| | Dialogues de soutien - Héritage - | |
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+3Soren62 Obi-Wan44 Kratos Wright 7 participants | |
Auteur | Message |
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Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Ven 3 Juin - 22:43 | |
| Kaze & Hinoka - Spoiler:
Soutien C Kaze : Dame Hinoka. Excusez-moi de vous déranger. J’ai pour vous une lettre de Dame Sakura. Hinoka : Ah, Kaze. Merci. Kaze : Ne me remerciez pas, je ne fais que mon devoir. De plus, c’est un honneur de porter vos missives. Vous servir est un plaisir. Hinoka : Bien, bien. Puis-je avoir la lettre, à présent ? Kaze : Bien sûr, la voici. Hinoka : Ha ha ! Sakura sait vraiment manier son pinceau, l’enveloppe est toujours sublime ! C’est particulièrement vrai aujourd’hui. Elle doit être de bonne humeur. Kaze : De bonne humeur ? Voilà une excellente nouvelle. Je suis cependant surpris d’apprendre cela. En personne, elle n’est pas très expressive. Hinoka : Ses lettres sont bien différentes ! Avec sa plume, au moins, elle n’est pas si timide. Bien, voyons… Ah, c’est donc cela. Elle a trouvé un superbe champ de fleurs, récemment. Au fait, quelle était son humeur lorsqu’elle vous a transmis cette lettre ? Kaze : Elle avait l’air aux anges, avec un sourire jusqu’aux oreilles. Elle voulait vous le dire en personne, mais elle avait besoin de noter ses impressions. C’était une expérience qu’elle ne voulait surtout pas oublier. Hinoka : Je vois, hé hé… Cela lui ressemble bien. Je vous remercie, Kaze. Kaze : Je vous en prie. Vous voir échanger des lettres me fait chaud au cœur. Je jure de continuer à servir votre famille de mon mieux. Hinoka : Vous êtes bien mélodramatique, Kaze. Ce n’est pas grand-chose, pourtant. Kaze : Ha ha ! Vous avez certainement raison, Madame. Soutien B Kaze : Dame Hinoka ? J’ai une nouvelle lettre de Dame Sakura, aujourd’hui. Hinoka : Ah, merci, Kaze. Hum… Kaze : Que se passe-t-il, Madame ? Hinoka : Quelque chose ne va pas. Elle semble très contrariée… Mais elle ne dit pas à propos de quoi. Kaze : Je vois. Je me disais aussi qu’elle se comportait bizarrement, aujourd’hui. Hinoka : Vraiment ? Kaze : Je ne pense pas que l’objectif de Dame Sakura était de vous inquiéter. Peut-être sera-t-elle plus affable si vous allez lui parler en personne. Hinoka : Oui, vous avez raison. J’irai la voir dès que je trouverai le temps. Kaze : Oui. Je crois que c’est le mieux que vous puissiez faire. J’aimerais seulement pouvoir être plus utile. Hinoka : Pardon ? Qu’avez-vous dit ? Kaze : Non, ce n’est rien. Voudriez-vous que je lui porte une réponse entre-temps, Madame ? Hinoka : Oui, bonne idée. Veuillez attendre ici un instant pendant que je la rédige. Kaze : Bien sûr, Madame. Soutien A Hinoka : Bonjour, Kaze. Vous avez un instant ? Kaze : Oui, Madame. Que puis-je faire pour vous servir ? Hinoka : Vous vous souvenez que Sakura avait l’air contrariée, la dernière fois ? Eh bien, je crois que nous avons réussi à arranger les choses. Kaze : Ah oui ? Je suis ravi de l’entendre. Hinoka : Comme vous le suggériez, lui parler face à face a beaucoup aidé. Merci du conseil. Kaze : Ne me remerciez pas, je n’ai rien fait. C’est grâce au lien qui vous unit. Je lui ai moi-même parlé, et cela n’a fait que renforcer mon sentiment d’impuissance. Hinoka : Allons, ne parlez pas ainsi. Kaze : Pardon ? Hinoka : Je n’aurais peut-être pas pensé à aller lui parler si vous ne l’aviez pas suggéré. Alors cessez donc de vous apitoyer sur vous-même. Est-ce que c’est clair ? Kaze : Très clair. Merci, Dame Hinoka. Je continuerai à vous servir toutes les deux du mieux de mes capacités. Si cela peut faciliter la communication, je devrais peut-être veiller sur Dame Sakura. Hinoka : Veiller sur elle ? Kaze : Oui. De manière à pouvoir vous alerter immédiatement s’il arrive quelque chose. Si vous le désirez, je peux garder un œil sur elle constamment. Hinoka : Constamment ? Kaze : N’ayez crainte. Il va sans dire que je saurai rester dans la limite du raisonnable. Hinoka : Non… Je pense que ce serait de trop. Kaze : Vraiment ? Hinoka : Oui. Mais j’apprécie l’intention, Kaze. Kaze : Je comprends, Madame. Si vous avez besoin d’autre chose, demandez-moi. Hinoka : Oui. Merci, Kaze. Soutien S Kaze : Dame Hinoka. J’ai une lettre pour vous de la part de Dame Sakura. Hinoka : Oh… Merci. Kaze : Vous n’avez pas l’air bien, Madame. Quelque chose vous préoccupe-t-il ? Hinoka : Oui, je pense qu’on peut dire ça. Kaze : De quoi s’agit-il ? Y a-t-il une chose que je puisse faire pour vous aider ? Hinoka : Eh bien… Il s’agit d’un homme. Kaze : Un homme ? Vous voulez parler d’amour ? Hinoka : Oui. Je me demande comment faire pour lui avouer mes sentiments. Kaze : Ah. C’est donc cela qui vous préoccupe… Je pense que vous devriez l’en informer de la manière qui vous convient le mieux. Car seul un fou pourrait éconduire une femme aussi sublime que vous. Hinoka : Vous pensez vraiment cela ? Kaze : Oui. Hinoka : Très bien… Eh bien voilà. L’homme dont je parle, c’est vous, Kaze. Kaze : Comment ?! Hinoka : Vous êtes si bon et dévoué. J’admire tellement cela. Cela vous dérange-t-il que je vous parle ainsi ? Kaze : Bien sûr que non, au contraire. Vous n’avez pas idée comme je suis heureux. Quand vous avez dit avoir des sentiments pour quelqu’un, mon cœur s’est serré. Hinoka : Kaze… Kaze : Lorsque vous avez dit que cet homme, c’est moi… ce fut comme un poids envolé. Hinoka : Vous voulez dire que… vous ressentez la même chose ? Kaze : Oui. Je vous aime, Dame Hinoka. Je vous aime depuis longtemps déjà. Je vous admirais de loin, tout en sachant que c’était mal. Vous êtes une princesse… Mais je ne peux plus le cacher. Je suis épris de vous. De votre bonté, votre force. Vous êtes une femme tout à fait unique, Madame. Hinoka : Eh bien. Il reste une question. Pensez-vous pouvoir vivre avec une princesse ? Kaze : Oui, si vous voulez de moi. Je vous aimerai jusqu’à la fin des temps. Hinoka : Oh, je sens mon cœur défaillir… Je vous aime aussi, Kaze. Kaze : Je suis submergé par l’émotion. Merci, Hinoka.
Azura & Hinoka - Spoiler:
Soutien C Hinoka : Azura ! Je t’ai trouvée ! Azura : Est-ce que ça va ? Tu es à bout de souffle. Hinoka : Oui, j’ai couru jusqu’ici. Je voulais m’excuser tout de suite ! Azura : Pourquoi donc ? Hinoka : J’ai réalisé que j’étais si déterminée à gagner la guerre et récupérer Corrin… Que je t’ai ignorée ! J’ai honte ! Azura : Et tu as accouru jusqu’ici pour me le dire ? T’es-tu excusée auprès des autres ? Hinoka : Quoi ? Tu veux dire Ryoma, Takumi et Sakura ? C’est inutile ! Ryoma ne pense qu’à la guerre aussi et Takumi ne se rend compte de rien. Sakura est si délicate. Je veille sur elle tous les jours, mais tu es forte. Alors… Azura : Alors tu pensais que j’allais bien. Bien sûr. Tu sais que j’aime être seule. Hinoka : Ah, c’est vrai. J’avais oublié. Merci, je me sens mieux à présent. Azura : Puisque tu es là, il y a quelque chose que je voulais t’offrir. Il y a des années, j’ai trouvé cette petite statue de pégase pour ton anniversaire. Mais tu étais si sérieuse en t’entraînant, je pensais que tu trouverais ça idiot. Je ne te l’ai jamais donnée, mais peut-être que tu l’aimeras à présent. Hinoka : Oh, je l’adore ! Merci, Azura ! Azura : Je t’en prie. Je suis heureuse qu’elle te plaise. Soutien B Hinoka : Azura, aujourd’hui, c’est ta journée ! Je t’emmène faire des achats ! Azura : Tu sembles enthousiaste. Je t’ai dit que je n’avais besoin de rien, pourtant. Hinoka : Balivernes ! Choisis ce que tu veux ! Ne regarde pas à la dépense ! Azura : Hinoka, j’apprécie vraiment, mais rien ne vient à l’esprit. Hinoka : Aucun problème ! Nous allons faire tout le marché jusqu’à ce que tu trouves ! Azura : Si tu le dis… Hinoka : Pff, je ne t’ai pas trouvé un seul cadeau… Pourtant, tu sembles heureuse ! Azura : Hinoka, passer du temps avec toi aujourd’hui était un cadeau en soi. Hinoka : Oui, mais je voulais te remercier pour la statuette de pégase que tu m’as offerte. Azura : Ce n’est pas la peine. L’important, c’est que nous soyons des sœurs qui s’aiment ! Oh, euh… Hinoka ? Pourquoi me serres-tu si fort ? Je n’arrive plus à respirer ! Hinoka : Ha ha ! Laisse-moi te garder contre moi un peu plus longtemps. J’adore ça. Azura : Gloups… d’accord… Soutien A Hinoka : Eh, Azura, est-ce que tu as une minute ? Je voudrais te donner quelque chose. Azura : Bien sûr… Tu m’as amené un collier ? On dirait des flammes. Hinoka : Oui, désolée, il est un peu de travers. Je l’ai fait moi-même. Azura : Quoi ?! Tu as fait ça ?! Hinoka : Oui. Ça ira avec ton autre pendentif. L’eau et le feu, comme toi et moi. Quelque chose de plus compliqué était au-delà de mes capacités. Azura : Hinoka, je ne sais pas quoi dire. Hinoka : Il est horrible, mais je me suis dit que c’est l’intention qui compte. Azura : Et on peut dire que tu y as mis du tien. Merci Hinoka, j’en prendrai soin. Ce pendentif est un présent de ma mère, et maintenant j’en ai un de ma sœur. Je me rappellerai toujours combien je suis aimée, grâce à eux. Hinoka : Tu as intérêt, oui ! Prépare-toi, je vais te gâter jusqu’au trognon. Azura : Tu l’as déjà fait. Je suis si chanceuse de t’avoir comme sœur.
Azama & Hinoka - Spoiler:
Soutien C Azama : Bonjour, Dame Hinoka. Hinoka : Bonjour, Azama. Azama : Vous n’avez toujours pas pris de décision concernant votre coupe de cheveux ? Vous avez la tête de quelqu’un qui vient de sortir du lit. Hinoka : Pardon ?! C’est mon style : le style coiffé-décoiffé. Azama : Ah ! Donc vous avez passé tout votre temps à vous faire des mèches. Je vois… C’est sûrement la raison pour laquelle vos vêtements sont si fripés. Hinoka : Ta langue et ton sens de l’observation sont aussi acérés que ta retenue est émoussée. Azama : Ma retenue, vous l’aurez notée lors de cet incident… avec les œufs… dans la cuisine. Non pas que cela m’ait empêché de me gausser par la suite, bien sûr. Pour une guerrière si puissante, vous êtes vraiment douée comme un manche ! Hinoka : L’un des œufs était brisé, ça a rendu les autres glissants. Mais pourquoi est-ce que je me justifie ? Je te rappelle que tu es mon vassal ! Qu’est-ce que c’est que ces manières ? Azama : Oui, nous ne devons pas oublier que je suis votre serviteur. Celui-là même qui vous a sauvé la vie lors de notre première rencontre. Vous étiez un piètre chevalier céleste quand vous étiez jeune ! Hinoka : C’est vrai. En revanche, j’ai toujours été adroite avec une naginata. En veux-tu une petite démonstration ? Juste pour te remettre les idées en place ? Amaza : Vous me menacez ? Quelle indélicatesse ! Après tout ce que j’ai fait pour vous ! Tss, il suffit de donner un peu de pouvoir à quelqu’un pour qu’il devienne un tyran ! Hinoka : Qu’ai-je donc fait pour mériter ces attaques constantes sur ma personne ? Si j’avais su qui tu étais à l’époque, je t’aurais confié à quelqu’un d’autre. D’ailleurs, il n’est peut-être pas encore trop tard… Azama : Bien, bien. J’ai des affaires dont je dois m’occuper. Si vous voulez bien m’excuser… Hinoka : Je ne t’excuse pas du tout ! Reviens ici ! Soutien B Hinoka : Pff… Azama : Qu’y a-t-il, Dame Hinoka ? Quelle journée magnifique, vous ne trouvez pas ? Hinoka : Comment peux-tu dire ça ? Nous avons perdu la fine fleur de nos soldats. On ne peut pas ignorer ce genre de choses… Azama : Vous non. Moi, oui. Hinoka : J’aurais dû le deviner. Tu es vraiment un être glacial ! Azama : Je vous en prie. Ne faites pas de moi un monstre. Je ne suis rien de plus qu’un moine avec un sens des réalités plus large. Hinoka : Le sens des réalités ? Azama : Oui. Pensez-y. Tout le monde meurt un jour. Il n’y a pas moyen d’y échapper. Qu’est-ce qui nous attends après la mort ? Ho ! Quelle énigme n’est-ce pas ? Il me tarde de le savoir. Hinoka : Alors pourquoi continuer à vivre ? Ou à sauver des vies ? Comme la mienne ? Quand je suis tombée de pégase, et que j’étais seule et perdue dans les bois… Tu m’as sauvée. Et te connaissant, je ne m’explique pas ce geste. Dis-moi pourquoi. Azama :Ah. C’était à cause de votre regard. Vous aviez l’air si furieuse alors que vous gisiez par terre, vous raccrochant à la vie. J’ai trouvé cela charmant. Hinoka : Par les dieux, tu es encore plus sinistre que je ne l’imaginais. Azama : Je trouvais cela intéressant de voir ce que vous feriez de votre existence. Hinoka : Alors, qu’en est-il des soldats qui sont morts hier ? Ils te semblent moins intéressants ? Azama : Pas aussi intéressants que vous. Mais je ne pense pas que j’aurais pu les sauver de toute façon. Hinoka : Alors, pour résumer… Tu m’as sauvé la vie et accepté d’être mon serviteur… À cause de l’expression de mon visage quand j’étais sur le point de mourir ? Azama : Exactement ! La même expression que vous avez en ce moment ! Hinoka : Tu te fiches pas mal de ce que les autres peuvent bien penser de toi, n’est-ce pas ? Azama : Oui ! Et je crois que c’est l’une de mes plus grandes qualités. Alors, merci pour ce compliment ! Hinoka : Tu es rustre, égoïste et fou à lier… Mais je dois avouer que je respecte ta confiance en toi. Soutien A Hinoka : Gnn… Combien de compagnons vais-je encore perdre au combat ?! Azama : Parlez-vous du jeune soldat blessé lors de la dernière bataille ? Hinoka : Oui. Il est à deux doigts de mourir… Mais… Tu peux peut-être l’aider ! Vite, prends ton bâton et allons à sa tente ! Azama : Désolé, mais cela ne vaut ni mon temps ni mes efforts. Hinoka : Comment peux-tu dire ça ?! La vie d’un homme est en jeu ! Azama : Non, il n’en a plus pour longtemps. J’ai vu ses blessures et elles sont graves. Nous devrions le laisser mourir. Hinoka : Aussi longtemps qu’il respire, il peut être sauvé. Alors, allons-y ! Azama : Je l’ai déjà dit. Tout le monde meurt un jour… Hinoka : Nous n’avons pas le temps pour les inepties soi-disant philosophiques ! C’est le moment d’agir ! Azama : Très bien, si c’est un ordre, je ferai de mon mieux. Hinoka : C’est un ordre ! Alors exécution, et plus vite que ça ! Azama : C’était beaucoup d’efforts, mais tout compte fait… Hinoka : Il est vivant ?! Azama : Non, il est mort dans les plus atroces souffrances, dues à ses graves blessures. Hinoka : Non ! Bon sang ! Mais… merci d’avoir essayé. Azama : Je ne faisais qu’obéir aux ordres. Des ordres auxquels je ne souhaitais pas obéir, pour être honnête. Vous êtes quelqu’un de généreux, mais je crains qu’un jour, cela ne soit votre chute. Hinoka : Azama… Azama : Je suis désolé. De toutes les choses que je vous ai dites… et que je dirai à l’avenir… Je crois que cette fois-ci, j’ai dépassé les bornes… Puissiez-vous ne jamais perdre votre innocence fragile. Hinoka : Je ne sais pas quoi répondre à ça. Je suis navrée de ne pas t’avoir écouté aujourd’hui. Je vais oublier ton caractère et me rappeler que tes conseils sont parfois sages. Azama : Merci. Mais pour être honnête, je me soucie peu que vous écoutiez mes conseils. Quelquefois la vie est plus intéressante quand vous n’en faites qu’à votre tête. Hinoka : Hé hé… Soutien S Azama : Dame Hinoka ? Êtes-vous libre ? Non pas que cela me préoccupe ! Ha ha ! Hinoka : Hé ! Ce sont mes quartiers privés ! Oh, c’est toi. J’aurais dû le deviner. Azama : Oh, allons. J’ai frappé. Vous aviez cinq secondes pour vous préparer. Quoi qu’il en soit, en tant que ma future femme, vous… Hinoka : Quoi ? Qu’est-ce que c’est que ces idioties ? Bouah ha ha ! Mais de quoi est-ce que tu parles ? Azama : Je suis votre vassal depuis des années. Je sais tout de vous. Y compris le fait que vous me respectez plus que n’importe qui. Hinoka : C’est ça, oui… Azama : Niez-le autant que vous voulez, vous savez que c’est vrai. Je suis le seul à être assez fort pour vous tenir tête. De même, vous êtes la seule ici qui soit assez tête brûlée et intéressante pour moi. Pourquoi n’y ai-je pas pensé plus tôt. Nous sommes faits l’un pour l’autre ! Hinoka : Ha… Hum… Peut-être que je respecte ton assurance, mais seulement un petit peu. Un tout petit peu. C’est la demande en mariage la plus culottée de tous les temps… Azama : Exactement ! Et vous ne devriez pas accepter moins. Vous méritez ce qu’il y a de mieux, Dame Hinoka. Hinoka : Eh bien, garde tes amis près de toi et tes ennemis encore plus près… Et tu ne peux être plus proche que si nous nous marions… Tu sais quoi ? Je relève le défi. C’est d’accord, Azama. Azama : Ho ho ! À la bonne heure ! Nous allons faire une équipe du tonnerre. Hinoka : Tout à fait. Maintenant que nous formons l’équipe Hinoka, je m’attends à… Azama : Attendez… L’équipe Hinoka ? Je pensais que nous l’appellerions l’équipe Azama… Hinoka : Mouah ha ha ! Vous m’épousez sans bien me connaître, n’est-ce pas ?
Hinoka & Sakura - Spoiler:
Soutien C Hinoka : Hyaaa ! Ah ! Hum ? Sakura, est-ce que c’est toi ? Sakura : Oh, désolée. Je ne voulais pas interrompre votre entraînement. Hinoka : Ce n’est rien. Qu’y a-t-il ? Sakura : Oh, j’admirais juste votre style de combat. Vous avez toujours tellement d’allure… Hinoka : Vraiment ? Si quelque chose ne va pas, tu peux me le dire, Sakura. Je suis ta grande sœur. Sakura : Il faut croire qu’être sœurs ne signifie pas être semblable… Hinoka : Hum ? Sakura : Vous êtes une guerrière d’exception, fière et racée. Nous n’avons rien en commun. Hinoka : Ce n’est pas vrai, nous avons plein de choses en commun ! Comme, euh… Ah ! Le matin, nous avons toutes les deux des têtes pas possibles ! Et on aime toutes les deux courir pieds nus dans l’herbe ! Voyons, quoi d’autre… Sakura : N-Non, je voulais parler de nos caractères. Vous êtes très courageuse, vous. Pas moi. Hinoka : Toi aussi, tu as tes points forts. Sakura : J’aimerais être comme vous… Pour que vous puissiez être fière de moi. Oh, je ne voulais pas vous dire tout ça, pardon. Je n’aurais pas dû vous déranger. Hinoka : Et la voilà partie… Je fais quoi, avec ça, moi ? Soutien B Hinoka : Sakura, tu as une minute ? Sakura : Oui, bien sûr. Hinoka : J’ai trouvé d’autres choses que nous avons en commun. Sakura : C’est vrai ? Hinoka : Oui. Tu m’as toujours dit de faire attention à moi, avant un combat. Et tu as toujours été la première personne à m’accueillir après une bataille. Sakura : Oui, c’est vrai. Hinoka : Sais-tu que je faisais de même avec Père et Ryoma quand ils partaient se battre ? Sakura : Vraiment ? Hinoka : Oui. C’est grâce à toi que j’ai réalisé à quel point la famille était importante. Je me suis dit que nous n’étions pas sœurs pour rien. Oh, et… J’ai aussi des poupées. Sakura : C’est vrai ?! Hinoka : Oui. Je suis heureuse de partager ces choses avec toi. J’ai aussi mes faiblesses. Nous devrions essayer de nous dépasser. Sakura : C’est une idée merveilleuse ! Je vous aiderai ! Hinoka : Entendu. Je t’aiderai, moi aussi. Soutien A Sakura : Hinoka, j’ai une faveur à vous demander. J’aimerais que vous me donniez des leçons. Hinoka : Des leçons de quoi ? Sakura : Eh bien, jusqu’à présent, je n’ai jamais osé vous demander de l’aide pour le combat. Je pensais que si nous nous entraînions ensemble, je ne ferais que vous ralentir. Hinoka : Sakura, ne dis pas cela, voyons… Sakura : Notre discussion de l’autre jour me pousse à vouloir me dépasser. Entraînez-moi ! Hinoka : Tu es sérieuse ? Si j’avais pensé que tu me demanderais cela un jour… Sakura : Je veux que vous puissiez compter sur moi, Hinoka. Hinoka : Bien. Dans ce cas, je vais être franche, moi aussi. Fais une chose pour moi en retour. Sakura : Quoi donc ? Hinoka : Je veux bien t’entraîner si, toi, tu m’apprends à soigner les blessures. Mais vas-y petit à petit ! Souviens-toi que je suis loin d’avoir ton niveau ! Sakura : Oh, Hinoka… Ça me ferait tellement plaisir ! Hinoka : Ah ! Qu’est-ce qui te prend de me serrer si fort ?!
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 4 Juin - 16:16 | |
| Subaki & Hinoka - Spoiler:
Soutien C Subaki : Bien le bonjour, Dame Hinoka. Hinoka : Tiens, Subaki. Comment vas-tu ? Subaki : Parfaitement bien, comme d’habitude. Hinoka : Je suis heureuse de l’entendre. Cela fait un moment que nous n’avons pas discuté tous les deux. Nous parlions si souvent quand je n’étais encore qu’une apprentie chevalier céleste. Subaki : C’est vrai, je m’en souviens. Hinoka : Tu m’as tant appris lors de ces conversations. Subaki : Oh, non, vous exagérez. Je vous ai juste appris à être plus en phase avec votre pégase. Hinoka : Je haïssais tellement Nohr, à l’époque… Les pégases devaient sûrement sentir toute la rage que je gardais en moi. Mais tu m’as appris à me calmer et à apaiser mon esprit. Subaki : Ah oui ? Je voulais simplement vous aider. Hinoka : Non, tu as fait bien plus que ça. Tu m’as appris que combattre avec un pégase, ce n’est pas le contrôler… Il faut le comprendre, ne faire plus qu’un avec lui. Et ça a tout changé. Tu m’as ouvert les yeux, et tu m’as appris à apprécier la beauté de la nature. Le bruissement des feuilles et le chant des oiseaux me font encore penser à toi… Subaki : Vraiment ? Tout cela me semble si lointain, maintenant. Hinoka : Ces souvenirs me sont très précieux. Subaki : À moi aussi, Dame Hinoka. Soutien B Subaki : Dame Hinoka ! Je ne vois plus que vous, ces derniers temps. Hinoka : Je partage cette impression ! Tu sais, parler avec toi m’a rappelé mon entraînement d’apprentie chevalier céleste. Subaki : Vous rappelez-vous la tempête ? Hinoka : Jamais je ne pourrai l’oublier… Subaki : Quelle nuit terrible ça a été… Dame Sakura s’était égarée dans la forêt… Nous sommes alors partis à sa recherche ensemble. Hinoka : Cela m’irritait tant de ne pas la trouver que j’ai envoyé des troupes de recherche… Mais tu voulais limiter les pertes… Alors nous nous sommes querellés. J’ai perdu mon sang-froid. Je ne pensais plus qu’à Sakura. Je t’ai causé tellement d’ennuis… Subaki : Mais non, ce n’est rien. Vous étiez exténuée. Vous avez fini par partir à sa recherche toute seule malgré tout. Mais la tempête était trop violente, empêchant les pégases de voler. Hinoka : Et tu m’as rattrapée. Tu es alors parti à pied dans la forêt et tu as trouvé Sakura. Subaki : Je me suis dit qu’elle ne pouvait pas être bien loin. Heureusement que personne n’a été blessé. Ou pire encore. Hinoka : Ma sœur et moi t’avons causé bien du souci, n’est-ce pas ? Je suis heureuse que nous ayons pu parler de cette nuit. Je ne l’oublierai jamais… Je sais que je pourrai toujours compter sur toi, Subaki. Merci. Subaki : Bien sûr, Dame Hinoka. Vous pourrez toujours compter sur moi. Soutien A Hinoka : Subaki, je t’ai vu voler avec des recrues, tout à l’heure. Est-ce que tu les aides à s’entraîner ? Subaki : Exactement. Nombreux sont les Hoshidiens qui souhaitent devenir chevaliers célestes. Hinoka : Les chevaliers célestes… De valeureux guerriers fendant les cieux sur leur pégase. Ils sont le symbole même de notre royaume. Subaki : Vous avez raison, Dame Hinoka. Et ils sont nombreux à vous admirer, vous savez. Hinoka : Vraiment ?! Subaki : Tout à fait. J’ai justement entendu des soldats parler de vous, tout à l’heure. Ils admiraient votre style de combat et la confiance que vous témoigne votre pégase. Mais ce n’est nullement étonnant. Ils parlaient de vous, après tout. Moi aussi, je pense que vous êtes incroyable. Hinoka : C’est très gentil, Subaki. Mais il paraît que tu as toi aussi des admirateurs. Subaki : Ah oui ? Hinoka : Tes mouvements gracieux et ta loyauté envers Sakura sont connus de tous. Je pense que tous les Hoshidiens rêvent d’être comme toi. Subaki : Merci, vous me flattez. Hinoka : Je le pense. Nous avons traversé bien des épreuves ensemble. Et maintenant, les soldats nous admirent comme si nous étions des légendes. C’est un peu gênant… Subaki : Nous sommes les représentants des recrues… non, du peuple d’Hoshido. C’est pourquoi nous nous devons de répondre à leurs attentes. Hinoka : Tu as raison, Subaki. Et peut-être qu’un jour, une de ces recrues guidera la prochaine génération… Quelle grande responsabilité nous avons. Subaki : Soyons des exemples de loyauté et de dévouement pour l’avenir de ce royaume. Soutien S Subaki : Bonjour, Dame Hinoka. Pourrais-je vous prendre un peu de votre temps ? Hinoka : Bien sûr, Subaki. Subaki : En fait… J’aurais besoin de vous demander conseil. Hinoka : Toi ? Cela ne te ressemble pas de demander des conseils. Dis-moi tout. Je serais ravie de t’aider. Subaki : Merci. En fait… J’aime quelqu’un. Hinoka : Hein ?! Tu veux parler d’amour avec moi ?! Subaki : Serait-ce déplacé de ma part… ? Hinoka : Non, non, bien sûr que non. C’est juste que je n’y connais pas grand-chose. Tu ferais peut-être mieux de demander à quelqu’un de plus expérimenté que moi. Subaki : Vous ne connaissez rien à l’amour, Dame Hinoka ? Hinoka : Pas vraiment, non… Subaki : Vous n’avez pas de petit ami ? De fiancé ? Hinoka : Non… Subaki, arrête ! J’ai l’impression d’être misérable. Subaki : Non, vous ne l’êtes pas du tout… Hinoka : Hum ? Subaki : Je suis très heureux d’apprendre que vous n’avez personne. J’espère que vous me pardonnerez cette insolence, mais… Me laisseriez-vous… être votre petit ami ? Hinoka : Subaki ! Subaki : Je vous aime, Dame Hinoka. Vous rappelez-vous la conversation que nous avons eue sur le futur du royaume ? Sur les recrues qui nous admirent et qui deviendront l’espoir de notre peuple ? Rien ne me ferait plus plaisir que de les guider à vos côtés. Je n’imagine personne d’autre à cette place. Je ne suis qu’un soldat, je le sais. Mais je ne peux m’empêcher de vous aimer. Hinoka : Subaki, en fait… Je t’aime, moi aussi. Subaki : Vrai… Vraiment ?! Hinoka : Tu es le vassal de Sakura, alors je ne voulais pas t’obstruer dans ta mission. Mais on dirait que je me faisais du mauvais sang pour rien. Je veux passer ma vie à tes côtés. Subaki : Rien ne me rendrait plus heureux ! Hinoka : Ensemble, nous donnerons de l’espoir à Hoshido tout entier ! Prends ma main, Subaki. Subaki : Avec plaisir, Dame Hinoka !
Azura & Azama - Spoiler:
Soutien C Azama : … Azura : Azama, vous me dévisagez depuis un moment… Qu’est-ce qui vous perturbe ? Azama : Madame… il y a quelque chose que je souhaite vous demander depuis longtemps. Azura : Ah ? Azama : Vous êtes indubitablement une figure prépondérante de notre armée. Azura : Merci, Azama, mais je ne vois pas où vous voulez en venir. Azama : Tout le monde vous fait confiance et estime que vous êtes digne de nous guider. Et il semble que, jusqu’à présent, vous ayez tout fait dans l’espoir de rétablir la paix. Azura : … Azama : À première vue, vous êtes indéniablement le porte-étendard de notre armée. Cependant, votre conscience n’abrite-t-elle pas des sentiments contradictoires ? Azura : Des sentiments… contradictoires ? Azama : Oui, ne cachez-vous pas au fond de vous un abîme de ténèbres insondables ? Quelque chose auquel nul ne songe en vous regardant ? Ainsi, alors que vous œuvrez corps et âme pour sauver le monde… Vous pensez malgré tout que le futur est déterminé d’avance… J’ai l’impression que nous partageons ce même état d’esprit. Azura : … Azama : C’est ce qui émane de vous. Est-ce que je me trompe ? Azura : Rien ne m’oblige ni ne m’encourage à parler de mes sentiments avec vous. Azama : Elle est partie… Bon. Soutien B Azama : Mes hommages, Madame ! Comment vous portez-vous ? Azura : Vous êtes aussi impénétrable qu’à l’accoutumée… Et je ne suis pas certaine que vous vous préoccupiez réellement de mon bien-être. Azama : Ah, vous commencez à me connaître. Excellent. Azura : Avez-vous l’intention de prolonger la conversation que nous avons eue tantôt ? Azama : Oui, je souhaite absolument tout savoir sur les ténèbres tapies au fond de votre âme. Après tout, peut-être que vous et moi sommes de la même espèce, voyez-vous ? Azura : Et qu’adviendrait-il si vos présomptions à mon sujet s’avéraient justes ? Azama : Je partagerais ces révélations afin de connaître les réactions de tous, bien sûr. J’ai l’envie irrépressible de contempler la face cachée des gens. Azura : Si c’est ainsi, vous pouvez faire comme il vous siéra. Mais pour votre gouverne… Sachez que je n’ai pas la moindre intention de partager mes pensées avec vous. Azama : Oh, je vous en prie, attendez, Madame… Azura : Qu’y a-t-il encore ? Azama : Si je promettais de ne rien dire, me feriez-vous le privilège de tout me dire ? Le cas échéant, je serais enclin à garder vos secrets pour moi. Azura : … Vous vous moquez de moi ? Je ne vois aucune raison de vous faire confiance. Azama : Hé hé hé ! Voilà qui devient tout à fait intéressant. Quelle créature fascinante… Soutien A Azama : Mes hommages, Madame. Comment vous portez-vous ? Azura : Ne vous ai-je pas déjà demandé de cesser de poser ces questions rhétoriques ? Vous ne vous souciez que de mes pensées secrètes, et pas de mon état de santé. Azama : Au contraire, votre santé me préoccupe… Ainsi que la façon dont vous gérez vos sentiments… Azura : Pardon ? Azama : Mon diagnostic ? Je subodore que ce qui cause chez vous cette perturbation… Est lié à votre nature renfermée et lunatique. Azura : Pourriez-vous développer ? Azama : En d’autres termes… Vous portez le poids du monde sur vos épaules, mais vous le portez seule. Votre âme, à l’agonie, aspire à la liberté et votre soif d’amitié assèche votre esprit. Ne devriez-vous pas vous délester de vos soucis, de votre peine, en les partageant ? Azura : Ainsi, mon âme aspirerait à la liberté ? Azama : Oui, partager le fardeau de vos pensées les sublime et rend les soucis plus tolérables. Azura : Hum… Azama : De nombreuses écoles spirituelles encouragent des méthodes similaires. Mais en somme, elles reviennent toutes au même. Azura : … Alors vous tenez sincèrement à ce que je partage ma peine avec vous, n’est-ce pas ? Vous auriez pu le dire dès le début, au lieu de tourner autour du pot. Vous êtes en toute honnêteté inquiet pour moi, n’est-ce pas ? Azama : Eh bien, je crois qu’on peut dire ça… Mais nul besoin d’être si compassionnelle. J’ai seulement du mal à supporter votre expression morose à longueur de journée. Azura : Pourquoi êtes-vous si sarcastique ? Azama : Allons… Je sais bien que vous n’en pensez pas le moindre mot. Je suis un serviteur du divin et me dois de parler avec toute la sincérité qui s’impose. Azura : Je vois… Dans ce cas, je vais être honnête avec vous également. Je vous ai trouvé au départ bien indiscret… Mais je suis maintenant heureuse de savoir que vous vous inquiétez pour moi. Je vais m’efforcer dès à présent de faire confiance à mon entourage. Est-ce que cette réponse vous satisfait ? Azama : Si cela apaise votre esprit, que demander de plus ? Azura : Je pense que ça l’apaisera. Merci, Azama. Soutien S Azura : Bonjour Azama… Puis-je vous parler un instant ? Azama : En quoi puis-je vous être utile ? Vous êtes-vous enfin décidée à me livrer vos pensées ? Azura : Hum… Je ne le formulerais pas ainsi, mais j’aimerais vous parler, oui. Azama : S’il y a là de quoi nourrir ma curiosité… Je suis tout ouïe, toute oreille ! Azura : Ha ha ! Bien… Il est vrai que les gens me voient comme quelqu’un de froid et distant. Pourtant, je souhaite de tout cœur sauver le monde afin que tous puissent vivre en paix. J’ai confiance en vous tous, malgré cette froideur apparente. Azama : Ha ha ha ! Vous êtes réellement digne d’intérêt ! Azura : Comment ? Azama : Je savais tout cela depuis le début, mais je ne pensais pas vous entendre le dire. Azura : Mais… ce n’était pas ce que vous disiez au début… Azama : Je vous l’ai dit plus tôt, j’aime voir comment les gens réagissent à mes propos. Azura : … Vous êtes… surprenant… Ha ha ha ! Oui, c’est sans nul doute le genre de choses que vous appréciez. Azama : Cependant… le jeu touche à sa fin. Je n’en puis plus. Azura : Que dites-vous là ? Que vous arrive-t-il ? Azama : Je ne veux plus être qu’une simple connaissance. Mon cœur me dit que cette gigantesque farce a assez duré. Je souhaite rester à vos côtés et vous protéger. Pour toujours. Azura : Azama, seriez-vous en train de me demander ce que je crois ? Azama : Ce qui me fait souffrir, c’est de penser que… Que quelqu’un d’aussi beau et fragile que vous puisse un jour me quitter. C’est pourquoi je dois me rapprocher pour mieux vous protéger. Azura : Oh, Azama ! Merci ! Vous m’en voyez heureuse. Je serais honorée d’accepter votre demande si vous êtes sûr de le vouloir… Azama : Libre à vous de me faire changer d’avis. Azura : Ha ha ha ! Je vais devoir m’habituer à vos sarcasmes. Mais, quelqu’un comme vous… Quelqu’un qui pardonne facilement est la personne dont j’ai besoin. Merci Azama ! Je suis heureuse de savoir que vous serez toujours là pour moi. Azama : Le plaisir est partagé.
Jakob & Setsuna - Spoiler:
Soutien C Setsuna : Pff… Me revoilà au fond d’un trou. Ça ne s’arrêtera donc jamais… Jakob : Ha ! Vous avez l’air de bien vous amuser là-dedans, Setsuna. Setsuna : Ah bon, Jakob… Ai-je vraiment l’air de m’amuser, selon vous ? Je me pose vraiment la question. Jakob : Vu d’ici, la situation a l’air plutôt amusante, oui. Setsuna : Si c’est amusant, alors c’est divertissant. Et le divertissement, c’est amusant… Plus j’y pense, plus j’ai l’impression que je commence à me plaire ici, oui… Jakob : Ha ha ! Alors restez donc au fond de ce trou. Personne ne vous forcera à en sortir. Setsuna : Parfait. Alors je vais rester ici, oui. Jakob : Très bien. Criez très fort lorsque vous serez sur le point de mourir de faim. Je suis sûr que quelqu’un finira par venir vous aider. Pas moi, bien sûr. Setsuna : Ça marche… Jakob : Allez ! Adieu, Setsuna. Setsuna : Au revoir, Jakob… Trila la la… La la… Youp la boum… Hum. Ce n’est pas si amusant que ça, tout compte fait. Soutien B Setsuna : Hum… Je ne crois pas m’être déjà retrouvée au fond d’un trou si profond… Je ne sais pas si je pourrai en sortir toute seule cette fois-ci… Jakob : Cette habitude que vous avez de tomber dans des trous est impressionnante. Est-ce que vous retrouver piégée de la sorte vous passionne à ce point ? Setsuna : Bonjour, Jakob… Non, je n’aime pas vraiment ça. Pour autant que je sache… Jakob : Ah bon ? Parce qu’à vous voir vous vautrer dans tous ces trous, on pourrait le croire… Ou bien vous êtes très douée pour tromper votre monde… Ou bien vous avez décidé d’aller de l’avant coûte que coûte, peu importe les obstacles. Setsuna : Vous voulez dire que je fais preuve d’ambition ? Merci… On ne m’avait jamais dit cela auparavant… Jakob : Hum… Oui. Ou alors, j’insinuais que vous êtes parfaitement sotte. Setsuna : Voulez-vous bien m’aider à sortir de là, Jakob ? Jakob : Qu’entends-je ? Vous n’aimez donc vraiment pas rester au fond du trou ? Setsuna : J’imagine que non. Mais je ne suis pas sûre. Quelle est votre opinion ? Jakob : Moi ? Vous pouvez bien rester là-dedans et mourir, pour ce que ça me fait. Mais ce n’est que mon opinion, bien sûr. Setsuna : Eh bien, j’imagine que c’est envisageable… Mais je crois que j’ai un petit creux. Je ferais mieux de sortir de là… Jakob : Bien. Dans ce cas, levez donc vos fesses et sortez-vous de là toute seule. Setsuna : D’accord, je vais essayer. Je crois que j’ai une bonne prise… Oooh… Hisse ! Oh nooon… Jakob : Je ne sais que dire. Je suis confus. Setsuna : Pff… De retour au fond du trou. Je ne suis pas sûre d’y arriver toute seule… Jakob : C’est qu’il est profond, ce trou. Bien trop pour que vous en atteigniez le rebord… Setsuna : Hum… Désolée Jakob, mais… pourriez-vous m’aider ? Jakob : Pff… Vous êtes un cas désespéré. Soutien A Jakob : Incroyable… Comment ai-je pu tomber dans un piège aussi grossier ? Setsuna : Bonjour, Jakob… Tiens ? Que faites-vous donc dans ce trou ? Jakob : Qui… ? Oh, non… Et moi qui pensais avoir touché le fond… Tiens donc ! Mademoiselle J’aime-les-trous-les-p’tits-trous en personne ! Setsuna : Ce trou me dit quelque chose… J’y suis sûrement déjà tombée. Vous vous amusez bien, là-dedans ? Jakob : À votre avis ? Si cela vous amuse, votre vision du monde est plus singulière qu’il n’y paraît… Setsuna : Ah ? Oui, on m’a déjà dit que j’avais une façon de voir les choses plutôt unique… Je ne comprends pas ce qui pousse les gens à me faire tous ces compliments… Jakob : Mouais. Bref, et si vous m’aidiez à sortir de là, hein ? Setsuna : Mmh. D’accord. Poussez-vous, je vous rejoins… Jakob : Que ? Non ! Ne faites pas ç… ! Pff… Bravo ! Nous voici tous les deux au fond du trou, sans personne pour nous remonter. Setsuna : Mais au moins, nous ne sommes plus seuls… Jakob : Génial. Je n’ai jamais été aussi ému. Setsuna : Que voulez-vous faire ? Jakob : Nos options sont plutôt limitées, à ce que je vois. Montez sur mes épaules. Vous devriez pouvoir agripper le rebord. Setsuna : Bon. C’est parti. Jakob : Je vous préviens, si vous êtes trop lourde, je n’hésiterai pas à vous laisser tomber. Bon, dépêchons. Gnn… Voilà ! Maintenant, tendez les bras et hissez-vous hors de là ! Setsuna : Euh, Jakob… Jakob : Quoi ? Gnn… Vous avez les bras trop courts ? Setsuna : Non. Mais je m’amuse bien… Jakob : Hein ?! Ça vous amuse de me piétiner le dos ?! Bougez-vous ! Setsuna : D’accord. Je vais essayer… Jakob : Arf… Mais qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? Soutien S Jakob : Setsuna, ne faites plus un seul geste. Setsuna : Jakob ? Qu’est-ce que vous avez ? Jakob : Vous ne regardez donc jamais où vous mettez les pieds ? Et ce trou, là ? Setsuna : Oh. Ah, oui. J’avais la tête ailleurs, je ne l’avais pas remarqué… Jakob : Voilà qui explique votre fâcheuse manie. Vous devriez faire plus attention… Setsuna : Mais j’adore rêvasser. Je pense à des tas de choses agréables en rêvassant… Jakob : Peut-être, mais vous vous mettez aussi en danger sans vous en rendre compte. Pff… Bon. Je crois que je n’ai plus le choix. Il va me falloir veiller sur vous, à l’avenir. Setsuna : Que voulez-vous dire ? Jakob : Puisque vos rêvasseries vous exposent au danger… Quelqu’un doit rester à vos côtés pour vous en sortir. Quelqu’un comme moi. Setsuna : Je vois. Merci, Jakob… Jakob : Bien. Mais il me sera impossible de veiller sur vous en permanence en tant qu’ami. Je dois devenir plus qu’un ami. Notre relation doit évoluer. Setsuna : Mais comment pourrait-elle évoluer ? Jakob : Eh bien… le plus simple serait de nous marier. Setsuna : Ah… Jakob : De cette manière, personne ne verra notre proximité d’un mauvais œil. Setsuna : Mmh. J’imagine que vous avez raison. C’est une raison suffisante pour se marier alors ? Jakob : Hum ! Évidemment… Mais… ce n’est pas ma seule raison, pour être parfaitement honnête. J’ai bien peur d’avoir succombé à vos charmes, Setsuna. Setsuna : Ah bon… Jakob : Oui. Je ne me l’explique pas non plus… J’imagine que, tout comme les trous dans votre cas, je ne l’ai pas vu venir… Le cœur a ses raisons… Setsuna : Jakob… Jakob : Oh, mille excuses, je n’ai même pas attendu votre réponse avant de m’expliquer. Setsuna : Je vous aime aussi, Jakob… Même s’il vous arrive à vous aussi d’agir sans réfléchir… Je nous vois bien ensemble. Jakob : Vraiment ? Je suis heureux de l’entendre ! Setsuna : Mais souvenez-vous de votre promesse de m’aider à ne plus tomber dans les trous… Vous allez avoir du pain sur la planche. Jakob : Aucun problème, je m’en occupe !
Hayato & Hana - Spoiler:
Soutien C Hayato : Hum… Hana : Salut, Hayato. Pourquoi tu fais cette tête ? Hayato : Quelle tête ? Je réfléchis à quelque chose de très sérieux ! Hana : Oh, désolée. C’est juste que tes sourcils étaient tout froncés. Alors… ? À quoi tu penses ? Hayato : Les femmes de la tribu du vent m’envoient parfois des… fournitures comme celles-ci. Hana : Ouah, c’est vraiment gentil de leur part ! Hayato : Pas vraiment, non… Certaines ont la riche idée de m’envoyer des choses dont je n’ai pas besoin… Hana : Dont tu n’as pas besoin ? Hayato : Comme… ceci. Hana : Oooh ! Regardez-moi ça ! Il y a plein de trucs dans cette boîte ! Des sacs, des accessoires, des poupées… avec des motifs floraux ! C’est adorable ! Hayato : C’est sûr… Mais elles me prennent pour qui, hein ? Leur nièce de 10 ans ? Je vais leur renvoyer tout ça… Hana : Quoi ?! Ah non, ce serait du gâchis ! Si tu n’en veux pas, je prends tout ! Hayato : Ça t’intéresse à ce point ? Hana : Oui ! J’aime collectionner les objets à motifs floraux. Les sacs ont tous ce motif. Je les trouve vraiment mignons ! Hayato : Bon… si tu les veux vraiment, prends-les. Et débarrasse-moi du reste, aussi. Hana : Vraiment ?! Tu es sûr ?! C’est très généreux de ta part ! D’accord, je prends tout ! Hayato : Pas de problème… Hana : Oh… j’adore ça… et ça… et ça aussi ! Que pourrais-je bien mettre dans ces sacs ? Hayato : Ouah, elle a vraiment l’air ravie… Soutien B Hana : Eh, Hayato ! Encore merci de m’avoir donné ces sacs, l’autre jour ! Il y en a un que j’utilise beaucoup. Il est mignon et très pratique ! Hayato : Eh bien, on dirait qu’il a trouvé un foyer. Hana : Hi hi. J’adorerais rencontrer les femmes de la tribu du vent. J’ai l’impression que l’on partage les mêmes goûts ! Hayato : Tu penses vraiment qu’elles pourraient te ressembler ? C’est leur accorder beaucoup de crédit… Hana : Mais non, on a réellement des choses en commun ! Par exemple, j’admire la façon dont elles ont décoré ceci avec des fleurs. Hayato : N’est-ce pas quelque chose que toutes les femmes aiment ? Je pensais que les filles, en général, appréciaient les fleurs… Personnellement, ça me dépasse. Hana : Quoi ?! Tu veux dire que les motifs floraux ne t’intéressent pas ? Pas du tout ? Hayato : C’est si surprenant que ça ? Hana : Non, c’est seulement que… Oh, bon sang. Disons que, l’autre jour, j’ai montré tous ces beaux sacs que tu m’as donnés… Et j’en ai même offert quelques-uns aux autres femmes de notre armée. Hayato : Oui, et… ? Hana : Eh bien, je n’en ai pas eu pour tout le monde, alors… J’ai peut-être gaffé, mais… Je leur ai dit que vu que tu aimais les trucs fleuris, elles pouvaient t’en réclamer plus. Hayato : Q-Quoi ?! Hana : Désolée ! Tout va rentrer dans l’ordre ! Je vais dire à tout le monde que c’est faux ! Hayato : C’est trop tard ! Qu’est-ce qui t’a fait penser que j’aimais les trucs mignons comme ça ?! Hana : Ne t’énerve pas pour de telles broutilles ! Ce ne sont jamais que des cadeaux ! Hayato : Grr ! Déjà que l’on se moque de moi parce que je ressemble à un enfant… Maintenant, tout le monde va croire que j’aime les petites fleurs… Rien que d’y penser, j’en ai la nausée ! Oh non… Non, non, non… C’est une catastrophe. Hana : Hayato ? Calme-toi, enfin ! Ce n’est pas si grave ! Soutien A Hana : Bonjour Hayato. À propos de l’autre jour… Hayato : Quoi ? Hana : Tu… m’en veux encore ? Tu sais, j’ai dit à tout le monde que tu n’aimais pas vraiment les fleurs. Hayato : Ah oui ? Et quelle a été leur réaction ? Hana : Eh bien, beaucoup s’en doutaient déjà, avant même que j’ouvre la bouche… Ils n’ont fait que hausser les épaules quand je leur ai dit que je m’étais trompée… Tu as toujours l’air en colère… Hayato : Bon… Tant que plus personne ne pense que j’aime les fleurs, je te pardonne. Hana : Merci, Hayato ! Hayato : Mais ! Pour tout arranger, tu dois m’aider à me débarrasser de ces sacs. Hana : Comment ça ? Hayato : Elles… Euh… Elles m’en ont encore envoyé. Apparemment, fabriquer des sacs est à la mode par chez moi. Ça devient ridicule. Regarde, par exemple : celui-ci… Hana : Oh, il est vraiment adorable ! Hayato : Si tu le dis… Hana : Oh, au fait… Tu as trouvé des sacs à motif de fleurs de cerisier ? Hayato : Je n’en ai pas vu un seul dans cette boîte, mais je suis sûr que j’en recevrai d’autres. Hana : Bon, si tu en vois un avec ce motif, il est pour moi, d’accord ? Ne te le garde pas ! Hayato : Pourquoi voudrais-tu que je le garde ?! Hana : Hi hi ! Hayato : Ha ha… Très drôle… Bref, pourquoi des fleurs de cerisier ? Hana : Je suis la vassale de Sakura… C’est ce que signifie son prénom. Je voulais lui offrir un sac avec ce motif, mais je n’en trouve pas… Hayato : Je vois. Tu veux donc lui montrer ta loyauté et ton admiration ? Hana : C’est ça ! Oh, et que penses-tu d’un motif à fleurs de camélia pour Subaki ? Quoique… c’est un garçon, alors il risque de détester les fleurs, comme toi. Bon tant pis, alors. Je veux juste des fleurs de cerisier ! Hayato : J’essaierai d’y penser. Hana : Merci beaucoup ! Soutien S Hana : Hi hi… Hi hi hi… Hayato : Hana, ton rire est perturbant. Hana : Tu insinues que tu n’aimes pas mon rire ? Hayato : Non ! C’est juste… que… Depuis que je t’ai donné ce sac à motif de fleurs de cerisier, tu ricanes sans arrêt. Hana : Il y en avait un pour moi et un pour Dame Sakura. C’est tout simplement merveilleux ! Sakura et moi sommes assorties… Hi hi… Je suis si heureuse… Hayato : Je ne m’entends plus penser avec tes gloussements incessants… Hana : Hé, ce n’est pas gentil de parler comme ça à quelqu’un ! C’est toi qui me l’as donné, alors pourquoi es-tu si grognon ? Hayato : Ça m’agace de voir la femme que j’aime plus intéressée par un sac que par moi. Hana: Pardon… ? Hayato : Euh… Rien ! Enfin… Hana : J’ai bien entendu : « la femme que j’aime » ? Ou alors j’ai quelque chose dans l’oreille ? Hayato : Non… Tu m’as bien entendu. Je dois l’avouer : j’éprouve de forts sentiments pour toi. Hana : Hayato ! Hayato : Avant, je ne voyais que ton côté plus violent, lors des batailles… Mais tu m’as révélé un côté plus doux, et l’association des deux m’a subjugué. Hana : Mais… tu ne m’as jamais avoué de telles émotions ! Hayato : Ça me gênait. Enfin bref… Pour toi je ne suis que le garçon qui te livre des sacs, n’est-ce pas ? Comment révéler mes sentiments alors que j’ai l’air si stupide et inutile à tes yeux ? Hana : Non, ce n’est pas vrai du tout ! Je t’aime aussi ! Beaucoup ! Hayato : Quoi ? Hana : Bien sûr, j’étais obsédée par les sacs que tu me donnais, au début. Mais… Je sais que tu as demandé à ta ville natale de faire des sacs à fleurs de cerisier. Et que tu avais fait des efforts juste pour me faire plaisir… Hayato : Comment l’as-tu appris ?! Hana : Hi hi, elles m’ont envoyé une lettre. Quand je disais qu’on s’entendrait bien ! C’est là que j’ai compris que tu étais quelqu’un de très gentil… Je passais déjà beaucoup de temps avec toi mais j’ai compris pourquoi à ce moment-là. Oh, et je ne gloussais pas parce que mon sac et celui de Sakura sont assortis. Mais parce que c’est toi qui me les as donnés. J’étais si heureuse ! Hayato : Hana… Hana : Alors… peut-être que l’on pourrait se fréquenter maintenant ? Hayato : Bien sûr ! Hana : Parfait ! Et pourrait voir à qui ces sacs iront le mieux dans l’armée ! Hayato : … Hana : Hi hi, je plaisante !
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 4 Juin - 23:21 | |
| Setsuna & Kaze - Spoiler:
Soutien C Kaze : Aaah. Cela devrait suffire pour aujourd’hui. Setsuna : Kaze. Kaze : Setsuna ?! Setsuna : Je suis venue vous informer que le conseil de guerre a été reporté. Kaze : Je vois. Merci. Vous m’avez vraiment surpris, vous savez. Setsuna : Ah, oui… On me dit souvent ça. Kaze : Je n’arrive pas à croire que vous ayez pu m’approcher sans que je vous voie. Il semble que vous me surpassiez, question furtivité. Quelle honte… Setsuna : Par chance, et rien de plus. J’étais perdue dans mes pensées, tout simplement… Kaze : Inutile d’être modeste, je sais reconnaître le talent quand je le vois. Cependant, pour être franc, il pourrait être bon de développer vos talents naturels. Vous êtes déjà si furtive, imaginez ce que vous feriez après un entraînement ninja. Setsuna : Moi, suivre un entraînement ninja ? Kaze : Oui. Un tel entraînement ferait de vous un atout considérable pour Dame Hinoka. Setsuna : Ce serait formidable… Seriez-vous prêt à m’entraîner, Maître Kaze ? Kaze : Pardon ? Setsuna : Je souhaite être utile à Dame Hinoka. Enseignez-moi tout, s’il vous plaît. Kaze : Hum… Très bien. Je vous apprendrai tout ce que je sais. Setsuna : Merci. Je compte sur vous. Kaze : Je ferai mon possible pour vous aider. Soutien B Kaze : Pour commencer votre entraînement, vous apprendrez à vous déplacer sans être vue. Restez dans l’ombre, fuyez la lumière. Allez jusqu’à cet arbre sans vous faire remarquer. Setsuna : Je vais essayer… Kaze : Je suis sûr que vous y arriverez très vite. Après tout, vous vous êtes glissée derrière moi sans effort, l’autre jour… Setsuna ?! Elle a disparu ! Je ne pensais pas qu’elle maîtriserait cela aussi vite… Setsuna : Kaze… Aidez-moi… Kaze : Setsuna ? C’est bien vous ? Setsuna : J’ai vu un champignon, et je suis tombée dans ce trou… Je ne peux plus sortir. Kaze : Ah, je vois… Vous êtes tombée dans un piège de chasseur. Est-ce que cela vous arrive souvent ? Setsuna : Oui. On me dit régulièrement que je ne fais pas assez attention… Kaze : Dans ce cas, nous devrions peut-être commencer l’entraînement par autre chose. Aujourd’hui, nous apprendrons à repérer, neutraliser, et s’échapper des pièges. Tenez, prenez ma main, je vais vous sortir de là. Setsuna : Merci… Kaze : Commençons par le plus facile : se sortir d’un piège dans lequel on est tombé. Setsuna : C’est facile, ça ? Kaze : Pour la plupart des pièges, oui. À condition d’en connaître le fonctionnement. Setsuna : Kaze… Vous prenez mon entraînement très au sérieux, n’est-ce pas ? Kaze : Évidemment. Ce n’est pas un tel revers qui va m’en dissuader. À présent, commençons. Setsuna : Bien… Je ferai de mon mieux. Soutien A Setsuna : Kaze… Kaze : Setsuna ! Je vois que vous progressez. Vous vous êtes tirée d’un filet ? Setsuna : Oui, j’ai pu m’en sortir en coupant les fils. Merci de m’avoir montré comment faire. Cependant, je ne suis toujours pas capable d’éviter ces pièges. Kaze : Hum… Nous allons devoir travailler ce point précis. Un ninja ne peut se permettre de tomber dans chaque piège qu’il rencontre. Setsuna : Pour moi, c’est tout de même un grand pas en avant. Kaze : Eh bien, techniquement, oui… Setsuna : Je vous ai apporté de la venaison pour vous remercier. Kaze : Merci. L’avez-vous prise vous-même ? Setsuna : Oui. Je suis très bonne chasseuse. Kaze : Je vois… Peut-être ai-je orienté votre entraînement dans la mauvaise direction. Setsuna : Que voulez-vous dire ? Kaze : Votre force réside dans votre arc et vos flèches, plus que dans l’art des ninjas. C’est vrai qu’un ninja doit savoir se faire oublier, mais il doit aussi être attentif. Avec le temps, vous pourriez peut-être faire un ninja acceptable… Mais il vaut mieux ne pas être un ninja du tout, plutôt que d’en être un médiocre. Il y a sur les champs de bataille trop de cadavres de guerriers tout juste passables. Vous, vous avez un talent d’archer que personne ne peut égaler. Je crois donc que vous devriez concentrer votre entraînement là-dessus. Setsuna : Bien… Je ferai cela. Ce qui m’importe, c’est d’être utile à Dame Hinoka. Kaze : Je suis heureux de l’entendre. J’adapterai donc nos prochaines sessions en fonction. Setsuna : Je suis impatiente d’y être. Kaze : Moi de même. Soutien S Setsuna : Kaze… Kaze : Oui ? Setsuna : Ces derniers temps, vous n’avez rien fait d’autre que m’aider à m’entraîner… Je ne voudrais pas vous tenir éloigné de vos autres obligations. Kaze : C’est tout ce qui vous préoccupe ? Ne vous inquiétez pas. Je le fais parce que je le veux. Il ne s’agit pas d’une obligation. De plus, je n’arrive pas à me concentrer quand je ne vous ai pas près de moi. Setsuna : Que voulez-vous dire ? Kaze : Vous tombez encore régulièrement dans des pièges, n’est-ce pas ? Dès que je ne suis pas avec vous, j’ai peur que cela vous soit encore arrivé. Et si c’était un piège fatal ? Mon cœur se serre de peur à cette idée. Setsuna : Kaze… Kaze : Je veux m’assurer d’être toujours près de vous afin de vous garder en sécurité… Setsuna : Kaze ? Est-ce que ça va ? Kaze : Setsuna. Je dois vous dire quelque chose. Pardonnez-moi… Setsuna : Qu’y a-t-il ? Kaze : Je suis amoureux de vous. Setsuna : Quoi ?! Kaze : Je crois que c’est pour cela que votre sécurité m’importe autant, depuis peu. Je veux être près de vous pour empêcher qu’il vous arrive le moindre mal. Setsuna : Oh… Kaze : Cette idée vous est-elle détestable ? Setsuna : Non ! Je… Je vous aime aussi, Kaze. C’est pour cela que je m’entraîne autant avec vous. Je ne veux pas vous quitter. Kaze : Grâce à vous, je suis le ninja le plus heureux qui soit, Setsuna. Setsuna : Et aucun archer n’est plus heureux que moi. Un futur radieux nous attend !
Azama & Rinkah - Spoiler:
Soutien C Rinkah : Hé, l’hérétique ! Attends une seconde ! Azama : Rinkah, ce n’est pas la meilleure façon de débuter une conversation. Rinkah : Pourquoi ? C’est ce que tu es, non ? Azama : Choisissez mieux vos mots. Un hérétique est quelqu’un en désaccord avec sa foi. Comme un moine paresseux qui ferait passer ses désirs avant son devoir. Rinkah : Attends un peu. Cette description me rappelle quelqu’un… Mmh… Toi. Azama : De quel aspect de ma personnalité parlez-vous, exactement ? Rinkah : Eh bien, tous. C’est bien ce que je dis, c’est ton portrait tout craché ! Azama : Hum, je crains que nous ne soyons en désaccord sur ce point… Rinkah : Bah, peu importe. Si tu t’occupais de ma blessure plutôt ? Ça fait mal. Azama : Vous m’avez insulté et dénigré, pourquoi devrais-je vous aider ? Vous avez dépassé les bornes en me parlant aussi cruellement. Rinkah : Parce qu’on est alliés, quoi d’autre ? Azama : Ha ha, vous avez une drôle de façon de le montrer. En général, les alliés ne s’insultent pas et ne s’accusent pas sans fondement. Si vous voulez que je vous aide, il faut me donner quelque chose en échange. Rinkah : Mouais, mais je n’en ai pas envie. Alors dépêche-toi de m’aider. Azama : Je ne pensais pas être un jour aussi peu motivé pour faire ça. Honnêtement, j’ai envie de changer de vocation rien qu’en vous parlant. Rinkah : Très bien. Alors je vais juste attendre que ma blessure guérisse toute seule ! Azama : Ha ha ha, bonne chance. Soutien B Rinkah : Hé ! L’hérétique ! Azama : Encore vous ? N’ai-je pas déjà dit que je n’avais enfreint aucun commandement ? Rinkah : Oh, pitié. Je sais reconnaître un hérétique quand j’en vois un. J’ai même des preuves. Azama : Hein ? De quoi parlez-vous ? Rinkah : Tu es censé être un moine, non ? Mais au fond de toi, tu ne crois pas aux dieux. Il paraît que tu as dit un jour : « Toutes les religions sont absurdes. » C’est vrai ? Azama : Hum, je crois oui. C’était il y a longtemps. Rinkah : Attends, tu ne nies même pas ? Tu romps forcément tes vœux en disant ce genre de choses ! Azama : La foi est une chose très fluctuante. Elle peut prendre différentes formes. Je suis juste du genre à faire remarquer tout ce que je trouve stupide. Même si ce sont des dieux ou des rois. Ça ne fait aucune différence, à mes yeux. Rinkah : Alors pourquoi es-tu moine ? Ça n’a aucun sens. Azama : Ça m’est venu naturellement. Ma famille gérait un temple quand j’étais enfant. Et ce style de vie me convenait bien. Rinkah : C’est pathétique. Tu devrais plutôt être mû par des convictions religieuses, non ? Je suppose que tu ne crois pas au dieu du feu. Notre tribu le vénère plus que toute autre divinité. Azama : Le dieu du feu ? Oh, vous parlez de cet ancien dragon que les gens prient. Je connais vaguement ce dieu, mais honnêtement, il ne m’intéresse pas trop. Rinkah : Je vais t’y intéresser, tu vas voir ! Assieds-toi ! Je vais t’expliquer pourquoi notre dieu est incroyable ! Nous avons une bonne raison de le vénérer, tu t’en doutes bien. Azama : Je pense que je vais m’en dispenser. Parlez si vous voulez, moi, je ferai la sieste… Rinkah : Attends. Écoute juste ce que j’ai à dire, Azama ! Azama : Bah, vous me donnez mal à la tête… Soutien A Rinkah : Salut, l’hérétique. Azama : Ce n’est pas très gentil d’insulter les gens. Mais vous ne changerez pas. Vous êtes bien trop têtue. Rinkah : Peut-être que tu n’étais pas fait pour être moine. Tu as déjà pensé à changer de vocation ? Azama : Bien sûr, ça m’arrive de temps en temps. Rinkah : Tu ne crois en aucun dieu, alors pourquoi ne pas explorer d’autres possibilités ? Azama : Ma foi est peut-être moins profonde que chez d’autres, mais j’ai un don. Je peux redonner espoir aux gens ou leur inspirer de la joie, si j’en ai envie. Rinkah : Ce n’est pas une bonne raison pour rester moine, Azama. Comment peux-tu jouer avec les gens comme ça ? Tu es un charlatan. Azama : Vous ne savez pas ce que j’ai dû traverser pour devenir moine. J’ai passé des années à endurer des entraînements épuisants en montagne. Mes sentiments sont toujours mitigés depuis ces expériences. C’est comme si traverser autant d’épreuves m’avait rendu aigri. Rinkah : C’est dingue. Tes motivations sont très étranges, Azama. Azama : Je veux juste profiter de la vie. C’est tout ce qui m’importe. Rinkah : Aah… Bah, malgré ton attitude bizarre, ce que tu fais semble aider les gens. Et à l’évidence, tu te consacres pleinement à l’entraînement requis par ta vocation. Peut-être que tu n’es pas si nul, en fin de compte. Azama : Pardon ? Vous avez dit quelque chose ? Rinkah : Non, rien. Tu disais que tu t’étais entraîné dans les montagnes, pas vrai ? Tu as déjà visité les montagnes sacrées où l’on honore le dieu du feu ? Azama : Bien sûr. Je les connais bien. Rinkah : Il faut que tu m’emmènes en pèlerinage là-bas ! Si tu le fais, je promets de ne plus jamais te traiter d’hérétique. Azama : Mmh… Ça semble demander beaucoup d’efforts pour pas grand-chose. Rinkah : Arrête de te plaindre ! Et si je te donne un joli cadeau ? Tu m’emmèneras ? Azama : Comment ça ? Je ne suis pas un enfant. Vous ne m’achèterez pas avec un jouet. Mais bon, d’accord… Si je vais par là, je vous emmènerai peut-être. Rinkah : Oui ! Tu as promis ! Oh j’ai tellement hâte de voir les montagnes, Azama ! Azama : Hé, attendez une seconde. Je ne vous ai rien promis du tout. Soutien S Azama : Rinkah, pouvons-nous discuter ? Rinkah : Bien sûr, Azama. C’est quoi ? Une carte ? Azama : Oui, elle représente les montagnes alentour. Il y en a même certaines où l’on honore ton précieux dieu du feu. Si vous vous joigniez à moi pour un pèlerinage, un de ces jours ? Rinkah : Bien sûr ! Oh, j’ai hâte… On devrait même y aller tout de suite ! Azama : Si vous voulez bien, j’aimerais être votre guide. Rinkah : Tu me serais d’une grande aide. Mais pourquoi tu as changé d’avis, comme ça ? Tu es si conciliant, brusquement. C’est louche… Azama : Ce n’est pas faux. Ah, je l’avoue, j’adore partir en pèlerinage et voir des lieux saints. Et ce serait intéressant d’apprendre à nous connaître un peu mieux. Rinkah : Qu’est-ce que tu veux dire ? Azama : Je dois admettre que j’aime beaucoup nos joutes verbales. Et c’est très amusant de vous énerver ! Depuis votre proposition, voyager avec vous me semble être une idée formidable. Peut-être qu’une fois en montagne, vous finirez par chanter mes louanges. Rinkah : Tu es un type vraiment surprenant, Azama. Azama : Rinkah, j’essaie de vous dire que je vous aime. Rinkah : Q-Quoi ?! Mais c’est quoi, cette logique ?! Comment peux-tu penser ça ? On s’entend comme chien et chat ! Azama : Ha ha ha. Votre visage est tout rouge. Rinkah : Hé, tais-toi ! Le tien aussi ! Azama : Peut-être que j’aurai dû m’exprimer plus simplement. Je crois que j’étais juste nerveux et que je n’osais pas exprimer mes sentiments. Rinkah : Non, je comprends. À vrai dire, je t’apprécie beaucoup aussi. Je crois que c’est pour ça que j’essayais de te rabattre le caquet tout le temps. Mais si tu veux qu’on soit ensemble, il faut que tu te penches plus sur le dieu du feu. Ça fait partie intégrante d’une relation avec quelqu’un de ma tribu ! Azama : Ha ha ha ! Je pense que j’en serai capable.
Subaki & Azama - Spoiler:
Soutien C Azama: Regardez qui voilà : Subaki. Subaki : Regardez qui voilà : Azama. Azama : Euh, si ça ne te fait rien, j’aimerais autant que tu ne répètes pas tout ce que je dis. Subaki : Répéter tout ce que tu dis ? Mais je te retournais simplement la politesse. Azama : Ça me ressemblait terriblement. Et n’as-tu pas entendu la rumeur à notre sujet ? Subaki : Une rumeur circule à notre sujet ? Mais nous nous connaissons à peine. Azama : Oui, eh bien, cela n’a pas l’air d’empêcher les gens de nous comparer ! On dit que toi et moi, nous nous entraînons ensemble. Étant donné la réputation que tu traînes, j’ai du mal à le supporter. Subaki : Ah oui ? Et quelle réputation est-ce que je traîne, exactement ? Azama : Celle qui veut que tu sois parfait, bien entendu. Ce qui est grotesque, si tu veux mon avis. La vraie perfection ne peut être atteinte. Que l’on puisse simplement le penser m’exaspère au plus haut point. Mais j’imagine que cela doit t’ennuyer aussi que l’on te compare à moi. Subaki : Bien au contraire, je suis honoré que l’on me compare à un mystique tel que toi. Azama : Je t’en prie, cesse donc ces flatteries. Tout le monde sait que tu as un talent inné, un point c’est tout. Il doit certainement être plaisant d’être doué en toutes choses. Subaki : Alors, en fait… Azama : Oui ? Subaki : Bah, laisse tomber. Ce n’est pas la peine d’en parler. Au revoir, Azama. Azama : Hum… Étrange. Soutien B Azama: Ahh… Rien de tel qu’une promenade en montagne pour éveiller le corps et l’esprit. Et la vue de là-haut est tout simplement sublime ! Qu’est-ce que… ? Quelqu’un vient par ici ! Subaki : Pff… Pff… Azama : Subaki ! Qu’est-ce que tu fais sur ce sentier ? Subaki : Oh, Azama ! Bonjour, euh… Azama : Tu es essoufflé ? Est-ce possible ? Je ne t’ai jamais vu faire le moindre effort. Subaki : Eh bien, oui. Ah, c’est embarrassant… Je viens m’entraîner ici pour que personne ne me voie… Azama : Ah… Je comprends. Tu veux paraître naturellement parfait. Ai-je raison ? Subaki : Oui. Ça fait peut-être de moi quelqu’un de superficiel, mais c’est comme ça. Maintenant que tu m’as vu, tout le monde va le savoir de toute façon. À moins que tu ne le dises à personne… Azama : Ne t’inquiète pas. Avec moi, ton secret est bien gardé. Mais je dois bien admettre que ça me soulage de voir que tu es normal. Subaki : Eh bien, j’ai failli t’en parler la dernière fois mais je n’ai pas eu le courage… Regarde-nous. Tous les deux sur le pied de guerre, au point du jour. Nous ne sommes vraiment pas si différents, après tout. Azama : Je suppose que non. Subaki : Bien, les gens ne vont pas tarder à se lever. Nous devrions redescendre. Azama : Après toi. Soutien A Subaki : Et… voilà ! J’ai trié le contenu du placard par couleur et par ordre alphabétique. Hoshidien : Ouah ! Merci, Monsieur Subaki ! Azama : Hé… Subaki : Oh, bonjour Azama. Comment vas-tu ? Azama : Voilà donc ce salut si amical qui a fait ta célébrité. Subaki : Oui, c’est bien lui, en effet… Je suppose que je peux baisser ma garde avec toi, après l’autre jour. Tu sais déjà à quel point je suis calculateur, tout comme toi. Azama : Oui, je suis calculateur. Mais il y a une différence fondamentale entre toi et moi. Subaki : Ah oui ? Laquelle ? Azama : Tu te présentes à autrui sous un aspect très travaillé, n’est-ce pas ? Moi, au contraire, je me moque bien de ce que les autres peuvent penser de moi. Subaki : Oui, je suppose que tu as raison. Si nous expliquions cela aux gens, ils arrêteraient de nous comparer. Azama : C’est ce que je pense aussi. Je vais de ce pas le dire à tout le monde. Subaki : Quoi ?! Non ! Je croyais que tu savais garder les secrets ! Azamai : Ha ha ! Je te fais marcher, c’est tout. Voilà une autre différence entre toi et moi. Moi, j’ai un sens de l’humour ! Subaki : Ah… oui. Ha ha, très drôle. Azama : Oui, c’est ça ! Continue comme ça et nous serons bientôt indissociables !
Hinoka & Saizo - Spoiler:
Soutien C Hinoka : Qui est là ? Montrez-vous ! Saizo : Félicitations, Dame Hinoka. Malgré mes talents de furtivité, vous m’avez détecté presque immédiatement. Hinoka : Je me doutais que c’était toi. Tu possèdes une aura bien particulière. Saizo : Je pourrais dire la même chose de vous, Dame Hinoka. Hinoka : Ha ha… Nous nous connaissons depuis longtemps et tu n’as pas beaucoup changé. Bref, pourquoi es-tu debout à cette heure tardive ? Saizo : Messire Ryoma m’a confié une lettre secrète. Il m’a demandé de vous l’apporter, ici et maintenant. Hinoka : Ryoma m’a écrit ça ? De quoi s’agit-il ? Saizo : Je ne sais pas. Je n’ai pas à lire ses lettres. Hinoka : Très bien. Je vais la lire… Que… ? Hum, d’accord. Saizo : … Hinoka : Merci de me l’avoir apportée. Bon travail, Saizo. Saizo : Merci. Je dois retourner auprès de mon maître maintenant. Hinoka : Déjà ? Tu ne veux pas savoir ce que la lettre disait ? Saizo : Non. Mon travail est terminé. Au revoir, Dame Hinoka. Hinoka : Hum… Soutien B Saizo : Bonjour, Dame Hinoka. Hinoka : Ah, Saizo. As-tu une autre lettre de mon frère ? Saizo : En effet. Tenez. Hinoka : Ah… Très bien… Saizo : … Hinoka : Hum… Compris. Saizo : Dans ce cas, au revoir. Hinoka : Saizo… Tu ne veux vraiment pas savoir ce qu’il y a dans la lettre ? Saizo : Pas du tout. Je n’ai pas l’intention de me mêler des affaires de mon maître. Je lirai ses lettres s’il me l’ordonne, mais pour l’instant, il ne me l’a pas demandé. Hinoka : D’accord. Mais tu sers mon frère ainsi que ma famille depuis un long moment. Si j’étais à ta place, ça me dérangerait de ne pas être dans la confidence. Saizo : Nos points de vue sont différents… Dame Hinoka… On dirait que vous voulez absolument me révéler le contenu de cette lettre. Hinoka : N-Non. Pas du tout… Saizo : D’accord. Je vous présente mes excuses. Hinoka : Bien… Voilà ma réponse. Fais en sorte que Ryoma l’ait rapidement, s’il te plaît. Saizo : Messire Ryoma l’aura, même si cela doit me coûter la vie. Hinoka : Saizo… Soutien A Hinoka : Saizo… Je souhaiterais m’excuser. Saizo : Pourquoi ça, Dame Hinoka ? Hinoka : Pour me servir de toi en tant que messager entre mon frère et moi. Mais il y a une explication. En réalité, c’est un noble hoshidien qui est à l’origine de tout cela… Il t’a accusé de transmettre des informations à l’ennemi, Saizo. Saizo : Comment ?! Hinoka : Mais c’était une manœuvre pour semer la discorde au sein de notre famille. C’était un traître qui voulait se débarrasser de la famille royale. Je ne l’ai jamais apprécié. Il doit être au fond d’une cellule maintenant. Saizo : D-D’accord… Hinoka : Ryoma a décidé de te tester avec toutes ces lettres. Saizo : Messire Ryoma me testait ?! Hinoka : Ne lui en veux pas. On ne peut pas ignorer de telles accusations, malheureusement. Il fallait faire quelque chose pour découvrir la vérité. Plusieurs nobles du conseil de guerre doutaient de toi, ce n’était pas le seul. Saizo : Je comprends… Hinoka : Mais sache que Ryoma et moi étions convaincus de ton innocence. Saizo : C’est pour ça que vous m’avez demandé si j’avais lu les lettres ? Pour me tester ? Hinoka : Eh bien, oui. Saizo : Dans ce cas, je vous demande pardon. J’ai gâché votre temps, ainsi que celui de Messire Ryoma. Hinoka : Tu n’as pas à t’excuser. Tout ce cirque n’a servi à rien, ce n’était qu’une manœuvre politique. C’est à nous de nous excuser de t’avoir fait subir tout ça. Saizo : Ne vous en faites pas, Dame Hinoka. Dites-moi, si j’avais ouvert cette lettre, qu’auriez-vous fait ? Hinoka : Je t’aurais sûrement abattu sur-le-champ. Saizo : C’est ce que j’aurais fait si j’avais été à votre place. Vous et Messire Ryoma avez fait ce qu’il fallait. Je suis fier d’avoir pu vous prouver ma loyauté sans faille. Hinoka : Heureusement que nous avons des serviteurs aussi loyaux que toi en Hoshido. Nous te sommes reconnaissants pour tes fidèles services, Saizo. Saizo : Merci de me l’avoir dit, Dame Hinoka. Soutien S Saizo : Dame Hinoka, vous êtes occupée ? Hinoka : Saizo… Je suis vraiment navrée pour l’autre fois. J’ai vraiment honte de ce que nous t’avons fait subir. Saizo : Vous êtes d’une grande gentillesse, Dame Hinoka. Hinoka : Quoi ? Saizo : Vous m’avez demandé plusieurs fois si je voulais connaître le contenu des lettres. Était-ce votre manière de me signaler que l’on doutait de moi ? Hinoka : En effet… Je ne pouvais pas te le dire directement, mais j’ai essayé de te prévenir. Saizo : J’étais suspecté, vous n’aviez pas à le faire. Mais… c’est ce geste de bonté qui m’a fait tomber amoureux de vous. Hinoka : Q-Quoi ?! Amoureux ?! Saizo : Oui. Pardon de vous le dire comme ça. Je comprends votre surprise. Mais je suis venu vous voir parce qu’il fallait que ça sorte. Bien sûr, ce n’est qu’un rêve. Nous ne faisons pas partie du même milieu social. Le simple fait de vous révéler cela n’est pas conseillé vu ma position. Malgré ça, il fallait que je vous le dise. Pardonnez-moi, Dame Hinoka. Hinoka : Saizo… Je n’ai pas à te pardonner quand tu n’as rien fait de mal. Moi aussi, je t’aime. Saizo : Que… ?! Hinoka : Et ce depuis que j’ai vu ta loyauté sans faille envers Ryoma. Je sais qu’il est ton maître, et qu’il est donc ta priorité absolue. Mais j’espère qu’un jour, je serai aussi chère à ton cœur. Saizo : Dame Hinoka… Je suis si ému. Rien ne m’avais jamais autant touché. Si vous me le permettez, je vous réserverai la plus grande place dans mon cœur. Hinoka : Merci, Saizo. Mais ça ne fait rien si mon frère reste ta priorité jusqu’à la fin de la guerre. Pour l’instant, nous devons le protéger, pour le bien de notre nation. Saizo : D’accord ! Hinoka : Aidons Ryoma à amener la paix le plus tôt possible. Saizo : Rien ne me ferait plus plaisir.
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 9 Juin - 17:47 | |
| Hinoka & Hayato - Spoiler:
Soutien C Hayato : Bonjour, Hinoka. Que faites-vous de beau, dites-moi ? Hinoka : Je confectionne des grues en papier, Hayato. Hayato : Des grues ? Vos pliages sont si minutieux. Cela semble difficile. Hinoka : As-tu déjà essayé de faire de l’origami, Hayato ? Hayato : Eh bien, je connais, mais je n’ai jamais essayé, non. Mais pourquoi autant de pliages ? Cela vous amuse-t-il à ce point ? Hinoka : La tradition veut que l’on fasse des grues en papier en formulant un vœu. On peut prier pour que quelqu’un se rétablisse, pour la paix dans le monde… Après, il faut confectionner 1 000 pliages de grues pour que le vœu se réalise. Hayato : 1 000 ?! Il faut vraiment que vous teniez à votre vœu pour vous imposer cela. Hinoka : Quand j’étais enfant, j’ai assisté au départ de mon père pour la bataille. Ce jour-là, j’ai fabriqué des grues en priant pour qu’il revienne indemne. Aujourd’hui, je prie pour que notre armée progresse sans encombre. Hayato : C’est fou de penser au soin et à l’amour que vous mettez dans votre ouvrage. Laissez-moi vous aider. Je pense pouvoir rendre ces grues encore plus efficaces. Hinoka : Que veux-tu dire ? Hayato : Avec mon aide, vos espoirs peuvent se réaliser. Alors, qu’en pensez-vous ? Puis-je vous aider à fabriquer des grues ? Hinoka : Bien entendu. Même si je ne comprends toujours pas ce que tu as en tête. Hayato : Hé hé, ne vous en faites pas. C’est un secret. Soutien B Hayato : Dites, Hinoka, auriez-vous une minute ? Hinoka : Oh, Hayato. Souhaites-tu toujours m’aider à faire des grues en origami ? Hayato : Oui. J’ai apporté ce qu’il faut pour améliorer leur efficacité. Regardez. Hinoka : Un pinceau et de l’encre ? Que veux-tu en faire ? Écrire quelque chose ? Hayato : Précisément. Je vais tracer un charme sur chaque feuille de papier. Nous pourrons alors plier nos grues en gardant le vœu à l’esprit. De cette manière, nos espoirs seront démultipliés, ne croyez-vous pas ? Hinoka : Ha ! Je te reconnais bien là. Marier ainsi les désirs à la magie… Hayato : Hé hé, sont-ce des félicitations ? Hinoka : C’est très attentionné de ta part, Hayato. Merci de chercher à rendre mes grues encore plus magiques. Hayato : C’est un plaisir. Alors, je trace d’abord le charme, puis je vous passe la feuille. Vous vous chargez de la plier, et en un rien de temps, nous aurons des tas de grues ! Hinoka : Quelle efficacité, en effet ! Hayato : Quand j’en aurai fini avec les charmes, je vous aiderai à plier les feuilles. Hinoka : Merci. Je vais te montrer comment faire quand tu seras prêt. Hayato : Oh oui, s’il vous plaît ! Ouah, j’ai hâte de tracer ce millier de charmes. Hinoka : Je suis contente que tu sois si enthousiaste. Allez, au travail ! Soutien A Hayato : Avez-vous terminé la dernière ? Hinoka : Oui ! Voici la millième grue ! Elles sont toutes magnifiques. Merci, Hayato. Avec ton aide, j’ai pu terminer bien plus rapidement. Hayato : Ce n’était pas bien sorcier. Merci de m’avoir laissé vous aider. Hinoka : Espérons que ces pliages porteront chance à nos soldats pendant la bataille. Hayato : Je suis sûr qu’ils se montreront efficaces. Je crois en vous. Hinoka : Merci, Hayato. Hayato : La force d’un vœu dépend de la passion avec laquelle il a été formulé. Ces 1 000 grues abritent un charme, mais aussi des sentiments sincères. Je sais que cela fonctionnera. Hinoka : Puisses-tu avoir raison. Je donnerais tout pour ramener la paix dans le monde. Avec un peu de chance, ces grues y contribueront. Hayato : Vous êtes le visage même du courage, Hinoka. Je serai toujours à vos côtés. Hinoka : Ta compagnie me rassure, Hayato. Je suis heureuse de pouvoir compter sur toi. Hayato : Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour vous aider. Soutien S Hayato : Attendez… C’est ici qu’il faut plier ? Hinoka : Oui. Plie cette partie vers l’arrière. Sinon, tu ne pourras pas faire le pli suivant. Tu comprends ? Hayato : Ouah, ce n’est pas du gâteau. Je ne savais pas que l’origami pouvait être si compliqué. Hinoka : Eh bien, crois-moi, tu t’en sors comme un chef ! Hayato : Si je comprends bien, cette fleur est un modèle assez basique ? Je dois apprendre d’autres pliages si je veux devenir aussi doué que vous ! Hinoka : Hé hé, tu crois pouvoir y arriver ? Je suis une spécialiste, tu sais, alors accroche-toi. Hayato : Oh, je vois… Hinoka : Il y a un problème, Hayato ? Hayato : Je me disais juste que l’impression que j’avais de vous a totalement changé. Hinoka : Que veux-tu dire ? Hayato : La première fois qu’on s’est rencontrés, je croyais que vous n’aimiez que le combat. Mais aujourd’hui je réalise que vous êtes pleine de compassion pour vos amis. Hinoka : Oh, arrête un peu ! Tu vas me faire rougir ! Hayato : Je suis désolé, mais c’est ainsi que je ressens les choses. J’aime vraiment cet aspect de votre personnalité, Hinoka. Hinoka : C-Comment ?! Hayato : Votre compassion et vos espoirs pour le monde et la paix me touchent beaucoup. J’ai compris que ce que je voulais c’était être auprès de vous. Je sais que tracer quelques charmes sans queue ni tête n’a pas beaucoup de sens… Mais mes sentiments envers vous sont réels. Hinoka : Hayato, je ne sais pas quoi dire. Hayato : Oh… Hinoka : J’ai une grande confiance en toi, et tu es tellement gentil. Ta déclaration me rend si heureuse qu’elle me laisse sans voix ! Hayato : Alors… acceptez-vous d’être mienne ? Hinoka : Oui, Hayato. Nous pourrons nous soutenir mutuellement en ces temps troublés. Hayato : Comme je suis heureux ! Je promets que je serai là pour vous, quoi qu’il advienne ! Hinoka : Je sais que je peux compter sur toi.
Hayato & Orochi - Spoiler:
Soutien C Orochi : Ah, te voilà, Hayato ! Hayato : Vous me cherchiez ? Qu’est-ce que je peux faire pour vous, Orochi ? Orochi : Nous avons un point en commun : la magie. Et j’aimerais échanger des herbes avec toi. Hayato : Oh, c’est tout ? Orochi : Qu’y a-t-il de plus important que ça ? Mettons nos ressources en commun. Imagine toutes les potions que l’on pourrait confectionner ! Ça me donne le vertige. Hayato : D’accord, je suis pour. Orochi : Je crois que c’est toi qui feras la meilleure affaire, par contre. Je possède une collection assez complète d’herbes. Tu serais impressionné. Hayato : Ma collection n’est pas si grande que ça… Mais je suis sûr que mes herbes sont plus rares. Orochi : Pourquoi est-ce que tout le monde essaie toujours de faire mieux que les autres ? Hayato : Pardon. Ce n’était pas mon intention. Mais soyons honnêtes, vous fanfaronniez ! Orochi : Sur la taille de ma collection ? Je disais la vérité, rien d’autre. Hayato : Et si nous déterminions lequel d’entre nous possède l’herbe la plus rare ? Orochi : La victoire est mienne. Vois plutôt, les feuilles d’une herbe qui ne pousse dans les champs que la nuit venue… Et ces champs ne se trouvent qu’en Nohr. On ne les trouve nulle part ailleurs. Hayato : Oh, ouah. Vous avez raison. C’est difficile de se la procurer, si proche de la frontière. Mais j’ai quelque chose d’encore plus rare ! Vous voyez ? C’est une herbe qui pousse sur les falaises de la tribu du vent ! Peu s’aventurent à aller chercher cette herbe ! Et peu survivent à l’ascension ! Orochi : Oh, non… Hayato : Oh, si. De plus, votre herbe ne s’utilise qu’en poudre cicatrisante de base. La mienne guérit… Et fait tomber les fièvres les plus virulentes ! Orochi : Très bien. J’imagine que tu as gagné cette manche, Hayato. Hayato : Ha ! Victoire ! Orochi : Mais es-tu le meilleur herboriste ? Prêt à relever un autre défi ? Hayato : D’accord… Mais je le remporterai aussi. Je me suis bien amusé, Orochi. Soutien B Orochi : Alors, tu es prêt pour un nouveau défi botanique, Hayato ? Hayato : Oui, prêt à gagner. Orochi : C’est mignon. Le petit bonhomme se vante déjà, avant d’avoir fait quoi que ce soit. Hayato : Quoi ? C’est vous qui avez commencé à vous vanter, Orochi ! Orochi : Et ta victoire de la dernière fois m’a montré que j’avais tort. Mais pas aujourd’hui. Si on voyait qui de nous deux concocte la meilleure potion ? Hayato : Une bataille de potions ? Orochi : Une bataille de puissance. J’ai deux cartes blanches ici. Plus la potion est puissante, plus elles seront rouges. Préparons nos potions, laissons tremper nos cartes, et nous saurons qui a gagné ! Hayato : C’est ridicule. Où avez-vous trouvé ces cartes ? Tout ça m’a l’air louche. Orochi : Non, Hayato. Je n’aurais aucune satisfaction à gagner un jeu truqué. Commences-tu à avoir peur ? Est-ce que tes potions… ? Hayato : Mes potions sont assez puissantes, merci bien. Bien plus que les vôtres ! Orochi : Tant mieux. Parce que tu peux compter sur la précision de ces cartes. On les utilise au château pour s’assurer que les potions soient bien dosées. Ces petites merveilles feront bien leur travail, je le jure. Hayato : B-Bien. Alors commençons. Orochi : Hé. Je préfère ça. Prêt à touiller ? Le défi consistera à préparer un puissant remède contre le rhume. Et… C’est parti. Pfiou ! J’ai déjà fini. Et toi, Hayato ? Toujours en train de préparer ta potion ? Hayato : Non, j’ai fini ! Fastoche ! Allez, trempez votre carte. Je tremperai la mienne. Et nous verrons qui a… Ouah. La vôtre est bien plus rouge. Orochi : La victoire appartient à Orochi ! Hayato : C-C’était le tour d’essai ! Recommençons. Pour de vrai cette fois ! Orochi : Tu pourrais faire une centaine de tours d’essai, tu ne gagnerais jamais contre moi. Admets-le. Tes potions manquent de puissance. Hayato : Non ! Nouveau défi : nous concocterons une potion de guérison. Ma préférée ! Préparez-vous ! Et une potion, une… Orochi : Très bien. Mais je vais encore gagner… Hayato : C’est fait ! Et la carte trempe déjà ! Allez, Orochi ! Tu es à la traîne ! Orochi : Hein ? Tu as gagné ? Ce doit être un coup de chance. Nouveau défi : préparer un baume contre les caries ! Hayato : Contre les caries ? Orochi : Tais-toi, microbe. Touille. Soutien A Hayato : Au fait, Orochi… Orochi : Oui, Hayato ? Oh ! Je voulais te dire que notre dernier concours était très amusant. Hayato : Vraiment ? Oh, tant mieux. J’avais peur d’avoir un peu trop eu… Orochi : L’esprit de compétition ? Ça m’a fait rire. Combien de défis avons-nous faits ? Hayato : Une centaine, je crois. Oui… C’était marrant. Orochi : Tant mieux. On a aussi fini avec un immense tas de potions. Nous avons des stocks entiers pour nous prémunir contre n’importe quelle maladie. Hayato : Oui. Alors, on arrête un peu les concours ? Il n’y a plus de place pour les potions. Orochi : Quel dommage. Je suis désolée pour la manière dont tout ça a commencé, au fait. Tu sais, quand j’ai commencé à me vanter de ma collection. Ce n’était pas très gentil. Quoi qu’il en soit, tu as gagné mon respect le plus total. Hayato : Vraiment ? Orochi : Oui. Je crois que je prenais la magie à la légère… jusqu’à ce que je te rencontre. Je n’avais jamais eu de rival. Grâce à ça… j’ai de nouveau pris la magie au sérieux. J’espère que notre petite rivalité t’a été tout aussi utile. Hayato : Bien sûr. J’ai enfin quelqu’un qui me pousse à parfaire mes formules. Orochi : Alors nous ne sommes plus des rivaux. Mais des partenaires. Hayato : Je suis bien d’accord, Orochi. Orochi : Une poignée de main ? C’est nouveau pour moi. Mais d’accord, serrons-nous la main ! Soutien S Hayato : Vous ai-je déjà dit à quel point je vous admirais, Orochi ? Orochi : Tu vas me faire rougir, Hayato. Ça fait longtemps que je suis devin, mais je reçois assez peu de compliments. Je t’ai déjà dit que… ? Non, je ne devrais pas… Si, je vais me lancer… J’ai gardé ce secret trop longtemps. Je désire apprendre tous les arts des plantes que tu connais. J’ai étudié les techniques hoshidiennes. Et tu connais celles de la tribu du vent. Hayato : Oh. C’était ça votre secret ? Orochi : Tu t’attendais à quoi ? Attends. De quoi voulais-tu me parler ? Hayato : Vous ai-je déjà dit à quel point je vous admirais, Orochi ? Orochi : Oui, il y a environ une minute. Hayato : Ah oui. Alors, là où je veux en venir c’est que… Nous sommes tous les deux devins. Orochi : Non, vraiment ?! Hayato : Oh, arrêtez. C’est déjà assez dur pour moi. Eh bien, le fait est que… Orochi : Oui, oui ? Dis-moi tout, ou Orochi va t’ôter les mots de la bouche. Hayato : Je suis amoureux de vous. Orochi : Oh, Hayato. Je suis désolée. Je fais souvent cet effet aux devins de la tribu du vent. Mais ils me font aussi cet effet. Je tombe toujours amoureuse d’eux. Hayato : V-Vraiment ? Attendez, c’est vrai ? Vous parlez de… Moi ?! Orochi : Bien sûr. La vraie question c’est… Qui d’entre nous a ressenti la magie passer entre nous en premier ? Hayato : Je suis sûr que c’était moi. Orochi : Non, c’était moi. C’est moi qui gagne ! Même si je suis sûre que tu n’étais pas loin derrière. Hayato : Pfiou ! Ça ne me dérange pas du tout de perdre ce défi. Orochi : Allez. Tu ne peux pas abandonner aussi facilement… Pas contre ta rivale. Hayato : R-Rivale ? Mais je veux que nous soyons… Orochi : Un couple ? Ça revient au même. Pour confectionner une potion d’amour éternel… Il faut se procurer de nouveaux ingrédients et les touiller fréquemment ! Hayato : Il faut aussi des défis palpitants ? Orochi : Aussi. Alors, peux-tu me promettre de m’apporter tout ça et plus encore, Hayato ? Une rivalité éternelle ? Un amour sans fin ? De toujours me porter de l’affection ? Hayato : Que le défi commence, Orochi !
Hayato & Mozu - Spoiler:
Soutien C Mozu : Pff… Qu’est-ce que je vais faire, maintenant ? Hayato : Mozu ? Qu’est-ce qui te chiffonne, dis-moi ? Mozu : Oh, Hayato. Je vous avais pas vu. Hayato : Que se passe-t-il ? Ne sois pas timide. Tu peux tout me dire. Tu sais que j’ai déjà aidé bien des gens avec mes charmes, n’est-ce pas ? Peut-être pourrai-je te conseiller, toi aussi. Mozu : Vous croyez ? Dans ce cas, vous auriez une minute ou deux à m’accorder ? Vous voyez, j’ai un problème… Je suis un peu nerveuse quand je vais au combat. Hayato : Cela me semble tout à fait normal. La plupart des soldats ont la boule au ventre avant une bataille. Mozu : Oui, mais je me sens si inutile sur le champ de bataille. La violence me tétanise. Quand je laisse mes émotions prendre le dessus, je suis plus bonne à rien. Hayato : Je comprends. Mozu : Vous avez déjà ressenti ça, Hayato ? Hayato : Je n’ai pas de problème. J’ai toujours su contrôler mes nerfs avant la bataille. C’est comme si je revêtais alors une carapace inébranlable. Mozu : C’est impressionnant. J’aimerais pouvoir me montrer aussi courageuse. Hayato : Je pourrais peut-être t’aider à vaincre ta peur avec l’un de mes charmes ? Mozu : Ce serait possible ? Je vous serais très reconnaissante d’essayer ! Hayato : Pas de problème. Attends-moi ici. Je vais chercher mon matériel. Mozu : Très bien ! Merci, Hayato ! Soutien B Hayato : Hé, Mozu. Puis-je te parler un instant ? Mozu : Bien sûr. C’est en rapport avec le charme dont vous me parliez ? J’aimerais vraiment me débarrasser de mes angoisses. Hayato : Justement, j’ai ce qu’il te faut. Avant la bataille, mets ce charme dans ta poche et inspire profondément. Tu pourras alors te battre l’esprit libre. Mozu : Je savais pas que les charmes étaient si simples et si utiles. Mais à vrai dire… Hayato : Oui ? Mozu : Je respire déjà profondément sur le champ de bataille… Ce charme ne servirait qu’à vider la tête, en quelque sorte ? Hayato : Ne sous-estime pas la puissance de mes charmes. Ma magie n’a rien d’une farce. Mozu : Qu-Quoi ? Non, j’oserais jamais mettre en doute vos pouvoirs. Hayato : Les charmes ne sont efficaces que si l’on croit en eux. Tu comprends ? Mozu : Oui. Et je crois en vos dons. Je veillerai à utiliser votre charme la prochaine fois. Hayato : À la bonne heure ! Je sais que tu en tireras un grand bénéfice. Aie confiance en moi ! Mozu : Bien sûr, vous avez raison. Je vous ferai savoir ce qu’il en est. Merci, Hayato. Hayato : C’est un plaisir, Mozu. Soutien A Mozu : Hayato ! Hé, Hayato ! Hayato : Hum ? Que puis-je pour toi, Mozu ? Mozu : Vous vous souvenez du charme que vous m’avez donné ? Eh bien, il s’est montré efficace au-delà de mes espérances ! Hayato : Hé hé, comme je l’avais prévu. Doutes-tu encore de mes pouvoirs à présent ? Mozu : Non, et je m’excuse si j’ai pu vous sembler sceptique à un moment. Grâce au charme, je n’ai ressenti aucune anxiété, même au plus fort de la bataille. Hayato : J’apporte depuis longtemps mon soutien à la tribu du vent avec de tels charmes. Mais si le bénéficiaire du charme ne croit pas en son efficacité, cela ne marche pas. Le fait que tu aies cru en son pouvoir a démultiplié son effet lors du combat. Mozu : Vous avez sûrement raison. Hum… Hayato : Qu’y a-t-il, Mozu ? Tu es bien silencieuse, tout à coup. Mozu : Hayato, on pourrait peut-être encore faire usage de vos talents de magicien… Hayato : Oh ? De quoi aurais-tu besoin cette fois-ci ? Mozu : Pourriez-vous préparer toute une série de ces charmes ? Hayato : Toute une série ? À quelles fins ? Mozu : Je me disais que nous pourrions en faire le commerce, et en tirer un bon bénéfice. Imaginez le nombre de soldats qui sont apeurés avant la bataille ! Hayato : J’ai peur de ne pouvoir autoriser cela, Mozu. Pour qu’un charme fonctionne, l’utilisateur doit être persuadé qu’il est unique. Si je les produisais en série, les effets seraient réduits à néant. Mozu : Oh, je vois. C’est bien dommage. Alors le charme que vous m’avez donné était fait sur mesure, en quelque sorte. Dans ce cas, je peux dire adieu à ma boutique de charmes, j’imagine. Hayato : Essaie plutôt de te contenter de ce que tu possèdes déjà, et remercies-en les dieux. Mozu : Oui, bien entendu. Merci, Hayato ! Soutien S Hayato : Mozu, je dois te parler de ce charme que j’ai créé pour toi. Mozu : Oh, bonjour, Hayato ! Qu’est-ce que vous vouliez me dire à ce sujet ? Hayato : Je voulais savoir s’il agissait toujours efficacement sur toi. Mozu : Oh oui, certainement. Tant que je l’ai avec moi, je ressens aucune crainte. C’est miraculeux. Hayato : J-Je vois… Mozu : Qu’est-ce qui vous préoccupe ? Vous avez l’air distant, soudain. Hayato : Tu as fini par accepter la véracité de mes pouvoirs, n’est-ce pas ? J’espérais que tu serais également prête à accepter la sincérité… de mes sentiments. Mozu : V-Vos sentiments ? Je comprends pas… Hayato : Mozu, je t’aime. Mozu : V-Vous… m’aimez ?! Vraiment ? Mais depuis quand ? Hayato : Depuis le jour où je te vis pour la première fois. Cela explique que j’ai voulu tout faire pour t’aider, avec ma magie notamment. J’ai tout de suite ressenti une inexplicable osmose entre nous. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui te ressemble. Mozu : J’aurais jamais imaginé que vous puissiez ressentir ça pour une fille comme moi. J’ai tendance à me montrer si froussarde, parfois… Vous êtes sûr de pouvoir aimer une personne si craintive ? Hayato : Naturellement. De toute façon, je ne puis rien y faire. Tu es celle qu’il me faut. Mozu : Hayato, j-je suis déboussolée… Hayato : Mozu, je dois savoir… As-tu des sentiments pour moi ? Si ce n’est pas le cas, je l’accepterai, mais je dois savoir à quoi m’en tenir. Mozu : Eh bien… Je sais que je peux compter sur vous, et je vous en suis reconnaissante. Et je suis pas la seule à le penser. Vous êtes toujours prêt à aider les autres. Et vous avez aussi toujours essayé de me remonter le moral dans les pires moments. Je vous remercierai jamais assez pour cela. Hayato : Je vois, tu ne ressens donc pas ce que j’éprouve pour toi… Mozu : C’est tout le contraire. Je trouve que vous êtes un homme merveilleux ! Hayato : Oh, Mozu ! Tes paroles me rendent si heureux ! Mozu : Je suis heureuse, moi aussi ! À partir de maintenant, nous veillerons l’un sur l’autre.
Hana & Azama - Spoiler:
Soutien C Hana : Très bien… cet endroit me semble idéal. Et cet arbre ne manquera à personne. Vas-y, Hana… Concentre ton énergie et… Yaaah ! Azama : Aïe ! Hana : Qu’est-ce que c’est que ça ? Les arbres ne sont pas censés crier ! Azama : Pfiou ! Ça n’est pas passé loin. Mais je me demande bien pourquoi cet arbre est tombé tout seul, brusquement… Hana : Azama ! Qu’est-ce que tu fais là ? Tu n’es pas blessé, j’espère ? Cet arbre ne t’a pas heurté en tombant ? Azama : Non, mais il s’en est fallu de peu que je ne finisse écrasé comme une crêpe ! Mais au fait, pourquoi donc coupes-tu des arbres ? Tu envisages une reconversion ? Hana : Euh, non, bien sûr que non. Je suis seulement venue m’entraîner. Je sais que beaucoup se contentent de se battre à l’aide d’épées en bois, mais… Moi, je trouve que ça manque un peu de piquant. Sans mauvais jeu de mots. Alors, parfois, je viens jusqu’ici pour m’entraîner avec une vraie lame. Azama : Je vois. Tu as besoin de sentir entre tes mains la puissance létale de l’acier. Hana : Eh bien, oui, j’imagine. Même si c’est une façon un peu emphatique de le formuler… Je pense juste qu’il vaut mieux s’entraîner avec l’arme que l’on utilise au combat. Azama : Bien entendu. Quoi qu’il en soit, je suis très impressionné que tu aies réussi à couper ainsi cet arbre. Tu aurais littéralement pu me tuer. Ho ho ! Hana : Oui… Je t’ai dit que j’étais désolée ? Soutien B Hana : Enfin… Une autre occasion de m’entraîner sérieusement ! Je ne vois ni Azama ni personne aux alentours, mais, par prudence… Je vais travailler sur une autre technique, aujourd’hui. Voyons à quelle vitesse je peux découper ces petites branches ! Yah yah yah yah yah yah yah ! Azama : Aïe ! Aïe aïe aïe aïe aïe aïe ! Hana : Oh non ! Dites-moi que ce n’est pas encore Azama… Azama : Tant de petits bouts de vois incrustés dans mon visage… Hana : Oh, non ! Je suis désolée, Azama ! Azama : Esquiver un arbre, passe encore. Mais une telle pluie d’éclats… Ah, Mademoiselle Hana. J’aurais dû me douter que tu te cachais derrière tout ça. Hana : Argh… Je suis vraiment désolée. Attends, laisse-moi te soigner… Azama : Non, ça ira. Mais que dirais-tu de ne pas t’entraîner juste à côté de moi pendant que je médite ? Hana : Pourtant, je te promets que j’ai regardé si la voie était libre ! C’est vraiment étrange… Azama : Oui. Une fois, c’est un hasard malheureux, mais deux, c’est pour le moins improbable ! Hana : Que veux-tu dire ? Tu ne crois quand même pas que je l’ai fait exprès ? Azama : Oh, je t’en prie. Nous savons tous deux que je ne suis pas très apprécié au campement. Ça ne serait pas si surprenant que l’on cherche à me faire du tort. Hana : Alors, que pouvons-nous faire pour éviter que cela se reproduise ? Azama : J’ai une idée. Tu n’as qu’à m’inviter chaque fois que tu viens t’entraîner. Hana : Mais… ne risques-tu pas d’être encore plus proche du danger… ? Azama : Eh bien, je préférerais être proche du danger, mais en toute conscience. Ces attaques surprises sèment le chaos dans mes psalmodies. Hana :Très bien. Je te préviendrai dès que je reviendrai m’entraîner. Azama : Je m’en réjouis d’avance. Soutien A Hana : Bien, concentre-toi, Hana… Tu dois abattre cet arbre ! Azama : Attends un peu ! Hana : Oh, Azama ! Qu’y a-t-il ? Tu es derrière moi, alors tu n’as rien à craindre ! Azama : Comment ça : « Qu’y a-t-il ? » Il y a que tu ne m’as pas prévenu que tu venais t’entraîner ! Tu devais m’inviter ! Hana : Aaah ! J’ai oublié, désolée… Azama : Tu n’as rien trouvé de mieux comme excuse ? Je suis au courant que tu es venue trois fois sans m’en avertir ! Hana : Quoi… ? Mais comment le sais-tu ? Azama : Oh, eh bien, voyons… Peut-être parce que j’étais là à chaque fois ! La première fois, tu as abattu un arbre si gros que l’impact m’a fait perdre l’équilibre. La deuxième fois, tu as effrayé des abeilles qui ont décidé de se venger sur moi. Et la dernière était la pire de toutes… Tu as lancé ton fourreau sans faire attention et je l’ai reçu dans l’œil ! D’ailleurs, une fois la douleur passée, je l’ai récupéré. Tiens, le voici. Hana : Oh… Merci… Je l’ai cherché partout… Azama : Ravi de t’être utile ! Hana : Mais il y a une chose que je ne comprends pas, Azama. Pourquoi ne t’es-tu manifesté à aucun moment ? Azama : Honnêtement, j’étais trop sidéré pour dire quoi que ce soit. Mais, maintenant que tu es au courant, j’attends mon invitation de pied ferme ! Hana : Oui, bien sûr. Je suis désolée. D’ailleurs, si ça ne te dérange pas… je dois m’entraîner, dès maintenant. Azama : Eh bien, tout s’est bien passé. Je suis indemne. Hana : On dirait que ton plan a fonctionné. Peut-être que tu avais raison. À moins que ce soit le karma. Tu méritais peut-être ces quelques bleus et bosses. Tu sais… pour te punir d’insulter les gens en permanence. Azama : Le karma ? Pff. Comme si je croyais au karma. Tout ce que je sais, c’est que je reviendrai avec toi à ton prochain entraînement. Hana : C’est d’accord. Soutien S Hana : Bonjour, Azama… Tu aurais une minute ? Azama : Oui, pourquoi ? Tu veux t’entraîner ? Très bien ! Je suis inactif depuis trop longtemps. Hana : Oui, mais il y a autre chose dont je voudrais te parler… Azama : Ah ? Ne suis-je déjà plus le bienvenu dans nos petites excursions ? Je ne sais pas si tu as remarqué, mais je fais de gros efforts de comportement. Hana : En réalité, j’espérais que tu serais d’accord pour m’accompagner tout le temps… Azama : Oui, bien sûr. C’est l’idée, non ? Attends… Tu veux dire vraiment tout le temps ? Pas juste quand tu t’entraînes ? Hana : Eh bien… oui. Je voudrais que nous soyons ensemble. Azama : Mais d’où sors-tu cette idée ? Aurais-tu reçu un coup sur la tête ? Tu sais que tu me parles à moi, Azama, n’est-ce pas ? Hana : Hé hé ! Ne te sous-estime pas. J’adore le fait que tu acceptes de venir ici, avec moi, chaque fois que je le veux. Et je crois que ta confiance commence à déteindre sur moi. Quand je suis avec toi, je me sens plus forte et courageuse. Alors, je me suis dit que… ça pourrait peut-être durer en permanence. Azama : Je vois… Quant à moi, je pense que c’est un signe que nous nous retrouvions sans cesse ici. Je ne crois pas à la plupart des choses auxquelles croient les autres moines… Mais je crois à une forme de destinée. Peut-être est-ce elle qui veut nous réunir. Hana : Est-ce que ça veut dire que… Azama : Oui. Unissons-nous. C’est notre destin. Hana : Ouiii ! Maintenant, enfile cette armure. Azama : Hein ? Pourquoi ? Hana : Parce que je dois m’entraîner, idiot. Je ne veux pas que tu sois écrasé par un arbre, à présent que nous sommes fiancés !
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Ven 10 Juin - 22:16 | |
| Hayato & Sakura - Spoiler:
Soutien C Sakura : Hayato, voulez-vous partager ces mochi aux haricots rouges avec moi ? Hayato : Des mochi aux haricots rouges ? Où les avez-vous trouvés ? Sakura : On me les a donnés. J’allais les manger et je vous ai vu, alors j’ai voulu les partager… Hayato : Les sucreries c’est pour les filles. Qu’est-ce qui vous a fait croire que j’en voudrais ?! Sakura : Oh… Je suis désolée si je vous ai offensé. Hayato : Ce n’est pas grave. Il y en a manifestement trop pour vous. Vous vouliez juste de l’aide. Alors, j’imagine que je peux en prendre une ou deux bouchées… Euh, Sakura ? Sakura : Mmh ! Désolée. Que disiez-vous ? Hayato : Je disais que si vous ne pouvez pas tout manger, je vous aiderai. Hé, mais… ! Où sont-ils passés ? Vous ne m’en avez même pas laissé un seul ? Sakura : Je suis désolée ! Vous avez dit ne pas en vouloir. Alors je les ai mangés. Hayato : Quoi ?! Vous avez tout mangé ? Déjà ? Sakura : Quand je vois des sucreries, je ne peux pas m’empêcher de les manger ! Vous… n’en vouliez pas, n’est-ce pas ? Hayato : Non ! Bien sûr que non ! Sakura : La prochaine fois, je ferai en sorte de vous en laisser un peu. Hayato : D’accord ! Je veux dire… Si vous insistez. Soutien B Sakura : Eh, Hayato ! J’ai apporté des mochi aux haricots rouges ! Vous en voulez ? Hayato : Oh… ces trucs-là. Oui… J’imagine. Sakura : Mmh ! Tenez. Prenez-en ! Hayato : Miam, miam ! Mmh ! C’est bon ! C’est même très bon ! Sakura : Hayato… Je ne veux pas être indiscrète… Mais peut-être aimez-vous les sucreries ? Hayato : Quoi ?! Non, pas du tout. Enfin… pas vraiment. Sakura : Ce n’est pas grave si vous ne voulez pas que ça se sache… Mais… Pourquoi ? Hayato : Les sucreries sont faites pour les enfants. Je ne veux pas qu’on me traite comme tel ! Sakura : Comment ? Hayato : Ma tribu s’attend à ce que je sois digne. Je ne peux pas me goinfrer comme un gamin ! Sakura : Vous ne pouvez pas manger ce qui vous plaît… à cause de votre réputation ?! Hayato : Non ! Je dois me montrer mature ! Sakura : J’ai une idée ! Et si vous ne mangiez de sucreries qu’en ma compagnie ? Tout le monde pensera que vous le faites pour me faire plaisir… Qu’en pensez-vous ? Hayato : Si vous insistez. Sakura : Génial ! Nous serons des compagnons de gourmandise ! Ce sera notre petit secret ! Soutien A Hayato : Sakura, devinez ce que j’ai là ! Sakura : Euh… serait-ce des boulettes au miel ?! C’est un de mes péchés mignons ! Hayato : Eh bien, il était temps que je vous rende la pareille pour tous ces mochi ! Sakura : Je les sens d’ici ! Puis-je en manger une ? S’il vous plaît ? Si vous voulez bien ! Hayato : Bien sûr ! Sakura : Cronch, cronch ! Mmh ! Ce doux sirop est divin, avec sa pointe de sel ! Ça ne vous dérange pas si j’en reprends, n’est-ce pas ? Mmh ! Cronch, cronch ! Hayato : Vous pouvez terminer le sachet. Je voulais vous poser une question. Sakura : Mmh. Oui ? Hayato : Vous auriez pu offrir ces mochi à n’importe qui. Pourquoi moi ? Sakura : Ça va vous sembler stupide, mais je croyais que nous avions à peu près le même âge. Hayato : Oui. Et alors ? Sakura : Il y a peu de jeunes gens par ici, alors j’ai pensé que nous nous entendrions bien. Mais finalement, vous êtes beaucoup plus mature que moi ! Hayato : Je ne sais pas si c’est vrai ! Sakura : Bien sûr que si ! Vous pensez toujours à vos responsabilités envers la tribu du vent. Hayato : Et vous pensez toujours aux sentiments de tout le monde ! C’est très mature ! Sakura : Merci, Hayato. Hayato : C’est très gentil d’avoir imaginé un plan pour partager vos sucreries avec moi. Et grâce à vous, je ne pense pas que nous devrions tenir ces rendez-vous secrets. Sakura : Comment ? Que voulez-vous dire ? Hayato : J’ai compris que je devais être moi-même. Peu importe les qu’en-dira-t-on. Sakura : Cela me ravit de vous l’entendre dire ! Nos dégustations secrètes sont finies ! Hayato : Oui, seulement, je veux rester votre partenaire. Ça ne vous dérange pas ? Je pourrais manger des sucreries tout seul, mais je préfère les manger avec vous. Sakura : Quelle bonne idée ! Cela me ferait très plaisir ! Soutien S Hayato : Sakura, auriez-vous une minute à m’accorder ? Sakura : Bien sûr ! Vous apportez des boulettes de miel ? Ou des mochi aux haricots rouges ? Ou des brioches ? Ou des beignets ?! Dépêchez-vous ! Ai-je deviné ?! Allez, Hayato ! Vous me donnez faim ! Hayato : En fait, j’ai de tout cela. Sakura : Vous avez de tout cela ? Vous n’êtes pas sérieux ! Hayato : Si ! Je viens vous offrir des boulettes, des mochi, des brioches et des beignets ! Sakura : Oh ! Vraiment ?! Mais où avez-vous caché tous ces desserts ? Hayato : Eh bien, je voulais vous inviter chez un fameux pâtissier. Qu’en dites-vous ? Il prépare ce genre de pâtisseries et bien d’autres encore ! Sakura : C-C’est formidable ! Vous feriez vraiment cela ? Hayato : Tout pour ma partenaire de gourmandise ! Ce serait comme… un rendez-vous. Sakura : Quoi ?! Un rendez-vous ? Hayato : Nous sommes plus que des amis savourant des boulettes de miel. Vous me plaisez. Sakura : M-Mais, Hayato, c’est complètement fou ! Hayato : Vous avez raison ! Je suis fou… de vous ! Sakura : Je n’aurais jamais pensé que vous vous intéresseriez à moi, vous êtes si mature ! Hayato : Sakura, je me sens vraiment à l’aise avec vous. Nous pouvons être nous-mêmes. Nous n’avons pas à essayer d’impressionner qui que ce soit. De plus, je vous trouve très mature… quand vous n’êtes pas couverte de sucre ! Que diriez-vous de grignoter brioche après brioche ensemble, toute notre vie ? Sakura : Hayato, quelle idée délicieuse !
Hayato & Azura - Spoiler:
Soutien C Hayato : Azura, avez-vous un instant ? Je souhaiterais m’entretenir avec vous. Azura : Certainement. Qu’y a-t-il, Hayato ? Hayato : Voyager avec vous tous m’a fait réaliser à quel point le monde est grand. Je n’avais jamais quitté mon village auparavant et il y a tant à voir ! Azura : C’est vrai. Hayato : Vous qui avez vécu dans le monde entier, devez avoir tant de choses à raconter ! Avez-vous rencontré des gens célèbres ? Quel est votre plus grand souvenir ? Azura : Je ne voudrais pas vous décevoir, mais j’ai hélas bien peu à raconter. Hayato : Je ne peux y croire. J’ai vu des choses incroyables pas plus tard que ce matin ! Vous avez sûrement quelque chose de fascinant à partager ! Azura : Les expériences de chacun varient. À présent, si vous voulez bien m’excuser… Hayato : Hum… Azura semble cacher quelque chose. Je me demande bien pourquoi. Soutien B Azura : Bonjour, Hayato. Je voudrais m’excuser pour mon manque de cordialité l’autre jour. Hayato : Ne vous en faites pas, j’ai deviné la raison pour laquelle vous ne vouliez pas parler. Même si vous voyagez beaucoup, vous n’appréciez pas forcément ça, pas vrai ? Azura : Ce ne sont pas les voyages qui me dérangeaient. C’était une période difficile. Hayato : Je suis désolé. Je ne voulais pas faire ressurgir de mauvais souvenirs. Mais pouvez-vous vous rappeler au moins une bonne chose de cette époque ? Azura : Eh bien, j’ai vu des paysages magnifiques. Je n’oublierai jamais les nuits de Nohr. Depuis le château, on peut contempler le royaume. Tout scintille comme si les étoiles elles-mêmes s’étaient posées sur Terre. Hayato : Oh ! Ça a l’air magnifique ! Azura : J’ai traversé une petite ville côtière, à l’aube, c’était à couper le souffle ! Le soleil pointait à l’horizon et des bateaux de pêche étaient partout sur les flots. On aurait dit qu’ils naviguaient sur une aquarelle. C’était si beau ! Hayato : Oh, je peux imaginer ça ! Vous êtes vraiment douée. C’est comme si j’y étais ! Cela me réjouit de savoir qu’il y a tant de lieux incroyables à visiter ! Azura : Et je suis heureuse de savoir que je peux être source de joie. Je vous en dirai plus… Hayato : Oh oui ! Je suis impatient ! Soutien A Azura : Oui, et là-bas, il y a les monts Tandem. Chaque année, les habitants de ces villages se rassemblent pour le festival. Hayato : Oh ! Ils forment un beau couple. Azura : Oui. Les gens plaisantent en disant que ces deux villages semblent mariés. Et près de la chaîne de montagnes, il y a un gigantesque champ de violettes. Hayato : Des violettes ? Est-ce que ça sent bon ? Azura : Oui ! Au printemps, la vallée est emplie de doux parfums. Hum… J’aimerais y retourner un jour. Hayato : Est-ce que vous me promettez de m’emmener avec vous ?! J’aimerais voir ça ! Azura : Peut-être. Hayato : Azura, qu’est-ce qui ne va pas ? Vous êtes bien silencieuse d’un coup. Azura : Je réalise que tous mes souvenirs ne sont pas désagréables, j’ai eu de bons moments. Merci, Hayato. Vous êtes un garçon attentionné. Hayato : Hum… c’est moi que vous appelez « garçon » ?! Azura : Je suis désolée, mon cher. Je ne voulais pas vous offenser. Hayato : Azura, je vous aime bien, mais ne m’appelez plus jamais comme ça, vous m’entendez ?! Azura : Cela ne se reproduira plus, mais je suis surprise que cela vous affecte tant. Hayato : Hmpf ! Soutien S Hayato : Azura, avez-vous une minute ? Azura : Bien sûr. Souhaitez-vous entendre une autre histoire ? Hayato : Non. En vérité, je voulais vous parler d’autre chose. Azura : Est-ce à propos de l’autre jour ? Navrée de vous avoir offensé. C’était indélicat. Hayato : Je ne suis peut-être pas grand-chose à vos yeux, mais je deviens plus fort chaque jour. Je vais continuer à m’entraîner pour être prêt à vous protéger. Azura : Que voulez-vous dire ? Hayato : La guerre ne durera pas éternellement. Quand la paix reviendra, nous pourrons visiter ces lieux ensemble. Azura, je vous épouserai un jour, et nous créerons de nouveaux souvenirs ensemble ! Azura : Bonté divine, Hayato. C’est très gentil de votre part. Hayato : Vous le pensez vraiment ? Azura : Oui. Jusque-là, restons bons amis. Nous pourrons parler de ça plus tard. Qui sait ? Vous pourriez peut-être changer d’avis ! Hayato : Jamais ! Azura : Bien, nous verrons. De toute façon, vous me serez toujours précieux. Vous m’avez rappelé tant de souvenirs réjouissants… Je vous en remercie. Hayato : Nous aurons une belle vie ensemble, Azura. Je vous le promets. Azura : Hé hé… Merci, Hayato.
Hayato & Azama - Spoiler:
Soutien C Azama : Ah, Hayato. Tu es aussi petit que ce que je m’étais imaginé. Hayato : Tu dois être Azama. J’ai entendu parler de toi. Qu’est-ce que tu veux ? Azama : Oh ho ! Nos réputations nous précèdent. Malgré cela, tu as réussi à passer outre tes évidentes tares physiques, n’est-ce pas ? On te traite presque comme un être humain de taille normale dans cette armée ! Hayato : Pff. Azama : Tu caches bien ton jeu. On pourrait presque oublier que tu as l’apparence d’un gamin de 10 ans. Hayato : Ouais. Azama : Hum. Ça ne se passe pas comme prévu. Je dois changer de tactique. Il paraît que tu n’aimes pas les histoires d’horreur. C’est vrai ? C’est bête, parce que j’en connais une qui parle d’une poupée possédée et… Ouah, j’ai la tête qui tourne. M-Ma vue se trouble ! Qu’est-ce qui m’arrive ?! Hayato : Dès que je t’ai vu, j’ai su que tu tenterais un truc comme ça. J’ai lancé un sort protecteur qui altère aussi ton cerveau. Les effets sont temporaires. Si j’ai bien lancé la version du sort qui n’est pas permanente… Azama : Argh ! Sois maudit ! Hayato : Qu’est-ce que tu fais encore là ? Si tu t’en vas, le sort se dissipera peut-être plus vite. Azama : Aah… Jamais ! Je ne me laisserai pas faire par un gamin arrogant ! Hayato : Comme tu veux. C’est moi qui m’en vais alors. Que ça te serve de leçon ! Azama : La guerre est déclarée. Soutien B Azama : Oh, Hayato… Hayato : Encore toi ? Tu veux une autre migraine ? Azama : Non merci, avorton. Je me suis préparé… J’ai apporté un sac de carottes ! Hayato : Q-Quoi ?! Mais pour quoi faire ? Azama : Raconter une histoire qui fait peur prend trop de temps. Je voulais t’effrayer, et j’ai appris que tu détestais les carottes plus que tout ! Je voulais voir si tu allais te mettre à pleurer en les voyant. Voilà pourquoi j’ai acheté le plus gros sac que j’ai pu trouver. Tiens, prends-les ! Elles sont bien fraîches. Ha ha ha ! A-Attends voir, c’est quoi ça ? C’est une… tornade ?! Non, pas encore ! Aaargh ! Hayato : Pfiou, c’était juste. Je t’avais dit de ne pas sous-estimer ma magie, Azama. Azama : Rhâ. Pff. Je l’ai esquivée de justesse. Tu l’as lancée si rapidement ! Elle est apparue d’un coup ! Oh non, toutes les carottes se sont envolées avec ton petit tour de magie. Je l’admets, tes capacités magiques sont assez impressionnantes. Hayato : Hé… Tu ne devrais pas être aussi surpris. Azama : Je vais t’avoir, Hayato. Tu vas te faire souffler par mon puissant sort ! Hayato : Q-Quoi ?! Ce n’est pas possible ! Azama : J’ai obtenu une amulette redoutable lors de mon entraînement aux montagnes sacrées. Avec elle, je peux repousser n’importe quel sort ridicule que tu me lanceras. En garde ! Hayato : C-C’est pas vrai ! Azama : Euh, il ne se passe rien. Pourquoi ça ne marche pas ?! Hayato : Tu as pourtant dit qu’elle était redoutable… Azama : Oui ! Elle m’a été confiée par une déité sacrée omnipotente. Mais euh, j’ai oublié qu’elle ne marche pas si on l’utilise d’une manière égoïste. Hayato : Hé… Ha ha ha ! C’est trop drôle, Azama. Tu parles d’un retournement de situation. Azama : Je n’y crois pas, tu m’as encore battu. Mais ce n’est pas fini, Hayato ! Un jour, je te ferai pleurer comme le petit bébé que tu es. Sois-en sûr, crétin ! Hayato : Je n’ai jamais vu un adulte avoir l’air si abattu. Il me fait presque de la peine. Soutien A Hayato : Bonjour, Azama. Azama : Oh, c’est toi… Qu’est-ce que tu veux, Hayato ? Hayato : Tu es lamentable. Comment peux-tu te considérer comme un adulte ? L’expression de ton visage est pitoyable. Qu’est-ce qui cloche chez toi ? Azama : Tu m’as rabaissé plus bas que terre l’autre jour. J’ai le moral dans les chaussettes. Hayato : C’est toi qui as commencé. Tout est de ta faute. Azama : Qu’est-ce que tu fais, Hayato ? Tu es venu me saper le moral encore plus ? Si c’est ça, je te félicite. Ça marche. Hayato : En fait, ce n’est pas pour ça que je suis là. J’y suis allé un peu fort la dernière fois. Je pense que je te dois des excuses. Hum ?! Q-Qu’est-ce qui se passe ?! Dès que je me suis approché de toi, je me suis fait paralyser ! Azama : Ha ha ha ! Tu es tombé dans mon piège. Ce sort gèle ton corps quand tu es près de moi. Hayato : C-Comment ?! C’est possible ça ? Oh non ! Je ne peux pas lancer de sorts tant que je suis si près de toi ! Azama : Ne t’en fais pas. Tu ne seras pas immobilisé longtemps. Juste assez pour te raconter mon histoire la plus effrayante… Hayato : Arrête ! Azama : Désolé, Hayato. Tu sais depuis quand j’attends ce moment ? C’est l’heure de raconter une histoire ! Ha ha ha ! Hayato : Nooon ! Azama : Mais il ne savait pas que le fantôme vivait dans son armoire depuis tout ce temps ! Alors, tu as aimé mon histoire ? Hayato : Snif. Ta stupide histoire hoshidienne ne faisait même pas peur. Et non, j-je ne pleure pas. Sniiif. Azama : Comment ? Tu peux répéter ? Je n’ai rien entendu avec tous ces reniflements. Hayato : Argh, je te déteste, Azama ! Azama : On est quittes, d’accord ? Tiens, prends ça en gage de réconciliation. Hayato : Sniiif. C’est un marron glacé ? Azama : Oui, il paraît que tu les aimes bien. J’en ai acheté un gros sac pour toi. J’attendais simplement de t’avoir joué mon tour. Hayato : C’est encore une de tes ruses ? Azama : Bien sûr que non. C’est juste un bonbon. Vas-y, prends-le. Fais-moi confiance. Hayato : Bon, vu que tu me le donnes… Je ne veux pas être impoli. D’accord, j’en goûte un. Ouah ! C’est délicieux ! Et sucré. Azama : Mon petit Hayato aime son petit bonbon ? Hayato : Qu’est-ce que tu as dit ? Azama : Moi ? Rien du tout. Tiens, prends-les. Hayato : Merci, Azama !
Mozu & Azama - Spoiler:
Soutien C Azama : Tiens, tiens. Mais c’est Mozu. Comment vas-tu, aujourd’hui ? Mozu : Oh non ! Vous êtes Azama, c’est ça ? M’approchez pas ! Reculez ! Azama : Pourquoi ? De quoi as-tu peur ? Mozu : J’ai entendu des tas de rumeurs et d’histoires sur vous. Tout le monde sait que ce qui vous amuse, c’est d’embêter les gens. Vous êtes le moine le plus redouté de tout le royaume ! Azama : Hum. Je ne savais pas que ma réputation était si mauvaise. C’est un véritable choc. Mozu : C’est la vérité. Alors laissez-moi tranquille. Je sais bien que vous allez finir par me traiter de péquenaude. Azama : Intéressant. J’ai donc acquis une certaine notoriété… Voilà qui est formidable ! Merci de me l’avoir fait savoir, Mozu. Mozu : Quel genre de tordu serait content de savoir qu’il a une mauvaise réputation ? Je préfère déguerpir avant que vous vous en preniez à moi ! Azama : Mozu ? Hum, elle s’est enfuie. Quelle jeune femme intrigante. Soutien B Azama : Oh, c’est une joie de te voir. Quelle bonne surprise. Mozu : Hiii ! Azama ? Qu’est-ce que vous fichez ici ?! Azama : Je me disais que nous pourrions reprendre notre conversation de l’autre fois. Je te trouve tellement amusante ! Mozu : Apparemment, on a pas la même définition de l’amusement. Je vois pas en quoi vous croiser serait une heureuse coïncidence… Azama : Ha ha ha, jolie répartie ! Mozu : Oh, bon sang, je sais pas quoi faire. Azama : Dis-moi, de quoi pensais-tu que j’allais me moquer, d’ailleurs ? Mozu : D-De quoi ? Euh, bah, vu que je suis juste une paysanne… Je me suis dit que vous alliez vous moquer de ma façon de parler. Ou me traiter de trouillarde. Ou dire que mes vêtements étaient vieux et grossiers. Je sais pas… Ce genre de choses. Azama : Intéressant. Et ça me donne plein d’idées, merci ! Mozu : Oh, zut ! Je vous ai révélé tous mes complexes. C’est une catastrophe… Azama : Si tu ne veux pas que je me moque de toi, tu ferais mieux de fuir ! Mozu : Pas besoin de me le répéter ! Je file d’ici ! Azama : Oh non, tu ne m’échapperas pas aussi facilement ! Reviens ici, Mozu ! Soutien A Mozu : Aah… Pff… Aah… Azama : Ha ha ha ! Que se passe-t-il, Mozu ? Déjà fatiguée ? Je m’échauffe à peine ! Tu devrais te secouer un peu ou je vais te rattraper ! Mozu : Aah… Je… peux pas… continuer… J’ai les jambes en coton. Pitié, Azama ! Allez quoi, vous êtes un moine ! Azama : Ha, hors de question ! Mozu : Aah… Pff… Aah… Je sais pas à quoi je m’attendais. Pourquoi vous vous moquez pas ? Vous me pourchassez comme un fou furieux mais où est passé votre sarcasme ? Azama : C’est bien plus amusant de te voir courir partout, toute affolée. Je n’ai même pas à me moquer de toi. Je me laisse juste porter par les événements. Mozu : Q-Quoi ? Vous voulez dire que vous vouliez même pas être méchant avec moi ? Azama : En effet ! Je ne sais pas trop qui a répandu ces rumeurs horribles sur moi… Je n’aime pas faire de blagues vicieuses. Je ne fais que m’exprimer en toute franchise. Alors oui, parfois, je dis des choses qui peuvent être un peu blessantes. Mais je ne dis rien de cruel par plaisir ou pour dévaloriser les gens. Mozu : Oh… Azama, je suis désolée. J’ai dû prendre ces rumeurs de travers. Azama : Je m’en fiche. Pas besoin de t’excuser. À vrai dire, j’apprécie plutôt cette réputation de farceur. Mozu : En tout cas, vous êtes plutôt étrange. Quel genre de fêlé du bocal court après quelqu’un pendant des jours ? Azama : Oh allez, admets que tu t’es un peu amusée. À mon avis, nous en sommes tous les deux sortis grandis. Mozu : Vous êtes un peu fou, quand même. Bah, vous avez peut-être raison. Soutien S Azama : Ho, Mozu. Bonjour. Mozu : Ah, vous voilà, Azama. Je vous ai cherché partout. Azama : Que se passe-t-il ? Mozu : Je voulais vous présenter mes excuses. Azama : Oh ? Pourquoi donc ? Mozu : Bah… au début, je vous prenais pour un monstre, avec toutes ces rumeurs. Vous aviez l’air d’être une vraie terreur. Mais maintenant, je vois que vous aimez juste vous amuser de façon étrange. Azama : Ah. Ne t’inquiète pas pour ça. C’est ma faute. Ce n’est pas comme si je faisais des efforts pour me faire apprécier. Mozu : Si vous le dites. Merci, Azama. Oh ! Au fait, je voulais vous remercier pour autre chose, aussi. Pendant que je réfléchissais à tout ça, j’ai décidé d’aller parler à des villageois. Ils étaient assez d’accord avec ce que je disais de vous. Et finalement, je me suis fait quelques nouveaux amis en papotant avec eux. Azama : Oh ? Je vois… Mozu : D’une façon détournée, j’ai rencontré des gens adorables grâce à vous ! Azama : Je suis heureux que tout se passe bien pour toi. Mais je suis un peu triste… Mozu : Hein ? Pourquoi ? Azama : Même si j’ai été un vrai casse-pieds, en vérité, je voulais juste être proche de toi. Et finalement, tu t’es fait plein d’amis. Je suis jaloux. Mozu : Comment ça, « proche » ? Azama : C’est embarrassant. C’est pourquoi je n’ai pas été très clair… À vrai dire, je t’aime. Mozu : A-Azama ! Vous êtes sérieux ? C’est encore une de vos blagues… Azama : Je te jure que non. Je suis sincère. C’est difficile à admettre, mais je me sens très attiré par toi. Il y a quelque chose en toi que je trouve étrangement irrésistible. Qu’est-ce que tu en penses ? Suis-je fou ? Mozu : Eh bien, peut-être un peu. Mais je dois admettre que je vous aime aussi. Je vous avoue que je n’avais pas peur quand vous me pourchassiez. Je me suis prise au jeu. C’était exaltant. Un peu comme quand on est enfant. Azama : Ha ha ha, j’avais la même sensation. Mozu : Je suis si heureuse, Azama ! Je suis sûre que les villageois le seront aussi. Azama : Bien sûr qu’ils le seront. Et si nous retournions dans ton village natal rendre hommage aux morts ? Nous pourrons chanter quelques sutras pour commémorer leurs esprits.
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 11 Juin - 1:50 | |
| Hayato & Setsuna - Spoiler:
Soutien C Hayato : Hum… Quel est ce bruit étrange ? D’où cela peut-il venir ? Setsuna : Te regarder fureter partout de la sorte me donne mal au cœur, Hayato. Hayato : Ah, bonjour Setsuna. Tu as entendu ce bruit bizarre, à l’instant ? Setsuna : Oh, tu parles de mon fredonnement ? Hayato : Ton… fredonnement ?! Non, impossible que tu aies pu produire un son pareil. Ça ne ressemblait pas du tout à un fredonnement. Setsuna : Si, c’était bel et bien moi. Les gens ont souvent cette réaction. Hayato : Je vois… Eh bien, je n’ai jamais entendu quelqu’un fredonner de cette façon ! C’était comme si… les ondes sonores se distordaient en fendant l’air. Setsuna : Je ne suis pas sûre de comprendre, tu veux que j’arrête ou que je continue ? Hayato : Oh non, je ne te demande pas d’arrêter… C’est juste si singulier… Regarde, j’en ai même la chair de poule ! Setsuna : Ouah… Trop fort ! Hayato : Euh… Ce n’est pas ce que les gens disent habituellement de la chair de poule… Ce qui est fort, c’est que tu me fasses cet effet rien qu’en fredonnant ! Setsuna : Mon fredonnement peut se révéler pratique. Tu ne me crois peut-être pas, mais je peux le prouver. Pas aujourd’hui, par contre… Hayato : Hum… Je ne vois vraiment pas comment un fredonnement pourrait être pratique. Tu m’intrigues. Dis-moi quand tu seras en mesure de me montrer. Setsuna : Hé hé hé, d’accord. Soutien B Hayato : Bonjour, Setsuna ! Es-tu prête à me montrer pourquoi ton fredonnement est si pratique, aujourd’hui ? Tu m’as demandé de te rejoindre dans la forêt, me voici. Setsuna : Oui… Ici, ce sera parfait. Reste là, ne bouge pas. Mmh… la liii. Hayato : J’avais beau m’y attendre, ce son est toujours aussi étrange… Je me demande ce qui va se passer… Ah, j’ai de nouveau la chair de poule ! Setsuna : Laaa lii. Mmh… Hayato : Dis, tu as entendu ça ? On le distinguait à peine de ton fredonnement ! Oh non, est-ce que… Ne me dis pas que tu attires des esprits de la forêt ! Setsuna : Chuuut… Regarde, là-bas… Mmh… La liii. Hayato : Serait-ce un chevreuil ? Est-ce que c’est ton chant qui l’a attiré par ici ? Il reste là, à l’orée du bois. On dirait qu’il n’a pas envie de s’approcher davantage. Setsuna : Maintenant ! Hayato : Ah ! Ouah, quelle précision ! C’est incroyable Setsuna ! Tu l’as eu avec une seule flèche ! Setsuna : Je crois qu’on peut dire que la chasse est bonne, non ? Et tu as maintenant pu voir que mon fredonnement attire les animaux de la forêt. Hayato : Je comprends. Et une fois qu’ils se sont rapprochés, il est facile de les abattre. Mais je n’arrive pas à comprendre pourquoi ce son les attire tellement. Setsuna : Je n’en ai aucune idée, mais ça ne m’empêche pas d’en tirer parti. Ce qui est bien, c’est qu’ils restent malgré tout à une certaine distance. De cette façon, je peux aussi tenir les bêtes féroces à l’écart quand je me fais piéger. Hayato : Je vois, mais ne serait-il pas plus simple de ne pas se faire piéger du tout ? Setsuna : Oui, ce serait certainement mieux… Soutien A Hayato : Setsuna. Setsuna : Ah… Bonjour, Hayato. Je peux t’aider ? Hayato : Je me demandais… Je sais maintenant que ton fredonnement peut être utile, mais… Moi, il me met toujours mal à l’aise. Est-ce que tu pourrais arrêter ? Setsuna : Oh, est-ce qu’il te fait peur ? Hayato : N-Non ! Je n’ai pas peur ! Setsuna : Hé hé hé… Si tu le dis. Mais tu sais, parfois, les gens fredonnent sans même y penser… Hayato : Mais n’as-tu pas quelque chose de gai ? Qui ne me donne pas la chair de poule ? Setsuna : Quelque chose de gai ? Hum, d’accord. Alors que penses-tu de ceci ? Hum, tss, mhin ah hum… Hayato : C’est… très différent de l’autre air. Ce n’est pas mal du tout, Setsuna ! Je ne savais pas qu’on pouvait fredonner ainsi ! Setsuna : Oh, ce n’est rien. Au fond, je n’y fais pas tellement attention… Et puis, c’est bien peu de chose, comparé au chant de Dame Azura. Hayato : Tu ne devrais pas te comparer à elle. Son chant est unique en son genre. Mais je suis étonné que tu puisses fredonner des airs si différents. Setsuna : Je ne crois pas que cela ait quoi que ce soit à voir avec mes aptitudes. Mais je dois dire que l’air qui attire les animaux reste mon préféré. Je suis sûre que tu vas t’y habituer. Qui sait, tu finiras même peut-être par l’aimer ! Ah, maintenant que j’en parle, ça me donne envie de le fredonner. Hayato : Euh… J’imagine que je ne peux pas t’en empêcher, mais… Setsuna : Merci de me donner ton aval, Hayato… Mmh, la liii… Hayato : Je sens mes cheveux se dresser sur ma tête ! Argh… Je ne sais vraiment pas si je pourrais un jour m’y habituer. Soutien S Hayato : Setsuna. Setsuna : Ah… Hayato. Je ne t’avais pas vu… Hayato : Si tu as cinq minutes, j’aimerais t’entendre fredonner. Pas l’horrible chanson, l’autre. Setsuna : Aucun problème. Tu l’aimes donc au point de venir me demander de la chanter ? Hayato : Oui, tant que ce n’est pas cet air lugubre. J’aime beaucoup t’écouter fredonner ! D’ailleurs, personne ne semble savoir que tu connais aussi des chansons gaies… Setsuna : J’imagine que non. Je crois que seule Dame Hinoka m’a entendue chanter cet air-là. Hayato : Vraiment ? Comment cela se fait-il ? Setsuna : C’est un air que je ne fredonne que lorsque je me sens très bien, ou si… Hayato : Ou si quoi ? Continue, Setsuna. Setsuna : Ou si quelqu’un que j’aime beaucoup me le demande. Hayato : Ah, je vois. Non, attends, je… Tu veux dire que… tu m’aimes beaucoup ? Setsuna : Oui, Hayato. Je t’aime beaucoup. Hayato : Tu dis ça de façon si détachée ! Est-ce que tu m’aimes… comme un ami ? Ou comme quelqu’un avec qui tu… Setsuna : Comme quelqu’un avec qui j’aimerais être. Tu en fais une drôle de tête… Hayato : Vraiment ? Désolé ! T’écouter m’a fait réaliser une chose… Toutes les fois où je t’ai parlé de ton fredonnement… Ce n’était que des prétextes pour venir te voir. Setsuna : Vraiment ? Hayato : Oui, Setsuna, restons ensemble. Setsuna : Je suis si contente de t’entendre dire ça. C’est plus fort que moi, je dois… Mmh, la liii… Hayato : Ah, non ! Pas encore cet air lugubre ! On dirait que je vais vraiment devoir m’y habituer, hein ? Setsuna : Hé hé hé… Je plaisante. Je vais fredonner l’air gai. Hayato : Non, non, fredonne celui que tu veux, autant que tu veux…
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Ven 17 Juin - 18:14 | |
| Dialogues de soutien à venir prochainement :
Takumi x Orochi C B A S (complet) Takumi x Hinoka C B A (complet) Takumi x Setsuna C B A S (complet) Rinkah x Hinata C B A S (complet) Azura x Hinata C B A S (complet) Subaki x Hinata C B A (complet) Hana x Hinata C B A S (complet) Sakura x Hinata C B A S (complet) Kaze x Kagero C B A S (complet) Orochi x Kagero C B A (complet) Subaki x Kagero C B A S (complet) Silas x Kagero C B A S (complet) Rinkah x Kagero C B A (complet) Oboro x Subaki C B A S (complet) Oboro x Saizo C B A S (complet)
Dernière édition par Sheezune le Lun 11 Juil - 22:53, édité 2 fois | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Ven 17 Juin - 23:27 | |
| Oboro & Kaze - Spoiler:
Soutien C Oboro : Ouf ! Enfin fini ! Kaze : Bonjour, Oboro. Que faites-vous ici, dans le garde-manger ? Oboro : Oh, bonjour, Kaze. Je voulais réaménager les étagères. C’est mieux comme ça, non ? Kaze : Bien mieux. Nous avons de la chance de vous avoir parmi nous, vous travaillez dur. Oboro : Allons, ce n’est rien. J’avais seulement envie de me lancer dans un petit projet ! Kaze : Hum ? J’ai l’impression d’avoir vu quelque chose bouger, pas vous ? Oboro : Ah bon ? Pourtant, je n’ai rien… Aaargh ! Kaze : Oboro ?! Oboro : Q-Quelque chose vient de me frôler le pied ! Kaze : Calmez-vous, Oboro. Ce n’est probablement qu’une souris. Oboro : Une… Une souris… ? Kaze : Nous sommes dans le garde-manger. Je ne serais pas surpris qu’il y en ait une ou deux. Oboro : Vous avez raison. Kaze : Ça n’en est pas moins gênant. Si nous ne faisons rien, elles mangeront nos réserves. Oboro : … Kaze : Oboro ? Oboro : Hé hé… Alors il va falloir sauver notre nourriture, n’est-ce pas ? Prends garde, vilaine bestiole ! Tu vas regretter le jour où tu as croisé ma route ! Kaze : Vous semblez étrangement enthousiaste à l’idée de chasser cette souris. Oboro : Oh, mais je ne vais pas m’en charger seule, Kaze ! Nous ne serons pas trop de deux ! Kaze : Vous voulez dire… avec moi ? Oboro : Vous n’allez pas baisser les bras avant d’avoir commencé, tout de même ? Faisons équipe pour attraper cette maudite souris ! Kaze : Hum. Nos réserves de nourriture sont en jeu… Très bien, je vais vous aider. Oboro : Parfait ! Alors, à présent, nous devons trouver une stratégie ! Soutien B Oboro : Je ne comprends pas… Pourquoi cette satanée souris ne tombe-t-elle pas dans mes pièges ? Kaze : Elle a réussi à prendre le fromage sans déclencher le mécanisme. On dirait que l’on a affaire à une souris particulièrement maligne. Oboro : Cette sale bête va nous faire passer pour des idiots ! Nous devons agir ! Kaze : Oui, il nous faut une nouvelle stratégie… Ah ! J’ai une idée. Oboro : Je vous écoute, qu’est-ce que c’est ? Kaze : Nous pourrions introduire un agent paralysant dans de la nourriture. C’est une technique de ninja. Nous n’avons qu’à adapter le dosage pour un rongeur. Oboro : Excellente idée ! Essayons sans attendre ! Kaze : Bien, j’ai suffisamment d’agent paralysant, il suffit de trouver un peu de nourriture. J’ai préparé des boulettes pour le déjeuner, vous pensez que ça fera l’affaire ? Oboro : Si elles sont aussi bonnes qu’elles en ont l’air, cette petite peste va se jeter dessus. Kaze : Le secret est d’ajouter un peu de poisson fumé à la préparation. Oboro : Miam, tant pis pour la souris, j’ai bien envie d’y goûter, moi aussi… Kaze : Quoi ? Non, il ne faut pas ! Oboro : Je plaisantais. Vous êtes toujours si sérieux, Kaze. Détendez-vous ! Kaze : Vous êtes bien cruelle… Oboro : Hi hi, pardon. Montrez-moi plutôt comment préparer les boulettes pour les pièges ! Kaze : Oh, c’est vrai. Vous verrez, c’est facile. Allons à la cuisine, vous voulez bien ? Oboro : Je vous suis ! Soutien A Oboro : Kaze ! Devinez quoi ! J’ai enfin attrapé la souris ! Kaze : Félicitations, Oboro. Oboro : Je n’ai pas fait grand-chose. C’est grâce à votre idée de boulettes anesthésiantes. Kaze : Ce n’était rien du tout, voyons. Bien que, si cela peut me valoir une visite de votre part, je ne puisse qu’en être ravi. Oboro : Arrêtez, voyons… ! Vous allez me faire rougir. Un charmeur comme vous doit avoir un succès fou auprès des femmes. Kaze : Que voulez-vous dire ? Oboro : Ha ha, vous ne faites vraiment pas exprès ? Alors vous êtes bien le grand naïf que tout le monde décrit. Kaze : Personne ne dit cela de moi. Vous devez faire erreur. Oboro : Hé hé, les rumeurs n’arrivent pas toujours aux oreilles de ceux qu’elles concernent. Mais ne vous inquiétez pas. Mieux vaut être aimé des femmes que d’en être haï, non ? Kaze : J’imagine… Oboro : Enfin bref. Je suis heureuse que cette histoire de souris soit réglée. Kaze : Oui. Et nos réserves de nourriture sont sauves. Oboro : J’espère seulement que la prochaine souris ne sera pas aussi coriace. Celle-ci nous a opposé une résistance farouche. Kaze : En effet. Il paraît qu’au bout d’un moment, les nuisibles apprennent à éviter les pièges. Ces boulettes paralysantes ne marcheront peut-être pas la prochaine fois… Mais je lutterai sans relâche à vos côtés pour éliminer toute invasion future. Oboro : Par les dieux… Vous n’êtes vraiment pas du genre à rigoler, vous. Soutien S Oboro : Bonjour, Kaze. J’ai cuisiné des boulettes pour vous remercier de votre aide. Vous en voulez ? Kaze : Me remercier de mon aide ? Oboro : Oui, vous savez. Pour les souris. Nous avons utilisé vos boulettes pour les attraper, alors je nous en ai refait ! Kaze : C’est vrai que vous aviez l’eau à la bouche en préparant notre mélange anti-souris. Oboro : Hé ! Quand vous dites ça, on dirait que je ne pense qu’à manger. Kaze : N’est-ce pas le cas ? Oboro : Un mot de plus et je garde toutes les boulettes pour moi ! Kaze : Très bien, je vais manger en silence, dans ce cas. Oh… ! Mais c’est… vraiment délicieux ! Oboro : Vous voyez, je vous l’avais bien dit. Kaze : Non, vous ne comprenez pas, ces boulettes sont absolument exquises ! Mais vous n’aviez pas à faire tout cela pour me remercier, vous savez ? Oboro : Oh, ça ne me dérange pas ! Il me fallait seulement un nouveau projet. Et puis, vous avez l’habitude, les femmes vous offrent sans cesse des cadeaux. Kaze : J’essaie toujours de refuser, mais elles ne m’écoutent jamais… Oboro : Vous voulez dire que vous voulez refuser mon cadeau aussi ? Kaze : Non. J’aime bien vos cadeaux. Oboro : Intéressant… Est-ce que ça veut dire que… vous avez des sentiments pour moi ? Kaze : Que voulez-vous dire ? Oboro : Chaque fois que je vous parle, je suis frappée par votre bonté et votre sincérité. Quoi que je fasse, vous essayez toujours de m’aider. Vous répondez sérieusement, même quand je vous taquine. Vous ne sourcillez jamais. Et je pense que… je serais très heureuse de passer ma vie à vos côtés, Kaze. Kaze : Oboro… Oboro : Je vous ai dit que ces boulettes étaient un cadeau de remerciement, mais c’est faux. Elles n’étaient qu’un prétexte pour passer du temps avec vous. J’aimerais ne plus avoir à chercher de prétextes. Qu’en pensez-vous ? Kaze : Oboro… merci. Ce que vous venez de me dire m’a ouvert les yeux sur mes sentiments. Vous serez peut-être surprise, mais… je ressens la même chose. Oboro : Vraiment… ? Kaze : La force de votre amour m’émeut. Je m’en veux de ne pas avoir pris conscience de mes sentiments plus tôt… Oboro : Il n’est jamais trop tard, Kaze. Nous avons toute la vie devant nous pour être heureux ! Kaze : Ha ! Nous sommes donc officiellement en couple, à présent ? J’espère que vous arriverez à supporter votre nigaud de petit ami… Oboro : Ha ha, vous n’avez rien d’un nigaud, Kaze. Les rumeurs sont souvent trompeuses ! Mais oui, nous sommes en couple. Et un couple rayonnant, si vous voulez mon avis.
Oboro & Jakob - Spoiler:
Soutien C Oboro : C’est vrai que vous vous portez volontaire pour nettoyer les champs de bataille ? Jakob : Je vous demande pardon ? Oboro, c’est ça ? Oboro : Je ne suis pas venue faire des mondanités. Répondez à la question. Jakob : C’est donc bien vous. Oboro : Ça fait longtemps que je me méfie de vous, et on dirait bien que j’avais raison. Jakob : À en juger par votre face, il est clair que vous ne me portez pas dans votre cœur. Oboro : Grr… Les gens qui vont volontairement nettoyer les champs de bataille sont des porcs. Trouver de la satisfaction à achever des troupes vaincues est écœurant, c’est tout. Jakob : Je n’en retire aucun plaisir. Oboro : Peu importe. Vous vous portez volontaire, ce qui revient au même. Sachez que j’ai le plus grand mépris pour vous. Jakob : Pensez ce que vous voulez, je m’en contrefiche. Oboro : Bien. Je crois que tout est clair entre nous. Soutien B Oboro : Oh, vous… Jakob : Allez-vous faire cette tête à chaque fois que vous me voyez ? Oboro : Il y a des chances, oui. Jakob : Je nettoie, et alors ? Ne croyez-vous pas que votre réaction est disproportionnée ? Sur le champ de bataille, on ne choisit pas toujours ses alliés. Oboro : Désolée, mais je trouve ça abject. C’est comme ça. Il doit bien y avoir des choses qui vous répugnent aussi, non ? Jakob : Je n’ai qu’une ligne de jugement. Il y a ceux qui se rallient à Dame Corrin, et les autres. Oboro : C’est une vision simpliste des choses. Jakob : Peut-être, mais c’est tout ce qui m’importe. Les ennemis de Dame Corrin sont mes ennemis, et ses alliés, les miens. Oboro : Et c’est pour ça que vous achevez des soldats vaincus ? Jakob : En effet. On ne peut pas connaître les intentions d’un homme simplement en le regardant. Un soldat ennemi en vie et armé est une menace pour Dame Corrin. Je leur enlève la vie sans vergogne, même s’ils sont à terre et sans défense. Je me moque bien de savoir si c’est lâche ou si ça ne vous plaît pas. Ça doit être fait. Oboro : Vous vous inquiétez donc tellement pour Dame Corrin ? Jakob : Prenez garde, Oboro. Oboro : Que je prenne garde ? À quoi ? Jakob : Ce que vous pensez de moi m’est complètement égal. Mais si Dame Corrin devait se retrouver en danger par votre faute… Je vous considérerais comme son ennemie et n’hésiterais pas à vous éliminer. Oboro : Je ne sais pas ce qui vous fait penser ça. Je ne trahirai jamais Dame Corrin. Jakob : Bien sûr que non. Je crois juste qu’il vaut mieux pour nous deux que les choses soient claires. Soutien A Oboro : Jakob. Jakob : Tiens donc, vous ne montrez plus les dents en me voyant, je suis flatté. Oboro : Oui… Je me suis habituée à vous. Jakob : Malgré l’insondable lâcheté qui me pousse à achever les soldats ennemis ? Oboro : Arrêtez ! Ce n’est pas comme si cela me dérangeait juste par principe… Jakob : Ah, ce n’est pas le cas ? Oboro : Je n’oublierais jamais cette scène… Quand ces Nohriens ont tué mes parents. Ils n’ont même pas essayé de se défendre, mais ces bandits les ont tués devant moi. Jakob : Devant vos yeux… Avez-vous passé votre enfance livrée à vous-même ? Oboro : Non, j’ai été confiée à une famille du château. Un couple de soldats sans enfant. Ils m’ont élevée comme leur propre fille. J’ai pris sur moi de repayer ma dette en devenant un soldat à mon tour. Et me voilà. Jakob : Je vois. Oboro : Ce qui est arrivé est horrible, mais j’ai fait mon deuil. Je ne serais pas devenue qui je suis si mes parents n’avaient pas été tués. Mais si ces bandits avaient attaqué une autre caravane, que serait ma vie ? Ou s’ils étaient partis après avoir rançonné le convoi au lieu de tuer tout le monde ? Jakob : C’est ce à quoi vous pensez quand vous nous voyez nettoyer un champ de bataille… C’est pour cela que vous maudissez ceux qui se portent volontaires. Oboro : Je sais que l’ennemi ne fait pas de cadeau, et qu’il faut parfois se montrer sans merci. Mais malgré cela… Jakob : Personne n’a le cœur pur. Oboro : Comment ? Jakob : Vous avez le droit de me mépriser, et de bonnes raisons de le faire. Oboro : Jakob… Jakob : Jusqu’à une certaine limite. Mais tant que vous êtes l’alliée de Dame Corrin, je serai de votre côté. Oboro : Merci. Je vous considérais déjà comme un allié, de toute façon. Jakob : À juste titre. Soutien S Jakob : J’ai besoin que vous me promettiez quelque chose, Oboro. Oboro : Bonjour, Jakob. Vous commencez toujours vos conversations comme ça ? Jakob : Écoutez-moi. C’est important. Oboro : Que faut-il que je promette, au juste ? Jakob : Que jamais vous ne trahirez Dame Corrin. Oboro : Quoi, c’est une blague ? Jakob : Promettez-le-moi. Oboro : Allons, vous pensez vraiment que je pourrais trahir Dame Corrin ? Jakob : Non. Si c’était le cas, cette entrevue serait très différente. Oboro : Alors ne me posez pas de questions idiotes ! J’aime Dame Corrin ! Jakob : Bien sûr, pardonnez-moi. Je voulais juste en être certain. Oboro : Est-ce une nouvelle lubie ? Demandez-vous à tout le monde de vous promettre cela ? Jakob : Non. Seule votre réponse m’intéressait. Parce que vous êtes la seule personne que je ne pourrais me résigner à combattre. Oboro : Que voulez-vous dire ? Jakob : Je suis tombé amoureux de vous, Oboro. Oboro : Quoi ?! Jakob : Je nourris l’espoir qu’un jour nous pourrons nous marier. Oboro : Vous… Vous voulez m’épouser ? Je ne me doutais même pas que je vous plaisais ! Qu’est-ce qui vous a décidé ? Jakob : J’aime à penser que je suis doué pour cerner les gens. Et je crois vous comprendre mieux que quiconque. Oboro : Je… Je suis flattée, mais… Jakob : Et maintenant que vous m’avez promis de ne jamais trahir Dame Corrin… Je peux sereinement vous faire ma demande. Oboro : Je vois… Jakob : Épousez-moi, Oboro. J’aimerais que nous fondions une famille ensemble. Oboro : Une nouvelle famille… Jamais on ne m’a fait une proposition si alléchante. Oui, Jakob. Je veux vous épouser. J’ai déjà hâte de me retrouver devant l’autel avec vous ! Mais avant tout, j’aurais besoin que vous me promettiez une chose, vous aussi. Jakob : Je vous écoute. Oboro : Que vous ne mourrez pas. Je ne supporterai pas d’être à nouveau seule. Jakob : Oh, ma chère Oboro… Je ne le permettrai pas. Je jure de toujours rester à vos côtés et de tout faire pour vous rendre heureuse.
Oboro & Rinkah - Spoiler:
Soutien C Oboro : Bien. Presque toutes les tables ont été nettoyées… sauf la sienne… Rinkah : Oboro ? C’est toi ? Pourquoi me fixes-tu ? Oh, c’est vrai ! Tu es de corvée de ménage après les repas. Je m’en vais, désolée. Oboro : Rinkah ! Attendez. Rinkah : Qu’est-ce qu’il y a ? Oboro : Votre façon de manger… Tout ce que vous laissez sur la table… C’est trop de travail. Pourriez-vous faire un peu plus attention ? Rinkah : Faire plus attention ? Comment ça ? Oboro : Eh bien, n’éclaboussez pas la nappe de jus de viande, par exemple ! Ou ne laissez pas de miettes sur le sol ! Rinkah : Hmpf. Ce n’est peut-être pas comme ça que vous mangez, mais nous, oui. Dans la tribu du feu, nous dévorons toujours nos plats à deux mains ! Nous engloutissons tout, comme de vrais loups ! On m’a déjà dit d’utiliser mes couverts lorsque je mangeais avec d’autres gens… Mais je pensais que c’était une plaisanterie. Oboro : Hum… Donc, votre façon de manger est différente dans votre tribu ? Eh bien, mangez aussi salement que vous le voulez, mais ici, c’est moi qui nettoie. Alors je vais vous apprendre à utiliser vos couverts, que cela vous plaise ou non. Rinkah : Quoi ? Tu es sérieuse ? Tu vas trop loin… Oboro : Alors essayez de manger sans en mettre partout. Rinkah : Impossible. C’est contre mes principes. Oboro : Nous ne sommes pas au village de la tribu du feu, Rinkah ! Vous êtes censée respecter les coutumes de notre royaume, n’est-ce pas ? Mais ne vous en faites pas, je vous apprendrai tout. Vous assimilerez vite. Rinkah : Ou tu peux simplement me laisser manger tranquillement… Soutien B Oboro : C’est ça. Ne tenez pas ça comme si c’était une épée. Prenez-le plutôt entre vos doigts. Ça vous aidera à le manier plus facilement. Rinkah : Argh… Oboro : Ne serrez pas trop fort. Il doit bouger en même temps que votre main. Rinkah : Je n’y arrive… pas ! Oups. Je l’ai cassé. Oboro : Encore ?! Mais c’est la cinquième fois… Rinkah : C’est une perte de temps, je n’arrête pas de te le dire ! Oboro : Pas du tout ! Il faut persévérer. Ensuite, vous pourrez tout manger. Même du poisson. Et sans en mettre partout ! En voilà une excellente raison ! Rinkah : Et pourquoi ne croquerais-je pas tout simplement dans le poisson ? Et je cracherais les arêtes après. Ou je les mangerais aussi, pourquoi pas ! Oboro : Oui… C’est un bon moyen d’en mettre partout. Mais si vous mangez proprement, vous n’en perdrez pas une miette. Rinkah : Mmh ? Oboro : Vous gâchez des morceaux de viande de première qualité ! Et c’est à cause de vos sales manières que vous n’arrivez pas à tout manger. Tout ce gaspillage, ça ne vous exaspère pas ? Rinkah : Je… Je gâche de la nourriture ? Arf, tu as certainement raison. Je n’aime pas l’admettre, mais… Oboro : Il reste une assiette de poisson du dîner de ce soir. Pourquoi ne me regarderiez-vous pas le manger pour voir comment je fais ? Rinkah : D… D’accord… Ouah ! Comment as-tu fait ça ?! Il ne reste plus que la peau et les arêtes ! Je n’avais jamais rien vu de si « propre »… Quand tu manges, on dirait de l’art ! Oboro : C’est le genre de chose que tu peux faire grâce aux couverts. Tu manges toute la chair sans rien laisser, ni dans l’assiette ni sur la nappe. Rinkah : Tu m’as vraiment convaincue. Montre-moi encore ! Oboro : Avec plaisir. Soutien A Rinkah : Regarde, Oboro ! Il ne reste que la peau et les arêtes ! Et pas une seule tache sur la nappe ! Oboro : Bien joué, Rinkah ! Vous avez donc utilisé les couverts ? Rinkah : Oui, et je te remercie. Oboro : Hé, ce n’est pas que grâce à moi. Vous y êtes aussi pour beaucoup. Rinkah : C’est bizarre, tu sais. On retire un plaisir différent à manger sans rien gâcher, ce n’est pas comme se gaver. Oboro : Je suis d’accord. C’est ainsi que vous faites preuve de respect envers le cuisinier et la nature. Enfin, c’est mon point de vue. Rinkah : C’est donc ça, la philosophie hoshidienne ? Intéressant. J’aimerais mieux comprendre votre état d’esprit et ne pas être aussi fermée. Oboro : C’est déjà un bon début ! Mieux nous nous connaîtrons, plus nous nous rapprocherons. Rinkah : Oui ! Je devrais d’ailleurs t’apprendre à manger à notre façon ! Mais pas ici, nous allons tout salir. Nous pourrions peut-être partir chasser. Oboro : Ce serait très amusant, j’en suis sûre. Merci ! Rinkah : Attends un peu de voir un festin traditionnel de la tribu du feu ! On trempe nos dents dans le sang de nos proies et on le crache pour les honorer. Oboro : Hum… Je vais m’assurer de porter de vieux vêtements pour cette occasion ! Rnkah : Il vaut mieux ! Tu vas adorer ça !
Setsuna & Saizo - Spoiler:
Soutien C Setsuna : Bonjour, Saizo. Saizo : « Bonjour », c’est quand il fait encore jour et qu’on voit le soleil dans le ciel. Tu vois le soleil, là, Setsuna ? Setsuna : Euh… Il se couche… Saizo : Nous sommes donc « le soir ». Setsuna : Oh, je t’ai salué de la mauvaise manière, alors… Saizo : Ne me dis pas que tu as dormi jusqu’à cette heure-ci… Setsuna : D’accord, je ne te le dirai pas. Cela dit, j’avais une bonne excuse. J’étais coincée dans un trou. Saizo : C’est ça, ta bonne excuse ? J’aurais préféré que tu mentes et que tu me dises que tu as fait la grasse matinée. Setsuna : Vraiment ? Saizo : Je ne sais pas quoi faire de toi… Ton attitude n’est pas convenable pour une vassale de la famille royale. Setsuna : Comment ? Mais je suis le soldat le plus motivé de toute l’armée ! Saizo : En voilà, un mensonge éhonté ! Pauvre Dame Hinoka. Qu’a-t-elle fait pour mériter une vassale pareille ? Je vais moi-même te prendre en main pour faire de toi une vassale décente. Setsuna : D’accord. Alors commençons disons… demain ? Saizo : Oui. Rendez-vous à l’aube. Soutien B Saizo : Plus d’excuses, Setsuna. Je vais faire de toi une vassale convenable, même si ça me coûte toute mon énergie. Commençons par les bases, car il faut bien commencer par quelque chose. Setsuna : Oooh, pauvre petit oiseau ! Tu es bien mignon, toi. Je devrais le nourrir… Saizo : Setsuna ! Pourrais-tu au moins te concentrer sur ce que je te dis ?! Setsuna : Oh… Pardon. Saizo : Parle-moi de ce que tu fais en tant que vassale pendant la journée. T’assures-tu que Dame Hinoka dort bien avant de te retirer pour la nuit ? Setsuna : Non. En général, je vais me coucher en premier. La plupart du temps, Dame Hinoka me dit… « Si tu ne vas pas te coucher d’abord, j’ai du mal à me détendre et à m’endormir. » Alors bon… Saizo : Vraiment ?! Hum… Bon, je passe l’éponge, pour cette fois. Bon, et si tu vas dormir plus tôt, te réveilles-tu au moins avant elle ? Setsuna : Non, je me lève plus tard. J’aime bien dormir jusqu’à ce que Dame Hinoka vienne me réveiller. Saizo : Mais c’est le monde à l’envers ! N’importe qui penserait qu’elle est ta servante et toi, sa maîtresse ! Setsuna : Elle prépare mes vêtements de la journée tous les matins, et les pose sur mon lit. Dame Hinoka est si gentille… Saizo : Tu es une véritable aberration ! C’est toi qui devrais effectuer ce genre de tâches pour Dame Hinoka ! J’espère que tu as assez de considération pour lui servir le petit-déjeuner ! Setsuna : Hum… Je crois que je n’ai jamais fait ça. En général, dès que je suis debout et habillée, je vais m’entraîner à l’arc. Saizo : Grr… Bon, mettons de côté les tâches ménagères, pour le moment. Pendant les missions en extérieur, que fais-tu ? Examines-tu le sol et les environs sur le chemin de Dame Hinoka ? Pour voir s’il n’y a rien de dangereux sur sa route, par exemple… ? Setsuna : Comme quoi ? Saizo : Des grosses flaques, des pièges ennemis… N’importe quoi qui pourrait la menacer ! Setsuna : Eh bien, en fait… Dès que je marche devant Dame Hinoka, elle me dit de plutôt la suivre prudemment. Saizo : Incroyable. Vraiment, j’ai du mal à y croire. Je ne peux rien face à une telle incompétence. Je pensais passer la journée à te recadrer pour faire de toi une meilleure vassale… Mais vraiment, là… Je suis impuissant. Setsuna : Allez, tu peux le faire, Saizo… Saizo : Ah non ! Je ne veux aucun encouragement de ta part ! C’est à cause de toi que je suis aussi désemparé ! Aah… Bon, je dois respirer un grand coup et me concentrer. Setsuna : D’accord. En attendant, je vais nourrir ce pauvre petit oiseau. Saizo : Graaah ! Soutien A Setsuna : Salut Saizo. Tu as d’autres conseils à me donner, aujourd’hui ? Saizo : Non. J’abandonne. Setsuna : Hein ? Pourquoi ? Saizo : Dame Hinoka m’a dit, je cite : « Tu perds ton temps. » Setsuna : Vraiment… ? Elle a dit autre chose ? Saizo : Elle a dit qu’au départ, elle était aussi exaspérée que moi par ton attitude. Mais que tu avais prouvé ton efficacité au combat, et que c’était le principal. Elle a aussi dit que finalement, elle apprécie de faire ces corvées au quotidien. Setsuna : Pardon, elle a dit quoi juste avant ça, déjà ? Saizo : Non mais je n’y crois pas ! Bon sang, autant pisser dans un violon ! Dame Hinoka est bien trop indulgente avec toi. Setsuna : Pisser dans un violon ? Ça a l’air rigolo. D’ailleurs, je me suis bien amusée à prendre soin de ce petit oiseau, l’autre jour… Saizo : Si ça ne tenait qu’à moi, tu ne prendrais soin de rien de plus important que ça. Mais j’ai abandonné toute tentative de changer ta relation avec Dame Hinoka. Ce genre de lien entre maître et vassal a aussi le droit d’exister. Même si ça m’agace profondément… Setsuna : Merci. Dame Hinoka est une maîtresse formidable. J’ai de la chance de la servir… Saizo : Une chance de pendue, oui… Pense à cela à chaque fois que tu te lèves et à chaque fois que tu t’endors. Tu dois au moins ça à Dame Hinoka. Setsuna : Oui… Saizo : Fais tout ce que tu peux pour la protéger. Setsuna : Bien sûr. Je fais toujours de mon mieux… Soutien S Setsuna : Saizo ? Je voulais te demander quelque chose… Saizo : Demande donc. Setsuna : Tu ne viens plus me voir. Il y a un souci ? Saizo : Tes leçons pour devenir une vassale décente ont été suspendues. Voilà tout. Dame Hinoka m’a fait comprendre qu’elle était satisfaite de tes services. Setsuna : Donc tu ne viendras même plus me dire bonjour ? Saizo : Quelle autre raison aurais-je de faire ça ? Setsuna : Moi j’aimais bien quand tu venais me voir. J’étais flattée que tu veuilles à ce point m’apprendre à m’améliorer. Tu es même allé en discuter avec Dame Hinoka. Tu as fourni tellement d’efforts… Saizo : Dommage que ça n’ait servi à rien. Setsuna : Si, un peu. J’ai beaucoup pensé à ton travail acharné. Ça m’a impressionnée. Ça m’a donné envie d’être comme toi, d’être une aussi bonne vassale que toi… Saizo : … Setsuna : Alors, tu viendras me voir plus souvent ? Je veux changer. J’ai besoin que tu me montres le chemin. Et j’ai besoin de toi parce que… je t’aime. Saizo : Setsuna… C’est étrange que tu dises cela. Au départ je pensais que tu m’insupportais. Je ne saisissais pas pourquoi tu m’agaçais à ce point. Et puis j’ai enfin compris… Je m’inquiétais pour toi parce que je tiens à toi. C’est pour cela que c’était si important pour moi de te faire progresser. J’aimerais rester à tes côtés et t’aider à devenir une bonne vassale. Setsuna : Merci, Saizo ! Saizo : Et si nous commencions sur-le-champ ?
Dernière édition par Sheezune le Jeu 7 Juil - 18:31, édité 4 fois | |
| | | Kratos Wright Admin
Fe préféré ? : Genealogy of The Holy War Messages : 1936
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 18 Juin - 19:51 | |
| Je vais avoir du boulot, déjà que j'en ait pas mal avec les autres dialogues ! Merci pour ta contribution Sheezune ! | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Lun 20 Juin - 15:17 | |
| Oui, j'en ai bien l'impression. De rien. | |
| | | Soren57
Fe préféré ? : Path of Radiance - Radiant Dawn Messages : 4 Age : 30
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Mer 22 Juin - 17:54 | |
| Corrin (masculin) & Reina - Spoiler:
Rang C Corrin : Reina, attendez ! Vous avez laissé tomber quelque chose ! Reina : Hmm ? Oh ! Toutes mes excuses... Je devrais être plus attentive. Corrin : Est-ce... un torchon ? Reina : Oui. On m'a demandé de l'aide dans les corvées, aujourd'hui. Corrin : Les corvées ? Reina : Oui, la cuisine, le ménage, la lessive, les ordures, vous savez ? Tout ça. Corrin : Oh ? Vous êtes vraiment douée pour tout, alors... Mais ils abusent un peu, non? Ça ne vous ennuie pas d'effectuer ces tâches ? Vous n'y êtes pas obligée et, généralement, ce n'est pas très plaisant. Reina : Votre sollicitude m'honore, mais ça ne me pose aucun problème. Corrin : D'accord... Pardon de vous avoir interrompue dans vos activités. Reina : Maintenant, excusez-moi. J'ai une marmite de ragoût à préparer... Corrin : Eh bien... Bon courage ! Rang B Reina : Messire Corrin ? Vous faites une tête bizarre... Corrin : Pardonnez-moi. C'est que je suis troublé par vos multiples visages. Reina : Mes multiples visages ? Que suis-je pour vous ? Une sorte d'hydre ? Corrin : Jusqu'à présent, je ne voyais en vous que la guerrière impitoyable. Mais après la bataille, on vous croise avec un torchon comme une domestique. Ces deux images contrastent considérablement l'une avec l'autre. Reina : Je comprends. C'est bien sur le champ de bataille que je prends le plus de plaisir. Certains disent que je ne peux vivre sans me battre, et ils ont sans doute raison. Mais je ne perds pas de vue que ce n'est pas la seule façon de servir autrui. Corrin : Comment l'expliquez-vous ? Reina : Je suis issue d'une famille de notables d'Hoshido. J'étais destinée à une vie bourgeoise, loin des guerres et des combats. Je n'ai jamais pu toucher une arme. Même les épées en bois m'étaient interdites. Corrin : Vous avez grandi dans la soie... Reina : On peut dire ça. Mais j'étais rebelle, un peu garçon manqué. Je passais mon temps à regarder les soldats s'entraîner. Un jour, alors que mes parents étaient absents, je me suis incrustée parmi eux. J'ai décimé un groupe de Sans-Visage à leurs côtés. Et j'ai adoré ça. Corrin : Je vous crois sans peine. Votre force au combat est phénoménale. Reina : Quand mes parents l'ont découvert, ils m'ont envoyée faire le service au château. Ils m'ont offert ce torchon en cadeau de départ pour me rappeler ma destinée... Pour devenir une femme respectable et oublier mon goût pour le combat. Mais au château, j'ai dit au capitaine de la garde que je voulais devenir chevalier. Corrin : Je vois... Reina : Oh, non ! Il est déjà tard ! J'ai un dîner à préparer ! Mes excuses, Messire Corrin. Nous reprendrons cette conversation plus tard. Corrin : Ce sera avec plaisir ! Rang A Corrin : Reina, vous auriez un moment ? Reina : Mais certainement, Messire Corrin. Corrin : Pourrions-nous reprendre notre discussion là où nous l'avions laissée ? Reina : Oh ! Oui, bien sûr. Je ne vois pas ce que ça a d'intéressant, mais je suis ravie de partager mon histoire. Je n'ai pas mis longtemps avant de trouver ma place dans la garde. Une fois enrôlée, je me suis dévouée corps et âme à ma mission. J'ai commencé comme chevalier pégase, mais j'ai très vite gravi les échelons. J'ai rapidement servi Dame Mikoto et intégré les chevaliers kinshi. J'éprouvais une telle fierté ! C'était le plus grand honneur dont on pouvait me gratifier. Mais mes parents, eux, n'étaient pas du tout de cet avis. Corrin : Ah bon ? Reina : Quand ils ont appris la nouvelle, ils l'ont vécue comme une trahison. Ils m'ont reproché de les avoir fait pleurer toutes les larmes de leur corps. Corrin : Je vois... Reina : Je ne les ai plus vus, je ne leur ai plus parlé depuis ce jour. Pourtant, je leur suis très reconnaissante pour tout ce qu'ils ont fait pour moi. Ce torchon en est le symbole. Je le porte toujours lors de mes tâches domestiques. Corrin : Votre vie n'a pas été des plus simples, Reina. Merci de me l'avoir contée. Reina : En ce qui me concerne, je la trouve assez ennuyeuse. Merci de vous y intéresser... Raconter mon histoire m'aide un peu à la comprendre moi-même, je pense. Corrin : Tant mieux, car je prends beaucoup de plaisir à l'écouter. Reina : Merci, Messire Corrin. Rang S Corrin : Ah ! Vous êtes là ? Hmm... Que se passe-t-il ? Quelle tristesse dans votre regard... Reina : Il ne se passe rien qui vaille la peine d'être raconté, Messire... Corrin : Je vous ai déjà dit que vous pouviez tout me raconter. Reina : Oui... Peut-être... Je pensais à notre discussion de l'autre jour. Plus précisément, j'envisageais de me séparer de mon torchon. Corrin : Pardon ? Reina : Un fort sentiment d'imposture s'empare de moi quand j'aide aux tâches ménagères. Je fais comme si... Mais en vérité, je n'y connais rien. Je ne sais ni cuisiner ni nettoyer... C'est tout juste si je sais faire ma propre lessive. Je fais de mon mieux, mais je devrais laisser ces tâches aux personnes compétentes. Je le fais par respect pour mes parents mais je dois bien reconnaître mes limites... Il est peut-être temps de lui dire adieu, à ce torchon. Corrin : Je pense que vous ne devriez plus l'utiliser, effectivement. Reina : Comment ? Corrin : J'ai... J'ai rendu visite à vos parents. Je leur ai parlé. Reina : Vous avez fait quoi ?! Corrin : Je leur ai tout dit. Votre talent au combat, votre bravoure, votre altruisme... J'ai également évoqué votre reconnaissance et votre volonté de les honorer. Reina : Quelle a été leur réaction ? Corrin : Ils ont pleuré, c'est vrai. Mais pas de tristesse. De joie. Ils m'ont dit combien ils étaient fiers de vous et combien vous leur manquiez. Reina : ... Corrin : Vos parents sont honorés, Reina. Vous n'êtes plus obligée de porter ce torchon. Reina... Ce n'est pas la seule raison pour laquelle je leur ai rendu visite. Reina : Comment ça ? Qu'y avait-il d'autre ? Corrin : Je leur ai demandé... votre main. Reina : Ma main ?! Mais comment... Corrin : Ils me l'ont accordée. Maintenant, dites-moi, Reina, voulez-vous m'épouser ? Reina : Vous voulez m'épouser... Corrin : Enfin, si vous ne voulez pas... Ce n'est pas grave ! Mais je devais vous le demander. Je ne pouvais cacher mes sentiments plus longtemps. Reina : Ne soyez pas bête. Je suis juste surprise, mais... j'accepte. Plus les jours passent, et plus vous devenez important dans ma vie. J'en arrive au point de me demander comment je faisais avant de vous connaître. Corrin : Acceptez-vous de porter cet anneau ? Reina : Oui. Cela me rendrait très heureuse. Corrin : Pfiouh... Je me demandais vraiment si vous alliez accepter. Je vous aime, Reina. Reina : Je vous aime, Corrin. Partager cet amour avec vous est merveilleux... J'ai l'impression de rêver. J'ai envie de le crier sur tous les toits.
Comme annoncé sur le forum de la Communauté du Fire Emblem, je vous propose de collaborer pour compléter les dialogues de soutien de Fire Emblem : Fates. Bien entendu, cela irait dans les deux sens et ça permettrait d'éviter que des gens rédigent deux fois le même soutien, ce qui serait un peu contre-productif surtout quand on voit le nombre impressionnant de soutiens présents dans les différents jeux. Je m'adresse ici principalement aux différentes personnes ayant déjà collaboré ici pour savoir si de ce fait, je pouvais recopier sur ce site : http://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=14&categorie=794 les soutiens que vous avez déjà posté. Bien évidemment, comme je fonctionne déjà sur le site, je créditerais les rédacteurs des différents dialogues en les mettant rédacteur sur la page du soutien considéré. On est des sites partenaires, je le précise, je viens pas voler votre travail, c'est pas mon intention mais c'est de s'entre-aider, je trouve, surtout pour des choses de ce type. | |
| | | Kratos Wright Admin
Fe préféré ? : Genealogy of The Holy War Messages : 1936
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 23 Juin - 3:25 | |
| C'est vrai que les dialogues de soutiens sont une vraie plaie à compléter et ce pour tous les FE donc sa me dérange pas de s'entre aider mais ce n'est pas moi qui les rédigent donc je laisse les personnes concernées s'exprimer. | |
| | | Soren57
Fe préféré ? : Path of Radiance - Radiant Dawn Messages : 4 Age : 30
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 23 Juin - 11:11 | |
| C'est pour ça que j'ai posté ça ici et pas ailleurs, pour que les gens puissent dire ce qu'ils en pensent. Comme je l'ai dit, pour ceux qu'on a nous, les gens sont d'accords tant qu'ils sont crédités de la rédaction de l'article ou qu'ils ont un remerciement | |
| | | Kratos Wright Admin
Fe préféré ? : Genealogy of The Holy War Messages : 1936
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Lun 27 Juin - 23:37 | |
| Ajout de tous les dialogues publié dans le premier post de Sheezune après le dernier post de Lord Sephiran. | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 3 Juil - 22:32 | |
| - Soren57 a écrit:
Comme annoncé sur le forum de la Communauté du Fire Emblem, je vous propose de collaborer pour compléter les dialogues de soutien de Fire Emblem : Fates. Bien entendu, cela irait dans les deux sens et ça permettrait d'éviter que des gens rédigent deux fois le même soutien, ce qui serait un peu contre-productif surtout quand on voit le nombre impressionnant de soutiens présents dans les différents jeux. Je m'adresse ici principalement aux différentes personnes ayant déjà collaboré ici pour savoir si de ce fait, je pouvais recopier sur ce site : http://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=14&categorie=794 les soutiens que vous avez déjà posté. Bien évidemment, comme je fonctionne déjà sur le site, je créditerais les rédacteurs des différents dialogues en les mettant rédacteur sur la page du soutien considéré.
On est des sites partenaires, je le précise, je viens pas voler votre travail, c'est pas mon intention mais c'est de s'entre-aider, je trouve, surtout pour des choses de ce type. Compléter les soutiens ne me dérange absolument pas personnellement, j'aime beaucoup les faire en fait. Certains sont assez amusants et d'autres permettent d'en apprendre un peu plus sur les différents personnages et leur relation avec chacun. Après ça reste assez long à recopier, je l'admets. XD D'ailleurs j'ai du boulot vu tous les soutiens que j'ai complété dernièrement. Sinon personnellement ça ne me dérange pas que tu reprennes les soutiens que j'ai posté du moment où, comme tu l'as dit, tu précises le nom du rédacteur en question. | |
| | | Sheezune
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 7 Juil - 20:06 | |
| Setsuna & Saizo - Spoiler:
Soutien C Subaki : Oh, il ne manquait plus que ça… Pourquoi t’ont-ils assignée à cette mission ? Setsuna : Je ne comprends pas… Subaki : Tu as été choisie pour m’aider à former les nouvelles recrues, n’est-ce pas ? Je sais pourquoi ils m’ont choisi, mais je ne vois vraiment pas ce que tu fais là. Setsuna : Ce que je fais là… Subaki : Oui, c’est ce que je te demande. Setsuna : Oh. Je n’en ai pas la moindre idée. Mais c’est une mission importante. Nous devrions nous assurer de la mener à bien… Subaki : Jamais je n’aurais pensé t’entendre dire une telle chose. Bref, nous devrions essayer de nous répartir les tâches équitablement. Je pense que je vais m’en charger. Tu risques encore de rêvasser sinon… Setsuna : Merci, Subaki… Subaki : Hum… Et si tu t’occupais de l’entraînement à l’arc… Tu peux tout faire avec un arc et une flèche. Setsuna : Ça me va… Subaki : Et puis… Non, ce sera tout. Je m’occupe du reste. Je pense que ça vaut mieux. Setsuna : D’accord… Fais de ton mieux, Subaki. Subaki : Toi aussi, Setsuna. Soutien B Subaki : Setsuna, pourquoi t’es-tu séparée du groupe dont tu devais t’occuper ? Setsuna : Euh, de quel groupe tu parles ? Subaki : Celui de la vallée, là où les recrues s’entraînent à défiler. Ils défilaient en parfait unisson, quand soudain tu t’es détachée du groupe. Setsuna : Oh. C’est parce que j’ai aperçu quelques fraises et champignons sauvages… Regarde comme ça a l’air appétissant ! Tu veux goûter ? Subaki : N… Non, je crois que ça ira. Mais tu ne peux pas t’en aller cueillir des fruits, comme ça. Tu es leur professeur. Ces nouvelles recrues apprennent de tes enseignements, alors donne-leur l’exemple. Tu vas finir par leur apprendre à tomber dans des pièges, comme tu le fais si bien… Setsuna : C’est vrai que j’excelle en la matière… Subaki : Pff… Heureusement, cette fois, il ne s’est rien passé, mais ça ne sera pas toujours le cas. Il faut que tu t’occupes mieux de tes recrues. Setsuna : Mais je suis sûre que mes recrues adoreront la nourriture que j’ai trouvée. Subaki : Setsuna, tu es leur chef. Comporte-toi en tant que tel. Montre-leur ce qu’est un bon chef ! Setsuna : Tu veux dire que c’est moi qui commande ? Subaki : Oui, c’est exactement ce que je veux dire. Setsuna : Je te remercie pour le compliment, Subaki. On ne m’avait jamais qualifiée de chef. Subaki : Je… Pff… Ce n’était pas un compliment, Setsuna. Je te disais de te comporter en chef. C’est notre devoir d’entraîner ces recrues. Nous devons travailler ensemble. Je compte sur toi. Setsuna : Très bien… Je ferai de mon mieux… Soutien A Setsuna : Bonjour, Subaki… Subaki : Ah, Setsuna. Que puis-je faire pour toi ? Setsuna : Tu aurais une minute à m’accorder ? Subaki : Oui. En fait, j’avais quelque chose à te dire, moi aussi. Setsuna : Oh. Très bien, toi d’abord. Subaki : Non, vas-y, tu es venue me chercher, ce que tu as à dire doit être plus important. Setsuna : D’accord… Je pensais que je devrais peut-être démissionner de mon poste d’instructeur. Subaki : Pardon ? Et pourquoi cela ? Setsuna : Bien que tu m’aies dit de me concentrer, je suis retournée flâner dans les montagnes. J’ai vu des plantes rares, je suis allée les cueillir, et je t’ai encore mis dans le pétrin. Subaki : Oh, je vois. Eh bien, en fait, ce dont je voulais te parler est lié à cela. Une de tes recrues m’a dit l’autre jour qu’il t’admirait. Setsuna : Vraiment ? Mais pourquoi… Subaki : Il s’est dit impressionné par ton sens de l’observation. Personne n’avait vu la plante. Il dit que défiler avec toi rendait une tâche qui est normalement morose passionnante. Pour une raison qui m’est inconnue, il apprend beaucoup de ces détours. Setsuna : Je suis heureuse de savoir que ça l’aide… Subaki : En l’écoutant, j’ai compris que je devais reconsidérer ma position à ton propos. En fait, je trouve ça bien qu’ils puissent prendre exemple sur quelqu’un comme toi. Je m’excuse d’avoir été si dur avec toi. Alors… Continueras-tu de t’occuper de l’entraînement ? Je t’aiderai comme je peux. Setsuna : Très bien. Je resterai. Je suis heureuse de savoir qu’ils apprennent de moi. Je ferai de mon mieux pour leur montrer l’exemple… Subaki : Parfait ! Je préfère cela ! Alors, nous nous verrons demain à la première heure. Soutien S Setsuna : Hé, Subaki… Subaki : Ah, te voilà, Setsuna ! J’ai vu que tu travaillais dur à entraîner les recrues ! Je n’ai que des retours positifs. Setsuna : Vraiment ? Je suis contente de l’apprendre… Subaki : Enfin bref, que puis-je faire pour toi ? Setsuna : Eh bien… Je parlais avec quelques-unes de mes recrues, tout à l’heure… Ils m’ont dit quelque chose qui m’a vraiment marquée. Subaki : Vraiment ? À propos de l’entraînement ? Ils t’ont dit ce qui les aidait le plus ? Setsuna : Non, ça n’avait rien à voir avec l’entraînement… Subaki : Hum. C’était à quel sujet, alors ? Setsuna : Ils m’ont dit que toi et moi formions une bonne équipe et que… Nous formions aussi un joli couple… Subaki : Je… Pardon ? Setsuna : Après qu’ils me l’ont dit, j’ai réalisé qu’ils avaient… peut-être raison… Puis je me suis rendu compte que je t’aimais vraiment beaucoup. Subaki : Setsuna… Setsuna : Et voilà, c’est tout ce que j’avais à dire. À plus tard… Subaki : Attends… Mais qu’est-ce que tu fais ? Où est-ce que tu vas comme ça ?! Setsuna : Chez moi, bien entendu. J’ai fini de parler… Subaki : Mais… Je ne crois pas que cette conversation soit terminée. Après m’avoir avoué tes sentiments, ne veux-tu pas savoir s’ils sont réciproques ? Setsuna : Non. Tu n’as pas à m’aimer en retour ou quoi que ce soit. Je voulais juste que tu saches ce que je ressens. Subaki : Oh, Setsuna… Ce que tu peux être naïve parfois. Bien sûr que moi aussi je t’aime vraiment beaucoup. Setsuna : Oh… Subaki : Je t’avoue que ça n’a pas toujours été le cas. Mais… J’ai fini par m’apercevoir que je te pousse à t’améliorer parce que je me soucie de toi. Je suis très attaché à toi. Et maintenant que je sais que tu ressens la même chose… Je pense que nous formerions un couple parfait. Qu’en dis-tu ? Setsuna : J’en dis que c’est d’accord… Je suis si heureuse… Subaki : Moi aussi ! Tu te rends compte que les recrues vont vraiment jaser, maintenant… Setsuna : Je m’en fiche… Du moment que nous sommes ensemble…
Setsuna & Hana - Spoiler:
Soutien C Hana : Arf… Quelle barbe ! Alors, on se retrouve recalées toutes les deux ? Setsuna : Oui… Nous sommes les seules à avoir loupé le module « stratégie et tactique ». L’avis du jury était… « Setsuna a des talents innés… » « Mais le travail en équipe n’en fait hélas pas partie. » Hana : Oui, j’ai reçu une critique similaire. « Hana est aussi brillante en solo qu’elle est lamentable en équipe. » Je suppose que je vais trop à l’attaque sans réfléchir. Setsuna : Je pense que nous sommes pareilles. Hana : Je suppose… Hé, pourquoi ne pas étudier ensemble ? Nous pourrions ainsi nous concentrer sur les éléments qui nous font défaut ! Setsuna : Bonne idée ! Par quoi pourrions-nous commencer ? Pourquoi ne pas étudier ces ouvrages de stratégie qu’on nous a remis ? Hana : Oui, faisons ça ! Je crois qu’il y a des tactiques utiles au chapitre cinq… Setsuna : … Hana : Setsuna ? Et si nous allions plutôt dehors pour pratiquer le duel à l’épée ? Cela nous changerait un peu les idées. Setsuna : Bonne idée. Je songeais moi-même à partir à la chasse et prendre un bol d’air. Hana : D’accord ! Faisons une petite pause, nous étudierons plus tard ! Soutien B Hana : Pff… Setsuna : Hana, tu soupires encore. Hana : En dépit de toutes mes lectures, je n’ai pas l’impression d’en savoir plus en stratégie. L’idée d’étudier ensemble était bonne, mais nous ne sommes pas assez concentrées… Par exemple… Je me demande pourquoi nous sommes en balade au lieu d’étudier ! Setsuna : J’aime les balades, et c’était le moment idéal pour la troisième pause de la journée. Attends ! J’ai cru qu’il fallait seulement se détendre… Je commence à comprendre. Hana : Pff… Oui, nous avons passé trop de temps à nous promener et pas assez à étudier. Setsuna : Nous avons toutes deux tendance à éviter ce que nous n’apprenons pas facilement. Je ne pense pas que nous nous améliorerons en coopérant de la sorte… Hana : Tu crois que nous devrions choisir un autre partenaire de tandem ? Je ne sais… Setsuna : Hein ? Hana : Setsuna, ne te retourne pas et continue d’avancer. Tu les as remarqués aussi ? Setsuna : Oui. Ils sont quatre. Ils se cachent dans les feuillages à huit heures… Hana : Des ennemis, probablement des espions. Que faire ? Ils n’ont pas encore remarqué que nous les avons repérés. Setsuna : Hana, je vais prendre à gauche et… Hana : Compris. Faisons comme ça. Continue à marcher et fais en sorte qu’ils te perdent de vue au prochain tournant. Je vais les attaquer de front. Couvre-moi avec une pluie de flèches. Fais juste attention à ne pas me toucher, tu veux ? Setsuna : Compris… Hana : Oui… Allons-y ! Bandit : Qui va là ?! Hana : Hyaaa ! Eh bien… Je crois que c’était le dernier. Setsuna : Et de quatre ! Bien joué ! Tu as vu ? C’était comme si chacune de nous savait exactement quoi faire. Notre travail d’équipe était parfait. Hana : Tu as raison… Attends une minute ! Setsuna : Qu’est-ce qu’il y a ? Hana : C’est exactement de cela qu’il s’agit ! C’est cela qu’on appelle la coordination quand on se bat en groupe. On utilise les qualités uniques de chacun et on les combine pour vaincre l’ennemi ! Setsuna : Oh, je vois. Hana : Sachant cela, je pense que nous pouvons étudier sans nous laisser distraire. Setsuna : Tu as peut-être raison. Oui, je pense que je pourrais étudier plus sereinement avec un but à l’esprit… Hana : Mais oui ! Oh ! Je pense que nous devrions signaler que nous avons croisé des espions… Setsuna : Oui, tu as raison. Soutien A Hana : Oui ! J’ai été admise à l’examen final ! Je suis officiellement stratège ! Setsuna : J’ai réussi, moi aussi. Hana : Nous avons réussi, Setsuna ! Nous avons étudié jusqu’au bout ! Tout ce travail a finalement porté ses fruits ! Setsuna : C’est vrai. Depuis ce combat… J’ai l’impression que je comprends mieux comment me coordonner avec le groupe. Hana : Après tout, ne dit-on pas qu’une femme ne se découvre que dans l’adversité ? Setsuna : Pour être honnête, je n’ai jamais rien entendu de tel… Cela dit… Nous avions d’autres possibilités lors du combat contre les espions. Si j’avais tiré dans leur direction d’abord, ils se seraient mis à courir à découvert. Tu aurais alors pu les cueillir comme des fleurs au sortir de leur abri. Hana : Oh, oui, cela aurait pu fonctionner ! Ou bien nous aurions pu faire semblant de fuir pour les attirer au dehors… Et les affronter un par un tandis qu’ils se seraient dispersés pour nous retrouver. Je pense que c’est une tactique des plus sûres. Setsuna : Oui, ça aurait pu marcher aussi. Oh, j’ai soudain tant de stratégies dans la tête. Hana : Et moi donc ! Continuons à collaborer pour découvrir de nouvelles attaques combinées ! Setsuna : C’est d’accord !
Orochi & Azama - Spoiler:
Soutien C Orochi : Gnn… Azama : Euh, oui ? Orochi : Grr… Ah ! J’ai gagné. Azama : Vous avez gagné… Très bien… Mais à quoi jouons-nous au juste ? Orochi : Oh, juste une partie de regarde-moi-sans-ciller… Et ma victoire est totale. Azama : C-Comment ?! Ce n’est pas une victoire si je ne sais même pas que nous jouons ! Donnez-moi une autre chance… Orochi : Navrée, je viens de décider de me retirer de la compétition après une grande carrière. Azama : Très bien, pourquoi m’en soucierais-je ? Je ne vous ai jamais accordé d’importance. Orochi : Tiens donc ? Il me semble bien que tu m’as demandé de l’aide sur une recette magique. Azama : Oui, eh bien vous vous rappellerez aussi que vous ne m’avez jamais fourni cette aide. Orochi : Ah, oui. Et pourquoi cela ? Azama : Parce que vous m’avez demandé de ramasser des herbes en compensation. Moi, ramasser des herbes… Quelle idée ridicule ! De toute façon, je n’avais pas besoin d’aide. J’avais seulement pitié de vous. Orochi : Non, mais quel grossier personnage tu fais ! Azama : Allons, je ne suis ni grossier, ni gros, ni lourd, je m’élève au niveau des dieux. Et vous êtes celle qui aime à mettre les autres plus bas que terre. Orochi : C’est… C’est faux ! Azama : Ah ah ! J’ai gagné. Orochi : Gagné quoi ?! Azama : Le concours de joute verbale. Oh, et il est trop tard pour une autre manche, je me suis retiré de la compétition. Orochi : Oh, comme tu es sournois… Azama : Il semble que nous ayons plus en commun que nous ne voulons l’admettre. Soutien B Azama : Oh, salutations, Orochi. Comment allez-vous, aujourd’hui ? Orochi : À quel jeu joues-tu, Azama ? Azama : Mais à aucun jeu, je vous assure ! J’ai simplement une faveur à vous demander. J’aurai besoin d’une divination. Orochi : Tu connais le tarif : une poignée d’herbes ou rien. Mais je croyais que tu étais trop bien pour ces choses-là… Azama : Je n’ai pas besoin que vous me rappeliez ce genre de choses. Il me faut juste une divination. Alors, acceptez-vous ces herbes, oui ou non ? Orochi : Mais où as-tu récolté ça ? Ces plantes poussent à des lieues d’ici ! Et elles ont une sacrée valeur… Oui. Je les accepte avec joie ! Et je ne te les rendrai pas, c’est compris ? Azama : Comment osez-vous penser une telle chose ? Elles sont à vous. Orochi : J’en aurais presque des scrupules. Mais les affaires sont les affaires. Alors, que veux-tu savoir ? Azama : Eh bien, vous voyez… Il y a quelqu’un que je souhaiterais irriter. Mais je n’arrive pas à trouver de faille dans sa carapace. Orochi : Je vois… Azama : Ainsi, j’espérais que vous pourriez user de vos talents pour me montrer comment faire. Orochi : Tu parles de moi, n’est-ce pas ? Azama : Oh ! Comment avez-vous deviné ? Orochi : Cela ne compte pas comme une divination. Tu veux juste connaître mon point faible ! Azama : Je plaide coupable. Mais qu’est-ce que vous comptez y faire ? Si vous ne pouvez me fournir l’information que j’ai demandée, rendez-moi mes herbes. Bien que vous m’ayez dit que vous ne me les rendriez pas. Orochi : Espèce de fourbe… Azama : Ho ho ! Je m’en délecte d’avance. J’ai peut-être trouvé ma réponse. Orochi : Oh non. Tu ne gagneras pas si facilement. Je vais le révéler. Grr ! J’ai peur… de ces créatures dans le garde-manger du château. Les rats. Ils me terrifient, je les hais ! Voilà ! Alors ? Heureux ? Azama : Je n’aurais jamais imaginé une peur si commune… vous concernant. Orochi : Gah ! Azama : Mais peu importe. Je peux travailler là-dessus. J’ai hâte de vous revoir, Dame Orochi. Hé hé ! Orochi : J’espère que ces herbes ont autant de valeur qu’on le dit… Soutien A Orochi : Hiii ! Qu’est-ce que c’était ? Un rat ? Oh… Ouf… Rien qu’un oiseau. Depuis que cette vermine d’Azama s’est jouée de moi, j’entends des rats partout… Qu’est-ce que c’est ? Une carte suspendue au bout d’un fil dans le garde-manger ? S’il a osé mettre un rat ici, il va le regretter. Azama : Oh, ne faites pas attention à ça. C’est seulement un charme pour éloigner les rats. Orochi : Gah ! Tu m’as fait peur. Que faisais-tu là… ? Tu étais caché ? Azama : Oui. Orochi : Pourquoi ? Et qu’est-ce que tu connais de ce charme ? Azama : Mais je l’ai fabriqué bien sûr. Pas question que des rats dévorent nos réserves. Orochi : Où comptes-tu en venir ? Azama : Ho ho ! C’est si drôle ! Mais nulle part, ma chère Orochi… Bien que le spectacle de vos frayeurs soit très rafraîchissant. Orochi : Grr… Azama : Qu’y a-t-il ? Ce n’est pas comme si je vous jouais un vilain tour. Vous ne voyez nul rat ici, n’est-ce pas ? Et plus un seul d’entre eux depuis que vous m’aviez dit en avoir peur. N’est-ce pas ? Orochi : Non, de toute évidence… Azama : Bien ! Quelle chance vous avez ! Je prie pour que cela continue ainsi. Orochi : Tu complotes quelque chose. Je le sais ! Azama : Voilà qui me déçoit quelque peu, Dame Orochi. J’essaie vraiment de vous aider. Orochi : Ha. Bien, d’accord. Je reconnais que tu m’as perturbée plus que nul autre… Azama : Je prends cela comme un compliment. Bonne journée ! Orochi : Hé, ne sois pas si imbu de toi-même. Mufle ! Soutien S Azama : Bonjour à vous, Dame Orochi. Orochi : Azama. Cela fait… longtemps que tu ne m’as pas joué un de tes tours. Qu’y a-t-il ? Azama : Ah ! J’ai une autre faveur à vous demander. Orochi : Très bien. Est-ce que tu as d’autres herbes rares pour moi ? Azama : J’ai bien peur que non. Mais je pensais que débarrasser tout le secteur des rats me vaudrait une faveur. Orochi : Certes. Qu’est-ce que je peux faire pour toi ? Azama : Splendide ! Je cherche à collecter d’autres informations sur vous. Par exemple, quelle est la deuxième meilleure façon de vous perturber. Orochi : Quoi… ? Et tu oses me demander ça en face ? Azama : Est-ce si étrange ? Je pensais pourtant que nous avions atteint une certaine complicité. De plus, je vous apprécie tant. Vous êtes si belle quand vous êtes en colère. J’en rêve. Orochi : Ah, mais vous allez vous taire, bon sang ! Azama : Oui ! Cette expression-là ! Magnifique ! Alors, donnez-moi ne serait-ce qu’un indice, je vous en prie. Orochi : Tu es complètement tordu. Azama : C’est un très joli compliment ! Et puis, c’est vous qui avez commencé avec ce jeu de regarde-moi-sans-ciller. C’était déjà une tentative inconsciente d’attirer mon attention. Orochi : D’accord, je vais te donner un indice puisque tu es trop obtus pour le deviner. J’ai apparemment une étrange attirance pour les moines socialement abscons. Azama : Ha ha ha ! Ha ha… Euh… Quoi ?! Orochi : Tu as bien entendu. Garde tes amis près de toi et tes ennemis encore plus près… Pour cette raison, j’insiste pour que nous nous marions. Azama : Ho ho ! J’aime cette façon que vous avez de renverser la vapeur ! Vous m’avez bien eu ! Très bien, j’accepte. On ne dira jamais qu’Azama a eu froid aux yeux ! Orochi : Splendide ! Jusqu’à ce que la mort nous sépare ! Ha ha ha ! Est-ce que je t’ai dit que j’avais déjà prévu ça depuis le début ? Azama : Elle… s’est jouée… de moi ?
Sakura & Azama - Spoiler:
Soutien C Azama : Dame Sakura, puis-je vous poser une question ? Sakura : Oui, bien sûr. Que voulez-vous savoir ? Azama : Pourquoi êtes-vous aussi altruiste ? Vous aidez tout le temps les gens ! Sakura : Eh bien, je ne sais pas si « altruiste » est le mot juste, mais… Azama : Vous êtes une princesse, non ? Ne devriez-vous pas crier vos ordres ? Vous ne devriez pas avoir à vous salir les mains, n’est-ce pas ? Sakura : Euh, eh bien… Azama : Et maintenant que j’y pense… Vous êtes une princesse, mais aussi la cadette de la famille royale ! Vous devriez être pourrie gâtée ! Sakura : Non, je ne crois pas… Azama : Oh, si j’étais à votre place… Ce que je me permettrais… Dame Sakura, je suis assez jaloux de votre statut. Sakura : M-Mais, je… Azama : Oh, vous venez d’allumer la flamme de l’envie en moi. Je brûle de jalousie ! Bonne journée ! Sakura : Q-Que s’est-il passé ? Soutien B Azama : Dame Sakura, vous revoilà… Sakura : Azama, j’aimerais vous dire que… Azama : Vous savez quoi ? Je n’ai pas vraiment envie de vous parler aujourd’hui. Cela me frustre de vous voir gaspiller tous vos privilèges comme cela. Alors je m’en vais. À bientôt ! Sakura : Euh… attendez… Azama : Oui ? Sakura : Pouvez-vous arrêter de me dire ce genre de chose ? Azama : De quoi parlez-vous, très chère ? Sakura : J’en ai assez de la manière dont vous me traitez. Et tout ça parce qu’à vos yeux, je n’agis pas comme une princesse ! Azama : Oh ho ! Voilà le comportement de princesse que vous devriez adopter ! Vous êtes née sous une bonne étoile, alors autant en profiter ! Sakura : Mais, ce n’est pas juste… Azama : Oh, et ça recommence. C’est déprimant. Être humble et douce à longueur de temps ne vous mènera nulle part, très chère. Sakura : J-J’en ai marre. Vous allez la fermer, oui ?! Azama : V-Vous avez brisé ce bâton en deux à mains nues ! C’est ça que je veux voir ! Ne vous laissez pas faire ! Sakura : Peu importe ce que vous pensez. Je m’en vais, Azama ! Azama : Incroyable. Je savais qu’elle avait beaucoup de potentiel. Soutien A Azama : Salutations, Dame Sakura. Pouvons-nous discuter un moment ? Sakura : … Azama : Oh ho ! Vous ne voulez plus me parler ? Bien joué. Sakura : Je vous ai dit de me laisser tranquille ! Vous êtes impoli et vous n’écoutez rien. J’en ai assez ! Azama : Eh bien, vous n’êtes pas obligée de me croire, mais je suis venu pour m’excuser. Sakura : Pff. Azama : C’est vrai ! Bon, je ne regrette pas de vous avoir énervée… Mais j’ai pensé que des excuses ne feraient pas de mal. Sakura : Vous venez de dire que vous n’aviez pas de remords ! Cela n’arrange pas les choses ! Azama : Vous êtes dure en affaires, dame Sakura. Sakura : Et vous êtes un imbécile, Azama ! Azama : Que… ?! Arrêtez de me frapper avec votre bâton ! Je dois vous dire autre chose. Sakura : Et vous croyez que je veux vous écouter ? Azama : Je vous ai apporté un présent pour m’excuser. Tenez. Sakura : Quoi ? C’est… Oh là là ! C’est une amulette fabriquée dans les montagnes sacrées d’Hoshido, non ? Elle est assez chère, Azama, vous n’auriez pas dû. Azama : Je veux vraiment vous la donner. Je sais que je ne suis pas la personne la plus expressive du monde. Ce cadeau représente mes plus plates excuses. Je me suis démené pour vous trouver cet objet de valeur. En tant que prêtresse, vous savez à quel point cette amulette est rare. Sakura : Évidemment ! Azama : Alors c’est réglé ? Serrons-nous la pince pour conclure l’affaire. Sakura : Voilà une manière bien étrange de le dire. Vous n’êtes vraiment pas diplomate. Mais, c’est bon. Je ne vous en veux plus. Azama : Merci. J’espère que ce présent vous fera oublier toutes les choses que je vous ai dites. Sakura : Comme je l’ai déjà dit, vous êtes pardonné. Azama : C’est merveilleux… Mais je suis tout de même un peu surpris. Un simple cadeau a suffi à vous faire changer d’avis ! Sakura : Je le savais ! Vous n’êtes qu’un idiot, Azama ! Soutien S Sakura : Bonjour, Azama. Azama : Ah, Dame Sakura. Avez-vous gardé l’amulette que je vous ai donnée ? Sakura : Bien sûr ! Je l’ai tout le temps avec moi. Elle est magnifique. Azama : Oh, bien, j’en suis heureux. Nous allons donc nous marier. Sakura : Qu’est-ce que vous dites ?! Azama : Oh, je ne vous ai rien dit ? Cette amulette représente ma demande en mariage. Sakura : V-Vous ne l’avez pas mentionné ! Azama : Vous en êtes sûre ? Je n’ai pas dû être assez clair, mais c’est bien le cas. Sakura : C’est assez déconcertant. Je ne sais pas quoi dire. Azama : Sachez que j’ai des sentiments pour vous. Ensemble, nous formerions une excellente équipe. Si vous restez à mes côtés, je pourrai vous aider à profiter de votre statut royal. Et je sais qu’on s’amusera bien ! Sakura : Est-ce là votre manière bien à vous de me dire que vous voulez être proche de moi ? Azama : … Sakura : Ha. J’ai raison, n’est-ce pas ? Vous ne dites plus rien. Azama : Très bien, je l’avoue. Vous avez raison. Sakura : Pour être honnête, je m’en doutais un peu. Et il se trouve que… Vous me plaisez, vous aussi. Azama : Vraiment ? Vous le pensez ? Sakura : Vous m’avez plu dès que je vous ai vu pour la première fois. Mais votre manie d’être impoli m’a agacée. Je ne voulais pas être avec quelqu’un qui me malmène tout le temps. Azama : Je n’aurais pas dû être aussi dur. Je sais que mon sens de l’humour peut être déplacé parfois. Mais je veux assumer les conséquences de mes actions. Je veux changer. Si vous êtes d’accord, je vous montrerai que nous sommes faits l’un pour l’autre. Sakura : Hum… D’accord, Azama. J’accepte votre demande. Mais ne me décevez pas. Azama : Merci, Sakura. Je ferai tout mon possible pour être le mari dont vous rêvez. Sakura : Je vous fais confiance.
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 7 Juil - 22:36 | |
| Takumi & Corrin (féminin) - Spoiler:
Soutien C Corrin : Bonjour Takumi. Takumi : … Corrin : Takumi ? Je t’ai dit bonjour… Takumi : J’ai entendu, oui. Qu’est-ce que tu veux ? Corrin : Rien de particulier… Je me disais juste qu’on aurait pu discuter un peu. Takumi : Discuter ? Tu ne vois pas que je suis occupé, là ? Je m’entraîne. Corrin : Si, je vois. Mais au-delà de ton entraînement… Je crois surtout que tu te moques bien de faire ma connaissance. Takumi : Tu as tout juste. Je devrais pouvoir te faire confiance puisque tu es ma sœur… Mais nous avons été séparés si longtemps que nous n’avons presque rien en commun. Corrin : Je vois. Tu n’ignores pas que nous avons un passé commun… Et que nous combattons côte à côte ? Takumi : Et toi, tu n’ignores pas que tu as passé ton enfance avec l’ennemi, si ? Corrin : Je ne peux pas le nier, mais je crois avoir déjà prouvé ma loyauté envers Hoshido. Si j’arrivais à te convaincre… Hum. Que dirais-tu de m’apprendre à tirer à l’arc ? Takumi : Je ne vois pas le rapport. Corrin : Eh bien, cela nous donnera l’occasion de faire un peu connaissance. Et je serai mieux à même de te prouver ma loyauté lors de la prochaine bataille. Takumi : Très bien. Je te laisse une chance. Une seule, tu as compris ? Si tu n’arrives pas à suivre, je te laisse tomber. Corrin : Je ne te décevrai pas. Merci, Takumi. Takumi : Hum, on verra bien. Soutien B Takumi : Ton coude est trop bas, Corrin, il doit former un angle parfait ! Et ton genou droit n’est pas assez plié. Qu’est-ce que tu fabriques ? Je t’ai dit de ne jamais quitter la cible des yeux ! Corrin : Je fais de mon mieux, laisse-moi le temps de me concentrer ! Takumi : Pardon ? C’était ton idée, je crois. Tu es déjà en train de te plaindre ? Corrin : Non, j’y arriverai ! Nous sommes en guerre, je ne peux pas abandonner maintenant ! Gniii… Takumi : Pff, d’accord. On fait une pause. Corrin : Pfiou… Merci. Je dois avouer que ça ne me fera pas de mal. Bander un arc est plus difficile que j’imaginais… Takumi : Tu t’attendais à quoi ? Croyais-tu que ce serait facile ? Corrin : À vrai dire, oui… Quand on te regarde, Takumi, ça a l’air d’être un jeu d’enfant ! Takumi : Tu te moques de moi ? Corrin : Non. Tu sembles bander ton arc et décocher ces traits sans aucun effort. Mais quand j’essaie, je réalise à quel point cela requiert force et concentration. Il faut que j’améliore ma position. Mais je fais des progrès, tu ne trouves pas ? Takumi : Oui, tu as fait des progrès. Mais ne te méprends pas, il te reste un très long chemin à parcourir ! Corrin : Je sais. D’ailleurs, si nous nous y remettions ? Takumi : Très bien. Alors… Mets-toi en position, expire… et inspire en bandant l’arc. Corrin : Ah, aïe ! Takumi : Qu’est-ce qu’il y a ? Corrin : Désolée, la corde m’a échappé. Ah zut… je saigne. Takumi : Est-ce que c’est grave ? Corrin : Non, ce n’est rien… Ça ira. Takumi : Laisse-moi regarder. Non, ça n’ira pas. On arrête pour aujourd’hui. Corrin : Mais je veux continuer. Je veux que tu m’apprennes ! Takumi : J’ai dit non. Tu ne peux pas tirer, blessée comme tu es. Et puis, tu auras d’autres occasions. Corrin : Tu es sérieux ? Ça me ferait vraiment plaisir, tu sais ! Je vais me mettre un bandage, à plus tard. Takumi : J’ai peut-être été un peu dur avec elle… Soutien A Takumi : Que fais-tu avec cet arc ? Je t’ai pourtant dit de te reposer tant que tu ne serais pas guérie. Corrin : Oh, je sais. Je ne m’entraîne pas. Je graisse la corde et j’en profite pour ajuster la tension. Ça m’énerve de ne pas pouvoir tirer, alors je m’occupe comme je peux. Takumi : Tu as vraiment pris le pli, hein ? Corrin : Eh bien oui. C’était incroyablement dur au début, mais tu es bon professeur. J’espère seulement que je progresse assez vite, que je ne te fais pas perdre ton temps. Takumi : Non, ne t’inquiète pas. Corrin : Vraiment ? Takumi : Oui. En réalité, tu es très douée. Et même s’il me coûte de l’admettre… j’avais tort. Et je te présente mes excuses. J’ai été témoin de ton loyalisme envers le royaume d’Hoshido. Je te demande de me pardonner d’avoir douté de toi. Je serai content de poursuivre ton entraînement dès que tu seras prête. Corrin : Merci Takumi. Je suis heureuse que tu m’aies laissé une chance. Takumi : Je t’en prie. Au fait, prends ça. Cet onguent devrait accélérer la cicatrisation de ta main. Corrin : Merci… J’ai hâte de reprendre l’entraînement avec toi. Takumi : Moi aussi, Corrin. Soutien S Corrin : Oui ! J’ai enfin réussi, tu as vu ça ? Takumi : Oui, euh… Je suis là, inutile de crier comme ça. Corrin : Je l’ai mis dans le mille 10 fois de suite, tu te rends compte ?! Takumi : Comme je te l’ai déjà dit, tu es très habile, mais il te reste beaucoup à apprendre. Touche la cible 100 fois de suite et là, je serai épaté. Touche une cible mouvante en plein combat, et je te tirerai mon chapeau. Corrin : Tu as raison. Je n’en suis pas encore là. Takumi : Non, mais je serai à tes côtés pour m’assurer que tu y arrives. Que tu le veuilles ou non, à partir de maintenant, tu m’auras sur le dos ! Corrin : Tu… Tu es sérieux ? Merci Takumi… Takumi : Je t’en prie. J’aimerais aussi aborder un autre sujet, avec toi. Corrin : Ah oui ? Takumi : Ce ne sera peut-être pas facile, mais j’ai besoin de te livrer ce que j’ai sur le cœur. Je… Je t’aime beaucoup. Corrin : Ah, vraiment ? Ça me fait plaisir, parce que ce n’était pas évident entre nous, au début. Takumi : Tu ne comprends pas. Je suis amoureux de toi… Corrin : Hein ?! Takumi : Je sais… Pardonne-moi… Je ne l’ai pas choisi ! J’ai été si méprisant envers toi… Tu t’en souviens ? Corrin : Mais, Takumi… Ce n’est pas… On ne peut pas… Takumi : Je sais à quoi tu penses, mais avant de dire quoi que ce soit, tu devrais lire ceci… Corrin : Une lettre ? Takumi : De la reine Mikoto, oui… Elle y explique… Eh bien, elle y explique comment tu es née. Pour être précis, cette lettre dit que tu n’es pas la fille du roi Sumeragi. Corrin : Qu-Quoi ? Mais… Mais… Et Sakura ? Ryoma ? Et Hinoka ? Takumi : Sumeragi était mon père, et le leur également. Mais pas le tien. Corrin : Depuis quand as-tu cette lettre ? Pourquoi ne m’as-tu rien dit ? Takumi : La reine me l’a donnée à ton retour en Hoshido, mais je viens de la lire. Elle m’a dit de la lire si je devais un jour être assailli de doutes sur mes sentiments. Ça m’a paru étrange sur le coup… Mais elle avait des pouvoirs divinatoires. Elle devait savoir qu’un jour… Je tomberais amoureux de toi. Corrin : Alors… C’est donc vrai… Takumi : La lettre dit qu’elle a cherché refuge en Hoshido lorsque tu n’étais qu’un bébé. Et mon père vous a recueillies, tout en sachant que tu n’étais pas son enfant. Il t’a élevée comme sa propre fille, par amour pour ta mère. Mais il ne lui a fallu que peu de temps avant de t’aimer aussi, autant que nous. Corrin : Il a fait tout ça… Il est mort pour moi, tout en sachant que j’étais la fille d’un autre ? Dans ce cas, il était mon père. Peu importe que nous partagions le même sang. Mais, dans ce cas… Qui est mon père ? Takumi : La lettre ne dit rien à ce sujet. Corrin : Oh. Takumi : Désolé. J’ai hésité avant de te révéler tout ça. Maintenant que tu sais tout, notre relation a changé irrévocablement. Mais je ne pouvais pas passer ma vie à te faire croire que nous étions frère et sœur. Surtout au vu de mes sentiments pour toi… Je sais… J’ai honte, mais… Corrin : Ça ne fait rien, Takumi. Je suis heureuse que tu me l’aies dit. Takumi : Est-ce que ça change quelque chose à tes sentiments pour nous ? Corrin : Non. Malgré le peu de temps que nous avons passé ensemble… J’ai l’impression de vous connaître depuis toujours. Vous comptez beaucoup pour moi. Même si je ne suis pas votre sœur. Takumi : Tu ne peux pas savoir à quel point je suis soulagé de l’entendre… Corrin : Mais quelque chose a changé, oui… Je n’ai plus à cacher mes sentiments. Je t’aime, Takumi. Takumi : Quoi ?! Corrin : J’ai bien cru que mon cœur allait exploser quand tu as dit que tu m’aimais beaucoup. Je ne voulais pas le montrer… Je croyais que Sumeragi était notre père. Tout cela est vraiment déroutant. Takumi : Oui. Mais lorsque plus rien n’a de sens, il faut se raccrocher aux vérités que l’on possède. Et la seule vérité dont je sois sûr, c’est notre amour l’un pour l’autre. Et cet amour suffira à bâtir un avenir. Corrin : O-Oui… Je crois que tu as raison. Eh bien, essayons. Après tout, que peut-il bien nous arriver ? Takumi : Si tu visais mon cœur, tu as frappé juste. C’était écrit.
Takumi & Sakura - Spoiler:
Soutien C Sakura : Euh… Takumi… Puis-je vous parler… du banquet ? Takumi : Tu le redoutes aussi ? Mais ne te fais pas d’espoirs. On ne peut pas s’y soustraire. Sakura : Et il ne sera pas annulé. C’est l’une des traditions les plus anciennes d’Hoshido ! Takumi : Je ne comprends pas pourquoi on organise une fête alors que nous sommes en guerre ! Sakura : Cela me rend si n-nerveuse de devoir tenir une conversation… Takumi : Je ne sais jamais quoi dire dans ce genre d’événements. Ils sont tous si coincés ! J’aimerais qu’on s’occupe de ces mondanités à notre place, mais c’est impossible. Sakura : On passerait pour des irresponsables. Takumi : Tu sais, Sakura, ce qu’il nous faut, c’est un plan. Soutien B Takumi : Tu as trouvé une brillante stratégie qui nous aiderait à survivre à cette réception ? Sakura : Tout ce que j’ai, c’est un conseil : il suffit de faire semblant et de croiser les doigts… Takumi : Ouah… Ce que tu es optimiste. Tu crois que ça marcherait ? Je pensais plutôt à nous faire porter pâles et nous cacher à l’infirmerie… Ou mettre le feu aux cheveux des invités et courir nous mettre à l’abri… Sakura : Peut-être qu’Azura pourrait nous donner quelques idées… ? Takumi : Qu’est-ce qu’elle peut faire ? Me dire de ne pas me comporter comme un imbécile ? Nous devons nous en charger tout seuls. Sakura : Très bien… C’est juste qu’il nous reste peu de temps… Et je suis t-terrorisée ! Takumi : Je m’en occupe, Sakura. Je trouverai une solution. Soutien A Sakura : Pff… Pfiou ! Je suis si heureuse que ce banquet soit fini ! Takumi : Ha ha ! Moi aussi. On a pu s’en sortir sans avoir de plan, finalement ! Pris de panique, j’ai commencé à jacasser comme un moulin à paroles et… Tout le monde est resté suspendu à mes lèvres. Sakura: Ils nous adorent ! Une dame m’a même dit qu’elle voudrait que sa fille me ressemble. Takumi : Oui, nous n’avions qu’à faire un effort. Qui l’aurait cru ?! Sakura : Ça m’a même plu de rencontrer tout le monde et d’écouter ce qu’ils avaient à dire. Takumi : Il faut que nous soyons accessibles. Sakura, nous formons une bonne équipe. Sakura : Merci, Takumi. Nous continuerons à travailler ensemble pour le bien d’Hoshido !
Takumi & Azura - Spoiler:
Soutien C Takumi : Bon, Azura… Qu’est-ce qui se passe ? Tu me regardes encore bizarrement. Azura : Je suis désolée. Mais ton kimono est tout torsadé derrière. Tu devrais arranger ça. Takumi : Euh… Merci ? Azura : Oh, et encore une chose : j’ai remarqué que tu avais à peine mangé ta salade à midi. Takumi : Je n’avais pas faim ! Qu’est-ce qui te prend ? Tu as d’autres recommandations ? Azura : En fait… non, c’est pas grave. Takumi : Vraiment ? Si tu as quelque chose d’autre à dire, vas-y, ne te gêne pas ! Azura : Eh bien, je pensais à ce que la reine Mikoto m’a dit un jour… Elle voulait que nous nous considérions comme frère et sœur. Takumi : Ma mère a dit ça ? Quelle exigence ! Nous ne sommes plus des enfants ! Azura : Tu as sans doute raison. Takumi : Tu sais que je respecte les souhaits de ma mère, mais tout va déjà bien entre nous. Azura : Merci. Je vais essayer d’arrêter de m’inquiéter pour ça. Takumi : Bon, eh bien à plus tard. Azura : Au revoir, Takumi. Soutien B Takumi : Je devrais manger un morceau et retourner à la maison. C’est Azura là-bas, avec ce gamin ? Azura : S’il te plaît ! J’essaie de te raisonner. Réponds juste à ma question… Enfant : Je n’ai pas à vous dire quoi que ce soit ! Vous êtes une étrangère ! Takumi : Azura, où tu l’as trouvé, le gamin ? Azura : Bonjour, Takumi. Je pense qu’il est perdu, mais il ne veut pas me dire où il habite. Takumi : Hé, gamin ! Tu t’es perdu ? Enfant : Laissez-moi tranquille ! Azura : Tu vois ? Il ne veut pas me parler non plus. Je veux qu’il retourne sain et sauf chez lui. Takumi : Du calme. Laisse-moi m’en occuper. Azura : Tu penses que c’est une bonne idée ? Takumi : Qu’est-ce que tu fais ici, mon p’tit ? Tu explores ? Enfant : Hein ? Oh, euh… Oui. C’est ça ! J’explore ! Comment vous le savez ? Takumi : T’as l’air d’un aventurier. Alors qu’est-ce que tu as vu aujourd’hui ? Enfant : Euh… Je suis passé par une montagne et un champ avant d’arriver dans ce village… Il y avait une super boutique qui vend plein d’armes. Un monsieur m’a donné du riz. Takumi : Ouah ! Ça a l’air génial. Tu dois être fatigué. Enfant : Un tout petit peu… Takumi : Eh bien, j’ai une idée. Je dois faire des exercices d’entraînement. Tu veux m’aider ? Enfant : Euh… Takumi : Et si je te porte sur mon dos, hein ? Tu te reposes, et moi je m’entraîne ! Enfant : Euh… d’accord ! Takumi : Super. Allez monte ! Encore merci de ton aide ! Enfant : Ouah ! Je suis tellement grand maintenant ! Takumi : Génial, hein ? Je vais courir jusqu’à ta maison. Paré ? Enfant : Oui ! Takumi : On va d’abord courir jusqu’à la boutique, puis le champ et la montagne, et après ? Enfant : Après il y a un très gros arbre ! Il est juste à côté de chez moi ! Takumi : Compris ! Partons à la recherche de cet arbre ! Azura : Qui aurait deviné que Takumi était aussi doué avec les enfants ? Soutien A Azura : Bonjour, Takumi. Encore merci pour ton aide, l’autre jour. Takumi : Avec le gamin ? Ce sont ses parents qui devraient me remercier, pas toi ! Azura : C’est moi qui me sentais perdue. Je ne savais pas comment gérer la situation. Ce petit garçon ne voulait pas me dire un mot, mais il est tombé sous ton charme ! Takumi : Ça, je ne sais pas, mais je me suis un peu reconnu en lui. Espiègle et têtu. Azura : Donc si je comprends bien, tu as fait comme si tu parlais à l’enfant que tu étais ? Takumi : En quelque sorte oui ! Mais ta technique aurait sûrement fini par marcher… C’était hilarant de te voir essayer de rester calme face à ce petit morveux ! Azura : Je te reconnais bien là. Takumi : Justement, je voulais m’excuser. Je ne t’ai pas rendu les choses faciles… Azura : Comment ça ? Takumi : Azura, je sais que je ne suis pas très facile à vivre… Mais j’aimerais que l’on se rapproche, en l’honneur de ma mère. Azura : Je suis d’accord, Takumi. Takumi : Très bien. Nous allons faire des efforts, chacun de notre côté. Azura : Absolument. Soutien S Azura : Qu’est-ce que c’est ?! J’ai cru entendre une voix… Takumi, c’est toi ? Nous sommes en pleine nuit. Ça va ? Takumi : Hmpf… Azura : Takumi ?! Ça n’a pas l’air d’aller ? Tu as mal quelque part ? Takumi : Mère, non ! Ne mourez pas, s’il vous plaît ! Azura : Oh là là. Takumi : Hein ? Où suis-je ? Azura ! Qu’est-ce que tu fais là ? Azura : Takumi, tu parlais dans ton sommeil. Je pense que tu faisais un cauchemar. Takumi : Oh. Je rêvais du jour où ma mère est morte. Azura : Je suis désolée… Takumi : Ça va. Je n’arrive pas à croire que tu m’aies vu comme ça. C’est si gênant. Pardon… Azura ! Heurf… C’est quoi cette étreinte ? Tu as une sacrée force. Azura : Personne ne remplacera la reine Mikoto, mais je serai toujours là pour toi. Nous ne sommes peut-être pas liés par le sang, mais nous sommes une famille. Takumi : Azura, je vais être honnête. Je n’ai jamais voulu de toi comme sœur. Je t’aime depuis notre première rencontre. C’est pourquoi je t’ai trouvée grossière quand tu as parlé de famille. Azura : Oh. Je ne le savais pas. Je voulais simplement que l’on se rapproche. Nous étions destinés à nous rencontrer… J’ai tout fait pour être une sœur idéale… Mais j’ai toujours espéré que nous soyons plus que ça encore. Takumi : Tu es sérieuse ?! Azura : Tu penses que je plaisanterais sur un sujet pareil ? Takumi : Non ! Et dire que nous ressentions la même chose pendant tout ce temps… Nous étions faits pour être ensemble, depuis le début. Azura : Oh, Takumi ! Maintenant nous allons enfin être une vraie famille ! Takumi : Je promets de toujours prendre soin de toi. Azura : Moi aussi ! Takumi, je t’aime !
Takumi & Hana - Spoiler:
Soutien C Hana : Hi-yaaah ! Yaaah ! Takumi : Bonjour, Hana. Hana : Pfiou… Oh, Votre Altesse ! Takumi : Déjà debout et en train de t’entraîner ? Le soleil vient à peine de se lever. Hana : Eh oui ! Takumi : Tu n’as pas changé d’un pouce. Tu sors t’entraîner tous les matins, même quand il fait un froid de canard ! Hana : M’exercer de bon matin me vide l’esprit ! Et puis, je me sens en harmonie avec mon épée quand je la manie dès le réveil. Takumi : En harmonie ? Eh bien… Hana : Oui, elle commence à devenir plus qu’une arme pour moi, c’est… Un prolongement de moi-même. Tel un bras ou une jambe, la manier me semble naturel. Takumi : J’ai peur de ne pas comprendre de quoi tu parles… Hana : Je m’excuse. Ce n’est pas facile à expliquer, c’est quelque chose qu’il faut ressentir. Je sais ! Et si nous essayions ensemble ? Je pourrais vous montrer de quoi je parle. Nous nous entraînions toujours ensemble, par le passé. Ce sera comme avant ! Takumi : Euh… Eh bien, c’était… Hana : Je me rappelle que nous nous retrouvions presque tous les matins. Puis, un jour, vous n’êtes pas venu, et nous ne nous sommes plus jamais entraînés. Cela m’a beaucoup attristée… Takumi : … Hana : Votre Altesse ? Pourquoi faites-vous cette tête… ? Takumi : Pour rien. Malheureusement, les temps ont changé et je n’ai plus le temps de bavarder. Je dois y aller. Hana : Votre Altesse ! Il est parti… Je me demande pourquoi il a arrêté de venir à nos entraînements… Soutien B Hana : Hi-yaaah ! Yaaah ! Gniii ! Takumi : … Hana : Qu’est-ce que… ? Oh, Votre Altesse ! Takumi : Quoi ? Hana : Comment ça « Quoi » ? Vous vous tenez debout juste derrière moi pendant que je m’entraîne, sans rien dire ! Takumi : Désolé. Je ne voulais pas t’interrompre. J’étais sur le point de partir. Hana : Hé, attendez une minute ! J’ai quelque chose à vous demander ! Takumi : Quoi donc ? Hana : Pourquoi avez-vous arrêté de venir à nos entraînements ? Vous ne me l’avez pas dit la dernière fois, et vous sembliez mal à l’aise. Takumi : Ne t’en fais pas. Hana : Dites-moi ! J’ai peur de vous avoir froissé, mais je ne sais même pas ce que j’ai fait ! Takumi : Comment peux-tu dire ça ? Tu ne te rappelles vraiment pas ? Hana : Je vous jure que je n’en ai pas la moindre idée. Que s’est-il passé ? Takumi : Je m’en souviens comme si c’était hier… Un jour, alors que nous nous entraînions, Sakura est passée nous voir. Tu as suggéré que nous nous battions en duel avec des épées d’entraînement… Hana : Mm-mmh… Takumi : Tu venais d’être désignée comme vassale de Sakura, tu étais pleine d’entrain. Tu voulais sûrement lui montrer l’étendue de tes talents au combat. Mais tu ne retenais pas tes coups, et tu m’as réduit en bouillie. Hana : Oh. Takumi : Vois-tu, je n’étais pas prêt à t’affronter pour de vrai. Pas parce que je pensais que tu n’y arriverais pas. Tu avais fait tes preuves. Mais je ne voulais pas passer à tabac l’amie de ma sœur, juste devant elle. Alors quand je t’ai laissé percer mes défenses, tu m’as frappé à la tête. Plusieurs fois… Hana : Ha ha, oh non. Ai-je vraiment fait ça ? Takumi : Pff… Tu ne t’en souviens donc pas. Bref, c’est pour cela que j’ai décidé de ne plus m’entraîner avec toi. Hana : Votre Altesse, je suis vraiment désolée… Takumi : Ça ne fait rien. Nous n’étions que des enfants. Je ferais mieux de partir. Hana : Arf… Je n’en savais rien… Soutien A Hana : Votre Altesse ! Takumi : … Hana : Votre Altesse ! Votre Altesse ! Pardon, Votre Altesse ! Ne m’entendez-vous pas ? Takumi : Bien sûr que si. Hana : Alors pourquoi ne m’avez-vous pas répondu ? Takumi : Je faisais comme si je ne t’entendais pas, car je suis occupé. J’espérais que tu comprendrais. Hana : Vous me connaissez assez pour savoir que je ne remarque jamais ces choses-là. Takumi : Pff… Tu as raison. Alors, que veux-tu ? Hana : Je veux assumer la responsabilité de mes actes. Takumi : Qu’est-ce que tu veux dire ? Hana : Je reconnais entièrement mes erreurs, je n’aurais pas dû vous brutaliser de la sorte ! À partir de maintenant, et pour me rattraper, je vais vous protéger ! Takumi : Ça n’a plus vraiment d’importance. C’était il y a longtemps, ça ne me dérange plus. J’en ai seulement parlé la dernière fois parce que tu me demandais sans arrêt. Hana : Mais moi, ça me dérange ! Et puis, vous êtes le grand frère de Sakura… Je devrais vous protéger, pas vous passer à tabac… C’était un comportement inacceptable pour une vassale. Je dois rétablir mon honneur ! Takumi : Tu as sûrement raison, mais… Hana : En guise d’excuse, laissez-moi vous défendre ! Cela vous conviendrait-il ? Takumi : … Hana. Hana : Oui ? Takumi : Je te considère digne de redevenir ma partenaire d’entraînement. Hana : Quoi ?! Pourquoi ? Ne l’aviez-vous pas regretté ? Je vous ai réduit en bouillie la dernière fois… Takumi : Ça n’arrivera plus. Je suis bien plus habile à l’épée. Peut-être que c’est toi qui vas te faire écraser. Hana : Votre Altesse… serait-il possible que vous cherchiez à vous venger de moi ? Takumi : Pas le moins du monde. Tu veux me protéger, mais je n’en ai pas besoin. J’ai plusieurs vassaux qui sont là pour ça. Je préférerais que tu utilises ta force pour vous protéger, ma sœur et toi. Hana : Je ne comprends pas… Takumi : Je comprends ton dévouement pour ma sœur. À propos de ce dont nous parlions… Tu voulais impressionner Sakura, non ? Je ressentais ta passion dans les coups que tu me portais… à répétition. Hana : Désolée… Takumi : Bref, pas besoin de te rattraper. Ça ne ferait que me mettre mal à l’aise. Mais j’apprécie le geste… Je parle de ton offre pour me protéger, bien sûr. Hana : Votre Altesse… Takumi : Alors continue à faire du bon travail et à protéger Sakura, d’accord ? Hana : Bien sûr ! Ça doit faire une éternité que je ne l’ai pas vu sourire. Il m’a demandé de veiller sur Sakura alors je dois redoubler d’efforts pour la protéger ! Soutien S Hana : Messire, j’ai le plaisir de vous informer que j’ai défendu Sakura avec succès. Takumi : Hana… Hana : Oui, que se passe-t-il ? Takumi : J’ai entièrement confiance en tes capacités. Tu n’as pas besoin de me faire un rapport sur la protection de Sakura tous les jours. Hana : Oh… cette nouvelle m’attriste. Cela nous donnait une chance de discuter et d’apprendre à mieux nous connaître. Et vous voulez me priver de ce plaisir ? Takumi : Je croyais… qu’on se connaissait déjà bien ? Hana : Oui, mais vous n’aviez pas l’air de beaucoup m’apprécier. Takumi : Ce n’est pas nécessairement vrai. Hana : Vous étiez glacial envers moi ! Vous n’avez commencé à vous ouvrir qu’il y a peu. Dès que vous me voyiez, vous aviez cette étrange expression sur votre visage. Puis vous tourniez immédiatement la tête pour éviter de croiser mon regard. Takumi : J’avais peur que tu me passes encore à tabac. Je ne faisais qu’assurer mes arrières. Hana : Je vous demande pardon ? C’est extrêmement blessant ! Takumi : Mes excuses… Mais, si tu croyais que je ne t’aimais pas, pourquoi revenais-tu toujours me voir ? Hana : Eh bien on ne peut pas être sûr d’aimer quelqu’un sans passer du temps avec. Takumi : En eff… Attends. Quoi ? Hana : Pff… Vous voyez ?! Je n’aurais jamais pu faire cela si j’avais gardé mes distances. Même si je pensais que j’aurais l’air un peu plus digne en le disant… Takumi : Je n’étais pas censé t’entendre, c’est ça ? Hana : Oh que si ! Que vous le vouliez ou non, vous n’oublierez jamais ces paroles. Comment faites-vous pour rester calme alors que je m’épanche auprès de vous ?! Takumi : C’est sûrement parce que j’aime bien taquiner les filles qui me plaisent. Hana : Ah d’accord… Attendez, vous voulez dire que… Takumi : Que tu me plais ? Oui, c’est exactement ce que je veux dire. Hana : Quoooi ?! Mais pourquoi ? Takumi : Ai-je besoin d’une raison ? Tu en as une, toi, de raison ? Hana : Bien sûr que oui ! Takumi : Vraiment ? Laquelle ? Hana : Eh bien, je me demandais pourquoi vous étiez si froid, et je voulais comprendre… Plus je passais de temps avec vous, plus j’aimais ce que j’apprenais de vous. Puis j’ai réalisé que vous me plaisiez. Takumi : On dirait que ça sort tout droit d’un conte de fées. Hana : Euuh… Peut-être. Mais je vous aime vraiment ! Et je veux passer plus de temps en votre compagnie. Surtout si je peux arrêter d’inventer des prétextes et être simplement moi-même. Takumi : Ça me semble raisonnable. Nous n’aurons plus besoin de ne discuter que de travail. À la place, pourquoi ne pas passer plus de temps à parler de choses concrètes ? De notre futur ensemble, par exemple. Hana : Notre futur ? Takumi : Nous devons décider de ce que nous allons faire ! Hana : Votre Altesse… Je suis tellement heureuse que je pourrais mourir de joie ! Takumi : Euh, ne meurs pas tout de suite, s’il te plaît. Hana : À vos ordres ! Je veux dire… Oui, mon amour !
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Lun 11 Juil - 18:18 | |
| Felicia & Hana - Spoiler:
Soutien C Hana : Hum ? C’est vous, Felicia ? Felicia : Oh. Bonjour, Hana. Hana : Que se passe-t-il ? Ça n’a pas l’air d’aller. Felicia : Hum… Quelque chose me préoccupe… Je dirais même que je suis inquiète… Hana : Ah bon ? Qu’est-ce qu’il se passe ? Vous avez fait tomber une assiette ? Felicia : Qu’est-ce que c’est censé vouloir dire ?! Il m’arrive d’avoir des soucis… importants. Hana : Je suis désolée ! Je voulais juste dire que… Bref, oubliez ça. Quel est le problème ? Felicia : Mmh… Eh bien… Vous savez que je suis la servante de Dame Corrin… Hana : Bien sûr. Felicia : Il se trouve que… j’ai peur de ne pas faire mon travail correctement… Hana : Parlez-vous de votre travail au quotidien ? Ou de votre relation avec elle ? Felicia : La seconde option. Voyez-vous, Dame Corrin est comme une sœur pour moi. Mais, je suis aussi sa servante, et me dois donc de toujours la traiter avec respect. Plus j’y pense, plus je me demande si je ne faillis pas à cette règle… Hana : Je comprends… Je peux facilement me mettre à votre place, vous savez… Dame Sakura est ma meilleure amie et ma maîtresse. Felicia : Oh, c’est vrai, oui ! Est-ce que ça ne rend pas les choses un peu compliquées ? Hana : Ça ne m’a jamais gênée, mais parfois, je me demande si je ne suis pas trop familière. Maintenant que vous le dites, ça a vraiment l’air d’être une relation compliquée, oui. Nous sommes très proches, mais elle appartient à une classe bien supérieure. Hum… Felicia : Comment vous y prenez-vous alors ? Hana : Il est difficile de déterminer où s’arrête notre relation de maîtresse et de vassale. Y a-t-il une attitude particulière à adopter ? Je ne sais pas. Ce n’est pas facile du tout. Felicia : Non, vraiment pas… Soutien B Felicia : Bonjour, Hana. Auriez-vous trouvé une réponse à la question de l’autre jour ? Hana : « Quelle attitude adopter face à nos amis et maîtres ? » ? Non… toujours pas. Felicia : Je vois. Hana : Ce ne sont ni des membres de notre famille ni des camarades comme les autres. Nous nous devons de les servir de notre mieux. C’est le propre de notre profession. Felicia : En effet… Hana : Ce n’est bien sûr pas réciproque. Eux ne nous doivent rien, mais… Ils ne nous demandent pas non plus de les traiter différemment. C’est, d’une certaine façon, une force de respect et d’amitié envers nous, non ? Felicia : Certains vassaux se contentent pourtant de leur devoir et n’attendent rien en retour. Hana : Mais ce n’est évidemment pas notre cas. Felicia : Non, bien sûr que non. Hana : J’ai beau réfléchir, je ne trouve toujours pas de solution à notre problème… Felicia : Je suis désolée. J’ai l’impression que mes inquiétudes vous ont affectée… Hana : Non, ne vous en faites pas ! Honnêtement, je n’y aurais jamais pensé toute seule. Merci de m’en avoir donné l’opportunité ! Soutien A Hana : Vous voilà, Felicia ! Felicia : Hana… Au vu du regard qui illumine votre visage, je devine que vous avez résolu notre énigme ! Hana : Hi hi ! Non. Désolée. J’y ai énormément réfléchi, mais je n’ai pas pu trouver de réponse… Felicia : Oh… Hana : Mais vous savez quoi ? Je ne crois vraiment pas que cette question ait une réponse. Felicia : Ah non ? Hana : Traitons-nous nos maîtresses avec tout le respect qui leur est dû ? Nous sommes des serviteurs. Nous ne pouvons que leur rendre service. Dame Sakura, par exemple, ne s’est jamais plainte de mon manque de formalité. Felicia : Nous agissons donc correctement ? Malgré nos différences avec les autres vassaux ? Hana : Bien sûr ! Nos maîtresses sont notre famille, nos amies et nos alliées… On ne peut le nier. Nous leur causerions du tort si nous ne les traitions pas comme telles. Felicia : Hum… Hana : Nous n’avons donc aucune raison de faire plus attention à notre comportement. Felicia : Vous le croyez vraiment ? Hana : Oui. Vous avez toute confiance en votre maîtresse, n’est-ce pas ? Vous pouvez compter sur elle ? Felicia : Oui, bien sûr ! J’ai entièrement confiance en elle ! Hana : Tant mieux ! Toute personne haut placée devrait inspirer la confiance de ses amis. Cette confiance aveugle est bien la seule chose sur laquelle nous pouvons compter. Tant que nous avons cela, la question de l’amitié et de la familiarité ne se pose pas. Felicia : Vous pensez donc que c’est la confiance seule qui cimente cette relation ? Ça me rassure… Je m’en doutais, mais j’avais besoin de l’entendre. Hana : C’est bien pour cela que nous leur consacrons notre vie, n’est-ce pas ? Felicia : Tout à fait ! Hana : Alors promettons-nous de continuer à croire en elles. Et de rester à leur service tant que la vie nous le permettra ! Felicia : Bien sûr ! Merci, Hana ! Hana : Oh, de rien. Merci à vous ! Vous m’avez aidée à y voir plus clair.
Felicia & Kaze - Spoiler:
Soutien C Felicia : La lala lali lalaaa… ♬ Il fait si beau dehors, le linge va sécher en un rien de temps ! Voyons… Il me reste encore à étendre ces draps, et j’en aurai terminé ! Hééé ! Mais d’où vient ce vent ? Non ! Reviens, le drap ! Aaah… Oh ! Kaze : Felicia. Ce drap est-il à vous ? Felicia : Kaze ! Vous l’avez attrapé, merci beaucoup ! Kaze : Ce n’est rien. Je suis très heureux d’avoir pu vous être utile. Felicia : Si, vous m’avez vraiment rendu un grand service ! Grâce à vous, je vais peut-être m’acquitter de mes tâches sans erreur, aujourd’hui ! Kaze : Est-ce si rare que cela ? Felicia : Hum… J’aurais peut-être dû me taire. En effet, c’est rare. Je ne suis pas une très bonne domestique. J’essaie, mais je fais beaucoup d’erreurs. Kaze : Je vois. Dans ce cas, permettez-moi de vous aider de temps à autre. Felicia : Oh, non, tout va bien ! Je ne voudrais pas vous imposer cela ! Kaze : Allons, nous sommes alliés. C’est bien normal de s’entraider, entre amis. Felicia : Eh bien, présenté ainsi, c’est d’accord. J’accepte bien volontiers votre aide. Kaze : Parfait. Étendons cette lessive, alors. Felicia : Euh… j’en ai déjà terminé avec cela, en réalité. Kaze : Ah, oui ? Bon, si vous trouvez une autre manière de me rendre utile, venez me voir. Vous savez où me trouver. Felicia : Ouah, il a disparu ! J’aimerais tellement pouvoir faire ça, moi aussi ! Mais… je ne sais même pas où le trouver ! Je vais me débrouiller seule, aujourd’hui… Soutien B Kaze : Bien, il me semble que nous avons tout. Felicia : Oui… Kaze : Hum ? Avons-nous oublié d’acheter quelque chose ? Felicia : Pardon ? Oh, non. Je suis juste étonnée que les courses se soient si bien passées. Kaze : C’est plutôt une bonne chose. Cela veut dire que vous avez bien travaillé, Felicia. Felicia : Non… Je suis à peu près sûre que c’est parce que vous étiez avec moi. Si vous n’aviez pas surgi, j’aurais même sûrement oublié ma liste de courses. Kaze : Oh, il nous arrive à tous d’oublier des choses. Quoi qu’il en soit, vous ne me devez rien. J’ai promis de vous aider de mon mieux. C’est pour cela que je vous ai surveillée, afin de m’assurer que tout allait bien. Felicia : Ah bon ?! Mais alors… Cela explique le four éteint juste à temps avant l’incendie… Et le pot de peinture échangé avec le pot de lasure… Ou encore les vêtements qui semblaient déjà repassés lorsque je les ai descendus… Merci, Kaze. Je vous dois tant. Kaze : Pas du tout. Je vous aide parce que j’en ai envie. Et puis aussi parce que… Enfin, non, ce n’est rien. Felicia : Oui ? Parce que quoi ? Kaze : Rien. Un lapsus. Pardonnez-moi. Felicia : Hé ! Vous me cachez quelque chose, non ? Kaze : Bien sûr que non, je suis juste heureux de pouvoir vous rendre service. N’est-ce pas suffisant ? Felicia : Ne vous moquez pas de moi ! Kaze : Je ne vois pas de quoi vous voulez parler. Bonne journée à vous. Felicia : Hé ! Vous ne pouvez pas vous enfuir comme ça ! Kazeee ! Soutien A Felicia : Bien, il ne me reste plus qu’à laisser mijoter. Ah, et une pincée de sel ! Kaze : C’est le sucre que vous tenez là. Felicia : Aaah ! Kaze ! Kaze : Bonsoir, Felicia. Vérifiez toujours bien l’ingrédient que vous prenez. Felicia : Oh, oui, bien sûr. Tenez, pendant que vous êtes là, dites-moi une chose… L’autre jour, vous alliez me dire pour quelle raison vous m’aidez autant. Qu’est-ce que vous vous apprêtiez donc à me dire ? Kaze : Ah, vous n’avez pas oublié… Felicia : Certainement pas ! Je n’ai pas réussi à me sortir cela de la tête ! À cause de cela, j’ai raté mes tâches encore plus que d’habitude ! Kaze : Encore plus ? C’est embêtant… Très bien, mais vous devez me faire une promesse. Vous ne devrez jamais dire à Dame Corrin ce que je vais vous révéler. Felicia : Dame Corrin ? Très bien, je promets. Kaze : En vérité… Dame Corrin m’a demandé de veiller sur vous. Felicia : Q-Quoi ?! Mais alors… Elle ne me fait pas vraiment confiance, pas vrai ? Kaze : Je ne dirais pas les choses comme cela. Dame Corrin tient beaucoup à vous. C’est pour cela qu’elle m’a abordé. Elle voulait simplement s’assurer que tout allait bien pour vous. Felicia : Vous avez sûrement raison, mais… Je voulais être utile, et je ne suis qu’un fardeau pour vous deux… Kaze : Non. L’armée a besoin de vous, Felicia. Ne pensez pas que vous êtes un fardeau. Les amis sont là pour vous aider, alors cessez de vous accabler ainsi. Felicia : Bien… Merci, Kaze. Vous trouvez toujours les mots qu’il faut ! Kaze : Je vous en prie. Felicia : Mais alors… Nous sommes amis ? Vous ne m’aidez pas par obligation ? Kaze : Bien sûr que non. C’est ce que je vous dis depuis le début. J’aime vous rendre service. Felicia : C’est formidable ! Je suis tellement heureuse de vous avoir pour ami ! Soutien S Felicia : Dites, Kaze ? Kaze : Oui, Felicia ? Felicia : Je suis contente lorsque vous m’aidez, mais vous venez souvent, en ce moment. Parfois, vous venez même lorsque je n’ai pas de problème du tout ! Kaze : Je fais cela, moi ? Felicia : Oui ! Essayez-vous de venir juste au cas où je ferais une bêtise ? Ce n’est pas nécessaire ! Il y a des jours où je ne fais aucune erreur du tout ! Kaze : Vous vous trompez. Felicia : Alors quoi ? Kaze : C’est juste que… j’aime être près de vous. Felicia : Pardon ? Kaze : Avant, je voulais seulement vous aider, en tant qu’ami et allié. Aujourd’hui, je réalise que ce que je veux vraiment, c’est passer du temps avec vous. Je veux vous entendre rire, je veux discuter avec vous, apprendre à vous connaître… Je vous aime, Felicia. Felicia : Vous me quoi ?! Kaze : Felicia, vous êtes quelqu’un de bien. Vous êtes toujours sérieuse et sincère. Et vous êtes gentille. Cela ne vous gêne pas de consacrer votre vie aux autres. Avec le temps, j’ai compris qui vous étiez vraiment… et je suis tombé amoureux. Voulez-vous rester à mes côtés ? Felicia : Oh… Je suis désolée, c’est tellement… C’est tellement inattendu ! Je suis si heureuse que vous m’ayez dit cela, Kaze… Kaze : Vous voulez dire que… Felicia : Oui. Oui, je veux rester à vos côtés. Kaze : Je n’ai pas ressenti une telle joie depuis bien longtemps. Merci, mon amour. Je vous protégerai toujours. Felicia : Et j’en ferai tout autant !
Setsuna & Hinata - Spoiler:
Soutien C Hinata : Aaah ! Ouille ouille ouille ! Quel maladroit… Setsuna : Bonjour, Hinata… Hinata : Ah ! Setsuna ?! D’où tu sors ?! Setsuna : Qu’est-ce qui est arrivé à ton bras ? Hinata : Oh, j’essayais juste de reproduire une parade compliquée, et je me suis entaillé. Bah, c’est pas bien grave. J’ai plein de coupures à cause de l’entraînement. Ça ira. Setsuna : Tu te blesses souvent comme ça ? Ça a l’air douloureux… Hinata : Mmh ? Oh, ouais, un peu. Mais bon, c’est la vie, pas vrai ? Setsuna : Oui… Je me blesse aussi, parfois. Hinata : Ah oui ? À force de trop t’entraîner ? Setsuna : Oh non… À cause de tous les pièges dans lesquels je tombe. Hinata : Ah oui, je me souviens ! Tu finis toujours coincée dans un piège. Même ceux de tes alliés… C’est comme ça que tu te blesses, alors ? Setsuna : Oui… Alors depuis quelque temps, je fais une réserve de potions, au cas où. Je serais heureuse de les partager… Hinata : Merci, Setsuna ! Une bonne potion ne me ferait pas de mal. Setsuna : Bien… Si tu veux, je pourrais t’en apporter d’autres. Hinata : Ah oui, tu en as beaucoup ? Setsuna : Oui, je suis allée faire des courses, l’autre jour, et j’en ai acheté une tonne d’avance. Je t’en donnerais avec plaisir si tu penses en avoir besoin… Hinata : Vraiment ? Ce serait génial ! Tu es adorable, Setsuna ! Setsuna : Hé hé. Bon, à plus tard, alors… Soutien B Setsuna : Salut, Hinata. Je t’ai ramené les potions dont on parlait l’autre jour… Hinata : Celles que tu as achetées en trop ? Génial ! Fais voir ce que tu as là… Setsuna : Tadam ! Hinata : Eh ben ! Tu ne plaisantais pas en disant que tu en avais acheté une tonne ! Tu veux ouvrir un magasin ou quoi ? Setsuna : À chaque fois que j’en prenais une, je me disais que ça pouvait servir… J’ai fini par avoir un peu de tout. Hinata : Oooh, elle a l’air intéressante, celle-là. Elle sert à quoi ? Setsuna : Celle-là soigne les plaies dans la bouche. Elle a un goût très sucré… Hinata : Elle ressemble à un bonbon, tu veux dire ! Eurk, c’est quoi cette odeur ? Ça vient de cette bouteille verte, non ? Setsuna : C’est une panacée. Je pense qu’elle peut tout guérir ou presque… Mais oui, tu as raison. Elle sent vraiment mauvais… Hinata : Je suis pas pressé de la boire… Je ne savais pas qu’il existait tant de potions différentes, Setsuna ! Tu connais les effets de chacune ? Setsuna : Je crois… Je n’y ai jamais réfléchi. Les collectionner m’amuse, c’est tout. Hinata : Il va bientôt falloir que tu crées tes propres potions si tu les récupères vraiment toutes. Je plaisante, ça serait vraiment compliqué… Setsuna : À vrai dire… je pense que ça me plairait beaucoup. Faire mes propres potions… Ça pourrait être drôle. J’en ferais pour les autres… Hinata : Attends, pour de vrai ? Tu penses que tu en serais capable, Setsuna ? Setsuna : Je crois, oui… Je vais en faire une juste pour toi, Hinata. Ça va être chouette. Hinata : Setsuna, tu sais que c’était une blague, hein ? Setsuna : Ça va être tellement amusant… Hinata : Setsuna, attends ! Je n’étais pas… Elle est partie… J’ai un mauvais pressentiment maintenant… Soutien A Setsuna : Hinata, j’ai terminé… Hinata : Tu as terminé… quoi ? Oh ! La potion que tu voulais faire pour moi ? Setsuna : Tout à fait, elle n’attend que toi. Je m’en suis fait aussi, elle fonctionne si bien ! Hinata : Vraiment ? Fantastique ! Quels sont ses effets ? Setsuna : Eh bien, comme je me fais souvent piéger, elle soulage d’abord les contusions… Hinata : Oooh, elle a un arôme si rafraîchissant. Rien que son parfum me détend… Setsuna : Je me suis dit que c’était important que la potion ne sente pas le cadavre… Bref, les blessures s’infectent souvent, donc j’y ai ajouté quelques herbes, exprès. Hinata : Oh, ouah ! Je ne m’attendais pas à ce que tu fasses ça aussi bien, Setsuna ! Je suis impressionné. Vraiment. Setsuna : Moi aussi. Je pensais que j’allais rencontrer un tas de soucis pour la créer, mais non. Hinata : Tu as un don pour faire des potions. J’en conclus que tu l’as déjà testée sur toi quand tu es tombée dans un piège ? Setsuna : Oui, c’est pour ça que j’ai tardé à te l’apporter. J’y suis restée deux jours. Mais j’avais ta potion avec moi, donc je suis sûre que personne n’y a touché. Tiens… Hinata : Merci ! Je… Aaah ! Qu’est-ce que c’est que ça ? On dirait de la boue ! Et elle pue ! Pourquoi la mienne est complètement différente de la tienne ?! Setsuna : Je suis heureuse que tu apprécies son caractère unique… Hinata : Mais non ! C’était pas un compliment ! Par les dieux, mais… elle bouge ?! Pourquoi ma potion bouge-t-elle ? Setsuna : Qui sait… La science est un tel mystère. Hinata : Mais… Mais c’est toi qui l’as faite ! Tu ne peux pas dire ça de ta propre création ! Qu’est-ce qu’il y a dedans, exactement ? Setsuna : Des insectes récupérés dans la montagne, quelques reptiles… Hum… Quoi d’autre… Hinata : C’est infâme… Désolé Setsuna, je vais te la rendre, je crois… Setsuna : Oh, vraiment ? C’est dommage… Hinata : J’apprécie vraiment les efforts que tu as faits, mais je… Je ne peux pas boire ça. Je serais heureux de partager des potions avec toi, de temps à autre. Mais pas celles que tu crées, d’accord ? Setsuna : Très bien, ça me va. Je retourne au magasin… Soutien S Setsuna : Bonjour, Hinata… Hinata : Salut, Setsuna. Tu as besoin de quelque chose ? Setsuna : J’ai tenté de refaire ta potion… Hinata : Ah oui ? Tu parles de ce truc bizarre et mouvant ? Setsuna : Oui. Je crois que cette fois, j’ai réussi… Hinata : Vraiment ? Fais-moi voir… Elle a l’air normale… En tout cas, cette fois, elle ne gigote pas. Oh, et elle sent meilleur aussi. Setsuna : Je l’ai testée pour m’assurer qu’elle fonctionne. Je pense que j’ai laissé l’autre mûrir un peu trop longtemps… Elle a dû, euh, tourner. Hinata : C’était donc ça le problème ? Alors j’utiliserai celle-là rapidement ! Merci, Setsuna ! C’est un cadeau génial ! Setsuna : Heureuse de te faire plaisir… Je ne me serais pas donné de répit avant de t’avoir fait la potion que je t’avais promise. Hinata : Vraiment ? Ça t’importait à ce point ? Est-ce que tu… ? Non, laisse tomber. C’est ridicule… Setsuna : Un souci, Hinata ? Tu as l’air de souffrir. Tu devrais peut-être prendre ta potion… Hinata : Bon… Très bien. Je voulais te demander… Si tu voulais à ce point faire quelque chose pour moi… C’est parce que je te plais ? Setsuna : Si tu me plais ? Tu veux dire… Si tu… m’attires ? Hinata : C’est juste que depuis qu’on a commencé à parler de potions, je te regarde sans cesse. Quand je te vois passer, je te suis des yeux sans pouvoir m’en empêcher. Je me suis récemment rendu compte que c’était parce que je t’aimais. Setsuna : Hinata… Hinata : Alors… S’il y a la moindre chance que tu m’aimes aussi… J’aimerais vraiment que tu me le dises ! Setsuna : Hum… Hinata : C’est… un non, c’est ça ? Setsuna : Hum… Hinata : Wouhou ? Setsuna, tu m’entends ? Setsuna : Oh ! Pardon. J’étais si surprise que je me suis mise à rêvasser… Oui, Hinata, je t’aime aussi. Te l’entendre dire a noyé mon esprit de bonheur… Hinata : De bonheur ? Vraiment ?! Setsuna : Oui… Je suis si heureuse que tu m’aies avoué tes sentiments… Je ne veux plus jamais te quitter. Hinata : Oh, Setsuna, je suis si heureux que nous ressentions la même chose ! Setsuna : Mais je dois t’avertir. J’ai très souvent la tête dans les nuages… Je rêvasse… Que ce soit en plein milieu d’une discussion ou pendant que je fabrique des potions… Mais je crois que je rêverai surtout de toi, désormais.
Jakob & Takumi - Spoiler:
Soutien C Takumi : Jakob… Tu veux bien me rendre un service ? Jakob : Prince Takumi. En quoi puis-je vous être utile ? Takumi : J’ai besoin d’aide pour mon entraînement. Je pense que tu ferais parfaitement l’affaire. Jakob : Moi ? Mais pourquoi ? J’ai du mal à imaginer que je sois votre premier choix en matière de partenaire… Takumi : Peut-être, oui, mais tu sais tenir ta langue… Je compte suivre un entraînement spécial et je préfère que personne n’en sache rien. Jakob : Je vois… Vous aimeriez que l’on remarque vos prouesses… Sans suspecter le dur labeur qu’il vous a fallu pour parvenir à un tel niveau. Takumi : N-Non ! Ce n’est pas ce que je voulais dire. Mais euh… Eh bien, pour dire les choses simplement, ce n’est pas tout à fait faux. Jakob : Hum. Quoi qu’il en soit, j’ai peur que vous ne fassiez erreur sur la personne. Sachez qu’il n’y a pas pire que moi pour garder un secret. Aussi infime soit-il. J’emporterai sûrement les secrets de Dame Corrin dans la tombe… Mais cet honneur lui est réservé, à elle et à elle seule. Takumi : Tu es en train de dire que je ne peux pas compter sur toi pour mon entraînement ? Jakob : Mes excuses, prince Takumi, mais je suis entièrement dévoué à Dame Corrin. Vous faites également erreur en me prenant pour un guerrier digne de ce nom… Je ne suis qu’un majordome. Je peux vous apprendre à servir le thé, en revanche… Takumi : Allons, allons, à d’autres ! Je t’ai vu en action sur le champ de bataille ! Jakob : Certes, défendre ma maîtresse au péril de ma vie est une tâche dont je m’acquitte. Mais m’entraîner avec d’autres qu’elle ne fait aucunement partie de mes obligations. Takumi : Mmh, j’ai plutôt l’impression que tu as la flemme de m’aider, voilà tout. Jakob : J’en suis marri. Mais la liste de mes devoirs de majordome est déjà très longue… Et je n’ai tout simplement pas de temps à accorder aux autres. Takumi : Pff ! Bon, j’ai compris. Je ne peux donc pas compter sur toi pour ces choses-là. Jakob : Merci de votre compréhension, prince Takumi. Soutien B Takumi : Et… on relâche. Jakob : Ah, prince Takumi. Je vois que vous vous entraînez à l’arc, aujourd’hui. Takumi : Oui. Tout seul. Jakob : Mmh ? Pourquoi cette précision ? Ne m’avez-vous pas dit vouloir vous entraîner loin des regards indiscrets ? Takumi : Oui mais… Oh et puis zut. Écoute, si tu n’as pas l’intention de m’aider, va-t’en. Jakob : Oserais-je vous poser une question, prince Takumi ? Takumi : Je n’en sais rien. Essaie. Jakob : Quelle tâche comptiez-vous me confier, précisément ? Je ne vois pas quoi faire, à part vous regarder décocher vos flèches. Takumi : Peut-être, mais avec l’aide de quelqu’un, je pourrais réaliser d’autres exercices. Tu es vraiment un mou du genou, tu sais ? Et un égoïste de surcroît. Jakob : J’ai bien peur que vous ne fassiez erreur une nouvelle fois, prince Takumi. Je fais simplement passer les besoins de Dame Corrin avant les autres… Takumi : Quitte à les ignorer complètement ? Il n’y a pas de quoi être fier ! Bref, tu comptes rester planté là longtemps ? Je suis occupé, moi. Jakob : En fait… Dame Corrin souhaite que je vous aide à vous entraîner. Et puisque c’est son souhait, je le respecterai avec joie. Takumi : Vraiment ? Bon… Alors, va te placer là-bas. Jakob : Sachez toutefois que sa requête n’avait trait qu’au cadre de votre entraînement. Ne comptez pas sur moi pour quoi que ce soit d’autre. Takumi : Non mais quelle plaie… Jakob : Ah ? Eh bien, c’est votre opinion… Dame Corrin ne s’en plaint pas. Takumi : Pff ! Bref, tiens-toi là et ne bouge pas. Jakob : Soit. Tant que je peux rendre service… Takumi : Ouais. Pose donc cette pomme sur ta tête. Jakob : P-Prince Takumi ?! Je ne vois pas en quoi… Takumi : C’est dans le cadre de tes fonctions. Tu vas m’aider à acquérir plus de discipline. La tentation de viser trop bas est grande… Énorme, même. Je vais devoir me retenir. Libre à toi de refuser bien sûr. Corrin en sera informée. Jakob : Mais… Je… Bon. Takumi : Ne t’inquiète pas, je n’ai encore jamais raté ce genre de tir. Enfin, il y a toujours une première fois… Jakob : Arf… J’aurais peut-être dû me montrer plus aimable à son égard… Soutien A Takumi : Bonjour Jakob. Tu veux bien revenir m’aider sur le terrain d’entraînement ? Jakob : Bien sûr, prince Takumi. Même si l’envie n’y est pas, je dois rester irréprochable aux yeux de Son Altesse. Takumi : Ha ha ha… Eh bien, au moins, tu ne caches pas tes intentions. Jakob : Mais ne vous êtes-vous pas déjà suffisamment entraîné ? Takumi : Qu’est-ce que tu veux dire ? Jakob : Vous avez la réputation d’être l’un des plus grands archers de tous les temps… Que vous faut-il de plus ? Takumi : C’est leur avis. À mes yeux, j’ai encore beaucoup de progrès à faire. Je peux devenir encore plus fort, et ils s’en rendront compte, eux aussi. Jakob : Vous êtes donc en quête de reconnaissance… Takumi : Perspicace. Pourquoi ai-je l’impression que tu connais bien ce sentiment ? Jakob : C’est un désir bien naturel, mais il s’est envolé au fil du temps. J’ai mûri, voilà tout. Takumi : Hé ! Ça veut dire quoi exactement ? Jakob : Mes excuses, prince Takumi, mais… vous êtes encore bien jeune. Je ne suis pas très doué pour interagir avec des gens plus jeunes que moi. Takumi : Ha ! Il n’y a pas tant d’écart que ça entre nous ! Tu n’es pas si vieux. Jakob : Peut-être. Mais la sagesse s’acquiert avec l’âge. Vous le découvrirez bien assez tôt. Mais pas tout de suite. Takumi : Grr… Non mais attends un peu, toi ! Je vais te prouver que tu as tort… Jakob : J’attends cela avec impatience, prince Takumi. Bon, assez palabré ! J’ai une envie folle de tirer des flèches sur quelque chose. Jakob : Très bien. Je sais ce que ça veut dire… Mais que diriez-vous plutôt d’une petite compétition amicale de tir de précision ? Je ne pense pas pouvoir m’empêcher de donner le meilleur… Êtes-vous prêt ? Takumi : Pff ! Quand tu veux !
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Lun 11 Juil - 22:49 | |
| Jakob & Kagero - Spoiler:
Soutien C Jakob : Bonjour, Kagero. Je suis en route pour… Mais… qu’est-ce que c’est que ce tableau ? Kagero : Bonjour, Jakob… C’est un tableau tout à fait normal. Quelque chose ne va pas ? Jakob : D’où vous est venue l’inspiration ? Que diable avez-vous pu utiliser comme sujet pour obtenir un tel résultat… ? Kagero : Vous ne trouvez pas que cela ressemble à un chat ? Jakob : Un… un chat ? Vous voulez dire que… c’est censé représenter un chat ? Kagero : Ce n’est pas censé représenter un chat. Ça représente un chat. Jakob : Ce n’est pas ce que j’aurais dit. Si je ferme un œil, que je penche la tête vers la gauche et que je louche un peu… Je vois une vieille dame souriante, assise sur une pelote à épingles. Kagero : Ce n’est pas du tout ce que j’ai peint. C’est étrange que vous voyiez cela. Jakob : Très étrange, en effet. Kagero : Je vous l’assure, j’ai peint un chat et rien d’autre. Jakob : Un chat qui ne ressemble à aucun autre chat que j’aie pu voir auparavant. Kagero : Ce n’est pas grave. De toute façon, je ne pensais pas montrer ce tableau à qui que ce soit. Soutien B Kagero : Hum… Si j’ajoute une petite touche de cette couleur, ça devrait faire l’affaire… Jakob : Bonjour, Kagero. Que faites-v… Par tous les dieux ! Vous peignez un autre de vos inquiétants tableaux… Kagero : Bonjour, Jakob. Jakob : Quel était votre modèle cette fois ? Kagero : Vous ne reconnaissez pas ? Jakob : Je m’excuse. Je n’arrive pas vraiment à identifier ce que ça représente… Kagero : Pff. Et moi qui pensais m’en être mieux sortie cette fois… Jakob : Attendez ! Laissez-moi réfléchir… C’est un ogre poussant un cri de guerre ? Kagero : C’est un chat. Encore une fois. Jakob : Dans quel sens faut-il regarder ce tableau pour que ça ressemble à un chat ? J’ai beau essayer, je ne le vois absolument pas ! Kagero : Je vous assure que c’en est un. Regardez là-bas, ce chat assoupi. C’est lui que j’ai pris pour modèle. Jakob : Je ne comprends vraiment pas comment on passe de ce chat… À ce tableau. Kagero : Moi, je distingue très clairement un chat. Je crois que vous avez un problème dans votre façon de voir le monde. Jakob : C’est plutôt votre sens de l’esthétique qui est bizarre. Kagero : Je dois admettre que vous n’êtes pas la première personne à me dire cela. Jakob : J’imagine que ce n’est pas un mal… Vous pouvez dessiner tout ce que vous voulez. Vous avez seulement trouvé votre… style bien à vous au fil des tableaux. Kagero : En parlant de cela… Voudriez-vous m’aider pour mon prochain tableau, Jakob ? Cela m’aiderait peut-être à progresser si j’avais un avis extérieur en peignant. Vous pourriez même en profiter pour vous essayer à la peinture si vous voulez. J’ai déjà tout le nécessaire. Nous pourrions commencer dès maintenant. Jakob : Vraiment ? Je n’ai aucune expérience dans ce domaine… Mais oui, pourquoi pas, essayons. Kagero : N’hésitez pas à me demander quoi que ce soit. La peinture est une seconde nature chez moi. Jakob : E-Euh, oui j’aurai certainement besoin d’aide… Soutien A Jakob : Kagero. Kagero : Bonjour, Jakob. Jakob : Vous aimez vraiment peindre, n’est-ce pas ? Kagero : Oui, c’est très relaxant. Cela m’aide à me recentrer, un peu comme la méditation. Jakob : Je vois. Est-ce que je vous dérangeais en venant commenter vos tableaux ? Kagero : Pas du tout. Au contraire, il est toujours bon d’avoir une opinion sur ce que l’on peint. En fait, j’attends même vos visites avec impatience. Peu de gens sont assez honnêtes pour donner leur avis sans détour. Jakob : Je ne vois pas comment vos tableaux peuvent laisser qui que ce soit indifférent. Ils sont incroyablement uniques. Kagero : Savez-vous sur quoi je travaille en ce moment ? Jakob : Oh, bien sûr. C’est facile ! C’est un chat. C’est forcément un chat. Kagero : Arf. Malheureusement, cette fois, ce n’est pas un chat. Jakob : Oh, vraiment ? J’étais pourtant persuadé d’avoir reconnu un chat… Kagero : Alors… vous n’avez aucune idée de ce que j’ai pris pour modèle ? Je peux vous le dire si vous ne le savez pas. Jakob : Attendez, laissez-moi y regarder de plus près. Hum. On dirait… un homme chauve, au bord des larmes, brandissant un fouet ! Kagero : … C’est vous, souriant. Jakob : M-Mon visage ressemble à ça, pour vous ?! Kagero : Je croyais pourtant y être parvenue, cette fois… Apparemment, mon pinceau n’a pas capturé la réalité aussi fidèlement que je le pensais. Jakob : Mais… je ne suis pas chauve ! Cet individu n’a pas un seul cheveu sur la tête ! Kagero : Je n’ai pas dû suffisamment vous observer lors de vos visites. Je voulais vous offrir ce tableau, mais vu votre réaction… Je ferais peut-être mieux de m’en débarrasser. Jakob : Tss… Si vous voulez le jeter, je vais le prendre. Kagero : Vous êtes sûr ? Jakob : Vous avez mis du cœur dans ce tableau, il a donc une valeur particulière. Et puis, avec un peu de chance, il fera fuir les démons qui voudraient m’attaquer. Je vous laisse y apporter la touche finale et je le prendrai avec plaisir. Kagero : Euh… D’accord. Soutien S Jakob : Kagero, que pensez-vous de ce tableau ? Kagero : Hum… Jakob : Je vous préviens, il ne représente pas un chat. Kagero : Je vois bien. On dirait un homme et une femme côte à côte. Jakob : C’est exactement ça. Kagero : C’est joli. Ce tableau me fait chaud au cœur. On sent que l’artiste a voulu transmettre ses émotions au travers de son œuvre. Jakob : J’en suis ravi. C’est moi qui ai peint ce tableau après tout. Kagero : Vraiment ? C’est une peinture originale que vous avez réalisée ? Jakob : Oui. J’avais un peu peur de me lancer alors que je n’ai jamais fait ça de ma vie. Mais c’était le moyen idéal de vous faire part de mes sentiments. Kagero : Vos sentiments ? Que voulez-vous dire ? Jakob : J’ai l’impression que peindre ainsi côte à côte nous a beaucoup rapprochés. Je voulais exprimer ce que je ressens à votre égard à travers ce tableau. Kagero : … Jakob : Kagero, je veux être avec vous. Kagero : Jakob… Jakob : Je me sens si bien lorsque nous sommes ensemble. Je ne peux m’imaginer passer ma vie auprès de quelqu’un d’autre. Kagero : Vous voulez dire que… L’homme et la femme de votre tableau… Ils nous représentent, n’est-ce pas ? Jakob : O-Oui… Kagero : Vous êtes sûr de vouloir cela ? Je suis un ninja et la vassale du prince Ryoma. Je n’hésiterais pas une seconde à donner ma vie pour lui. Jakob : Je comprends très bien. Je mourrais pour Son Altesse Corrin sans l’ombre d’une hésitation. Kagero : Jakob… Jakob : Nous sommes faits l’un pour l’autre, Kagero. Qu’en dites-vous ? Kagero : Si ce que j’ai dit vous convient… Alors oui, je passerai ma vie à vos côtés. Jakob : Je ne pourrais demander mieux.
Silas & Ryoma - Spoiler:
Soutien C Ryoma : Silas, puis-je m’entretenir avec vous ? Silas : Prince Ryoma ? Y a-t-il un problème ? Ryoma : Non, je me disais simplement que nous pourrions apprendre à nous connaître. Dites-moi, quel genre de vie menait Corrin en Nohr ? Silas : Vous voulez dire quand nous étions jeunes ? Ryoma : Oui, vous semblez très bien vous entendre. Même au combat, vous vous complétez. Dire que mon intérêt n’a pas été piqué par cela serait mentir. Corrin m’en a parlé un peu, mais j’aimerais aussi avoir votre point de vue. Silas : Très bien. Eh bien, voyons… Elle n’était pas autorisée à sortir, alors nous passions beaucoup de temps à jouer. Nous nous amusions avec des jouets en bois ou dessinions… Nous fabriquions aussi des épées en bois et nous nous battions avec. Ryoma : Ha ha, alors vos jeux d’intérieur étaient similaires à nos jeux d’extérieur. Je ne peux qu’imaginer les bêtises que vous deviez faire, tous les deux… Silas : Nous n’avons peut-être pas tant changé que cela, depuis cette époque. Nous aimons nous remémorer ces moments passés dans la forteresse, parfois. Et nous nous amusons toujours autant à nous entraîner à l’épée ensemble. Ryoma : Alors, même kidnappée par Nohr, elle s’était trouvé des amis… Restez auprès d’elle, Silas. C’est important qu’elle ait un ami à qui faire confiance. Silas : Bien sûr, prince Ryoma. Si quelqu’un est d’accord avec cela, c’est bien moi. Je n’aurais eu aucun ami dans cette forteresse, sans elle. Ryoma : Que voulez-vous dire ? Silas : Eh bien, voyez-vous… Oh ! Peut-on remettre cette discussion à plus tard ? Je risque d’être en retard au conseil de guerre. Ryoma : Fort bien. À plus tard. Soutien B Ryoma : J’ai bien réfléchi à ce que vous aviez dit, Silas… Silas : À propos de mon amitié avec Corrin ? Ryoma : En effet. J’aimerais en apprendre plus à ce sujet, si cela ne vous ennuie pas. Silas : Nous nous sommes rencontrés parce qu’elle et moi étions du même âge. Il a donc été décidé que nous serions camarades de jeux. Mais je n’étais pas à l’aise avec les inconnus. Le premier après-midi que l’on a passé ensemble, je suis resté muet, à fixer le vide. Et pendant ce temps, Corrin a parlé sans discontinuer, ravie de se faire un ami. Ryoma : Elle devait être soulagée de ne plus être seule. Silas : Avec le recul, sans doute, oui. Elle avait tellement envie de parler que, petit à petit, je me suis ouvert à elle. Et avant de pouvoir dire ouf, nous étions devenus les meilleurs amis du monde. Ryoma : Je vois. Silas : Même maintenant, nous sommes très proches, malgré les années écoulées… Je protégerai Corrin tout au long de cette guerre. Comptez sur moi. Ryoma : Je n’en doute pas. Et bien sûr, rien ne m’empêchera de protéger Corrin et ses alliés. Des Hoshidiens et des Nohriens combattant côte à côte… C’est à elle que nous le devons. Silas : C’est vrai. Ryoma : Je suis rassuré de savoir qu’elle a des amis aussi loyaux. Merci. Silas : Vous vouliez me dire autre chose, prince Ryoma ? Ryoma : Nos buts sont peut-être les mêmes, mais nos cheminements peuvent être différents. Cependant… Corrin est le lien qui nous réunit tous. Silas : Entièrement d’accord avec vous. Ryoma : Mais elle ne peut pas être la seule base de cette union. Nous devons gagner cette guerre. Je compte sur vous pour m’y aider. Silas : Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour cela. Soutien A Silas : Prince Ryoma… Ryoma : Qu’y a-t-il, Silas ? Je vous vois plus souvent que d’habitude ces derniers jours… Silas : C’est parce que vous prodiguez d’excellents conseils, Votre Altesse. Mais aujourd’hui, je suis venu vous parler d’autre chose. Ryoma : Je vous écoute. Silas : Je suis venu vous réclamer une importante faveur. Voulez-vous… prononcer le serment des guerriers avec moi ? Ryoma : Le serment des guerriers ? J’avoue ne pas être familier avec cette pratique. Silas : C’est un rituel nohrien. Nous utilisons l’arme de notre allié pour nous couper. Puis nous joignons nos plaies et prononçons un serment de loyauté. Je sais que j’ai déjà juré de me battre pour vous… Mais officialiser ce serment par ce rituel serait plus… significatif, pour moi. Ryoma : Hum… Silas : Je respecte profondément le code moral que vous suivez, Votre Altesse. Prononcer un serment avec un homme tel que vous… me rendrait plus fort. Ryoma : Vous me faites honneur, Silas. J’accepte. Silas : Vraiment ?! Ryoma : Oui. Moi aussi, j’ai été ému par vos prouesses sur le champ de bataille. Les efforts que vous avez fournis en notre nom sont remarquables. Silas : Un compliment venant du prince Ryoma en personne ? Je n’en espérais pas tant… Ryoma : C’est simplement la vérité. C’est pour cela que j’accepte de prononcer ce serment. Silas : M-Merci ! Voilà… Le serment des guerriers. Ryoma : C’est une approche très intéressante… La promesse d’allégeance est ainsi durable. Silas : Oui, et quand des alliés se font confiance et se respectent, ils deviennent invincibles. Ryoma : C’est vrai. Encore une fois, je suis honoré de vous compter parmi mes amis. Silas : Tout l’honneur est pour moi, prince Ryoma. Je suis heureux de me battre à vos côtés. Ryoma : Moi de même.
Silas & Kagero - Spoiler:
Soutien C Silas : Hum ? Qu’est-ce donc que cela ? J’aperçois des tiges et des ciseaux… Kagero, seriez-vous en train de faire un arrangement floral ? Kagero : Oui. Silas : D’où je viens, seules les dames d’héritage noble pratiquent cet art. Kagero : Vous êtes issu de la noblesse, n’est-ce pas ? Silas : En effet. Kagero : Moi aussi. J’étudie l’art de la composition florale depuis mon enfance. Silas : Intéressant. Les Nohriens et les Hoshidiens ont plus de choses en commun qu’on ne l’imagine. Dites-moi, je suis curieux, quel genre de… ? Ah ! Qu’est-ce que… Qu’est-ce que c’est ?! Kagero : Ça ne va pas ? Silas : Est-ce à cela que ressemble l’arrangement traditionnel hoshidien ? Kagero : Eh bien, je suis hoshidienne, donc… Oui. Pourquoi cette question ? Silas : Eh bien, je ne l’avais pas bien vu, de loin. Mais maintenant que je me rapproche… Comment dire ? Il est sinistre. Cela m’évoque chagrin et peine, sous forme végétale. Je ne vous cache pas qu’on est bien loin d’une composition nohrienne, en tout cas. Kagero : Je vois… Silas : Bien, ce fut… très enrichissant. J’ai encore beaucoup à apprendre de votre culture. Merci de m’en avoir donné un aperçu, Kagero. Je suis pressé de voir la suite. Quoique ça me fasse un peu peur… Soutien B Silas : Bonjour Kagero. Qu’est-ce que vous faites ? Oh, je vois. Vous cultivez encore la tradition. Est-ce là du thé de cérémonie ? Kagero : Oui. Avec l’art floral, la préparation du thé nous est enseignée dès le plus jeune âge. Silas : Il paraît que la préparation traditionnelle du thé est très complexe chez vous. Vous permettez que je vous observe ? J’en prendrais volontiers une t… Par tous les dieux, quelle est cette mixture ? Kagero : Quelque chose ne va pas ? Silas : Q-Qu’y a-t-il dans cette tasse ? Je croyais qu’il s’agissait de thé, mais maintenant que j’y regarde de près… Kagero : Il s’agit bien de thé. Silas : Vous plaisantez ?! Kagero : Est-ce que le thé est différent au royaume de Nohr ? Silas : Plutôt ! Personne ne songerait à appeler cela du thé, par chez moi. Je n’ai jamais rien senti d’aussi puissant… Cette odeur me glace le sang, me voilà qui tremble de peur. Kagero : Alors… Vous aussi ? Silas : Pardon ? Ce n’est pas la première fois que l’on vous dit ça ? Kagero : Mon maître m’a un jour fait la même remarque. Je dois bien avouer que son thé ne ressemblait pas du tout au mien. Silas : Se pourrait-il que votre recette présente quelques défauts ? Kagero : C’est bien possible. On m’a souvent dit que j’avais un sens artistique tout à fait unique. Silas : Votre composition florale de l’autre jour était, elle aussi, tout à fait unique… Kagero : Mais maintenant que vous êtes là, en voudriez-vous une tasse ? Silas : Vous plaisantez… Kagero : Bien sûr que non. Vous ne devriez pas vous arrêter aux apparences. Silas : … Désolé. Je… euh… J’ai bu beaucoup d’eau ce matin et j’ai le ventre bien plein. Impossible d’y mettre une goutte de plus ! Kagero : Dommage. Une prochaine fois peut-être. Soutien A Silas : Kagero, est-ce là un pinceau ? Êtes-vous en train de travailler sur une toile ? Kagero : Oui. Silas : De quel genre de toile s’agit-il ? Puis-je y jeter un œil ? … Impossible de dire ce que cela représente. Un cercle noir… Et quelle est cette chose sinistre qui se tortille au milieu ? Kagero : C’est vous. Silas : Comment ? Kagero : Je peins une scène dans laquelle vous apparaissez. Silas : … Oh… non, non. Ça ne me fait pas rire. Ce ne peut pas être moi, je ne ressemble pas du tout à ça ! Ne serait-ce que mon visage, je ne suis pas le monstre que vous venez de peindre ! Kagero : Allez-vous être insultant à l’égard de tout ce que j’entreprends ? D’abord mes fleurs, puis mon thé… Vous faites vraiment tout votre possible pour être désagréable. Silas : Non, vous vous méprenez. Au contraire, je ressens votre douleur ! Kagero : Que voulez-vous dire ? Silas : Je suis issu de la noblesse nohrienne, j’ai longtemps étudié la peinture, moi aussi. Malgré tous mes efforts, je n’ai aucun talent. À tel point que c’en est déprimant. Votre toile, elle, reflète une réelle intention artistique. Je n’atteindrai jamais ce niveau. Kagero : Je n’en suis pas sûre… Silas : Je vous le garantis ! Attendez, laissez-moi vous montrer. Je vous emprunte votre pinceau. Kagero : D’accord. Silas : Pff… Voilà. C’est le mieux que je puisse faire. Je voulais peindre votre portrait. Alors, qu’en pensez-vous ? Kagero : … Je n’avais jamais vu une toile se faire maltraiter de la sorte. Ça ne me ressemble pas. Cela n’a même pas forme humaine. Silas : Vous voyez ? Je n’ai absolument aucun talent artistique. Kagero : Non, aucun. Mais ça me rassure de voir que nous avons des choses en commun. Je ne pensais pas. C’est la première fois qu’un tableau qui n’est pas de moi me fait cet effet. Silas : Je ne sais pas comment je dois le prendre… Euh… Merci ? Soutien S Silas : Merci d’être venue, Kagero. Kagero : Qu’est-ce que vous voulez ? M’avez-vous amenée ici pour me faire part de vos critiques à l’égard de mon art ? Silas : Non, pas aujourd’hui. Je vous ai fait venir car j’aimerais vous donner quelque chose. Kagero : Un instant, c’est… Silas : Une bague de fiançailles. Elle est dans ma famille depuis des générations. Kagero : Je ne comprends pas. Silas : Kagero, je suis fou de vous. Je voudrais que vous m’épousiez. Kagero : … Silas : J’espère que votre silence n’est pas un signe de refus… L’est-il ? Kagero : Non, je suis heureuse. Silas : Alors… Kagero : Ce n’est pas aussi simple. Bien que nous soyons tous deux de sang noble, nos royaumes sont en désaccord. Comment outrepasser ce conflit ? Silas : Je pensais bien que vous diriez cela. Toutefois, je pense que ma famille ne verra aucune objection à notre union. Kagero : Que voulez-vous dire ? Silas : J’ai écrit à mes proches à votre sujet. Je leur ai parlé de votre arrangement floral, de votre thé et de votre peinture. Et ils m’ont répondu il y a peu. Ils sont très intéressés par vous et par votre… art. Kagero : Je devrais me sentir flattée, mais… Je me pose des questions sur les goûts de vos parents. Silas : Cela m’a aussi surpris, au début. Mes parents voudraient vous rencontrer et… découvrir la culture hoshidienne. Kagero : La culture hoshidienne ? Comment cela ? Silas : Je crois qu’ils se disent que votre art est typique de la culture de votre royaume. À les lire, on sent qu’ils ont vraiment hâte de faire votre connaissance. Tellement hâte qu’ils sont allés jusqu’à m’envoyer cette bague en gage de soutien. Kagero : Je n’aurais jamais pensé que mon art serait apprécié… Surtout par des Nohriens. Silas : Ça semble pourtant être le cas ! Kagero : J’accepte. Silas : Vraiment ?! Kagero : Oui. Je craignais au départ que nos différences de culture soient trop grandes. Mais si votre famille fait montre d’autant d’ouverture envers moi qu’envers mon art… Je pense que je pourrai sincèrement les considérer comme ma belle-famille. Silas : Rien ne pourrait me faire plus plaisir. Kagero : Je ne peux décemment pas leur rendre visite en venant les mains vides, voyons… Je sais. Je vais leur offrir la toile la plus représentative de mon travail. Dame Mikoto m’a dit avoir pleuré de douleur en la voyant.
Felicia & Subaki - Spoiler:
Soutien C Felicia : Bonjour, Subaki. Subaki : Argh ! Felicia : Pourquoi êtes-vous si crispé ? Aurais-je fait quelque chose de mal ? Subaki : Oh, euh… Je suis désolé. Felicia : Qu’y a-t-il ? Subaki : Eh bien… Tout le monde dit que vous êtes particulièrement gauche. D’après la rumeur, un château se serait même écroulé à cause de vos maladresses. Alors… j’ai pensé qu’il m’arriverait malheur si je vous laissais m’approcher… J’ai eu un peu peur… Felicia : Mais… Mais c’est méchant ! Comment pouvez-vous dire de telles choses ?! Ouiiin ! Subaki : Non, non ! Je suis désolé ! Je vous en prie, ne pleurez pas ! Aaah ! Pourquoi m’avez-vous lancé ces draps à la figure ? Ils sont trempés ! Je ne vois plus rien ! Aaah ! Felicia : Subaki ? Tout va bien ? Subaki : Aïe… Oui, je suis juste tombé. Mes craintes étaient bel et bien fondées… Felicia : J-Je vous prie de m’excuser. Je ne voulais pas vous faire de mal. Subaki : Alors vous n’auriez pas dû me jeter ces draps à la figure ! Vous veniez de les laver ! Felicia : V-Vous avez raison… Soutien B Felicia : Pff… Je ne suis pas d’humeur… Même fredonner ma chanson préférée n’y changera rien… C’est la faute de Subaki ! Oui, tout est de sa faute ! Subaki : … Felicia : Comme si ma nature maladroite allait vraiment lui attirer des problèmes. Quel manque de tact ! C’est vrai que je n’aurais pas dû lui jeter les draps à la figure… Ce n’était pas gentil. Pff… Serais-je donc bonne à rien… ? Subaki : Felicia, attention ! C’est du sucre, pas du sel ! Felicia : Hein ?! Oh, oh ! J’étais tellement plongée dans mes pensées que j’ai failli tout gâcher. Pfiou… C’était juste. Mais qui est là ? Je connais cette voix… Subaki : Ouf… C’était moins une… Felicia : Subaki ? C’est vous ? Mais pourquoi diable vous cachez-vous dans le garde-manger ? Subaki : Euh… En fait… Je me sentais vraiment mal par rapport à ce que je vous ai dit. Vous aviez l’air blessée, alors je voulais savoir si vous alliez mieux depuis. Felicia : Et donc, vous vous cachez parce que vous avez trop honte de votre comportement ? Subaki : Je ne voulais pas que votre maladresse me cause une fois de plus des problèmes… Ce n’est pas de votre faute, mais quand même… Felicia : Quoi ?! Vous en êtes encore là ?! Vous me considérez toujours comme une catastrophe ambulante ! Je vais mettre du sucre dans votre plat, Subaki ! Subaki : Non, pitié ! Ne faites pas ça ! Felicia : D’accord. Mais seulement si vous m’aidez à préparer le dîner. Allez, venez ! Subaki : C-Comment ? Felicia : De plus, si vous m’aidez, je vous pardonnerai. Subaki : D’accord, d’accord… Par où dois-je commencer ? Soutien A Felicia : La la la… ♬ Hi hi ! Oh, Subaki ! Bonjour ! Subaki : Felicia… Vous avez l’air d’excellente humeur, aujourd’hui… Felicia : Ça se voit tant que ça ? Hi hi hi ! Subaki : Que s’est-il passé pour que vous soyez si souriante ? Felicia : Vous vous souvenez du repas que vous m’avez aidée à préparer ? Eh bien, tout le monde m’a complimentée et m’a dit que c’était succulent ! On m’a même dit que j’étais devenue une très bonne cuisinière ! Subaki : Ah… Ah bon ? Felicia : Personne ne m’avait jamais complimentée sur ma cuisine de la sorte, vous savez ! C’est si plaisant ! Subaki : Ce n’est pas étonnant, vu que c’est moi qui ai tout fait… Vous vous êtes contentée de trébucher et de me renverser de la farine sur la tête… Je me suis même brûlé pour vous protéger de l’huile que vous aviez renversée… C’était horrible… Felicia : Vous avez dit quelque chose ? Subaki : N-Non… Je suis ravi que tout le monde ait apprécié votre cuisine, Felicia. Felicia : Merci ! Vous m’aiderez encore quand ce sera mon tour de cuisiner, d’accord ? Subaki : Qu… ?! Non ! Tout, mais pas ça ! Felicia : Subaki ? Mais pourquoi s’est-il enfui ? Soutien S Felicia : C’est gentil d’avoir encore fait les courses avec moi, Subaki ! Le dîner que nous allons préparer va être bien meilleur que le dernier ! Subaki : J’en suis sûr… C’est vrai que nous passons beaucoup de temps ensemble. Felicia : Oui, c’est merveilleux ! Grâce à vous, je fais beaucoup moins de bêtises. Cela concerne aussi bien la cuisine que les autres tâches ménagères ! Subaki : Ha ha ! Je suis ravi pour vous, Felicia ! Hum… Oh, je comprends mieux maintenant… Felicia : Quoi donc ? Qu’y a-t-il ? Subaki : Je viens de me rendre compte… Je crois que j’ai des sentiments pour vous, Felicia. Felicia : Ah oui ? C’est fantastique ! Q-Q-Quoi ?! D-Des s-sentiments ?! P-Pour moi ?! Hiii ! Je n’arrive pas à y croire ! C’est impossible ! Subaki : C’est si surprenant que cela ? Felicia : C-C’est tellement soudain ! Subaki : Tout ce temps passé ensemble m’a fait comprendre une chose. Au début, je ne voulais pas que votre maladresse affecte ma perfection. Mais… j’ai fini par aimer cet aspect de votre personnalité. Felicia : Oh, Subaki… Subaki : Je suis tombé sous le charme de votre sourire ingénu, Felicia. Felicia : Vous… Vous savez, moi aussi… Je vous aime ! J’avais peur de vous l’avouer… J’apprécie énormément le temps que nous passons tous les deux. Subaki : Je n’ai jamais rencontré personne dont la personnalité complète à ce point la mienne. Nous formons une équipe parfaite. Felicia : Hi hi ! Arrêtez, vous allez me faire rougir ! Je suis si heureuse, Subaki ! Subaki : Moi aussi, Felicia.
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Mar 12 Juil - 20:32 | |
| Takumi & Orochi - Spoiler:
Soutien C Orochi : Votre Altesse ! Un moment, je vous prie. Takumi : Qu’y a-t-il, Orochi ? Orochi : Regardez, j’ai fait l’acquisition de la poupée la plus mignonne du monde. Elle est siii joliiie. C’est la poupée parfaite… pour vous. Takumi : Qu… Quoi ?! Est-ce que tu es folle ? Je ne joue pas à la poupée ! Je n’ai jamais joué à la poupée ! Orochi : Ah ? Pourtant, quand vous étiez petit, vous ne pouviez pas dormir sans votre poupée. Takumi : Jamais ! J-Jamais de la vie ! Orochi : Vous avez oublié. Mais je vois tout. En particulier le passé. Je vois que vous et Dame Sakura… jouiez à la dînette avec vos poupées préférées. Ah, le bon vieux temps. Takumi : Mais tais-toi donc ! Tu ne dois pas révéler nos secrets ! Enfin… pas que ce soit vrai… Orochi : Mais c’est l’un de mes souvenirs favoris. De plus, il faut que les gens sachent que vous êtes tendre derrière votre air bourru. Takumi : Oh, tu ne me ferais pas ça quand même, n’est-ce pas ? Orochi : Quoi donc ? Divulguer vos secrets ? Déballer votre linge sale ? Très très sale… Takumi : Cesse ces enfantillages. Ne me fais pas regretter une si longue amitié. Orochi : Je sers au palais depuis que vous êtes enfant. Vous me devez de bons moments. Allons, Messire Takumi, je ne fais que vous taquiner. Ne vous énervez pas pour si peu. Se remémorer ces souvenirs avec vous fut très plaisant. Refaisons ça à l’occasion. Takumi : Grr, Orochi… Je ne veux plus jouer au chat et à la souris. Soutien B Orochi : Comment vous sentez-vous aujourd’hui, Messire Takumi ? Takumi : Bien. Enfin… jusqu’à maintenant. Orochi : Ah ? Serait-ce parce que j’en sais trop sur votre enfance et votre… linge sale ? Ou plutôt vos langes sales… C’est moi qui vous les changeais lorsque je vous gardais. Takumi : C’est encore pire. On jurerait que ton seul plaisir est de me tourmenter. Orochi : Pas du tout, j’espère seulement qu’évoquer ensemble nos souvenirs nous rapprochera. Vous ne voulez pas vous arrêter un instant et respirer le parfum des roses avec moi ? Takumi : Pas exactement. Orochi : Vous avez peur. Pas étonnant, si les roses ont la même odeur que vos langes sales. Mais je vous connais bien, je sais que vous surpasserez bien vite ces peurs. Takumi : Qu’est-ce que tu veux dire par là ? Orochi : Ne vous rappelez-vous pas ? Vous vous cachiez sous votre lit étant petit. Takumi : Attends un peu… Orochi : Vous m’avez causé bien du souci quand je m’occupais de vous. Vous disiez qu’il y avait des monstres dans le placard, le grenier ou encore la cave ! Vous veniez me supplier de vous tenir la main. Jusqu’à parvenir à m’effrayer ! C’est mignon… en quelque sorte. Takumi : Assez de ces moqueries. Je suis un adulte, à présent. Orochi : Oh, vous voyez ? Vous n’êtes plus effrayé, je fais ressortir le petit bagarreur en vous. Takumi : Assez, je t’en prie ! Je n’en puis plus. Adieu, Orochi. Orochi : Attendez, Messire Takumi. Je croyais que nous jouions… comme au bon vieux temps ! Soutien A Orochi : Allons, Messire Takumi. Ne soyez pas si susceptible. Takumi : Va-t’en ! Je ne veux pas te parler. Orochi : Pourquoi ? Nous sommes de vieux amis ! Takumi : De vieux amis ? Alors que tu ne cesses de me tourmenter ? Si tu déterres encore de vieux secrets sur mon enfance, je vais devenir fou ! Je ne veux plus jamais entendre parler de toi, Orochi. Orochi : Ne croyez-vous pas que vous prenez tout cela trop à cœur ? Ce n’est qu’un jeu. Takumi : Vous m’avez insulté. C’est… une haute trahison envers toute la famille royale ! Enfin, peut-être pas. Mais c’est terrible. Nous sommes censés être du même bord. Orochi : Je suis désolée. Je ne m’étais pas rendu compte que mes mots vous avaient blessé. Je vous promets de ne plus évoquer de vieux souvenirs. Plus jamais. Takumi : Bon. Orochi : Allons, je vous ai dit que j’étais désolée. Takumi : Tu as dépassé les limites pour la dernière fois. Je suis adulte et fils de roi. Orochi : Je comprends. Hum… Oh, mince, alors ! Oui, je comprends, maintenant ! Takumi : Quoi encore ? De toute façon, ça m’est égal. Orochi : Vous êtes vraiment devenu adulte. Takumi : Hein ? Mais c’est ce que je te répète depuis le début. Je ne suis plus un enfant. Orochi : Vous n’étiez qu’un bambin. Aujourd’hui, vous me dépassez d’une tête. Quand cela a-t-il bien pu se produire ? Takumi : Hum, il y a des années ? Cinq ans ? Sept ans ? Une éternité… Orochi : Et vous ne me l’avez pas fait remarquer ? Je me sens si stupide ! Cela fait des années que je vous taquine comme si vous étiez mon petit frère. Mais vous êtes plutôt mon grand frère, dorénavant… Comment avez-vous pu me laisser vous traiter de la sorte pendant si longtemps ?! Takumi : Mais pourquoi es-tu tant contrariée ? C’est moi qui devrais me sentir offensé. Orochi : Je suis en colère contre moi-même pour ne pas l’avoir vu, Messire Takumi. Takumi : Bien ! Enfin ! Tu me traites comme… l’homme que je suis ! Orochi : Hé hé. Je le reconnais, Messire. Soutien S Orochi : Quelle journée idéale pour récolter des herbes pour ma magie la plus sombre ! Takumi : Orochi ! Orochi : Hiii ! Vous m’avez surprise ! Qu’y a-t-il, Messire Takumi ?! Takumi : Je suis désolé… J’avais quelque chose en tête depuis notre dernière conversation. Orochi : Tiens donc ? Et à quoi pensez-vous ? Takumi : Euh… Tu te souviens quand je t’ai dit vouloir être considéré comme un adulte ? Orochi : Oh ! Est-ce que c’est de cela qu’il s’agit ? Nous pouvons mettre cela derrière nous. Takumi : Oui… je veux dire, non, Orochi. Orochi : Alors crachez le morceau. Qu’ai-je fait cette fois ? Ai-je outrepassé les limites ? Takumi : Euh… c’est à ce propos. Orochi : Dans ce cas, je suis contrite. Seigneur et vassale, c’est la relation que vous voulez ? Takumi : Non, je veux le contraire ! Je veux que tu sois auprès de moi ! Sur un pied d’égalité ! Orochi : C’est vous qui vous moquez de moi, maintenant ? Takumi : La dernière fois, quand tu as dit que tu ne me provoquerais plus… J’ai réalisé à quel point ça allait me manquer. Tu es la seule qui me connaisses et qui… tiennes assez à moi pour me taquiner. Orochi : Oh ? Il est vrai que j’étais triste à l’idée de ne plus jamais pouvoir vous embêter. Vous êtes sûr de vouloir changer d’avis ? Parce que ce n’était pas dans les cartes. Mais, parfois, l’amour défie le destin. Vous êtes sûr d’être sûr ? Car j’ai assez de souvenirs compromettants pour vous taquiner toute la vie durant… Et je suis sûre que je pourrais vous respecter plus que par simple devoir ! Takumi : Attends un peu. Est-ce que tu plaisantes encore ? J’essaie d’être sérieux. Je ne veux plus que nous soyons seigneur et serviteur, je veux que nous… Orochi : Jouions au chat et à la souris ? Takumi : Hé hé ! Oui. C’est ça. Mais je pourrais être le chat, de temps à autre ? S’il te plaît ? Orochi : C’est équitable. Il faut renouveler le jeu pour qu’il puisse durer toute une vie. Maintenant, cours, petite souris. Je suis le chat, aujourd’hui !
Takumi & Hinoka - Spoiler:
Soutien C Takumi : Aaargh… Quel imbécile ! Ils m’ont bien eu, sur ce coup-là… Hinoka : Tout va bien, Takumi ? Ces ennemis sont sortis de nulle part ! Takumi : Je… Je vais bien. Hinoka : Oh non, ta jambe ! Ne bouge pas. Cette blessure a l’air profonde ! Je ne sais pas où sont les autres… Reste ici, je vais chercher de l’aide. Takumi : Non, ne t’en fais pas pour moi… Va les rejoindre, je vous rattraperai. Hinoka : Je ne vais certainement pas t’abandonner ici, petit frère. Takumi : On n’a pas d’autres choix ! Si tu reviens me chercher, je te ralentirai. On ne sera rien d’autre qu’une cible facile. Laisse-moi, je m’en sortirai, je t’assure. Hinoka : Tu as dû recevoir un coup à la tête, aussi ! Je ne pars pas sans toi, un point c’est tout. Takumi : Argh… Pourquoi es-tu aussi têtue ?! Hinoka : Tu penses sérieusement que c’est moi qui suis têtue, là ?! Takumi : Écoute, on perd du temps, là. Les ennemis vont revenir, on doit se séparer. Je retrouverai mon chemin. Tu peux arrêter de faire semblant de t’inquiéter pour moi. Hinoka : Quoi ?! Comment oses-tu dire ça ? Takumi, attends ! Reviens ici, tu vas aggraver ta blessure ! Soutien B Hinoka : Ah, te voilà. Il faut qu’on parle ! Takumi : Pff… Vraiment ? Tout va bien, on a été sauvés, inutile de revenir là-dessus. Hinoka : Grr, tu croyais vraiment que j’allais partir alors que tu étais blessé ?! Comment pouvais-tu penser une telle chose ? Je m’inquiétais vraiment pour toi ! Tu es mon petit frère, et je t’aime ! Takumi : Tu t’en sortirais bien mieux sans moi ! Hinoka : Mais qu’est-ce que tu racontes ? Tu ne penses pas ce que tu dis ! Takumi : Arrête ton char, je sais bien que tout le monde pense que je ne vaux rien ! La prochaine fois, laisse-moi dans la forêt, je me débrouillerai. Hinoka : Attends, Takumi ! Pff… Si seulement il n’avait pas besoin de prouver sa valeur tout le temps… Soutien A Hinoka : Takumi ? Takumi : Je t’arrête tout de suite. Je ne veux plus t’écouter : je dois prouver ma valeur. Hinoka : La seule chose que tu as réussi à prouver pour l’instant, c’est que tu es stupide ! Takumi : Quoi ?! Hinoka : Tu veux qu’on te laisse tranquille, c’est ça ? Tu vas vaincre l’ennemi tout seul, alors ? Takumi : Exactement ! Hinoka : Tu es complètement inconscient, mon pauvre Takumi ! Takumi : C’est… C’est faux ! Hinoka : Tu te crois courageux, mais tu fonces vers la mort sans réfléchir. Tu te crois capable de mettre fin à cette guerre tout seul, peut-être ? On devrait sans doute tous rentrer chez nous, puisque tu n’as pas besoin d’alliés ! Takumi : Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire ! Hinoka : Alors retiens ça : si tu veux que les gens te respectent, tu dois les respecter aussi. As-tu la moindre idée de ce que ça nous ferait s’il t’arrivait quelque chose ?! Tu ne te souviens pas de ce qu’on a tous ressenti quand Corrin a disparu ? Takumi : Si… Hinoka : Je n’arrive pas à croire que tu oserais me faire revivre ça ! J’étais effondrée… Takumi… Si je te perdais… Je ne pense pas que je m’en remettrais. Takumi : Oh, Hinoka ! Tu ne me perdras jamais. Hinoka : J’espère bien, parce qu’on a besoin de toi ! Tu es notre frère, Takumi. Notre lien est notre force. Je ne pense pas que tu en aies conscience. Takumi : Tu as raison… Excuse-moi. Hinoka : Ne t’en fais pas. Mais promets-moi que tu ne diras plus jamais de telles absurdités ! Takumi : Je te le promets. Hinoka : Ah, je retrouve enfin mon petit frère ! Je serai toujours là pour toi, Takumi. Takumi : Moi aussi, Hinoka. Toujours.
Takumi & Hinata - Spoiler:
Soutien C Hinata : Hé oooh ! Il y a quelqu’un ? Takumi : Qu’est-ce que c’est que ce raffut ? C’est toi, Hinata ? Hinata : Sortez de votre cachette, Messire Takumi ! Takumi : Oui, c’est bien lui… Que je sorte de ma cachette ?! C’est une façon de parler à son seigneur, ça ? Hinata : Oh, pardon, je m’entraînais… Takumi : On aurait plutôt dit que tu essayais de déclencher une bagarre ! Hinata : Oui ! Enfin, pas avec vous, bien sûr, mais j’aimerais organiser une compétition. Takumi : Une compétition ? Comment ça ? Hinata : Je repensais à quand on a fait ce concours de baston, vous et moi… Takumi : Oui, enfin, tu as combattu, et moi, je n’ai fait que regarder… Étant membre de la famille royale, je ne peux pas participer à ces événements. Hinata : Ah, oui… Les concours de baston sont trop « barbares », c’est bien ça ? Enfin. Vous vous souvenez de comment j’ai tabassé tout le monde, ce jour-là ? Takumi : Mais chuuut ! Parle moins fort ! Tu es mon vassal, tu es censé te tenir en ma présence. Hinata : Oh, oui, pardon ! Hum. Veuillez m’excuser, Messire… Bref, j’aimerais organiser un nouveau concours, avec nos meilleurs combattants ! La guerre fait rage, on ne peut pas les laisser se tourner les pouces ! Ça leur permettrait d’exercer leurs réflexes, et de voir ce qu’ils ont dans le ventre. Alors, qu’est-ce que vous en dites ? Takumi : C’est une idée intéressante, mais… Hinata : Génial ! J’avais gagné la dernière fois, et je compte bien recommencer ! Ouvrez grand vos mirettes, Hinata est dans la place ! Allez, je file, à plus ! Takumi : Oh, hé, attends, on n’a rien décidé ! Reviens ici, espèce d’imbécile ! Soutien B Hinata : Eh bien, c’était facile ! Je les ai massacrés. Ça leur apprendra à se mesurer à moi ! Takumi : Oh, Hinata, du calme ! Je pensais que ce n’était qu’un entraînement. Hinata : Ouais, mais autant y aller à fond, quand même. On évite de s’ennuyer comme ça ! Takumi : Comment as-tu réussi à me convaincre que c’était une bonne idée, déjà ? Hinata : Je ne comprends pas, je pensais que vous aimeriez me voir casser des rotules ! Takumi : Hinata, tu m’as dit que cela permettrait à nos guerriers de s’entraîner… Mais de toute évidence, tu as organisé ça pour toi, tu avais quelque chose à prouver ! Hinata : Quoi ?! Mais pas du tout ! (Hum… Je vois. Messire Takumi désire que les combats continuent…) Takumi : Qu’est-ce que tu marmonnes, Hinata ? Hinata : Rien du tout ! Allez, le concours ne fait que commencer, je vais me préparer ! Takumi : Il ne fait que… Quoi ? Attends, Hinata ! Argh… C’est pas vrai ! Soutien A Hinata : Messire Takumi ! Êtes-vous prêt pour la nouvelle édition de l’Épreuve d’Hinata ? Takumi : Excuse-moi, mais je ne peux pas. Je suis très occupé. Hinata : Oh, non ! Bon, on annule tout, alors. Takumi : Quoi ? Mais non, tu ne peux pas annuler ! Hinata : Bien sûr que si, Messire. Si j’ai organisé tout ça, c’est pour vous. Je ne vois pas l’intérêt de casser les bras de tout le monde si vous ne regardez pas. Takumi : Je ne comprends pas… Tu as organisé ce concours pour moi ? Hinata : Vous avez tellement à faire, ces derniers temps. Vous avez l’air épuisé ! Je me suis dit que vous apprécieriez de prendre une petite pause. Takumi : Alors tu as fait ça pour me divertir ? Hinata : Oui. La dernière fois, vous aviez l’air si heureux quand vous m’encouragiez ! J’ai combattu de toutes mes forces pour vous rendre fier. Vous ne pouviez pas participer, alors il fallait au moins que je gagne pour vous ! Takumi : Oh, Hinata. C’est très attentionné de ta part, je… Je ne sais pas quoi dire. Hinata : Ha ha, je le savais ! Vous avez adoré me voir donner la fessée à ces guerriers ! Takumi : C’est-à-dire que… Les choses ont changé, j’ai beaucoup de responsabilités… Oh, et puis zut ! Bien sûr que j’adore te voir les découper en rondelles ! Hinata : Ha ha ha, on se prend au jeu, hein ? Takumi : Te voir combattre, l’autre jour… Ça m’a fait oublier la guerre quelques instants ! Hinata : Génial ! Et vous n’allez pas être déçu par la nouvelle édition de l’Épreuve d’Hinata ! Takumi : J’ai hâte de voir ça. Et tu as intérêt à y mettre tout ton cœur ! Hinata : Toujours !
Takumi & Setsuna - Spoiler:
Soutien C Takumi : Très bien. J’ai assez de provisions et je me suis échauffé sur des cibles. Je suis prêt à partir à la chasse ! J’ai posé des pièges dans la forêt hier, il me suffit de rabattre le gibier. Ouf… Très bien, j’ai attiré ce cerf tout près du piège. Juste encore un peu… Qu’est-ce que… ? Setsuna : Bonjour, belle matinée, Votre Altesse… Takumi : Setsuna ?! Qu’est-ce que tu fais dans ce piège ?! Setsuna : Oooh, je crois que je suis coincée… Takumi : Oui, je vois ça ! Ah, diantre ! Le cerf a fui en entendant ma voix. Je le tenais presque… Setsuna : Inutile de vous en faire. Le piège est déjà pris… Takumi : Oui, par toi, en l’occurrence ! Tu l’as déclenché ! Setsuna : Je vous en prie, Messire Takumi, je ne mérite pas un tel compliment. Takumi : Ce n’est pas un compliment ! Les mots me manquent… Regarde, tu peux te libérer… comme ceci. Setsuna : Ah, merci… Le piège était plutôt confortable. Douillet et sombre. Idéal pour se relaxer… Takumi : Et ce, pour que la proie ne se débatte pas. Ce n’est pas une salle de relaxation ! Setsuna : Mais c’est siii agréable. Je commençais à m’endormir quand vous êtes arrivé… Takumi : Cela explique le « belle matinée » ainsi que votre air ensommeillé. Quoi qu’il en soit, vous devez arrêter de tomber dans mes pièges comme ça. Un allié ne m’est pas utile s’il m’empêche constamment de ravitailler le camp. Setsuna : C’est vrai. Qui ferait une telle chose, je vous le demande ? Takumi : Mais… Mais toi, bien sûr ! C’est à toi que je faisais référence ! Soutien B Takumi : Très bien, je vais contourner ce sanglier et l’attirer gentiment dans mon piège… Juste derrière cette colline… avance mon gros… tout droit par là-bas… On y est presque… Ah ! Mais dites-moi que ce n’est pas vrai ! Setsuna : Rr… Zzz… Mgnnmgn… Rr… Zzz… Zzz… Hum ? Oh, Messire Takumi ! Le matin est déjà là ? Quel est le problème ? Vous semblez surpris de me voir ici. Ah, mais je vois le responsable de ce vacarme. Regardez un peu ce sanglier qui court à bride abattue vers les montagnes ! Takumi : Toi… Tu… Grraaah ! Setsuna : Hé hé, je ne m’attendais pas à ce que vous soyez si enthousiaste de me trouver ici ! Takumi : Je ne suis pas enthousiaste ! Comment t’es-tu encore retrouvée dans mon piège ? Tu as pensé à mon gibier ? Setsuna : Gibier ? Oh vous parliez du sanglier que je viens de voir passer ? Takumi : Oui ! Setsuna : Mais… Où est le problème ? Vous pouvez toujours aller le capturer. Aussi longtemps qu’il est dans la forêt, il peut être attrapé… Takumi : Tu n’as pas tort, mais comment arrives-tu à tomber dans ces pièges, franchement ? Qu’est-ce que tu fais là-dedans ? Setsuna : Oh, je suis venue parce que je voulais chasser avec vous, Votre Altesse. Vous êtes très doué avec votre arc. J’espérais que vous m’apprendriez… Takumi : Vraiment ? Pourquoi ne pas l’avoir dit avant que je ne parte, alors ? Si tu étais venue avec moi, tu ne serais pas dans cette situation ! Setsuna : Oh. C’est une excellente idée, Messire Takumi. Takumi : Comment ma sœur fait-elle pour te gérer… D’accord. La prochaine fois que je vais chasser, je t’invite. Mais… ne va pas dans la forêt toute seule. Soutien A Takumi : Où est-elle partie ? Setsuna voulait venir avec moi, mais à présent je ne la trouve nulle part. Oh et puis, peu importe, je n’ai pas le temps de la débusquer avant la chasse. Oh non, se pourrait-il que… Elle soit déjà tombée dans un piège ? Je vais vérifier ça avant d’attirer un animal dedans. Intriguant… On dirait qu’elle n’est pas tombée dans un de mes pièges aujourd’hui. Alors où est-elle passée ? Setsuna : Ah, bonjour, Messire Takumi. Takumi : Setsuna ! Où étais-tu passée ? Je te cherchais… Qu’est-ce que tu transportes ? Setsuna : Oh, c’est de la viande de cerf et de sanglier. J’ai commencé à chasser. Takumi : Ne devions-nous pas chasser ensemble ? Pourquoi as-tu commencé sans moi ? Setsuna : J’étais si enthousiaste à l’idée de chasser avec vous que je n’ai pas pu fermer l’œil. Alors je vous ai attendu ici… J’étais décidée à vous attendre, mais ce cerf et ce sanglier sont passés par là. Je ne pouvais pas les laisser s’échapper, alors qu’on me les sert sur un plateau… Takumi : Arf… Alors tu es partie alors que je t’avais expressément défendue d’errer seule. Au moins, c’est une chance que tu ne sois pas tombée dans un piège cette fois. Tu es tellement imprévisible… Setsuna : Merci. Takumi : Ce n’est pas un compliment ! Même si j’apprécie ton enthousiasme à vouloir te joindre à moi pour chasser… Tu as assez de gibier pour aujourd’hui. Nous partirons ensemble la prochaine fois. Setsuna : D’accord. Je serai même en avance ! Takumi : Non ! Contente-toi d’arriver à l’heure ! Soutien S Takumi : D’accord, Setsuna. Regarde par ici. Il y a un trou, fais attention. Hors de question que j’aille te chercher là en bas. Setsuna : Oh, je le vois. Takumi : Fais attention à cette toile d’araignée. Tu dois faire attention à ce qui t’entoure. Setsuna : D’accord. Je vais contourner la toile et… Aaah ! Takumi : Tss ! Tu as oublié le trou quand je t’ai montré la toile d’araignée, n’est-ce pas ? C’est devenu glissant après l’averse d’hier. Setsuna : C’est compliqué… Je ne sais pas si je dois regarder où je marche, ou où je vais… Takumi : Les deux ! Mais je crois que c’est trop dur pour toi… Je pensais que la pluie rendrait les choses plus faciles… Les animaux sont en mouvement et l’humidité gêne leur odorat. Mais apparemment, cela ne nous offre aucun avantage. Setsuna : Néanmoins, je suis contente d’être ici avec vous, Messire Takumi. Takumi : Pardon ? Setsuna : C’est juste que… je vous aime. Beaucoup. J’espérais vous conquérir en essayant de pallier mes défauts. Takumi : Tu es tombée sur la tête, Setsuna ? Setsuna : Non, je ne me suis pas fait mal. Inutile de vous inquiéter. Takumi : Ce n’est pas ce que je… Setsuna : C’est la raison pour laquelle je vous aime. Vous êtes si gentil, et si bon chasseur. Je… vous trouve incroyable. Takumi : Je ne sais que dire. J’ignorais que tu avais de tels sentiments à mon égard. Setsuna : Ce n’est pas gentil, Messire Takumi… Takumi : Ha ha, je suis désolé. Alors tu m’aimes vraiment ? Setsuna : Oui… Takumi : Bien, je n’avais pas l’intention de dire quoi que ce soit mais… le sentiment est mutuel. Setsuna : Vraiment ? Alors… vous voulez bien que l’on vive ensemble ? Takumi : Oui, bien sûr. J’aime ta présence. En dépit des problèmes que tu as avec des choses simples… Setsuna : Hé hé ! Je suis contente que vous disiez cela… Takumi : Oh, mais nous devons absolument en parler à Hinoka. De cette façon, elle ne s’inquiétera plus autant pour toi. Setsuna : Elle sera toujours ma maîtresse, n’est-ce pas ? Takumi : Bien sûr, mais notre relation ne changera pas pour autant. Setsuna : Très bien !
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 14 Juil - 19:08 | |
| Felicia & Silas - Spoiler:
Soutien C Felicia : Attention… Doucement… N-Nooon ! Silas : Vous travaillez votre équilibre, Felicia ? Pauvres tasses à café innocentes… Felicia : Ah, Messire Silas ! Pardonnez-moi… Je ne voulais pas que vous me voyiez comme ça. Silas : Je ne devrais pas me moquer. Vous faites toujours de votre mieux, je respecte ça. Felicia : Vous… êtes venu pour me dire ça ? C’est gentil de votre part… Silas : En fait, non. Felicia : Oh. Silas : C’est plutôt le contraire… Il y a des rumeurs qui commencent à se répandre. Felicia : Hum ? Je ne suis pas au courant. Silas : Mais vous l’avez sûrement remarqué : Corrin ne se sent pas très bien. Felicia : Maintenant que vous le dites… Elle n’est pas très concentrée en ce moment. Silas : Et cela me blesse de vous dire cela, mais… Les gens se demandent si vous n’êtes pas un peu responsable de son état actuel. Felicia : Comment ? Silas : Vous lui renversez du thé dessus, brûlez ses repas, déchirez ses vêtements… Il est donc logique de penser que cela commence à affecter Corrin. Felicia : Non, jamais je ne… Silas : Je n’ai pas dit que j’étais de cet avis. J’ai pensé que vous méritiez de savoir ce que les gens disent sur vous. Felicia : Pff. Je comprends. Merci de me l’avoir dit… Soutien B Felicia : J’y suis presque… Il faut bien respirer… Aaah ! Pff… J’ai beau essayer encore et encore, je ne m’améliore pas… Pourquoi je n’y arrive pas ! J’aimerais tellement être plus utile à Corrin… Silas : Felicia… Felicia : Silas ? Silas : Je suis vraiment désolé. Toutes ces rumeurs sur Corrin et son état ne sont apparemment basées sur rien. Felicia : Alors, elle va bien ? Silas : Eh bien, elle n’est pas encore en forme, mais ça n’a rien à voir avec vous. Corrin prétend que son état est dû à un manque de sommeil. Il lui est arrivé beaucoup de choses, et elle n’a pas encore eu le temps de tout digérer. Le fait qu’elle n’arrive pas à dormir n’a rien d’étonnant, en fait. Felicia : Oh… alors c’est pour ça. Silas : Je n’aurais pas dû vous parler de ces rumeurs. J’aurais dû mener mon enquête avant de vous embêter avec ça. Je suis vraiment désolé… Felicia : Ça ne fait rien. De plus, mes erreurs ont quand même eu un impact négatif sur sa vie… Silas : Rien de bien méchant, croyez-moi. Je regrette de ne pas avoir fait taire ces rumeurs quand on me les a rapportées… La situation n’en serait pas là. Que puis-je faire pour obtenir votre pardon ? Felicia : Obtenir mon… Mais vous êtes déjà tout excusé ! Silas : Peut-être, mais je ne le verrai comme cela qu’une fois que je l’aurai mérité. Felicia : Comment ? Silas : Il doit bien y avoir un service que je peux vous rendre. Felicia : Oh, euh, il faut que j’y réfléchisse… Soutien A Silas : Felicia… j’ai beaucoup réfléchi depuis notre dernière conversation. Je pense avoir trouvé comment me faire pardonner. Felicia : Ce n’est vraiment pas la peine, mais si vous insistez… Silas : Je pourrais vous aider à commettre moins d’erreurs. Qu’est-ce que vous en dites ? Felicia : Moins d’erreurs ? C’est possible ça ? Oh, je ferais n’importe quoi pour ça… Je suis maladroite depuis que je suis née. Je commençais à perdre espoir… Silas : Il ne faut jamais abandonner, Felicia. C’est là le véritable échec. Felicia : Je vois… Eh bien, je vous écoute. Silas : Bien ! Je sais que cela va vous aider. Pour commencer, j’aimerais que vous me serviez une tasse de thé. En le faisant, imaginez que je vais bientôt mourir. J’ai été gravement blessé, et ce sont là mes derniers instants. Felicia : Quoi… ?! Silas : Voilà ce que vous devez avoir en tête en me servant ma tasse de thé. Si vous le faites, je vous garantis que vous ne renverserez rien. Alors ? Vous voulez essayer ? Felicia : Je… pense avoir compris. Je vais essayer, il le faut. Silas : Argh… Je vois une lumière… Si seulement je pouvais avoir une dernière tasse de thé… Felicia : J-Je vous en apporte une ! O-Oh là là… Je suis si nerveuse… Mais je ne dois pas faillir ! Je dois le faire pour Silas, avant qu’il ne meure… ! Verser le thé… Prendre le pouls de Silas… Ajouter du sucre… Le mettre à l’aise… Silas : Kof. Felicia : Oh… c’est incroyable… J-J’ai réussi ! Silas : Beau travail, Felicia ! Je savais que vous y arriveriez ! Concentrez-vous sur ce que vous éprouvez. Faites en sorte de vous en souvenir. Felicia : J-J’ai compris ! Merci ! Voilà qui met fin à cette histoire idiote d’obtention de pardon. Silas : Hum… Eh bien, vu que j’ai fait une bonne action, cela devrait compenser mon impolitesse. Enfin, je le crois… Qu’en dites-vous ? Felicia : Je vous ai déjà dit que vous étiez pardonné il y a des jours ! Silas : Ah, vraiment ? Tout se finit bien dans ce cas. Soutien S Silas : Heureux de vous revoir, Felicia. Felicia : Que puis-je faire pour vous ? Silas : Comment allez-vous depuis l’autre jour ? Vous portez le plateau correctement ? Felicia : Oui, mais en fait… Il faut sans cesse que je me dise que mon invité est sur le point de mourir. Sinon, je n’y arrive pas… J’ai l’impression que certains s’en rendent compte, ils me regardent bizarrement… Silas : Oh ! C’est un souci que je n’avais pas pris en compte dans ma théorie… Felicia : Mmh. La pratique ne se passe pas comme prévu. Silas : Je suis désolé. J’aurais dû y penser… Felicia : O-Oh, il n’y a pas de problème. N’allez pas penser que vous me devez encore quelque chose… Silas : Merci, ça me rassure un peu. Et travailler avec vous s’est révélé une expérience plutôt exaltante. J’aimerais beaucoup revivre cela. Felicia : Hum… ? Silas : Voilà pourquoi je vous donne ceci. Felicia : Silas… C’est… Vous me… ? Silas : En effet, c’est une alliance. Voyez cela comme ma demande en mariage. Felicia : Ouah ! V-Vraiment ? Silas : Je suis amoureux de vous. Je ne peux plus passer un seul moment sans vous. Votre maladresse… Votre volonté… Je vous veux tout entière. Felicia : On ne m’avait jamais dit ça… Si je suis celle que vous désirez, alors j’accepte votre bague avec joie. Silas : Vraiment ? Felicia : Oui, mais si jamais vous m’êtes infidèle, j’annule tout. Silas : Ha ! Si jamais cela arrive, vous pourrez me faire tout ce que vous voudrez. Vous pouvez m’ébouillanter jusqu’à ce que je sois réellement à l’article de la mort…
Orochi & Hinata - Spoiler:
Soutien C Orochi : Bonjour Hinata. Tu as un instant à m’accorder ? Hinata : Hum. Pour toi ? Bien sûr. Orochi : Je vois que tu as des herbes dans les mains. Hinata : Bien vu ! Je viens de les cueillir dans les montagnes. Orochi : Puis-je en avoir quelques-unes ? Je m’en sers pour mes divinations. Hinata : Et moi qui les ai ramassées en croyant que c’étaient des herbes médicinales. Orochi : D’après ce que j’en sais, ces herbes ont un rôle marginal en médecine. Mais, sous forme d’encens, elles renferment de puissantes propriétés. Hinata : Ouah, qui l’eût cru ? Mais je ne te les donne pas gratuitement. Je veux une prédiction en échange. Oui, dis-moi si je vais devenir encore beaucoup plus fort ! Orochi : Une question à laquelle je peux répondre rapidement. Et une divination, une ! Mgnn ! Hinata : Oh, est-ce que ça va ? Tu as quelque chose dans la gorge ? Orochi : Ah ! Oui ! Hinata : Qu’est-ce que c’était ? Un os de poulet ? Orochi : Tu ne comprends rien. J’ai communié avec les dieux. J’ai obtenu ta réponse. Mais tu ne vas pas être content. Les dieux disent que tu ne deviendras pas plus fort. Hinata : Quoi ?! Il faut que tu fasses quelque chose pour modifier mon avenir ! Orochi : Je ne sais pas… si je peux. Hinata : S’il te plaît, Orochi. S’il te plaît ! Orochi : Il y aurait peut-être un moyen. Je dois me préparer. Cela ne va pas être facile. Mais je serai prête lors de notre prochaine rencontre. Hinata : Très bien. Préviens-moi, s’il y a quelque chose que je peux faire. Orochi : Rien pour l’instant. Mais tu es entre de bonnes mains. Je ne faillirai pas. Soutien B Orochi : Très bien, Hinata. Je sais comment procéder. J’ai fait les préparatifs. À l’heure actuelle, ton avenir ne montre aucune progression de ta force. Mais nous allons changer ton destin. Hinata : Je ferais n’importe quoi pour ça, Orochi ! Orochi : Tu es un homme bien, Hinata. Je sais que je peux arranger ça. J’ai communié avec les sources astrales. Ton problème, c’est la focalisation. Tu es trop focalisé sur ton arme. Tu dois élargir tes perspectives. Est-ce que tu… te penses incapable d’utiliser d’autres armes ? Hinata : Hum, je n’aurais jamais cru que j’étais du genre à manquer de confiance en moi. Orochi : Et pourtant… il faudra donc que tu m’aides dans mes tâches. Hinata : Hein, vraiment ? En quoi le fait de t’aider m’aiderait-il, moi aussi ? Orochi : Tu te concentres trop sur toi-même, nous venons de l’établir. Aider les autres te donnera la confiance nécessaire pour accomplir n’importe quoi. Hinata : J’ai des doutes. Orochi : Commençons. Le premier test, c’est l’empathie. Regarde mon visage. Qu’est-ce que je veux ? Sois précis. Hinata : Très bien. Ton visage me dit… Il me dit… Orochi : Oui ? Voici un indice. Qu’est-ce que je regarde ? Hinata : Euh, une tasse vide ? Orochi : Oui… une tasse de thé… ? Vide… ? Alors peut-être que je veux… ? Hinata : Que je te serve du thé ?! Orochi : Je suis désolée, ce n’est pas moi qui ai choisi ce test. Ce sont les dieux. Moi, je n’ai pas besoin de thé. Mais le test nécessite que tu ailles m’en chercher. Tu peux blâmer les dieux si ça ne te plaît pas. Personne ne te force à obéir. Hinata : D’accord. N’importe quoi pour changer mon destin. Je vais chercher du thé. Orochi : Tu fais bien, Hinata. Par ailleurs, les dieux me disent également que mes épaules sont tendues… Hinata : D’accord, une tasse de thé, et un massage. Quoi d’autre ? Orochi : Les dieux ne disent rien de plus. Ah si, une dernière chose : dépêche-toi. Soutien A Hinata : Oh… Orochi. Orochi : Si ce n’est pas mon grand ami Hinata ! Hinata : Dis-moi, ces tâches : aller te chercher du thé… Et ce massage très, très long… Tu t’es jouée de moi, pas vrai ? Orochi : Tu me connais trop bien, Hinata. Oh, et je dois dire… Que ce massage était le meilleur auquel j’ai jamais eu droit. Exquis ! Hinata : Hmpf. Orochi : Ne fais pas la tête, Hinata. Tu as dû en tirer quelque chose de positif. Hinata : Peut-être. C’était pas désagréable de te voir heureuse, mais la prochaine fois… Orochi : La prochaine fois ? Il n’y a pas de prochaine fois. Tu as réussi le test ! Tu as perçu ce dont j’avais besoin et me l’as fourni. Ce qui veut dire que tu possèdes à présent ce qui te manquait. Hinata : Quoi ? Tes énigmes me fatiguent, Orochi. Orochi : L’ouverture d’esprit. Avant, tu ne voyais pas plus loin que le bout de ton épée. Ta perception était limitée. Mais tu as dépassé tes limites. Tes sens sont plus aiguisés. Tu observes, puis agis. Tu ne seras plus jamais pris par surprise par tes adversaires. Hinata : Tout ça parce que je t’ai servi une tasse de thé ? Orochi : Parce que tu as senti que j’en voulais une ! Hinata : Argh, j’ai mal à la tête. Orochi : C’est le signe que ton esprit s’élargit. Hinata : D’accord, j’admets que j’y ai gagné quelque chose, même si c’est juste un mal de tête. Alors, euh, merci. Orochi : Pourquoi ne pas me rendre la pareille, en me refaisant un massage ? Hinata : J’ai l’impression que tu en profites un peu trop, Orochi. Orochi : Eh ! Tu vois ? Tes sens t’en disent déjà plus qu’auparavant. Bien joué, Hinata. Soutien S Orochi : Oooh, Hinata. Oui, c’est juste là. Tes massages sont divins. Plus bas, s’il te plaît… Hé ! Pourquoi t’arrêtes-tu ? Hinata : … Orochi : Qu’est-ce qui ne va pas ? Tu n’as pas content de ton rôle de masseur ? Hinata : Hein ? Non. Je réfléchissais. Orochi : À propos de quoi ? Hinata : Tu sais, quand je t’ai rencontrée, j’ai cru t’avoir cernée. Tu es une ensorceleuse. Mais tu es différente de ce que je croyais. Orochi : Ah ! J’ai senti que tu étais attiré par l’image que je cultive. Mais cela veut-il dire que tu n’es plus sensible à mes charmes ? Hinata : Ce n’est pas ce que je dis. Je veux dire que tu étais juste une image, rien de plus. Puis tu m’as adressé la parole et tu as dit tout un tas de choses intéressantes. Orochi : Oui ! Ma pensée est aussi profonde que l’océan et mes mystères aussi insondables. Hinata : Oui, je sais… Orochi : Hinata, tu me caches quelque chose. De quoi s’agit-il ? Hinata : Je n’arrive pas à deviner ce que tu penses de moi. Orochi : Ah, eh bien. C’est ainsi. Hinata : Et c’est tout ? Bon, très bien, je vais laisser les choses telles qu’elles sont. Revenons-en au massage. Comment c’est ? Orochi : Juste là. Je t’aime… Hinata : Vraiment ? Orochi : Quand tu me masses le dos. Mais, d’accord, Hinata. Je t’aime aussi. Tu as capturé mon cœur. Tu es adorable quand tu te bats. Et tu es bien plus gentil que je ne l’aurais cru. Hinata : … Orochi : Tu ne peux pas garder le silence après que j’ai dit quelque chose comme ça. Hinata : Désolée, j’étais perdu dans mes pensées. La façon dont tu as rougi en m’avouant tout ça m’a littéralement fait fondre. Orochi : Qui es-tu et qu’as-tu fait de mon Hinata ? Qu’on me rende mon adorable lourdaud ! Hinata : Orochi. Tu as fait de moi un être sensible. Toi et moi sommes deux tourtereaux. Je gazouille de joie ! Orochi : Tu es un tourtereau et moi une vipère. Tout le monde sait ce qu’il arrive au tourtereau… Alors, reprends ton massage, sinon…
Corrin (féminin) & Reina - Spoiler:
Soutien C Reina : Je dois prendre congé. Faites attention sur le chemin, d’accord ? Corrin : Tiens ? Reina en pleine conversation avec un vieillard… Bonjour, Reina. Qui est ce vieux monsieur ? Reina : Oh, Dame Corrin. Vous parlez de ce fringant gentilhomme ? Juste un habitant de la ville égaré. Nous avons fait un bout de chemin ensemble. Corrin : Un inconnu ? Vous aviez pourtant l’air de beaucoup apprécier sa compagnie. Votre visage était détendu, souriant… Je vous ai déjà vue avec des airs plus sévères. Reina : En fait… il me rappelle mes parents. Ils ont à peu près le même âge. Corrin : Je comprends. Vous semblez très proche de vos parents… Reina : Pas vraiment, non… Cela fait des années que je ne les ai pas vus. Corrin : Oh… Pardonnez-moi. Reina : Ce n’est rien. J’ai simplement dû faire un choix qui les a fait sortir de ma vie. Mes parents sont des notables. Ils plaçaient de grands espoirs en moi. Mais moi, j’ai toujours voulu devenir soldat. Je me suis engagée à la première occasion. Corrin : Je comprends… Vous étiez au service de ma mère, je crois. Reina : Absolument. Ce fut un honneur d’assurer sa protection. Mais mes parents méprisent les postes militaires, aussi prestigieux soient-ils. Ils étaient furieux de mon engagement et ont coupé les ponts avec moi. Corrin : Mais vous vouez votre vie à la défense du royaume ! Comment peuvent-ils vous en vouloir pour ça ? Reina : Ne vous fatiguez pas à essayer de comprendre… Moi-même j’ai abandonné. Je leur reverse même une part de ma solde, en remerciement… Ils m’ont élevée, instruite… Et c’est pour eux que j’ai fait carrière dans l’armée. Corrin : Vous aimeriez les revoir ? Reina : Bien sûr. Mais trop de temps a passé, maintenant. Je ne pourrai jamais y retourner. Ma pauvre mère mourrait de peur à la vue de mes cicatrices. Pardonnez-moi, mais je dois assister à une réunion. Mes respects, Madame. Corrin : C’est donc pour ça qu’elle n’est pas heureuse. Elle semble si seule… Soutien B Corrin : Bien le bonjour, Reina ! Reina : Bonjour, Dame Corrin. Comment se passe votre journée ? Corrin : Pas trop mal… Je me demandais justement si nous pouvions parler un peu. Poursuivre notre discussion de l’autre jour… Vous vous souvenez ? Reina : À propos de mes parents ? Ne vous embêtez pas avec ça… Corrin : Je ne peux m’empêcher d’y penser. Pour moi qui ai perdu père et mère… Cela me fait de la peine pour les vôtres qui sont vivants et que vous ne pouvez voir. Reina : Je vous comprends, Madame. Ça peut paraître stupide de ma part… Il est simplement inenvisageable de leur rendre visite comme si de rien n’était. Corrin : Mais pourquoi ? Je suis sûre qu’en vous parlant, vous vous comprendriez. Vous pourriez leur expliquer votre choix d’entrer dans l’armée. Mais au fait… Pourquoi avoir tant voulu devenir chevalier ? Reina : Tout simplement parce que je n’ai toujours vécu que pour le combat. La première fois que j’ai touché une arme, j’ai su que c’était fait pour moi. Personne autour de moi ne comprenait cet attrait. Il faut dire que je ne collais pas au stéréotype de la guerrière sanguinaire. Corrin : Comment ça ? Reina : J’étais une petite fille sage, polie, bien élevée, modeste… Tenez, regardez… C’est un portrait de famille miniature que j’ai toujours sur moi. Corrin : C’est vrai qu’on peine à imaginer un si joli bout de chou sur un champ de bataille… Reina : Vous pensez vraiment ? Je ne trouve pas ça incompatible. Mes parents, en revanche… Ils n’en sont pas revenus. Enfin… Personne autour de moi ne m’a vraiment comprise… Corrin : Je vois… Dites… Vous aimeriez que je vous apporte des nouvelles de vos parents ? Je suis sûre que vous aimeriez savoir comment ils vont… Je me trompe ? Reina : Dame Corrin… Vous êtes trop bonne. Corrin : Est-ce une façon détournée de refuser mon offre ? Reina : Oh, non ! Au contraire. C’est une formidable proposition de votre part ! De leur côté, mes parents n’ont sans doute aucune nouvelle de moi depuis longtemps. Je vous serais éternellement reconnaissante si vous me rendiez ce service. Corrin : Je vais m’y atteler immédiatement ! À plus tard, Reina ! Reina : Et elle file comme le vent… Cette femme déborde vraiment d’énergie. Et moi… C’est vrai… Pourquoi suis-je devenue chevalier ? La réponse est sans doute moins évidente que je ne le pensais… Je ne sais même pas vraiment pourquoi je ressens une telle passion pour le combat. Cela remonte à si loin… Soutien A Corrin : J’ai de grandes nouvelles, Reina ! Vos parents se portent très bien ! Je vous ai écrit un petit rapport. Reina : Merci infiniment, Madame… J’accueille ces nouvelles avec grand plaisir. Corrin : Nul besoin de me remercier… C’est moi qui vous l’ai demandé, vous vous souvenez ? Reina : … Corrin : Reina ? Quelque chose ne va pas ? Reina : Mes parents sont toujours actifs en tant que magistrats, on dirait bien. Corrin : Tout à fait. Ils semblent être très respectés et appréciés des habitants. Reina : Dame Corrin… Corrin : Qu’est-ce qui se passe ? Vous êtes toute pâle… Reina : Ça y est… J’ai compris ! Corrin : Vous avez compris quoi ? Reina : Quand j’étais petite, je ressentais une immense admiration pour mes parents. Leur rôle était de protéger la population. J’en étais très fière et je voulais les aider. C’est pour ça que j’ai toujours voulu intégrer l’armée. Je rêvais qu’un jour, je serais affectée à la protection rapprochée de mes parents. Corrin : Reina… Reina : Mais bon… Je suis une grande fille, maintenant ! Je combats pour le plaisir. Je garderai en moi l’idée que je suis chevalier par amour pour mes parents. Et c’est grâce à vous, Dame Corrin. Corrin : Je n’ai rien fait de bien compliqué. Mais je suis ravie de vous avoir été utile. J’espère qu’un jour, vous aurez l’occasion de leur dire de vive voix. Je suis sûre qu’ils seront fiers de vous. Reina : Je l’espère également. Mais pour l’instant, le devoir m’appelle. La paix du royaume passe avant mes petits chagrins personnels. Je n’ai qu’un seul but dans la vie : détruire mes ennemis. Je vais fondre sur ces chiens, écouter la terreur que je leur inspire. Chacun de leurs cris de douleur sera un cor célébrant la victoire à venir. Chaque morceau de chair arraché à l’ennemi nourrit notre splendeur ! Corrin : Oh, oh… Nous qui avions une si chaleureuse conversation…
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