| | Dialogues de soutien - Héritage - | |
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+3Soren62 Obi-Wan44 Kratos Wright 7 participants | |
Auteur | Message |
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Kratos Wright Admin
Fe préféré ? : Genealogy of The Holy War Messages : 1936
| Sujet: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 19 Mai - 13:30 | |
| Ici seront poster les dialogues de soutiens de la version Héritage. Je ferait un récapitulatif des dialogues déjà rédigés au fur et à mesure.
Dialogues fait :
Corrin (féminin) / Sakura (C à A) Corrin (féminin) & Azura (C à A) Corrin (féminin) & Kaze (C à A) Corrin (féminin) & Rinkah (C à A)
Kaze & Azura (C à A) Kaze & Sakura (C à A)
Subaki/Hana (rang S)
Dernière édition par Kratos Wright le Sam 21 Mai - 19:54, édité 4 fois | |
| | | Obi-Wan44
Fe préféré ? : Radiant Dawn Messages : 2001 Age : 31
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 19 Mai - 14:20 | |
| Ya un moyen de consulter les dialogues de soutien après les avoir eu ? | |
| | | Kratos Wright Admin
Fe préféré ? : Genealogy of The Holy War Messages : 1936
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 19 Mai - 14:33 | |
| Oui, il faut aller dans la section extra avant de charger sa partie. | |
| | | Obi-Wan44
Fe préféré ? : Radiant Dawn Messages : 2001 Age : 31
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 19 Mai - 14:34 | |
| Ok super. J'ai déjà tous les dialogues Corrin (féminin) / Sakura du coup je peux déjà fournir quelque chose | |
| | | Kratos Wright Admin
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 19 Mai - 15:00 | |
| J'ai éditer le premier post ! | |
| | | Soren62
Messages : 1683 Age : 32
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 19 Mai - 18:43 | |
| J'ai commencé les dialogues Corrin (Féminin) / Jakob et Kaze / Rinkah. Je pourrai fournir une fois finis (j'suis en B pour les deux, pour le moment ) Edit : J'ai beau aller dans extras, j'ai rien concernant les dialogues de soutiens oO Il faut avoir finis le jeu...? Ah ! Mon frère est en train de faire le Corrin (Masculin) / Rinkah, je pourrai le fournir aussi | |
| | | Kratos Wright Admin
Fe préféré ? : Genealogy of The Holy War Messages : 1936
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 19 Mai - 19:17 | |
| Je sais pas s'il faut finir le jeu ou créer et fait évoluer le bâtiment qui sert a revoir les cinématique et les dialogue dans My Castle. | |
| | | Soren62
Messages : 1683 Age : 32
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 19 Mai - 19:45 | |
| Aaaah, c'est dans les Archives de My Castle XD Je pensais que c'était dans les extras, dans le menu du jeu Bon, je m'attelle à tout ça dès que j'ai les soutiens à fond pour les perso (EDIT: J'ai Subaki/Hana jusqu'au rang S, je tente de poster ça ce week-end ) | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 21 Mai - 18:12 | |
| Corrin (féminin) & Kaze - Spoiler:
Soutien C Kaze : Pff… Corrin : Quelque chose ne va pas, Kaze ? Dites, que sont tous ces daïkons ? Kaze : Ah, Dame Corrin. Bonjour. Une dame m’a offert ces radis après que je l’ai aidée à retrouver son chemin. Corrin : Nous allons faire un festin de ces daïkons, au dîner ! C’est formidable ! Kaze : Excusez-moi de vous contredire, mais cela n’a rien de formidable. Corrin : Ah ? Quel est le problème ? Avez-vous quelque chose contre les radis blancs ? Kaze : Cela me gêne d’être remercié pour avoir simplement indiqué sa route à quelqu’un. D’ailleurs, ce n’est pas la première fois qu’une telle chose m’arrive… Corrin : Ah bon ? Kaze : Cela reste pour moi un mystère, mais… Souvent, des femmes m’approchent pour me parler ou me faire des cadeaux. Corrin : Ah, vraiment ? Kaze : Et si jamais je prononce quelques mots, elles se mettent à crier ou à m’enlacer. Parfois, elles me donnent des lettres, des vêtements ou de la nourriture. Nos alliées ne font pas cela, bien sûr, seulement les étrangères. C’est agaçant. Corrin : Hé hé, j’ai l’impression que vous avez simplement du succès auprès des femmes ! Kaze : Du succès ? Auprès des… femmes ? Corrin : Absolument. Ces femmes sont seulement… Disons que vous devez les intéresser. Parce que vous êtes doux et mystérieux à la fois. Et puis vous êtes un ninja… L’autre jour, j’ai surpris une conversation entre deux femmes, en ville. L’une disait : « Ah, cet air triste sur le beau visage de Kaze, c’est irrésistible ! » Kaze : Argh… J’aurais préféré ne pas entendre cela. J’apprécie le compliment, mais… J’aimerais mieux me concentrer sur mon devoir et éviter de telles distractions. Corrin : Ha ha, vous êtes si sérieux ! La plupart des hommes rêveraient de tant d’attention ! Kaze : Je me comporte seulement comme doit le faire un ninja digne de ce nom. Voilà tout. En tous les cas, ces femmes se trompent. Je ne suis pas un homme bien. Corrin : Pourquoi dites-vous cela ? Kaze : Pour rien. Et maintenant, si vous voulez bien m’excuser, j’ai des choses à faire. Corrin : Et voilà, il a disparu ! Ah, ces ninjas… Mais que voulait-il dire ? Pourquoi ne serait-il pas quelqu’un de bien ? Soutien B Corrin : Kaze, j’ai quelque chose à vous demander. J’aimerais vous accompagner en ville. Kaze : Ah, Dame Corrin. Votre compagnie me fait toujours plaisir, mais pourquoi ? Ai-je fait quelque chose de travers ? Corrin : Non, pas du tout ! J’ai pensé que cela serait un moyen de vous montrer en quoi vous êtes si charmant. Kaze : Euh… Pourquoi feriez-vous une telle chose, au juste ? Corrin : Je suis inquiète depuis que vous m’avez dit que vous n’étiez pas un homme bien. Il m’a semblé que quelque chose vous tracassait, et j’aimerais vous aider. Je veux que vous voyiez le bon qu’il y a en vous ! Kaze : Mais c’est… Corrin : Alors, qu’en dites-vous ? Kaze : Merci de vous inquiéter, mais tout va bien. Si vous voulez bien m’excuser… Corrin : Kaze ! Revenez ! Le voilà parti ! Hum… Je parierais qu’il n’est pas loin, en réalité… Je n’abandonnerai pas aussi facilement. Kaze, où êtes-vous ? Kaze ! Revenez, ne me laissez pas comme ça ! Kaze : Hmpf. Corrin : Kaaaze ! Kaze : Dame Corrin. Corrin : Vous voilà ! Ah, je savais que vous ne pouviez pas vous cacher de moi ! Kaze : J’aimerais autant que vous évitiez de crier ainsi. Et si des ennemis nous entendaient ? N’indiquez jamais votre position lorsque vous êtes à l’écart du gros de l’armée. Épargnez-nous de tels comportements à l’avenir, pour la sécurité de tous. Corrin : Vous avez raison, je suis désolée. Je voulais tellement vous retrouver… Merci d’être revenu. Je sais que vous l’avez fait pour ma sécurité. C’est bien la preuve que vous êtes quelqu’un de bien ! Kaze : Pourquoi vous entêter à me dire des choses pareilles ? Corrin : Comment ? Kaze : S’il vous plaît, arrêtez cela. Laissez-moi tranquille. Corrin : Kaze ! Kaze : … Veuillez m’excuser, Madame. Je n’aurais pas dû vous parler aussi durement. Corrin : Non, tout est ma faute. Personne n’aime être harcelé de la sorte. Excusez-moi, Kaze. Kaze : Dame Kira ! … Soutien A Kaze : Dame Corrin. Je vous présente mes excuses pour vous avoir blessée, la dernière fois. Corrin : Oui ? Oh, quand vous vous êtes énervé parce que je voulais vous accompagner ? Ne vous en faites pas, c’était ma faute. Désolée de vous avoir importuné, Kaze. Kaze : Vous êtes si gentille, Dame Corrin. Corrin : Vous le pensez vraiment ? Kaze : … Corrin : Kaze ? Kaze : Il y a quelque chose que vous ne savez pas à mon sujet, Dame Corrin. Une chose pour laquelle je serai à jamais impardonnable, qu’importe mon repentir. Corrin : Quoi donc ? Kaze : Je suis un piètre serviteur. C’est ma faute si vous avez été enlevée et emmenée en Nohr. Corrin : Votre faute ? Qu’avez-vous donc fait, Kaze ? Kaze : Ce jour-là, nous nous étions tous rendus en Cheve, et j’y avais vu les forces de Nohr. Celles-là même qui, plus tard, tueraient le roi Sumeragi et vous enlèveraient. Mais j’étais jeune, et j’ignorais ce que leur présence signifiait… et je n’ai rien dit. Corrin : Ce n’est pas de votre faute, Kaze. Vous n’étiez qu’un enfant ! Comment auriez-vous pu deviner ce qui allait arriver ? Kaze : Je viens d’une longue lignée de ninjas au service de la famille royale… Mon entraînement a commencé très tôt. Si quelqu’un aurait dû comprendre, c’est moi. J’aurais dû payer de ma vie une telle incompétence. Jamais je ne pourrai réparer les souffrances causées à vous et à votre famille. Je ne devrais même pas vous adresser la parole. Pardon, Dame Corrin. Corrin : Cessez cela ! Vous n’avez rien fait de mal ! Au contraire, c’est à moi de m’excuser ! Kaze : Madame ? Corrin : Pardonnez-moi, Kaze. Vous avez dû tellement souffrir, toutes ces années… Je n’en savais rien… et je me suis comportée de manière inconsidérée. Je crois qu’il est temps pour nous de nous pardonner et d’aller de l’avant. Nous ne pouvons pas bâtir notre avenir sur nos erreurs passées. De plus, c’est vous qui avez permis mon retour, n’est-ce pas ? Kaze : Comment cela ? Corrin : Eh bien, c’est vous qui êtes allé voir la tribu du feu pour me secourir. Et vous étiez encore à mes côtés quand j’ai regagné Hoshido. C’est grâce à vous, Kaze, que je suis à nouveau avec ma véritable famille. Kaze : Mais… Corrin : Kaze, vous n’êtes pas en faute. Et même si vous l’étiez, vous avez payé votre dette. Je vous en prie, ne parlons plus de cela. Promettez-le-moi, s’il vous plaît. Kaze : … Corrin : Eh bien ? Kaze : Oui… Je vous le promets. Corrin : Bien. Kaze : Hé hé. Corrin : Seriez-vous en train de rire de moi ? Kaze : Non, simplement… Vous me rappelez tant Dame Mikoto. Cela me réconforte. Corrin : Je vous rappelle ma mère ? Pourquoi cela ? Kaze : Lorsque Dame Mikoto est devenue reine, elle m’a pardonné et pris à son service. Je me demande si elle avait prédit que sa fille ferait de même, un jour. Peut-être étiez-vous celle que j’aurais toujours dû servir. Corrin : Que voulez-vous dire ? Kaze : Tous les membres de la famille royale d’Hoshido ont deux serviteurs… Ceux-ci sont choisis parmi les meilleurs soldats que compte le château. Au moment voulu, ils jurent allégeance à un seul membre de la famille royale. Par exemple, Orochi et Reina servaient feu la reine Mikoto. Subaki et Hana sont au service de Dame Sakura. Hinata et Oboro servent Messire Takumi. Azama et Setsuna servent Dame Hinoka. Enfin, Kagero et mon frère Saizo ont prêté allégeance à Son Altesse Ryoma. Corrin : Oui, je sais tout cela. Attendez. Vous voulez dire que… Kaze : Bien que je serve la famille royale depuis longtemps, je ne suis dévoué à personne. Cela m’a toujours troublé, mais je me disais que c’était l’intention de Dame Mikoto… Cela afin que le moment venu, je puisse vous servir, Dame Corrin. Si vous voulez bien de moi, je vous prête allégeance. Corrin : Je… Kaze : Acceptez-vous ? Corrin : Kaze… Oui, j’accepte votre offre. Kaze : Désormais, en tant que votre serviteur, je jure de donner ma vie pour vous protéger. Corrin : Merci. J’espère que vous n’aurez jamais à le faire, mon ami. Soutien S Kaze : Dame Corrin. Où allez-vous ainsi ? Corrin : Bonjour, Kaze. Je vais simplement faire une petite promenade. Kaze : Si cela ne vous dérange pas, j’aimerais vous accompagner. Corrin : Oh, Kaze, ne soyez pas sot. Je peux passer un instant seule sans me faire kidnapper. Kaze : Dame Corrin, je me suis rendu compte d’une chose depuis que je vous sers. Vous tirez un grand plaisir à taquiner les autres sur leurs erreurs passées. Corrin : Je ne dirais pas qu’il s’agit d’un « grand plaisir »… D’autre part, depuis que vous m’avez prêté allégeance, je n’ai pas eu un moment seule. Je deviendrais folle si nous ne pouvions pas faire preuve de désinvolture, parfois. Kaze : … Corrin : Oh, ne vous mettez pas à bouder. Kaze : Je ne boude pas, comme vous dites. Corrin : Hé hé, en êtes-vous sûr ? Je vous connais bien, pourtant. Ne me servez-vous pas ? Kaze : Ha ha, en effet. Corrin : J’en suis très heureuse. Kaze : Pardonnez-moi ? Corrin : Après avoir passé tout ce temps ensemble, je vois un tout nouvel aspect de vous. Vous souriez bien plus que je ne l’aurais cru. Et vous pouvez être très drôle. Et… quand vous vous battez avec tant d’ardeur pour moi, je suis reconnaissante. Vous êtes un homme si bon et si loyal, Kaze. Kaze : … Vous êtes bien cruelle, Madame. Corrin : Quoi ? Mais je vous faisais des compliments ! Kaze : Vous voulez me forcer à dire des choses que je ferais mieux de garder pour moi. Corrin : Ah ? Quoi, par exemple ? Kaze : J’ai juré de vous servir. Je suis à la fois votre domestique et votre garde du corps. En aucun cas je ne devrais être autorisé à vous dire ce que je vais vous dire. Je vous aime, Dame Corrin. Corrin : Oh ! Kaze : J’ai juré de vous servir et de vous protéger. Et je donnerais ma vie pour sauver la vôtre. Mais ce n’est pas le simple devoir qui m’a fait faire cette promesse. Je l’ai faite parce que je pense que la vie sans vous n’en vaudrait pas la peine. Y a-t-il la moindre chance pour que vous me rendiez mon amour ? Corrin : Snif… Kaze : Dame Corrin ?! Vous pleurez ? Corrin : Pardonnez-moi… Je suis tellement heureuse que je ne peux pas m’en empêcher. Kaze : Heureuse ? Corrin : Ne comprenez-vous pas ?! Je ressens la même chose, je veux rester auprès de vous. Je vous aime, Kaze. Je serai à vous, si vous voulez bien être à moi. Kaze : Je le veux, Madame. Avec joie. Ma Dame… Mon amour… Je vous adore de tout mon être. Je promets de vous chérir éternellement… Et de toujours vous garder dans mon cœur.
Dernière édition par Sheezune le Dim 22 Mai - 22:18, édité 2 fois | |
| | | Sheezune
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 21 Mai - 18:17 | |
| Corrin (féminin) & Rinkah - Spoiler:
Soutien C Corrin : Rinkah ? Par ici, s’il vous plaît… Rinkah : Je peux faire quelque chose pour toi ? Corrin : Plus ou moins… J’ai besoin de votre avis. Jetez un coup d’œil à cette carte… Si nous sommes ici, et que l’ennemi attaque par l’ouest, quelle est la meilleure parade ? Rinkah : … Corrin : Si une unité se détache et se dirige vers eux, pouvons-nous faire la jonction ? Si oui, c’est une cible facile pour nos archers… Si non, nous risquons la déroute. Rinkah : … Corrin : Rinkah ? Vous m’écoutez ? Rinkah : Tu sais aussi bien que moi que je suis nulle en stratégie. À quoi tu joues ? Tu es en mal de tendresse ? Navrée de te décevoir, mais tu perds ton temps… Je suis ici pour transmettre des instructions. Et rien d’autre ! Corrin : Hé ! Mais attendez ! Je n’ai pas fini ! Rinkah : Je ne vois aucun sujet de discussion possible avec toi. Laisse-moi tranquille. Corrin : Mais enfin, Rinkah… Nous sommes alliées ! Nous devons bien communiquer un peu… Rinkah : Tu donnes des ordres, je les exécute. Moi, j’appelle bien ça communiquer. Mais ne m’oblige pas à parler chiffons avec toi. Corrin : C’est quoi, votre problème, à la fin ? Rinkah : Pff… Je te présente mes excuses. Je ne devrais pas m’adresser ainsi à une princesse. Je te suis reconnaissante de m’avoir épargnée lorsque j’étais ta prisonnière. Je suis déterminée à te suivre au combat, quel que soit le danger auquel ça m’expose. Mais à part ça… Je me moque bien de tes attentions envers moi. Fiche-moi la paix. Corrin : Hum… Soutien B Corrin : Hé ! Rinkah ! Rinkah : … Corrin : Rinkah ! Vous m’entendez ? Rinkah : Qu’est-ce que tu me veux ? J’espère pour toi que c’est lié au combat… Corrin : Je voulais savoir pourquoi vous vouliez à ce point rester distante. Rinkah : Je te le dis si tu me promets de plus jamais me poser la moindre question sur le sujet. Corrin : Je… J’imagine que je n’ai pas le choix… Rinkah : Pff… Moi non plus, je n’ai pas le choix. C’est la loi de la tribu du feu qui m’y oblige. Comme tu le sais, nous vénérons un dieu du feu. Une flamme sacrée brûle en permanence au centre de notre village, en son honneur. De notre comportement dépend la survie de ce brasier. Il y a plusieurs commandements. L’un d’entre eux nous interdit le moindre contact superflu avec des étrangers. C’est pourquoi nous vivons en autarcie… Maintenant, tu peux arrêter d’insister ? Corrin : Mais pourquoi le maintien de cette flamme dépendrait-il de votre isolement ? Rinkah : Dans notre histoire, la flamme sacrée s’est toujours éteinte par la faute d’un étranger. Ils ne respectent pas nos traditions et commettent des dégradations. Corrin : Comme éteindre ce fameux brasier ? Rinkah : Exactement. Et ce n’est pas sans conséquence pour l’auteur du méfait. Une fois, il y a bien longtemps, la flamme sacrée fut étouffée par une tribu ennemie. Ils voulaient atteindre ce que nous avons de plus cher. Ils ont subi la colère divine… Le dieu du feu a fait entrer un volcan en éruption. Un déluge de lave. Personne n’entendit plus parler de cette tribu d’assaillants. Le feu les a anéantis. Mais notre peuple a également vécu des moments de grande souffrance. Corrin : Du coup, expliquez-moi pourquoi avoir rejoint Hoshido contre Nohr… Rinkah : C’est notre chef, mon père, qui a pris cette décision. Un soldat doit s’investir à fond dans chaque bataille, bien entendu… Mais honnêtement, j’avais un très mauvais pressentiment… Les faits n’ont pas tardé à me donner raison. Je me suis retrouvée prisonnière. Corrin : Du coup, vous pensez que toutes vos craintes sont justifiées ? Rinkah : Je ne pense rien d’autre que ce que j’ai toujours pensé… Et maintenant que tu as eu ton explication, n’oublie pas ta parole. Plus un mot ! Corrin : Rinkah… Pourquoi ne me demandez-vous pas mon aide ? Soutien A Corrin : Rinkah… Rinkah : Tiens donc… Dame Corrin… Tu as un problème de compréhension ? Tu sais que je ne compte plus les fois où tu m’as inutilement adressé la parole ? Corrin : Bon… Désolée. Rinkah : Qu’est-ce que c’est, cette fois ? Corrin : Y… Y a-t-il un moyen de vous convaincre d’être un peu plus sociable ? Rinkah : Pourquoi tant y tenir ? Corrin : Quand vous évoquiez votre capture par le royaume de Nohr, vous aviez l’air fâchée… Vous vous en voulez toujours de vous être laissé capturer ? Rinkah : Évidemment. La captivité est bien plus honteuse que la mort. Si j’avais péri ce jour-là, au moins, personne ne m’aurait pris ma dignité. Corrin : Mais si vous aviez péri, nous n’aurions jamais eu la chance de collaborer. Rinkah : Quoi ? Corrin : Nous vivons des temps bien incertains. Un jour, la joie, le lendemain, le deuil. Dans ce contexte, certaines choses me paraissent devoir rester en ordre. Le destin a voulu que nous combattions ensemble. Il doit être remercié. Rinkah : Je le remercie. Mais je ressens toujours colère et regrets quant à ma capture. Tu trouves ça simple, toi, de célébrer un événement aussi honteux ? Corrin : Pourquoi « honteux », alors que les effets ont finalement été positifs ? Le destin a voulu que nous nous allions, après un concours d’événements précis. Le destin vous tend la main. Ne le rejetez pas. Rinkah : Comment ça ? Corrin : Si j’ai bien compris, votre peuple a très peu de contacts avec les étrangers. Mais ce n’est pas une raison pour refuser d’en apprendre davantage sur eux. Les autres peuples… Leurs cultures, leurs arts, leurs territoires, leurs techniques… C’est une opportunité rare de rapporter des informations importantes à votre tribu. Il serait vraiment dommage de bouder une telle chance d’acquérir du savoir. Et je vous rappelle que j’en connais un rayon, question isolement… Cette fois c’est promis, je vous laisse tranquille. Mais réfléchissez bien… Rinkah : Ton argument est intéressant. Je te promets de m’intéresser à la question. Je vais essayer d’échanger un peu avec nos camarades. Ça te va ? Corrin : Ça me convient parfaitement. Merci, Rinkah ! Rinkah : Non. Merci à toi d’avoir insisté.
Dernière édition par Sheezune le Dim 22 Mai - 22:19, édité 2 fois | |
| | | Sheezune
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 21 Mai - 18:20 | |
| Kaze & Azura - Spoiler:
Soutien C Azura : Bonjour, Kaze. Kaze : Madame, c’est à moi que vous parlez ? Que me vaut cet honneur ? Azura : Oh… À vous entendre, on croirait que je ne vous ai jamais adressé la parole. Kaze : Chaque fois que nous nous sommes parlé, je suis celui qui a engagé la conversation. Azura : Vraiment ? Kaze : Oui. En fait, nos conversations se sont toujours limitées à transmettre un message. Mais je ne l’ai pas pris personnellement. Je sais que vous préférez éviter les gens. Azura : On peut dire que vous avez le chic pour parler franchement, n’est-ce pas ? Kaze : Je suis désolé ! Je ne voulais pas être si direct, Madame. Quelle impolitesse ! Azura : Ce n’est pas grave. Vous avez dit la vérité. J’ai un service à vous demander. Kaze : C’est comme si c’était fait. J’exaucerai tous les souhaits de Madame. Azura : Mais je ne vous ai pas encore dit de quoi il s’agissait ! Kaze : Il va de mon devoir de vous obéir. Dites-moi en quoi je peux vous être utile. Azura : Bon… Alors suivez-moi. Je vous expliquerai en chemin… Soutien B Kaze : Madame ! À propos de votre requête de l’autre jour… Azura : Ah, oui. Est-ce que tout s’est bien passé ? Kaze : Oui. Le pigeon voyageur vient de revenir avec ce message attaché à la patte. Tenez. Azura : Oh, merci ! Ça dit qu’elle a bien reçu le médicament. J’espère que ça a marché ! Kaze : Vous êtes tellement bonne, Madame ! Penser à votre nourrice qui est si loin… Azura : Elle s’est occupée de moi pendant des années. Elle était comme une grand-mère. Je suis tellement inquiète depuis qu’elle est tombée malade. Kaze : Espérons que les herbes que vous lui avez envoyées vont la guérir. Azura : Je l’espère aussi, Kaze. Merci encore pour votre aide toujours très efficace. Kaze : Ce n’était rien ! Je suis toujours heureux de livrer des messages ou des médicaments. Azura : Oh. Qu’est-ce que que… ? Il y a quelque chose d’autre dans l’enveloppe. Je me demande… Kaze : On dirait… un pétale de fleur. J’ai déjà vu cette fleur quelque part… Azura : Oh ! O-Oui ! Snif. Kaze : Madame ! Pourquoi ces larmes ? Est-ce que ça va ?! Azura : Nous avions l’habitude de cueillir ces fleurs ensemble… Elle m’a appris à en faire des couronnes. Kaze : Madame, cela devrait vous rendre heureuse alors ! Azura : Oui. C’est juste que… Pardon ! J’ai pleuré partout sur votre manche. Excusez-moi… Kaze : Dame Azura, attendez ! Soutien A Azura : Kaze, je suis si gênée pour l’autre jour. Je n’arrive pas à croire que j’ai pleuré ainsi. Kaze : Ne vous excusez pas, Madame. Vos larmes sont le témoignage de votre affection. Azura : J’ai tellement de bons souvenirs avec ma nourrice en Hoshido. Mais ça va maintenant. S’il vous plaît, jurez-moi d’oublier ce qui s’est passé ! Kaze : Madame, je ne peux rien promettre de tel. Azura : Quoi ? Kaze : Vous voir pleurer, accrochée à ma manche, restera à jamais gravé dans ma mémoire. Je ne pourrai jamais l’oublier. Azura : Kaze, ce n’est pas juste ! Promettez-moi au moins de ne le dire à personne ! Kaze : Ha ha ! Vous allez devoir être très gentille pour acheter mon silence. Si cela peut vous faire plaisir, je renouvelle mes vœux de service. Azura : Très bien… Si vous insistez. Kaze : Madame, je promets de vous protéger, ainsi que votre nourrice, au prix de ma vie. Azura : Bon sang, Kaze… C’est très chevaleresque de votre part. Merci pour tout. Kaze : Si vous avez besoin de quoi que ce soit, sachez que vous pouvez compter sur moi ! Soutien S Azura : Kaze, avez-vous une minute ? Kaze : Bien sûr, Madame ! Savoir que vous souhaitez me parler me comble de joie. Je me réjouis de nos conversations. Elles deviennent régulières maintenant ! Azura : Oui, en effet. Mais j’aimerais que vous ne preniez pas cet air surpris à chaque fois ! Kaze : Je ne suis pas surpris ! Azura : Vous rougissez ! Bref, il y a quelque chose dont je voulais vous parler… Je ne me suis jamais sentie à l’aise au sein de la famille royale hoshidienne. J’ai l’impression d’être invitée à une fête où je suis la seule à ne pas m’amuser. Kaze : Eh bien, ils sont assez… turbulents, oui. Azura : Ha ha ! Bref, quand je ne me sens pas à ma place, je vous cherche du regard. Vous me souriez et, soudain, c’est comme si nous étions seuls au monde. Kaze : Vous avez dû remarquer que je suis timide, moi aussi. Je sais ce que vous ressentez. Azura : Kaze, avec vous, j’ai toujours l’impression d’être chez moi. Je me sens souvent seule, mais quand je suis avec vous, je sais que j’ai un ami. Je veux que vous sachiez à quel point vous comptez pour moi. Kaze : Madame, vous m’ôtez les mots de la bouche ! Si cela ne tenait qu’à moi, je serais toujours à vos côtés. Je vous épouserais, même… Azura : Kaze… J’ai bien cru que vous ne me le demanderiez jamais. Kaze : Vous… ressentez la même chose ? Voulez-vous m’épouser, Dame Azura ? À partir de ce jour, je promets de vous aimer et vous chérir ! Azura : Vous êtes adorable, Kaze. Bien sûr que je vais vous épouser !
Dernière édition par Sheezune le Dim 22 Mai - 22:19, édité 2 fois | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 21 Mai - 18:35 | |
| Kaze & Sakura - Spoiler:
Soutien C Sakura : Snif ! Elle est perdue… Kaze : Dame Sakura, que se passe-t-il ? Sakura : Oh… Kaze. Snif ! Euh… Ce n’est rien. Kaze : Allons ! Je ne suis pas dupe, Madame. Il est évident que quelque chose ne va pas. Sakura : Je ne veux pas vous ennuyer avec mes problèmes… (Quel embarras !) Kaze : Ne dites pas de bêtises ! Je ne peux vous laisser ainsi. Je vous en prie, dites-moi… Sakura : E-Eh bien, j’ai perdu… quelque chose. (Faites qu’il ne me demande pas quoi !) Kaze : C’est horrible ! Je jure que nous allons le trouver sans plus tarder. Je vais vous aider. Mais euh… Qu’est-ce que nous cherchons exactement ? Sakura : Ça va vous paraître absurde… Vous promettez de ne pas rire ? Kaze : Quoi ?! Ai-je l’air d’un homme qui rirait au nez d’une demoiselle en détresse ? Ne me dites pas que vous avez aussi peu confiance en moi ! Sakura : Vous avez raison, Kaze. Je suis désolée. (Je vais vraiment devoir lui dire, hein ?!) J’ai perdu… une poupée. Kaze : Ah, je vois. Possédez-vous cette poupée depuis votre enfance, à tout hasard ? Sakura : Oui… mais c-comment le savez-vous ? Kaze : Elle semble si importante pour vous. Elle vous rappelle sûrement de bons souvenirs. Commençons à chercher ! Je vais aller demander si personne ne l’a vue… Sakura : Kaze, merci ! Vous ne savez pas à quel point cela me réchauffe le cœur… Soutien B Sakura : Kaze, merci de m’avoir aidée à retrouver ma poupée ! Kaze : Tout le plaisir est pour moi ! Et dire que votre poupée se faisait recoudre ! Sakura : Je sais ! Subaki pensait être serviable. Il voulait me faire une surprise. Kaze : Il est si soigneux et ordonné. Je suis sûr que ses coutures abîmées l’ont rendu fou ! Dites-moi, la rumeur est-elle vraie ? Vous dormez toujours en câlinant cette poupée ? Sakura : Quoi ?! N-Non… ! Avant oui… M-Mais plus maintenant ! Kaze : Hum, ce n’est pas ce qu’on m’a dit… Sakura : Qui vous l’a dit ?! Kaze : Oh, ne soyez pas gênée ! Je trouve ça plutôt mignon. Dame Sakura profondément endormie… Étreignant sa poupée… C’est adorable. Sakura : Vraiment… ?! Pfiou ! Je suis soulagée… Enfin, je veux dire… Je serais soulagée si c’était vrai, mais ce n’est pas le cas ! Kaze : C’est ça, bien sûr ! Soutien A Sakura : Kaze, je voulais vous montrer d’autres poupées… si vous jurez de ne pas rire. Kaze : Ai-je ri, jusqu’à présent ? Sakura : Non… Maintenant que vous le dites… Il est vrai que vous ne vous êtes pas moqué ! Les voici. Avant, je n’en avais que quatre, mais on m’a offert cette poupée il y a peu. Kaze : Oh, elles sont vraiment bien faites. Hum… Ça me rappelle quelqu’un… Sakura : Chaque poupée est à l’effigie d’un membre de ma famille. Elles ont les mêmes cheveux. Kaze : Je vois… Alors celle-ci représente Dame Corrin ? Sakura : Oui… Quand ils partent tous au combat, c’est agréable de pouvoir s’y raccrocher. Kaze : Ils doivent beaucoup compter à vos yeux. Est-ce qu’ils le savent ? Sakura : Oui. Takumi a levé les yeux au ciel. Il trouve cela immature… Kaze : Cela ne m’étonne pas, mais je suis sûr que Dame Corrin était ravie. Sakura : Oui… Ryoma et Hinoka aussi. Même Azura a souri. Kaze : Vous avez de la chance d’avoir des frères et sœurs aussi exceptionnels. Sakura : Oui, ils me donnent la force de continuer. Et… vous aussi, Kaze. Kaze : Merci, Madame. Je me sacrifierais corps et âme pour vous protéger, vous et les autres. Tout ira bien. Une fois cette guerre finie, nous connaîtrons la paix. Vous verrez. Sakura : Je l’espère. Soutien S Kaze : Dame Sakura. Quelque chose ne va pas ? Sakura : Hum ?! N-Non… Kaze : Vous avez l’air différente. Si vous aviez des ennuis, vous me le diriez, n’est-ce pas ? Sakura : E-Eh bien, je… me… demandais… Kaze, me voyez-vous comme une petite fille ? Kaze : Quoi ? À cause de notre différence d’âge… ? C’est vrai que vous êtes jeune… Sakura : Non, à cause des… poupées. Vous me trouvez… puérile, n’est-ce pas ? Kaze : Pas du tout ! Dame Sakura, quand je vous regarde, je vois une belle jeune femme. Sakura : Belle ? Vous le pensez vraiment… ? Kaze : Oui ! Votre apparence n’a de rivale que votre beauté intérieure. Et je ne connais de cœur aussi pur que le vôtre. Sakura : J’ai une question à vous poser, Kaze… Accepteriez-vous d’être mon bien-aimé ? Kaze : Dame Sakura ! Sakura : Je me tourne vers vous quand j’ai besoin d’aide. Vous avez toujours les mots justes. Même si mes problèmes sont… puérils… Vous les prenez toujours au sérieux. De plus, Kaze, je ne suis plus une enfant. Ce sont là les sentiments d’une femme ! Kaze : Vous m’attirez depuis notre première rencontre, mais… vous êtes une princesse. Je pensais devoir taire mes sentiments à jamais. Je vous aime. Depuis toujours ! Nous sommes à différentes étapes de nos vies. Mais je veux être à vos côtés ! Sakura : Kaze, vos paroles me rendent si heureuse !
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| | | Sheezune
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 21 Mai - 19:18 | |
| Corrin (féminin) & Azura - Spoiler:
Soutien C Azura : Bonjour, Corrin. Que fais-tu ici ? Corrin : Mmh ! Cette petite brise est si agréable… Elle m’a donné envie de me balader ! Azura : Je comprends. La lumière qui traverse les feuilles me rappelle le château Shirasagi. Corrin : Aaah ! Je t’envie. En Nohr, nos journées n’étaient pas si ensoleillées ! Azura : Oh, Corrin… Suis-je bête ! Corrin : Hein ? Azura : Ce n’était pas délicat de ma part. Je n’aurais jamais dû en parler ! C’est toi qui aurais dû te prélasser au soleil pendant toutes ces années en Hoshido ! Corrin : Ce n’est pas de ta faute si j’ai été forcée de rester en Nohr ! Azura : Je sais, mais je me sens tout de même coupable. C’est toi qui aurais dû vivre avec la famille royale et recevoir tout cet amour… Corrin : Ne t’en fais pas, Azura, s’il te plaît. Ma vie n’a pas été si terrible que ça. Azura : Mais j’ai vécu en Nohr ! Je sais ce que c’est… C’est un endroit affreux. Corrin : Oui, la vie en Nohr n’est pas toujours gaie, mais j’y ai quand même de bons souvenirs. Azura : Vraiment ? Corrin : Bien entendu ! Je me souviens d’ailleurs d’une fois où… Oh, non ! Je suis en retard ! Je dois partir. Je te raconterai ça plus tard ! Azura : Oui, j’aimerais beaucoup ! Soutien B Azura : Corrin ! J’espérais tomber sur toi. J’aimerais en savoir plus sur ta vie en Nohr. Corrin : Bien sûr ! Euh, voyons voir… Je vivais dans la forteresse nord. C’était sacrément isolé. Hum… J’avais l’interdiction formelle d’en sortir ou même d’avoir des amis. Azura : Mais c’est terrible ! Corrin : Quand j’y repense, oui, c’était difficile. Mais je ne me suis jamais sentie seule. Les serviteurs étaient comme ma famille, et frères et sœurs me rendaient visite. Il ne s’est pas passé un jour sans qu’Elise vienne me voir. Azura : Qu’elle est gentille ! Corrin : La bibliothèque était gigantesque ! Il y avait toujours un livre à lire, en Nohr. Felicia, Jakob et moi formions même un club de lecture. J’étais sans cesse occupée. Azura : Hum. Le Nohr que tu décris est si différent de celui dont je me souviens… Corrin : Eh bien, j’y ai passé beaucoup de temps. C’est toujours un peu comme chez moi. Azura : À t’entendre, on dirait presque que cet endroit te manque. Corrin : C’est vrai, la forteresse nord me manque. Et le château Krakenburg aussi. Azura : Je suis certaine qu’un jour, tu y retourneras. Corrin : Je l’espère. Mais avant, nous devons mettre fin à cette guerre et vaincre le roi Garon ! Soutien A Azura : Tu passes vraiment tout ton temps dehors, Corrin, n’est-ce pas ? Corrin : Ha ha ! Je suis venue ici pour me détendre, mais ce vent est vraiment très fort ! Azura : Oui, je crois qu’un orage se prépare. Corrin : Je n’avais plus vu de nuages aussi gris depuis mon départ de Nohr. Azura : Tu es bien pensive. Je parie que ce temps te rappelle à quel point Nohr te manque… Et dire que nous vivions dans le même pays. Nous sommes pourtant très différentes. Je t’ai bien écoutée, mais il m’est très difficile d’imaginer tous ces bons souvenirs. Corrin : Oui, la plupart des Hoshidiens ne comprennent pas non plus. Azura : C’est pourquoi nous devons nous unir et combler ce fossé que la guerre a creusé. Corrin : Je suis bien d’accord avec toi. Il ne peut y avoir un bon et un mauvais royaume. Azura : Nous sommes unies par nos destins. Notre rencontre n’est pas due au hasard. Et si nous formons une équipe, nous parviendrons à rétablir la paix. Corrin : Je ferai tout pour y arriver, Azura ! Nous sommes ensemble sur ce coup-là !
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| | | Kratos Wright Admin
Fe préféré ? : Genealogy of The Holy War Messages : 1936
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 21 Mai - 19:54 | |
| J'ai mis à jour le premier post et dès que j'ai le temps je rajoute les dialogues déjà rédigés sur le site. | |
| | | Soren62
Messages : 1683 Age : 32
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 21 Mai - 21:07 | |
| (Je pique ta présentation, Sheezune ! ) Rinkah & Corrin (Masculin) Soutien CCorrin : Rinkah ? Par ici, s’il vous plaît… Rinkah : Je peux faire quelque chose pour toi ? Corrin : Plus ou moins… J’ai besoin de votre avis. Jetez un coup d’œil à cette carte. Si nous sommes ici, et que l’ennemi attaque par l’ouest, quelle est la meilleure parade ? Rinkah : … Corrin : Si une unité se détache et se dirige vers eux, pouvons-nous faire la jonction ? Si oui, c’est une cible facile pour nos archers. Si non, nous risquons la déroute. Rinkah : … Corrin : Rinkah ? Vous m’écoutez ? Rinkah : Tu sais aussi bien que moi que je suis nulle en stratégie. A quoi tu joues ? Tu es en mal de tendresse ? Navrée de te décevoir, mais tu perds ton temps… Je suis ici pour obéir aux ordres. Et rien d’autre ! Corrin : Mais attendez ! Je n’ai pas fini ! Rinkah : Je ne vois aucun sujet de discussion possible avec toi. Laisse-moi tranquille ! Corrin : Mais enfin, Rinkah… Nous sommes alliés ! Nous devons bien communiquer un peu… Rinkah : Tu donnes des ordres, je les exécute. Moi, j’appelle bien ça communiquer. Mais ne m’oblige pas à parler chiffon avec toi ! Corrin : Mais c’est quoi, votre problème, à la fin ? Rinkah : Pff… Je te présente mes excuses. Je ne devrais pas m’adresser ainsi à un seigneur. Je te suis reconnaissante de m’avoir épargnée lorsque j’étais ta prisonnière. Je suis déterminée à te suivre au combat, quel que soit le danger auquel ça m’expose. Mais à part ça… Je me moque bien de tes attentions envers moi. Fiche-moi la paix ! Corrin : Hmm… Soutien BCorrin : Hé ! Rinkah ! Rinkah : … Corrin : Rinkah ! Vous m’entendez ? Rinkah : Qu’est-ce que tu me veux ? J’espère pour toi que c’est lié au combat… Corrin : Je voulais savoir pourquoi vous vouliez à ce point rester distante. Rinkah : Je te le dis si tu me promets de ne plus me poser la moindre question sur le sujet. Corrin : Je… Je suppose que je n’ai pas le choix. Rinkah : Pff… Moi non plus, je n’ai pas le choix. C’est la loi de la tribu du feu qui m’y oblige. Comme tu le sais, nous vénérons le dieu du feu. Une flamme sacrée brûle en permanence au centre de notre village, en son honneur. De notre comportement dépend la survie de ce brasier. Il y a plusieurs commandements. L’un d’entre eux nous interdit le moindre contact superflu avec des étrangers. C’est pourquoi nous vivons en autarcie… Maintenant, tu peux arrêter d’insister ? Corrin : Mais pourquoi le maintien de cette flamme dépendrait de votre isolement ? Rinkah : Dans notre histoire, la flamme sacrée s’est toujours éteinte par la faute d’un étranger. Ils bafouent nos traditions et commettent des crimes envers notre culture. Corrin : Comme éteindre ce fameux brasier ? Rinkah : Exactement. Et ce n’est pas sans conséquence pour l’auteur du méfait. Une fois, il y a bien longtemps, la flamme sacrée fut étouffée par une tribu ennemie. Ils voulaient atteindre ce que nous avons de plus cher… Ils ont subi la colère divine… Le volcan sacré est entré en éruption, et un déluge de lave s’est abattu sur eux. Personne n’entendit plus jamais parler de cette tribu. Le feu les a anéantis. Mais notre peuple a également vécu des moments de grande souffrance. Corrin : Du coup, expliquez-moi pourquoi avoir rejoint Hoshido contre Nohr… Rinkah : C’est notre chef, mon père, qui a pris cette décision. Un soldat doit s’investir à fond dans chaque bataille, bien entendu… Mais honnêtement, j’avais un très mauvais pressentiment… Les faits n’ont pas tardé à me donner raison. Je me suis retrouvée prisonnière. Corrin : Du coup, vous pensez que toutes vos craintes sont justifiées ? Rinkah : Je ne pense rien d’autre que ce que j’ai toujours pensé… Et maintenant que tu as eu ton expliquation, n’oublie pas ta parole. Plus un mot ! Corrin : Rinkah… Je dois bien pouvoir faire quelque chose… Soutien ACorrin : Rinkah… Rinkah : Tiens donc… Messire Corrin… Tu es lent à la comprenette, hein ? Tu sais que je ne compte les fois où tu m’as inutilement adressé la parole ? Corrin : Oh… Désolé. Rinkah : Qu’est-ce que tu veux, cette fois ? Corrin : Y… Y a-t-il un moyen de vous convaincre d’être un peu plus sociable ? Rinkah : Pourquoi tu y tiens tant ? Corrin : Quand vous évoquiez votre capture par le royaume de Nohr, vous aviez l’air fâchée… Vous vous en voulez tant que ça d’avoir été capturée ? Rinkah : Evidemment. La captivité est bien plus honteuse que la mort. Si j’étais morte ce jour-là, au moins j’aurais conservé ma dignité. Corrin : Mais si vous aviez péri, nous n’aurions jamais eu la chance de collaborer. Rinkah : Quoi ? Corrin : Nous vivons des temps bien incertains. Un jour, la joie, et le deuil le lendemain… Mais je préfère croire que certaines choses arrivent à dessein. Le destin a voulu que nous combattions ensemble. Nous devons l’en remercier. Rinkah : C’est ce que je fais ! Mais ma capture m’inspire toujours autant de colère. Tu trouves ça simple, toi, de célébrer un événement aussi honteux ? Corrin : Pourquoi honteux alors que les effets ont finalement été positifs ? Le destin a voulu que nous nous alliions. Il nous a tous réunis. Le destin vous tend la main. Ne le rejetez pas. Rinkah : Comment ça ? Corrin : Si j’ai bien compris, votre peuple entre très peu en contact avec les étrangers. Mais ce n’est pas une raison pour refuser d’en apprendre davantage sur eux. Les autres peuples… Leurs cultures, leurs arts, leurs territoires, leurs techniques… C’est une opportunité rare de rapporter des informations importantes à votre tribu. Il serait vraiment dommage de bouder une telle chance d’acquérir tant de savoir. Et je vous rappelle que j’en connais un rayon question isolement… Cette fois, c’est promis, je vous laisse tranquille. Mais réfléchissez bien… Rinkah : Tes arguments sont intéressants. Je te promets de m’intéresser à la question. Je vais essayer d’échanger un peu avec nos autres alliés. Ça te va ? Corrin : Ça me vient parfaitement. Merci, Rinkah ! Rinkah : Non. Merci à toi d’avoir insisté. Soutien SRinkah : Corrin. Justement, je te cherchais. Corrin : Moi aussi, figurez-vous ! On m’a beaucoup parlé de vos efforts envers les autres. Ça n’a pas dû être très facile pour vous. La démarche est d’autant plus remarquable. Rinkah : P-Pas du tout. C’est… normal. Corrin : Vous vouliez me parler de quelque chose en particulier ? Rinkah : Euh, non. Rien… Rien d’important. Corrin : Vous en êtes sûre ? Rinkah : Oui, oui. Enfin… Pas vraiment, mais… Une autre fois, peut-être. Corrin : Rinkah ! Quelque chose ne va pas ? Dites-moi ! Vous commencez à peine à vous ouvrir au monde. Ne vous refermez pas devant moi. Rinkah : Pff… Corrin : Vos joues sont écarlates ! Vous êtes sûre que tout va bien ? Vous êtes malade ? Vous avez de la fièvre ? Je vais vous chercher un médecin ! Rinkah : Non ! Non… Ça va… Corrin : Mais vous êtes en nage. Vous n’avez vraiment pas l’air bien… Rinkah : Je voulais te dire que… Corrin : Oui ? Je vous écoute. Rinkah : Je suis navrée. Mon orgueil m’a empêché de te l’avouer… Te voir me rappelle à chaque fois ma honte d’avoir été capturée… Ainsi que ma faiblesse… Corrin : Je suis désolé de ce que je représente pour vous. Rinkah : Mais avec le temps, cette honte a laissé place à… autre chose. Je ne luttais plus contre le souvenir de ma faiblesse, mais contre… un sentiment. Corrin : Un sentiment ? Rinkah : Un sentiment, oui… L’amour. Corrin : L’amour ?! Rinkah : Je ne pouvais accepter ce que je ressentais pour toi. Tu es un étranger, et tu me rappelles la honte de ma capture. Corrin : Moi aussi je vous dois la vérité. J’ai eu des sentiments pour vous dès le premier jour. Rinkah : Comment ? Corrin : J’ai cherché tout ce temps des prétextes pour m’entretenir avec vous. Je ne voulais qu’une seule et unique chose. Etre simplement à vos côtés. Rinkah : Corrin… Corrin : Ha ha ha ! Vous vous souvenez ? Peut-on imaginer pire moment pour une rencontre ? Rinkah : Ne dis pas ça ! Je n’ai plus honte de ce jour. Il ne m’inspire plus qu’un immense bonheur. Je remercie le destin pour tous ces tours qu’il nous a joués… Corrin : Ha ha ha ! Oui. Le destin a emprunté des chemins tortueux, en effet. Merci, Rinkah. Rinkah : Pas besoin de me remercier… C’est moi qui te remercie. Tu m’as sauvé la vie… Et tu as allumé cette flamme sacrée dans mon cœur… Je t’aime. Mon cœur est l’âtre des flammes éternelles de notre amour. Grâce à toi, je comprends enfin le véritable sens du mot « amour ».La dernière phrase en italique, c'est celle avec l'animation. Je ne savais pas s'il fallait la mettre donc je l'ai mise quand même.
Dernière édition par Soren62 le Sam 21 Mai - 21:23, édité 1 fois | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 21 Mai - 21:19 | |
| (Pas de souci Soren62, fais donc ) J'ai rajouté le soutien S de Kaze & Azura, le soutien S de Corrin (féminin) & Kaze et le soutien S de Kaze & Sakura.
Dernière édition par Sheezune le Dim 22 Mai - 2:50, édité 2 fois | |
| | | Soren62
Messages : 1683 Age : 32
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 21 Mai - 21:55 | |
| Hana & Subaki Soutien CHana : Eh Subaki ! Dis-moi, est-ce que tu continues à prétendre que tu es parfait ? Subaki : Pourquoi cette question ? Même si c’était le cas, c’est loin d’être un mensonge. Hana : Tu crois vraiment n’avoir aucun défaut ? Aucun ? Subaki : Hana, si tu as quelque chose à dire, fais-le et cesse donc de tourner autour du pot. Hana : Très bien. Si tu es si parfait, comment as-tu pu tomber de ta monture ? D’autant plus à notre première rencontre. Sakura et moi-même étions hilares. J’ignorais qu’on pouvait être projeté si loin d’une selle… surtout par un cheval à l’arrêt. Subaki : Hm… Pourquoi est-ce que tu retournes le couteau dans la plaie ? Oublie donc ça. Hana : Jamais ! Tu traîneras toujours cela derrière toi, à moins que… Tu n’ailles raconter cette histoire à toute l’armée ! Subaki : Mais pourquoi tant de haine ? Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? Hana : Parce que j’entends tes louanges à longueur de journée… « Oh, tu as tellement de chance de travailler avec Subaki. Il est siii mignon. » « Il est si perfait, sans aucun défaut, et tu le côtoies tous les jours ! » « Sa perfection brille comme un soleil, et tu n’es qu’une petite étoile en comparaison. » C’est ce qu’on me dit tous les jours ! Subaki : Je n’avais pas réalisé que les gens parlaient de cette façon… Je suis heureux que l’on me fasse tant de louanges ! Hana : Grr ! Mais ce n’est pas de ça que je parle. Pense un peu à moi. Si je ne dis rien, j’ai l’impression de mentir par omission ! Quelqu’un qui tombe d’un cheval immobile n’est pas parfait ! Subaki : Pff… Hana : Tu es en colère ? Tu n’as rien à dire pour ta défense ? Sakura pense sûrement la même chose. Elle est juste trop polie pour te le dire. Subaki : Hana, tu omets les titres honorifiques. Tu dois l’appeler « Dame Sakura ». Hana : Vraiment ? Tu comptes te défendre en changeant de sujet ? C’est une façon implicite d’admettre la justesse de mes propos, alors ? Subaki : Non, Hana, pas du tout. Et j’estime que quelqu’un d’aussi grossier est indigne de servir Dame Sakura ! Hana : Oooh, c’est comme ça que tu le prends ?! Très bien ! Battons-nous et voyons lequel de nous deux est indigne ! Subaki : Voilà qui me convient ! L’incarnation de la perfection que je suis ne peut pas perdre ! Hana : Grr ! Je vais te donner une bonne leçon ! Soutien BHana : Te voilà, Subaki. Prêt pour le premier défi ? Tu es d’accord pour commencer avec le combat à l’épée, n’est-ce pas ? Subaki : Tout à fait. Puis nous passerons à la course à cheval. Hana : Très bien, comme ça, chacun pourra défier l’autre sur son terrain de prédilection. Est-ce que tu es prêt ? Subaki : Je suis prêt ! Hana : Alors, en garde, chevalier ! Hyaaah ! Subaki : Grr… C’est peine perdue, tu es trop habile. Se pourrait-il que tu sois vraiment meilleure escrimeuse que moi ? C’est impossible ! Hana : Mais si ! C’est bien beau de dire que tu es parfait, encore faudrait-il que ce soit vrai ! Je ne perdrai pas dans un combat à l’épée face à toi ! Hyaaah ! Graaah ! Hiii-yaaah ! Subaki : Tu m’accules. J’arrive tout juste à parer tes attaques… Quoique… ? Hana : Qu’est-ce que ça veut d… ? Subaki : Une ouverture ! Hana : Ouille ! Mais… Comment est-ce que… ? Tu as… gagné ? Impossible… Subaki : Ha ! Il est vrai que tu manies l’épée plus rapidement et habilement que moi. Tu ne fais qu’un avec ta lame. Hana : Alors comment ai-je pu perdre ? Subaki : Simple. J’étudie tes entraînements depuis des mois. J’ai observé tes habitudes et développé des tactiques pour mieux les contrer ! Hana : Tu te moques de moi là, hein ? Subaki : Je savais bien qu’un jour, je serais amené à t’affronter. Je m’y suis donc préparé. Tu utilises toujours une frappe verticale après deux enchaînements gauche-droite. Une fois que je m’en suis aperçu, j’ai imaginé une contre-attaque ! Hana : Sale tricheur ! Subaki : Pas du tout. C’était une victoire de l’esprit sur le corps, en bonne et due forme. N’est-ce pas la preuve que je ne mens pas en disant être parfait ? Avant la bataille, penser à ta stratégie tu dois. Sans préparation, à ta perte tu cours. Hana : Grr… assez d’anastrophes ! Aussi vrai qu’Hana est mon nom, ma défaite j’admets. Tu as gagné ! Subaki : Ha ha ha ! A moi la victoire ! Soutien ASubaki : Très bien, aujourd’hui, équitation ! Hana : Oui… Subaki : Quel est le problème, Hana ? Tu n’as pas l’air motivée. Ne me dis pas que tu abandonnes sans même tenter ta chance. Hana : Non, il ne s’agit pas de ça. Subaki : Non pas que je n’accepterais pas cette victoire par forfait… Puisque je suis clairement le favori en la matière ! Hana : … Subaki : Alors, qu’attendons-nous pour commencer ? Cet arbre là-bas marque la ligne d’arrivée. Le premier à la franchir obtient la victoire. Hana : Compris. Subaki : Très bien… Prêts ? Partez ! Hana : Ha ! Subaki : Graaah ! Hana : Ha ha ! J’ai gagné ! Nous sommes à égalité ! Subaki : Ouf… Ouf… Comment as-tu pu… ? Comment as-tu pu me battre ? Hana : Mon secret ? Je ne suis pas tombée de cheval lors de notre première rencontre ! Subaki : Malgré mes efforts, mon cheval n’a pu rattraper le tien… Est-ce que tu avais élaboré un plan pour me battre ? Hana : Je n’avais aucune stratégie. Je suis bien la dernière personne à pouvoir planifier quoi que ce soit. Subaki : Je t’ai pourtant sentie plus sereine que d’habitude. Tu étais d’un tel calme… Quel est ton secret ? Hana : Je pense simplement que je me fichais de perdre ou de remporter la victoire. En définitive, nous essayons de savoir lequel de nous sert le mieux Sakura. Et nous pensions pouvoir le démontrer par des épreuves d’aptitude, n’est-ce pas ? Subaki : Oui, je suppose. Hana : Mais s’il s’agit de servir Dame Sakura… L’essentiel est d’être capable de la protéger, peu importe qui est le meilleur ! C’est en réalisant cela que j’ai pu me débarrasser de ma frustration. Subaki : Alors, voilà l’explication… Les chevaux ressentent l’état d’esprit de leur cavalier et agissent en conséquence. J’étais si focalisé sur l’idée de gagner que mon anxiété a perturbé mon cheval. Mais ton cheval a dû ressentir ton calme et vous êtes entrés en synergie. Tu mérites cette victoire… Hana : Alors, nous sommes à égalité ? Faut-il continuer ce défi ? Subaki : Non, nous n’avons plus de raisons de vouloir nous défier. Comme tu l’as dit, la chose la plus importante est de protéger Dame Sakura. Donner le meilleur de nous-mêmes est essentiel, peu importe le gagnant. Hana : Je suis d’accord. Désolée, Subaki. Mon indélicatesse a causé notre rivalité. Je n’aurais pas dû égratigner ta fierté. Subaki : Non, le tort est partagé. Hana : Hé hé. Tu es quelqu’un de gentil au fond, Subaki. Je pourrais en oublier que tu es tombé de cheval lors de notre rencontre. Subaki : J’ai comme l’impression que tu n’es pas près d’oublier cela… Hana : Mais je me garderai d’en parler, à l’avenir. Soyons bons amis et continuons à défendre Dame Sakura. Subaki : D’accord, Hana ! Soutien SHana : Bonjour Subaki, comment te sens-tu ? Subaki : Ah… Bonjour Hana. Hana : Hm… Est-ce que ça va ? Je pensais que tu serais heureux de me voir après la fin de notre différend. Aurais-tu changé d’avis ? Allons-nous déterrer la hache de guerre ? Subaki : J’ai réponse à la raison qui nous a poussés à nous affronter… Lorsque tu as reparlé de ma chute. Hana : Oui… Désolée. Subaki : Je n’en parle pas pour que tu culpabilises. Mais cette histoire me rappelle ô combien j’étais embarrassé que cela m’arrive… Devant toi. Hana : Devant moi ? Tu veux dire devant Sakura, non ? Subaki : Non, je parle bien de toi. J’ai longtemps réfléchi pour savoir si je devais t’en parler ou non… Mais… Je t’apprécie vraiment. En tant que partenaire, mais aussi un peu plus, si tu vois ce que je veux dire. Hana : Subaki… Subaki : Je suis désolé, il fallait que je te le dise. Je ne pense pas que tu puisses en voir en moi autre chose qu’un parternaire et allié… Hana : Ce n’est pas vrai. Subaki : Ah ? Hana : Je… Je t’aime beaucoup, moi aussi ! Subaki : Quoi ?! Je ne le savais pas. Alors… Mes sentiments sont partagés ? Hana : Oui… Hé hé. Subaki : Eh bien, je suis heureux de t’avoir fait cette confession, dans ce cas. Hana : Et moi, que tu l’aies faite. Mais aussi… que tu ressentes cela pour moi. J’en suis très heureuse. Subaki : Je crois que nous défendrons Dame Sakura encore mieux à l’avenir ! Hana : Et comment ! Au fait… Nous devrions peut-être lui parler de ça… Elle sera ravie. Subaki : C’est une bonne idée ! | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 22 Mai - 1:06 | |
| Azura & Jakob - Spoiler:
Soutien C Azura : *chante* Comme les vagues grises de l’océan… Jakob : Quelle jolie mélodie, Madame. Azura : Merci, Jakob. Ma mère m’a appris cette chanson. Elle me fait toujours penser à elle. Jakob : Ah. Cela explique pourquoi vous avez l’air si heureuse. Sûrement de bons souvenirs. Azura : Oui. C’est tout ce qu’il me reste d’elle… des souvenirs et des chansons. Jakob : Au moins, il vous reste quelque chose. Je ne me souviens même pas de ma mère. Azura : Jakob… Je suis désolée. C’est terrible. Jakob : Ne vous inquiétez pas pour moi. Ce monde est rempli d’orphelins. Mais j’aurais aimé que l’on m’apprenne quelques chansons… Pardonnez-moi. Azura : Bon sang, si j’avais su, j’aurais mieux choisi mes mots. Soutien B Azura : Jakob, je sais que c’est personnel, mais j’aimerais en savoir plus sur votre enfance. Jakob : Hum. Ce que j’ai dit l’autre jour a dû vous perturber. Azura : Je n’arrive pas à imaginer ce que c’est de ne pas connaître sa mère ! Jakob : Eh bien, je pense que je devrais commencer par m’excuser, Madame. Car j’ai menti. En fait, je me souviens de mes parents… J’aimerais simplement les oublier. Azura : Quoi ? Jakob : Ils ont choisi de m’oublier. Ils m’ont abandonné au pied du château Krakenburg. Azura : Ils vous ont abandonné ? Jakob : Mes parents étaient riches, mais froids. Ils n’avaient d’affection pour personne. Je n’ai aucun bon souvenir de cette période. Un jour, ils m’ont apporté au château pour que je devienne un domestique. Azura : Comme c’est horrible. Je suis désolée, Jakob. Je ne voulais pas vous le rappeler… Jakob : Ah, ce n’est rien. Ne vous inquiétez pas pour ça, Dame Azura. C’est du passé. Azura : Je n’aurais pas pu pardonner si facilement. Vous êtes très courageux, Jakob. Jakob : Mais non… Si vous voulez bien m’excuser. Dame Kira attend son thé… Soutien A Azura : *chante* Mais même les courants changent… Jakob : Je pense que je ne me lasserai jamais de vous entendre chanter, Madame. Azura : Jakob, je voulais justement vous voir. Je me sens encore coupable, depuis l’autre jour. Je n’aurais pas dû essayer de m’immiscer dans votre passé. Jakob : Inutile de vous excuser. Je vous assure que cela ne m’a en rien dérangé. Grâce à vous, j’ai compris à quel point je suis reconnaissant envers mes parents. Azura : Rec… ?! Jakob : Sans eux, je n’aurais jamais rencontré Dame Corrin. Azura : C’est une façon de voir les choses… Jakob : Quand je suis arrivé au château, j’étais un piètre serviteur. Les autres me détestaient ! Mon éducation ne m’avait pas préparé à une vie de corvées et de courses. J’étais incapable d’effectuer une tâche selon leurs standards. Je gênais. Azura : Vraiment ? C’est difficile à croire. Il n’y a personne de plus compétent que vous. Jakob : Les choses changent… J’étais si mauvais que j’ai bien failli être congédié. Mais au moment où j’allais me retrouver à la rue, quelqu’un a fait appel à moi… Azura : Laissez-moi deviner… Jakob : Oui, c’était bien Dame Kira. Elle cherchait quelqu’un pour discuter. Je voulais vraiment rester à ses côtés… J’ai donc étudié nuit et jour pour devenir un majordome digne de ce nom. Et voilà. Azura : Vous m’impressionniez déjà avant, mais maintenant, je suis véritablement inspirée ! Corrin a de la chance. Personne n’est aussi loyal que vous. Jakob : Je vous suis loyal également, Madame. Azura : Merci. Je suis très heureuse de l’entendre. Soutien S Azura : *chante* Il t’appartient de poursuivre ta voiiie… Oh ! C’est vous, Jakob ? Je ne savais pas qu’il y avait quelqu’un ici. Jakob : Pardon, Madame. Je voulais m’annoncer, mais j’ai été… happé par votre voix. Votre chant m’apaise grandement. Azura : Oh. Merci. Je suis heureuse de savoir que j’ai cet effet sur vous. Jakob : En effet, je me sens à l’aise à vos côtés. Et c’est quelque chose de très rare. Je ne m’étais jamais confié à ce point à quelqu’un avant ces derniers jours… Azura : Cela me touche beaucoup… Nous avons eu des vies bien remplies. Jakob : C’est vrai. Il doit y avoir de ça. Mais il y a autre chose… Azura : Oui ? Quoi ? Jakob : Je suis tombé amoureux de vous, Dame Azura. Azura : Oh là… Jakob : Je sais que vous êtes une princesse, mais mes sentiments sont trop forts… Je ne pouvais pas les garder pour moi. Pardon. Je ne vous importunerai plus. Azura : Jakob ! Attendez ! Jakob : Oui, Madame ? Azura : Il y a tellement de détails de notre passé que j’aurais aimé pouvoir changer… Mais… j’endurerai cette peine encore et encore, tant qu’elle me conduira vers vous. Laissons le passé au passé, et écrivons notre avenir ensemble. Jakob : Vous êtes sérieuse ? Azura : Oui ! Vous m’avez aidée à apprécier mes souvenirs les plus heureux… Et vous m’avez donné l’envie d’en créer d’autres, avec vous à mes côtés. Jakob ?! V-Vous allez bien ? Oh… Il s’est évanoui !
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| | | Sheezune
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 22 Mai - 3:36 | |
| Azura & Sakura - Spoiler:
Soutien C Sakura : Azura, je me disais qu’il y a longtemps que vous ne me racontez plus d’histoires. Azura : Tu as raison. Avec cette guerre, nous avons à peine le temps de discuter. Mes histoires d’horreur te manquent, alors ? J’ignorais que tu les aimais tant. Sakura : Non, je ne les aime pas ! Elles sont terrifiantes ! Mais… prenantes, également. Impossible de m’endormir sans en connaître la fin ! Azura : Tu sais, il y a des gens qui aiment se faire peur. Sakura : Pas moi ! Tout ce que j’aime, c’est passer du temps avec vous et veiller tard ! Azura : Je me souviens… Tu tremblais comme une feuille, avec tes yeux grands ouverts ! Et pourtant, tu me suppliais de continuer. Tu tenais à connaître la fin ! Sakura : J’étais petite à l’époque. Ne dites pas à tout le monde que j’étais une froussarde ! Azura : Ha ha, tu as ma parole. Soutien B Azura : Bonjour, Sakura. Tu es là pour une autre histoire d’horreur ? Sakura : Non ! La dernière que vous m’avez racontée me hante toujours ! Azura : Tiens… Je ne m’en souviens pas, de quoi parlait-elle ? Sakura : Celle avec le m-monstre dans le château nohrien. Azura : Oh, celle-ci est excellente ! Je m’en souviens maintenant. Ce sont des domestiques qui m’en ont parlé… Le portrait d’un homme d’âge mûr était accroché dans le château. La nuit, il sortait du tableau pour enlever les bonnes directement dans leur lit ! Sakura : Non ! Arrêtez ! Je ne veux pas l’entendre de nouveau ! Azura : Hi hi. Je ne pense pas t’avoir raconté la fin, pourtant… Une nuit sans lune, une bonne a entendu des pas provenant d’un couloir sombre. Tout le monde dormait, alors… D’où penses-tu que ces bruits provenaient ? Sakura : Je ne sais pas… D’où p-provenaient-ils ? Azura : Elle avait trop peur de regarder, alors elle s’est dépêchée de retourner au lit ! Après une nuit blanche, elle frotta ses yeux fatigués et partit travailler… Tout le monde dans le château était bizarre avec elle, et se parlait en chuchotant. Lors du rassemblement des bonnes, la moitié d’entre elles avait disparu ! Sakura : Quoi ?! Azura : La bonne demanda donc : « Où sont les autres filles ? » « Elles vont avoir des problèmes si elles ne sont pas réveillées ! » Sakura : Q-Que lui ont dit les domestiques ?! Azura : Ils ont répondu : « Quelles autres filles ? Il n’y a jamais eu personne d’autre ici… » Sakura : Hein ?! Azura : La pauvre bonne les a cherchées partout dans le château, mais sans succès. Leurs chambres étaient vides, comme si elles n’avaient jamais existé ! Et puis elle s’est souvenue du tableau, et elle a immédiatement su que c’était lui ! Sakura : Aaah ! Azura : La bonne se demanda pourquoi elle avait été épargnée… Sakura : Aaah ! Je vous ai demandé d’arrêter ! C’est trop effrayant. TROP effrayant ! À cause de vous, je vais faire des cauchemars pendant un mois ! Azura : Sakura, si tu as peur, tu peux dormir dans ma chambre… comme avant. Sakura : Mais je suis trop vieille pour avoir peur du noir ! Azura : Ha ha, on n’est jamais trop vieux pour ça… Soutien A Azura : Quelque chose ne va pas, Sakura ? Tu as l’air inquiète. Sakura : Vous avez trouvé ça drôle de me raconter cette histoire d’horreur, n-n’est-ce pas ? Azura : Eh bien, c’était drôle de voir ta réaction, oui, mais pardon si je t’ai contrariée. Sakura : Vous savez, quand nous étions plus jeunes, les gens racontaient des choses sur vous. Ils disaient que vous étiez froide et distante. Je sais que cela vous blessait. Azura : Sakura… Sakura : Je voulais leur dire qu’ils se trompaient, qu’ils ne vous connaissaient pas vraiment. Que vous souriiez et riiez aussi, que vous étiez une sœur merveilleuse ! J’aurais dû vous défendre, mais je ne l’ai pas fait ! Maintenant je me sens coupable. Azura : C’est gentil, Sakura, mais tu ne devrais pas t’inquiéter. C’était il y a longtemps. Sakura : J’aurais dû dire aux gens que vous aviez des tas de qualités… Mais j’étais trop timide et je n’osais pas prendre la parole. Quelle sœur je fais ! Azura : Ce n’est pas vrai ! C’est moi qui devrais m’excuser. Je suis trop réservée parfois. Je ne savais pas que cela t’affectait autant. Je ferai plus d’efforts pour toi, à l’avenir. Sakura : Vraiment ? Azura : Oui, mais je veux que toi aussi tu fasses des efforts. Je veux que tu trouves le courage de parler aux gens, d’accord ? Je t’aiderai à le faire. Sakura : Bien sûr ! Je ferai de mon mieux ! Azura : Merci, Sakura. J’ai beaucoup de chance de t’avoir pour sœur.
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| | | Sheezune
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 22 Mai - 8:58 | |
| Sakura & Jakob - Spoiler:
Soutien C Jakob : Dame Sakura, êtes-vous malade ? Vous êtes moins radieuse que d’habitude. Sakura : Ah bon… ? J’en suis désolée. Jakob : Étiez-vous encore partie soigner les blessés, Madame ? Sakura : Oui, c-comment le savez-vous ? Jakob : Vous avez un si grand cœur… Mais en vous occupant plus des autres que de vous-même, vous allez vous épuiser. Sakura : Jakob, ces gens souffrent… à cause de nous ! Jakob : Même si c’est le cas, vous ne pouvez pas calmer tous leurs maux toute seule. Sakura : Si je ne fais rien… q-qui les aidera ?! Oh… Je suis désolée… c’était très impoli de ma part ! Jakob : Non, c’est moi qui ai dépassé les bornes. Sakura : Vous savez… Je crois que vous avez raison. Je me sens fatiguée. Excusez-moi… Soutien B Jakob : Dame Sakura, étiez-vous de nouveau partie soigner les blessés ? Sakura : Oui, en effet… Jakob : Vous êtes une guérisseuse au cœur tendre, mais… Sakura : Je sais ce que vous allez dire… Jakob : Vous gâcheriez votre talent si vous vous éreintiez et sacrifiiez votre propre santé. Sakura : M-Mais… en tant que princesse… c’est mon devoir de prendre soin de mon peuple. Jakob : Madame, je vous prie de m’excuser pour ce que je m’apprête à dire… Mais vous ne pouvez pas guérir tout le monde, peu importe vos efforts. Sakura : J-Je sais… Même si je les guéris, je ne peux pas les sauver. Jakob : Je suis heureux que vous l’ayez compris. Sakura : En vérité… Je suis égoïste ! Je me sens coupable dès que je vois des malheureux. Je prétends faire cela pour mon peuple, mais je ne veux qu’apaiser ma conscience. Jakob : Ne soyez pas si dure envers vous-même. Sakura : Si vous voulez bien m’excuser… J’aimerais être seule. Soutien A Jakob : Est-ce que je vous dérange en pleine lecture, Madame ? Sakura : O-Oh, il se fait tard, n’est-ce pas ? J’ai passé ma journée à étudier ces livres… Jakob, je dois trouver un moyen d’être plus forte ! Jakob : Plus forte ? Sakura : Plus la guerre dure, plus le nombre de victimes est important… Je dois les aider ! Jakob : Qui essayez-vous d’aider… Votre famille, les soldats, tous les citoyens d’Hoshido ? Sakura : Tout le monde ! Ce ne sera pas facile… Mais je ne supporte plus ces souffrances ! Jakob : Même une guérisseuse aussi talentueuse que vous ne peut sauver tout le monde. Si vous continuez ainsi, à étudier jour et nuit, vous allez vous tuer à la tâche. Aidez autant de personnes que possible, mais n’essayez pas de tous les aider. Sakura : M-Mais je dois aider tout le monde ! Comment pourrais-je choisir qui guérir ? Jakob : J’aurais dû mieux peser mes mots. Je m’excuse de vous avoir contrariée. Sakura : Non, pardonnez-moi. Je n’aurais pas dû m’énerver de la sorte. Jakob : Vous voulez aider. Ne vous en excusez pas. Nous avons besoin de cette passion. Vous arpentez un chemin difficile, mais je suis à vos côtés. Si je peux faire quelque chose pour vous, dites-le-moi. Je ferais tout pour vous. Sakura : Merci, Jakob… Soutien S Jakob : Dame Sakura… Je voulais vous parler, mais vous étudiez. Puis-je repasser ? Sakura : Non, Jakob. Ce n’est pas grave. J’avais besoin d’une pause. Que voulez-vous ? Jakob : Madame, je ne peux arrêter de penser à votre gentillesse et à votre compassion. Je dois vous l’avouer… Vous avez fait fondre mon cœur. Sakura : J-Jakob, que dites-vous là ? Jakob : Je ne peux plus imaginer ma vie sans vous. Accepteriez-vous de devenir ma femme ? Sakura : Mais, Jakob, vous savez que je me dois de guérir les blessés. Je ne peux abandonner. Je ne sais pas si cela changera jamais. Je ne veux pas vous entraîner là-dedans ! Jakob : Je ne vous demanderai jamais d’arrêter. Vous avez emprunté un chemin difficile. Mais j’espère que vous accepterez cette bague. Arpentons ce chemin ensemble. Sakura : M-Mais si nous nous marions… J’ai peur de vous faire souffrir… Jakob : Je ne souffrirai que si vous refusez ma demande. Je ne suis pas aussi doué que vous, mais je sais guérir. Laissez-moi vous aider. Sillonnons ce noble chemin ensemble en tant que mari et femme. Sakura : Jakob, vous feriez cela pour moi ? En êtes-vous sûr ? Jakob : Sans aucun doute. Sakura : J-Je ne sais pas quoi dire. Je suis si émue ! Jakob : Alors, voulez-vous m’épouser ? Sakura : Oui… Je le veux !
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| | | Sheezune
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 22 Mai - 9:06 | |
| Rinkah & Jakob - Spoiler:
Soutien C Jakob : Ah ! Si ce n’est pas la fameuse Rinkah, la femme la plus glaciale de la tribu du feu ! Rinkah : Si tu n’as besoin de rien, va-t’en. Jakob : Là où je décide de passer mon temps ne regarde que moi. Je ne crois pas me rappeler qu’on ait fait de vous mon officier supérieur. Rinkah : Mmh. Tu fais de beaux discours pour un petit chien. Jakob : Venez-vous de me traiter de petit chien ? Rinkah : Ça te pose un problème ? Jakob : Je refuse de gaspiller mon énergie à échanger des enfantillages avec vous. Au revoir, Rinkah. Rinkah : C’était bien trop facile… Je n’aime pas ça. Soutien B Jakob : Merveilleux ! Absolument exquis ! Rinkah : … Jakob : Mmh ! Oh, oui ! Parfait ! Je dois dire que je me suis vraiment surpassé cette fois. Rinkah : … Jakob : Je viens tout juste de préparer ce qui doit être la meilleure tasse de thé du continent ! Rinkah : Tu m’énerves. Jakob : Pardon ? Vous disiez, ma chère ? Rinkah : J’ai dit que tu m’énervais ! Ça fait une heure que tu me bassines avec ton thé ! Il n’a pas refroidi ?! Jakob : Bien sûr que si ! Et pour autant, il est toujours aussi divin ! Mais pourquoi devrais-je me taire ? Ce n’est pas mon problème si je vous ennuie. Tout ce que vous avez à faire, c’est m’ignorer. Rinkah : Si tu tiens tant à parler tout seul, va le faire ailleurs ! Jakob : Cela ne regarde que moi, là où je parle seul. Si cela ne vous plaît pas, c’est peut-être vous qui devriez partir. Rinkah : J’étais là avant toi ! Jakob : C’est étrange. Votre clan n’encourage-t-il pas le détachement et l’indépendance ? Alors pourquoi me parlez-vous tant ? Je dois être plus séduisant que je pensais ! Rinkah : Tu te moques de moi ? Jakob : Je croyais que c’était évident. Je devrais peut-être être moins subtil dorénavant. Rinkah : Je ne vais pas tolérer ça ! Encore une insulte, et je te réduis en compote ! Tu m’as bien comprise ? Jakob : Ouh là. Du calme. Tenez, prenez un peu de thé. Rinkah : Grr. Jakob : Vous devriez vraiment essayer de gérer votre colère. Vous n’allez pas perdre votre détachement pour si peu. Rinkah : T-Tais-toi ! Je n’ai pas besoin d’entendre ça ! Encore moins venant de toi. Jakob : Attendez ! Ne faites rien de précipité. Que penserait votre tribu si sa princesse attaquait ses camarades pour un rien ? Rinkah : Je… vais… te… Jakob : Ha ha ha ! Arrêtez avec cela. Asseyez-vous et prenez un peu de thé ! Rinkah : … Gloups ! C-C’est assez bon, en fait. Jakob : Bien sûr que oui. C’est moi qui l’ai fait, après tout. Soutien A Jakob : Rinkah. Rinkah : Majordome. Jakob : Ce doit être difficile pour vous. Rinkah : Hum. Quoi ? Jakob : Ce serait trop pour moi, de rester sur ma réserve entouré de gens si agaçants… Rinkah : Hé. Tu sais que tu fais partie de ces gens si agaçants, non ? Jakob : Moi ? Agaçant ? Cette accusation me scandalise tout bonnement. Rinkah : Mmh. Alors, qu’est-ce que tu voulais ? Qu’est-ce qu’on fait ici ? Jakob : Eh bien, vous ne perdez pas votre temps avec les civilités, n’est-ce pas ? Rinkah : Hé. Ici, les gens ont toujours trop hâte d’apprendre à connaître les autres. C’est difficile de trouver du temps pour soi-même, parfois. Jakob : Oui, j’imagine que ce doit être éprouvant pour vous. Rinkah : Éprouvant ? Non, je ne trouve pas. C’est même assez plaisant, souvent. Jakob : Oh ? Rinkah : C’est vrai, ma tribu évite le plus possible les contacts avec le monde extérieur. Mais ça ne veut pas dire que nous n’aimons pas être avec d’autres personnes. Jakob : Vraiment ? Rinkah : Nous préférons simplement la solitude aux conversations vaines et aux relations vides. Si une amitié est profonde, nous n’empêcherons pas son développement. Jakob : Je vois. C’est très sage. Si seulement le monde entier se comportait ainsi. Rinkah : C’est vrai. Heureusement, peu de gens ici semblent prendre les amitiés à la légère. Alors, malgré les apparences, j’apprécie la compagnie. Jakob : Je vois. Je suis heureux de l’entendre. Cela veut-il dire que je peux vous considérer comme mon amie ? Rinkah : Hé. Peut-être. Jakob : Ha ha. Quelle femme charmante. Soutien S Jakob : Rinkah ? Vous venez me voir cette fois ? Que se passe-t-il ? Êtes-vous malade ? Rinkah : Non. Je voulais juste te parler de quelque chose. Jakob : Oh ? De quoi donc ? Rinkah : Tu as des sentiments pour une des femmes du camp ? Jakob : C-Comment ? Pourquoi voulez-vous savoir cela ? Rinkah : Réponds juste à ma question. Jakob : Ah… Oui. Il y en a une pour qui je ressens quelque chose. Rinkah : Je vois. Alors, tu es déjà pris ? Jakob : Non. Elle ne connaît pas mes sentiments envers elle. Honnêtement, je croyais qu’ils ne seraient jamais réciproques. Elle est… réservée. Rinkah : Réservée, hein ? Alors tu aimes les femmes difficiles à avoir ? Jakob : Pas particulièrement. Mais elle a quelque chose de spécial. Je crois que j’admire sa force. C’est une femme intensément indépendante. Rinkah : Je vois. Il faudrait peut-être que tu penses à lui faire part de tes sentiments. Je suis sûre qu’elle serait flattée. Jakob : Oui, peut-être. Tant que nous nous échangeons des secrets, j’ai une question pour vous. Avez-vous des vues sur un des hommes avec qui nous combattons ? Rinkah : Quoi ?! C-C’est grotesque ! Jakob : C’est un point sensible. Prépare-t-il le thé le plus délicieux que vous ayez jamais bu ? Rinkah : Où est-ce que tu veux en venir, espèce de… Euh… Jakob : C’est bien ce qui me semblait. Je vais devoir y réfléchir. Rinkah : Réfléchir à quoi, exactement ?! Jakob : À devenir un membre de la tribu du feu, bien sûr. Autrement, comment pourrais-je jamais épouser la femme que j’aime ? Rinkah : Tu veux dire que… Jakob : Oh, ne soyez pas faussement pudique. Nous savons tous deux de quoi je parle. Même si c’est agréable de l’admettre enfin. Rinkah : Espèce d’idiot ! Tu as tout gâché ! Tu ne m’as même pas laissé te l’annoncer ! Jakob : O-Oh. Vous voulez dire que… Vous êtes vraiment… Je ne faisais que vous taquiner ! Rinkah : Quoi ?! Jakob : Non, enfin, mes sentiments sont sincères ! Seulement, je ne pensais pas que vous les partagiez ! Rinkah : Oh, par tous les… Vas-tu enfin te taire et me laisser parler ? Je t’aime, Jakob ! Plus que n’importe qui. Et je veux que nous soyons ensemble. Voilà. C’est dit. Jakob : Rinkah… Rinkah : Et tu n’as pas besoin de rejoindre la tribu du feu. Je sais que ça ne t’irait pas. Donc… Je vais devoir faire ma demande à un étranger. Ce n’était jamais arrivé. Mais tu ferais mieux de bien me traiter, compris ? C’est une décision sérieuse. Jakob : Bien sûr, mon amour. Je serai toujours à votre service… Je le jure. Rinkah : Hé. Tant mieux. Alors, et si tu nous préparais une tasse de ton fameux thé, pour fêter ça ? Jakob : Tout de suite, ma chère. Tout ce que vous voudrez.
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| | | Soren62
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 22 Mai - 13:17 | |
| Corrin (Féminin) & Jakob Soutien CCorrin : Jakob, puis-je te parler un instant ? Je viens de prendre une décision… Jakob : Mais bien sûr, Votre Altesse. Une décision à quel sujet ? Corrin : Eh bien… En fait… Jakob : N’hésitez pas une seule seconde. Je suis déterminé à satisfaire vos moindres désirs. Je marcherais sur des charbons ardents, si c’est ce que vous souhaitez… J’affronterais une armée entière de Sans-Visages… J’arracherais les dents d’un dragon à mains nues pour l’empêcher de vous mordre ! Corrin : Oh. Eh bien, hum… Merci Jakob. Mais non, ce n’est rien de tout ça. Jakob : Laissez-moi vous rappeler que mes talents ne se limitent pas au champ de bataille ! Je sais aussi coudre, cuisiner, nettoyer, forger, démolir ou bâtir, dessiner… Corrin : Je sais bien que tu as de multiples tal… Jakob : Pardonnez mon manque de modestie… Si je suis un majordome si compétent, c’est uniquement grâce à vous. Je veux subvenir à tous vos besoins. Ordonnez, et ce sera fait ! Corrin : Tu veux me laisser en placer une ? Je ne pouvais rêver de meilleur majordome. Et je sais que je peux compter sur toi pour me rendre tous les services du monde. Jakob : Et pourtant, vous semblez hésiter à m’avouer ce que vous avez à me dire… Corrin : Je veux plus d’indépendance ! Jakob : Indépendance ? ...Hors de question. Corrin : Quoi ? Mais… Je suis une adulte ! Je n’ai plus besoin de toi comme avant. Et puis… n’es-tu pas censé suivre mes ordres, de toute façon ? Jakob : Votre autorité a des limites ! Nul ne peut ainsi me priver de ma raison de vivre. Corrin : Ta raison de vivre ? Tu ne crois pas que tu exagères un peu, là, non ? Jakob : Mais pas du tout, Madame ! Lorsque j’ai été nommé, j’étais incapable d’accomplir les tâches les plus simples. J’étais rejeté par les autres domestiques, qui devaient toujours réparer mes erreurs. Vous seules avez pris la peine de m’adresser la parole et de m’encourager. Je n’oublierai jamais cela. Je suis redevable… à jamais. Corrin : Hmm… Bon, dit comme ça, je comprends que ma requête puisse te chagriner… Mais comment puis-je prétendre aider les autres si je suis incapable de m’aider, moi ? Jakob : Votre objectif est noble, mais il n’est en rien incompatible avec mes services… Corrin : Bon, très bien, trouvons un compromis… Apprends-moi à faire un bon thé. Jakob : Du thé ? Pourquoi ? Corrin : Je veux être capable d’aider les autres, Jakob. Tous les autres. Même toi. Je souhaite récompenser ton travail en t’offrant une bonne tasse de thé. Est-ce que cela te semble acceptable ? Jakob : … Corrin : Jakob ? Jakob : Je suis si… ému. J’ignorais que Son Altesse nourrissait de tels sentiments à mon égard… Je… Très bien. Si vous insistez pour commettre un acte aussi déraisonnable… Soit. Corrin : Vraiment ? Parfait ! Jakob : Mais prudence ! Le thé peut être dangereux. N’en faites qu’en ma présence. Corrin : Mm-hmm… Bon, d’accord. Allons chercher des feuilles de thé et commençons ! Merci Jakob, du fond du cœur. Tu es le meilleur majordome du monde ! Jakob : Eh bien ! … Espérons que cette affaire n’aura pas de conséquences fâcheuses… Avec Dame Corrin en cuisine, nous pourrions courir à la catastrophe. Soutien BCorrin : Bon, cette fois, c'est la bonne ! Je vais lui servir une tasse de thé par-fai-te ! Bien... D'abord...ça. Et puis...ça ! Ouille ! Aaah ! C'est chaud ! C'est chaud ! Jakob : Est-ce que tout va bien, Dame Corrin ? Corrin : Parfaitement bien... Je me suis simplement ébouillantée avec la théière, voilà tout. Ne prends pas cet air inquiet, Jakob, je peux servir le thé les yeux fermés ! Jakob : Eh bien, c'est ce que vous disiez, oui, mais... Pardonnez-moi de le dire, mais vous n'avez pas réussi une seule fois. Pas une. Corrin : Oui, bon, ne te sens pas obligé de retourner le couteau... Mais admets au moins que je fais des progrès quant au maniement de la théière. Il ne me reste plus qu'à apprendre à faire un thé buvable et sans amertume... Jakob : J'ai bien peur que nous n'épuisions toutes nos réserves de thé avant d'y arriver... Et quand je dis « nos réserves », je parle de celles du royaume entier ! Contentez-vous de me regarder, d'accord ? Ensuite vous pourrez reprendre la pratique. Corrin : Mais je ne voudrais pas te faire perdre du temps, Jakob... Tu as tellement à faire. Jakob : Ne vous inquiétez pas. Je perds assez de temps comme ça à m'inquiéter pour vous. Corrin : Que...? Qu'est-ce que ça veut dire, ça ? Jakob : Regardez un peu sur votre gauche... J'ai fait la vaisselle il y a 10 minutes... Mais vous avez réussi à empiler une véritable montagne de vaisselle sale. Corrin : Par tous les dieux... C'est une falaise de théières. Toutes mes excuses, Jakob. Jakob : Bien, passons au thé, voulez-vous ? Je m'occuperai de tout ça plus tard. Corrin : Non, en fin de compte, occupe-toi de la vaisselle. Je me charge du thé ! Jakob : Ah... Mes excuses, Madame, j'avais oublié à quel point vous pouviez être têtue ! Corrin : Je suis peut-être concentrée sur autre chose, mais je t'entends quand même... Bien ! Assez perdu de temps à écouter Jakob... Terminons ce chef-d'oeuvre de thé. Jakob : Ah là là... Soit... Mais pourrais-je au moins goûter avant que vous ne le serviez ? Corrin : Hmm... Eh bien, je suppose qu'il vaut mieux vérifier qu'il est à ton goût, oui... Et... Hop ! Voilà le travail. Cette fois, je suis sûre qu'il est réussi ! Presque sûre. Jakob : Laissez-moi en juger. Bien, examinons ce thé... Hum ! Voyons sa couleur... (C'est le moment de rajouter un peu d'eau et de sucre, ni vu ni connu...) Beau travail, Dame Corrin. Il a l'air potable. Prenons-en une tasse. Corrin : Je sais que c'est idiot, mais je suis très, très nerveuse... Slurp ! Hé ! Mais... Il n'est pas amer du tout ! Jakob : Ha ha ! Excellent ! C'est parfait, Madame, vous avez mérité votre diplôme de serveuse de thé. Corrin : Parfait ! Je vais en proposer aux autres ! Jakob : Ne courez pas partout avec cette théière ! Pff... J'espère avoir réussi à masquer un peu son amertume... Je suis sûr que tout le monde aura envie de goûter son thé pour lui faire plaisir... Je m'en veux déjà... Soutien AJakob : Votre Altesse ? Puis-je avoir une minute ? Corrin : Bien sûr Jakob. Et encore merci pour m’avoir appris à servir le thé ! Jakob : Tout le plaisir est pour moi, Madame. Comme toujours. Corrin : Hm… Tu as l’air plutôt renfrogné pour quelqu’un qui parle de plaisir. Qu’y a-t-il ? Jakob : Je… Je dois vous présenter mes plus plates excuses, Dame Corrin. Corrin : Quoi ? Mais pourquoi ? Jakob : En vérité, votre thé était… amer. Très amer. Imbuvable, en somme. Corrin : … Jakob : Mais j’y ai ajouté eau et sucre en faisant mine de l’examiner dans la théière… Je n’aurais jamais dû faire cela, et j’en suis profondément navré. Mais je ne supportais plus de vous voir essuyer échec après échec… Corrin : Pff… Hé hé… Ha ! Ha ha ha ! Jakob : M-Madame ? Dame Corrin ? Corrin : Aaah… Désolée Jakob. Mais j’étais déjà au courant. Jakob : Ah bon ? Mais alors… Vous ne comptez pas punir cette impudence ? Corrin : Pas du tout. Tu essayais seulement de m’aider. Et je dois admettre que j’étais un peu trop têtue. Nous sommes donc quittes, non ? Jakob : Votre magnanimité vous honore, Madame. Corrin : Et j’ai bien appris ma leçon : j’ai encore besoin de toi à mes côtés, Jakob. Puis-je compter sur ton aide ? Malgré ma tête de mule ? Jakob : Mais évidemment, Madame. Je promets de ne jamais vous abandonner. Pour être honnête… Sans vous, je ne sais même plus où j’habite. Corrin : Ha ! Nous nous ressemblons donc beaucoup… Jakob : Madame… Allons… Me comparer à vous… J-J’en ai les genoux qui se dérobent. Corrin : Ha ha, tu ne vas quand même pas t’évanouir pour si peu, voyons ! Jakob ? Jakob ! Soutien SCorrin : Bonjour Jakob. Peux-tu m’apprendre à faire ce thé épicé dont tu as le secret ? Jakob : Le chaï du tigre ? Mais certainement, Madame… Corrin : Hum, tu sais… Je te trouve plutôt distant, ces temps-ci. Est-ce que je t’ai vexé ? Jakob : Oh, voyons… Jamais de la vie… Jamais vous ne pourriez me vexer… Corrin : Est-ce que tu vas bien ? Tu es tout rouge, est-ce que tu as de la fièvre ? Jakob : Pff… Je savais que vous finiriez par vous en apercevoir, un jour ou l’autre… Dame Corrin… Mes excuses, mais… Je dois renoncer à ma position. Corrin : Pardon ? Tu n’es pas sérieux ?! L’autre jour, tu disais encore que nous resterions toujours ensemble, toi et moi ! Mais… Pourquoi ? Quel est le problème ? Je t’ai réellement vexé, n’est-ce pas ? Jakob : Je vous jure sur ce que j’ai de plus cher que ce n’est pas le cas… Je suis… simplement… timbéhamuredvou… Corrin : Hein ? Jakob, je ne comprends rien quand tu marmonnes comme ça. Jakob : … Je… Je suis… Je suis tombé amoureux de vous ! Corrin : Jakob… Jakob : Et il est contraire à la bienséance qu’un majordome soit amoureux de sa maîtresse. Je suis donc au regret de vous demander une mutation, aussi loin de vous que poss… Corrin : Non ! Il n’en est pas question ! L’idée de passer ne serait-ce qu’un jour sans toi m’est insupportable, je… J’ai besoin de toi, Jakob… Je… Jakob : M-Madame ? Corrin : Je t’aime. Jakob : Quoi ?! Mais que dites-vous, enfin ? Corrin : Comment ça, qu’est-ce que je dis ?! Je t’ai toujours apprécié, tu le sais… Mais… ces derniers temps, tu es devenu bien plus important à mes yeux… Jakob : Je… Je dois rêver. C’est un rêve, c’est ça ? C’est la seule explication. Ce ne peut être qu’un rêve… Votre regard… Vos joues… si rouges… Corrin : Mais arrête, enfin ! C’est très gênant… Et puis, tu es aussi rouge que moi ! Bien, puisque c’est ainsi, j’accepte ta démission. Tu n’es plus à mon service ! Aimerais-tu devenir mon époux ? Jakob : Oui ! Enfin… Si c’est là le souhait de Son Alt… Hum ! Oui. Rien ne me ferait plus plaisir que de devenir votre époux… Corrin : Alors… restons ensemble. A jamais… Jakob : Je vous aime. J’ai toujours eu peur de le dire, mais désormais je vous le dirais tous les jours. Je vous aime. | |
| | | Soren62
Messages : 1683 Age : 32
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 22 Mai - 13:48 | |
| Rinkah & Kaze Soutien CKaze : Auriez-vous un moment, Rinkah ? Rinkah : Bien sûr. Qu’est-ce que tu veux ? Kaze : Eh bien, voyez-vous, tout à l’heure j’ai aidé une femme à porter des courses… En remerciement, elle m’a donné ce sac de bonbons. Rinkah : Tout ça ?! Mais il doit bien faire 10 kilos ! Kaze : Oui… C’est pourquoi j’aimerais que vous m’aidiez. Je ne peux manger tout cela seule. Rinkah : Ah, je vois. Merci, mais non merci. Kaze : Vraiment ? Je me disais pourtant que vous seriez la mieux à même de les apprécier. Rinkah : Qu’est-ce que tu veux dire par là ? Kaze : Votre estomac n’a pas cessé de gargouiller, aujourd’hui. Ce n’est pas passé inaperçu ! Rinkah : Et alors ? Ça ne veut pas dire que j’ai faim. Garglglbl. Kaze : … Rinkah : Ce n’est pas ce que tu crois ! C’est sûrement… une souris. Kaze : Hmm… Je vais peut-être laisser quelques bonbons pour cette pauvre petite souris. Rinkah : Oui oui. Fais ce que tu veux. Kaze : J’y compte bien. J’espère que la souris appréciera ces friandises. J’ai ouï dire qu’elle avait un petit faible pour les sucreries. Rinkah : La souris te dit qu’elle n’a absolument aucun faible pour les sucreries. Elle t’informe aussi qu’elle ne les acceptera que pour cette fois. Est-ce que le ninja a bien compris ? Kaze : Bien sûr. Eh bien, je dois partir. A plus tard, Rinkah. Rinkah : … Miam, miam… Soutien BKaze : J’ai encore des bonbons, Rinkah. En voulez-vous quelques-un ? Rinkah : Kaze, je pensais t’avoir dit que je ne voulais plus de bonbons. Kaze : Ah ? Vous devez faire erreur. C’est la souris à l’estomac qui gargouille, qui ne voulait plus de bonbons. Rinkah : Espèce de… Kaze : Je sais bien que vous adorez les bonbons, Rinkah. Je suppose que vous les fuyez de peur qu’ils ne vous fassent paraître faible. Mais personne ne vous méprisera parce que vous vous faites plaisir de temps à autre. Rinkah : Vas-tu te taire ? Ce que je ne mange ne te regarde pas ! Kaze : Vous avez tout à fait raison. Cependant, je serais un mauvais ami si je ne me préoccupais pas de votre bonheur. Ce n’est pas bon de vous priver juste pour cacher votre faible pour les sucreries. Rinkah : Je ne le cache pas. Simplement, tout le monde n’a pas à le savoir. Kaze : Je peux le dire aux autres, alors ? Rinkah : Tu n’as pas intérêt ! Et pourquoi tu te préoccupes autant de ce que je mange ? Kaze : Vous vous trompez. Je me préoccupe de votre besoin de sauver les apparences. Bon, allez-vous accepter ces bonbons ? Il me semble que ce sont vos préférés… Rinkah : Ne me suis-je pas assez bien fait comprendre ? Je n’en veux pas ! Kaze : Je vois. Mais vous savez que je connais votre passion pour le sucre, n’est-ce pas ? Vous pouvez donc prendre ces bonbons sans vous faire de souci. Rinkah : Je ne suis pas une gamine ! Je n’ai pas besoin que tu me donnes à manger ! Si je veux des bonbons, je suis assez grande pour les chercher moi-même. Kaze : Vous vous méprenez. Il y en a trop pour moi, et j’ai besoin de votre aide. Rinkah : Hmpf… Très bien. Bon… Et merci de t’inquiéter pour moi. Kaze : C’est normal. Soutien AKaze : Rinkah, merci encore de m’avoir aidé à finir mes bonbons, l’autre jour. Je ne savais pas qu’on pouvait en mettre autant dans un seul estomac. Rinkah : Argh… Je n’aurais jamais dû accepter de nourriture de ta part… Kaze : En parlant de cela, on m’en a donné un autre sachet, aujourd’hui. Cela vous dirait de remettre ça ? Rinkah : Encore ? C’est une blague ?! Kaze : Je sais… J’ai bien essayé de refuser, mais la femme n’a rien voulu entendre. Rinkah : Comment tu fais pour qu’on t’offre des cadeaux tout le temps ? Je suis jal… Hum. Gélatine. Je suis gélatine. Kaze : Pardon ? Rinkah : Rien. Je ne suis pas jalouse. Tais-toi. Kaze : Vous savez, votre problème de gélatine n’est pas difficile à résoudre. Si vous dites aux gens que vous aimez les bonbons, ils vous en donneront avec joie. Rinkah : Merci, mais non. Tout va bien. Kaze : Il va donc falloir que je trouve un moyen de vous faire passer des bonbons en secret. Peut-être que si vous en mangiez plus, vous sortiriez de votre coquille… Rinkah : Je ne suis pas dans une coquille, et je n’ai pas besoin de toi pour en sortir ! Cela dit, si tu trouves un moyen de me donner des bonbons… je ne dirai pas non. Kaze : Très bien, ce sera fait. Rinkah : Parfait. Maintenant, si ut pouvais me laisser ce sachet de bonbons, et un peu d’intimité… Kaze : Mais bien sûr. Au revoir, Rinkah. Soutien SKaze : Bonjour. Rinkah : Encore toi ? Tu as encore des tas de bonbons à me refiler ? Kaze : Non. Je voulais discuter de quelque avec vous. Rinkah : Discuter ? Kaze : Vous avez l’air déçue. Peut-être auriez-vous préféré des bonbons ? Rinkah : Argh… Kaze : C’est bien ce qui me semblait. Eh bien, notre discussion attendra. Je dois d’abord vous trouver des bonbons. Rinkah : Non, ça ira. Tu n’es pas responsable de mon estomac, tu sais. Kaze : Oui, mais j’aime être sûr que vous êtes comblée. Si cela ne tenait qu’à moi, vous ne souffririez plus de rien, plus jamais. Rinkah : C’est un peu… bizarre. Je peux me prendre en charge, Kaze. Kaze : Je sais, mais je ne peux pas m’en empêcher. Je suis amoureux de vous. Rinkah : ……. Quoi ? Kaze : Je vous aime, Rinkah. Je voudrais être près de vous à tout moment. Rinkah : C’est pour ça que tu m’apportais tous ces bonbons, alors ? Kaze : Oui et non. J’aurais agi de cette manière quels que soient mes sentiments. Mais j’avoue que j’ai pris un plaisir particulier à vous rendre service. Et quelque part, j’étais content que votre faible pour les sucreries soit un secret. Parce que… cela signifiait que je pouvais faire quelque chose de spécial pour vous. Rinkah : Kaze… Kaze : Je suis désolé. J’ai manqué d’honneur. Rinkah : Oh, épargne-moi le discours du ninja dévoué. Tu n’as pas manqué d’honneur. Et puis… je crois qu’il y a pire que d’être avec toi. Alors, bon. Pourquoi pas ? Kaze : Je vois… Vous ne partagez pas mes sentiments, n’est-ce pas ? Vous devriez peut-être oublier ce que je vous ai dit. Je ne veux pas vous forcer si cela vous laisse indifférente. Rinkah : Mais non, andouille ! Il faut vraiment que je te mette les points sur les i ?! Très bien ! Je t’aime aussi, et je veux rester auprès de toi, d’accord ? Bon, on peut passer à autre chose, maintenant ? Kaze : Bon. Très bien. Alors… Que faisons-nous, à présent ? Rinkah : Hé hé. Tu pourrais commencer par me passer un autre sachet de bonbons. Kaze : Tout ce que vous voudrez, mon amour. | |
| | | Other M
Fe préféré ? : Genealogy of the Holy War Messages : 20 Age : 70
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 22 Mai - 19:32 | |
| Une fois que j'aurai fini le jeu (soit sûrement demain) je pourrai fournir les dialogues suivants :
Kiragi x Sophie Corrin (M) & Ryoma Corrin (M) & Takumi Hinata x Azura Subaki x Felicia Takumi x Orochi Ryoma x Mozu Corrin (M) & Kaze Silas x Hana Kaden x Hinoka | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 22 Mai - 20:42 | |
| Corrin (féminin) & Hana - Spoiler:
Soutien C Hana : Sakura ? Sakura, où êtes-vous ? Corrin : Hana, est-ce que vous cherchez Sakura ? Hana : Oh non… Ah, c’est vous. Avez-vous besoin de moi ? Corrin : « Oh non », dites-vous ? Je ne fais normalement pas cet effet-là aux gens… Bref. Sakura n’est pas ici. Hana : D’accord. Merci, au revoir. Corrin : Quoi, c’est tout ? Attendez, Hana ! Hana : Qu’y a-t-il ? Je dois vraiment trouver Dame Sakura, c’est important. Corrin : Je ressens une certaine animosité de votre part à mon égard. Aurais-je fait quelque chose qui vous a froissée ? Hana : … En effet. Corrin : Je n’ai aucune idée de ce que cela peut être, mais croyez bien que j’en suis navrée. Hana : Votre enlèvement a attristé Dame Sakura des années durant. Je l’ai vue essayer de cacher ses larmes d’innombrables fois. Sakura est ma meilleure amie et je n’aime pas qu’on lui fasse de la peine. Corrin : Sakura a pleuré à cause de moi ? Mais elle ne m’en a jamais rien dit ! Hana : Inutile de lui en parler. De toute façon je doute qu’elle veuille vous l’expliquer. J’ai moi-même l’impression que vous parler de ça est une perte de temps. Corrin : Mais enfin, je… Hana : Vous êtes malgré tout à la tête de cette armée et je continuerai donc à vous obéir. Mais sachez que mon obédience n’engage en rien mes sentiments personnels. Au revoir. Corrin : Si je m’attendais à ça… Soutien B Hana : Ah ! Yaaah ! Yaaah ! Corrin : Bonjour Hana, vous vous entraînez dur à ce que je vois. Hana : Peuf, peuf… Dame Corrin. Inutile d’essayer de glaner des informations sur Dame Sakura. C’est un problème qui concerne Sakura et vous seules. Corrin : Ce n’est pas la raison de ma présence ici. Je suis venue pour vous parler. Hana : … Ah, yaaah ! Corrin : Eh là ! Une épée, même en bois, peut causer de graves blessures ! Hana : Bien esquivé. Fort bien, vous pouvez me poser une question, je vous écoute. Corrin : Comment ? Qu’est-ce que… ? Vous acceptez de m’écouter parce que j’ai esquivé votre attaque ? Hana : Dépêchez-vous de me poser votre question, j’aimerais poursuivre mon entraînement. Corrin : Très bien… Vous êtes issue d’une famille de samouraïs du royaume d’Hoshido si je ne m’abuse. Hana : C’est exact. Poursuivez. Corrin : Diriez-vous que vous entraînez votre corps et votre esprit de cette façon… En hommage à la tradition samouraï de votre famille ? Hana : Naturellement. Corrin : Je trouve ça remarquable. Hana : Que voulez-vous dire ? Corrin : J’ai grandi enfermée dans un château lointain. Je ne savais pas pourquoi j’y étais cloîtrée, et mon isolement bridait toute ambition. Je suis fascinée par les gens qui, comme vous, ont toujours su quel était leur chemin. Hana : Je dois cela à quelqu’un… Mon père était un grand samouraï. Il m’a beaucoup inspirée. Corrin : Quel genre d’homme était-il ? Hana : Il a consacré sa vie au roi Sumeragi, qui régnait alors sur Hoshido. Il a plus d’une fois sauvé la vie du roi, soit en pourfendant ceux qui le menaçaient… Soit en le tirant de situations périlleuses. Il a voué sa vie entière à son suzerain et ne s’est jamais détourné de son devoir. Corrin : … Hana : Les récits de guerre de mon père, de tout ce qu’il a accompli, font ma fierté. Il est tombé et a quitté ce monde en protégeant le roi. Mais sa dévotion a défini son existence, et l’accompagne dans l’autre monde. Mourir en mission est la plus belle mort qu’un samouraï puisse souhaiter. Corrin : Je vois… Hana : Je vis pour rendre hommage à tout ce pour quoi mon père s’est battu. Corrin : Je vous comprends beaucoup mieux, à présent. Au risque de vous choquer, je ne crois pas que sacrifier sa vie soit si respectable. Même pour protéger son maître, donner sa vie n’est pas forcément signe de sagesse. Hana : Quoi ? Vous insinuez que mon père était un idiot ?! Corrin : Non, pas du tout ! Votre père était quelqu’un d’admirable. Il a protégé le roi Sumeragi jusqu’à la fin… Mais je ne souhaite pas que vous suiviez ses traces dans ce cas. Hana : Qui êtes-vous pour juger et donner ainsi des leçons sur les décisions d’un mort ? Je ne vous pardonnerai jamais d’avoir tourné le sacrifice de mon père en ridicule ! Corrin : Attendez, Hana ! Soutien A Corrin : Oh… Bonjour, Hana. Hana : Dame Corrin. Corrin : Excusez-moi pour ce que j’ai dit l’autre jour. Hana : Inutile de vous excuser, c’est oublié. Vous êtes mon commandant, Madame. Je respecte votre jugement. Corrin : Non, je tiens à m’excuser. Ce que j’ai dit était déplacé, et ne pas tenir compte de vos sentiments était une erreur. Hana : Assez ! Je n’ai que faire de votre pitié ! Corrin : Non, attendez, laissez-moi parler. Je pense que Sakura serait effondrée si vous vous sacrifiez comme votre père. Voilà tout. Hana : Sakura ? Mais de quoi parlez-vous ? Corrin : Vous m’en voulez d’avoir fait de la peine à Sakura, n’est-ce pas ? Je comprends ce qui vous pousse à honorer la mémoire de votre père… Mais imaginez que vous veniez à tomber au combat, comme lui. Sakura serait effondrée. Elle ne se pardonnerait pas votre mort et aurait beaucoup de mal à s’en remettre. Je ne veux pas de ce futur-là, et je pense que vous non plus, je me trompe ? Hana : Eh bien je n’avais pas pensé à ça… Corrin : Je comprends qu’il est crucial pour un samouraï de protéger son maître. Mais réfléchissez. Est-ce que protéger ne veut pas aussi dire être là pour lui ? Hana : Vous avez raison. Je ne veux plus voir Sakura pleurer non plus. Corrin : C’est ça que je voulais dire, l’autre jour. Je regrette d’avoir été maladroite. Hana : Ce n’est rien. Merci pour vos paroles, Dame Corrin. Je regrette de m’être comportée comme cela avec vous. Corrin : Ne vous excusez pas. Je crois que nous nous comprenons enfin.
Dernière édition par Sheezune le Dim 22 Mai - 22:17, édité 1 fois | |
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