer une dépendance. Alors, vous souvenez-vous des deux hommes de l’autre jour ? Corrin : Les deux hommes que tu observais ? Oui, je les vois en contrebas de la colline. Nina : D’accord. Avez-vous remarqué quelque chose de différent ? Corrin : Eh bien, il semblerait qu’ils soient en train de discuter entre amis. Je n’avais pas réalisé qu’ils se connaissaient. Nina : Oh ho ! Ils ne se connaissaient pas ! Pas jusqu’à ce que je mette mon plan, qui consistait à les présenter, à exécution. Ha ! Corrin : Hum… Nina : Vous imaginez-vous à quel point je me sens puissante, à manipuler les gens comme ça ? Bref, maintenant que vous êtes là, on peut voir les choses en grand. Planchons sur la question : comment faire avancer leur amitié à un tout autre niveau ? Corrin : Euh, Nina ? Tu as dépassé le stade de simple observation. Je ne suis pas sûre de pouvoir participer, finalement. Nina : Hi hi ! Oh, sacrée Nina. Quel plan sophistiqué tu as concocté cette fois… Corrin : Je crois qu’elle ne se rend même plus compte que je suis là. Soutien A Nina : Pff… Pourquoi ça ne marche pas ? Corrin : Bonjour, Nina. Y a-t-il un problème ? Tu as l’air un peu secouée. Nina : Voyez par vous-même, Corrin. Corrin : Les hommes que tu épiais ? Quel est le problème ? Ils ont l’air de bien s’entendre. Nina : Exactement. Ils sont juste amis. Je pense qu’ils devraient être plus que ça. Corrin : Eh bien… ne penses-tu pas que c’est à eux de décider de ces choses-là ? Nina : Grr ! Probablement. Mais je me suis donné tellement de mal pour qu’ils se rencontrent. Et regardez comment ils me remercient. Corrin : Nina ! Je pense que tu vas trop loin avec toutes ces histoires d’observation. Nina : Arf ! Oubliez tout ce que j’ai dit ! Corrin : Ce n’est pas une chose facile à oublier, n’est-ce pas ? Nina : Je sais. J’ai un petit problème. C’est juste que… Je suis fascinée par les histoires d’amour clandestines. Je raffole de ce genre d’histoires d’amour. Corrin : Je vois. Nina : Je suis désolée de vous l’avoir caché. Je sais que je suis un peu étrange. Corrin : Ne sois pas si dure avec toi-même, Nina. Je ne trouve pas que tu sois étrange. Je soutiens ta passion tant que tu ne te mêles pas de la vie des autres. Nina : Vous le pensez vraiment, Corrin ? Corrin : Oui. Et je dois l’admettre : c’est assez palpitant d’observer les gens à tes côtés. Nina : Je suis heureuse de vous entendre dire ça. La plupart des gens ne comprennent pas. Alors, maintenant que vous participez, qui sera notre prochaine cible ? Corrin : Euh, prochaine « cible » ? Nina : Oui ! Ces deux-là sont peine perdue. Il est temps d’imaginer un nouveau scénario. Alors, j’ai vu un homme au marché l’autre jour, qui avait une barbe intéressante. Peut-être qu’on pourrait le présenter au boucher. Il est totalement chauve ! Oui… Quel couple intéressant ça ferait ! Hi hi ! Corrin : Oh là là. Qu’est-ce que j’ai fait ?
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