| | Dialogues de soutien - Héritage - | |
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+3Soren62 Obi-Wan44 Kratos Wright 7 participants | |
Auteur | Message |
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Kratos Wright Admin
Fe préféré ? : Genealogy of The Holy War Messages : 1936
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 22 Mai - 21:59 | |
| J'ai mis en ligne tous les dialogues poster avant le post de Other M. Petite chose, si vous pouvez mettre les dialogues entre balises spoiler sa prendra moins et place et sa sera plus facile pour moi de m'y retrouver car tous les post se ressemble. | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 22 Mai - 22:16 | |
| Corrin (féminin) & Mozu - Spoiler:
Soutien C Mozu : Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de tous ces légumes ? Les faire bouillir ? Ou les faire mariner dans du vinaigre ? Oh là là… Toutes ces bonnes choses… Corrin : Bonjour, Mozu ! Vous avez l’air particulièrement joyeuse, aujourd’hui. Grand dieux, toutes ces caisses ! Sont-elles toutes pleines de légumes ? Mozu : Je veux ! Corrin : On vous voit à peine tellement vous avez les bras chargés. Je peux vous aider ? Mozu : Avec plaisir. Mais attention à ne pas les abîmer ! Corrin : D’accord. Un… deux… trois ! Gniii. Mais c’est lourd ! Ouille, mon dos… Mozu : Attendez ! Reposez-la doucement, je vais m’en occuper ! Eh bien, pour une guerrière, vous êtes un peu fragile, Dame Corrin… Corrin : Fragile ? C’est surtout vous qui êtes une force de la nature… Mozu : À vous entendre, je suis une sorte de monstre… Corrin : Oh, non… Ce n’est pas ça du tout. C’était un compliment. Mais dites-moi… Ils viennent d’où, tous ces légumes ? Mozu : Des villageoises me les ont envoyés. De vieilles fermières que j’ai aidées lors des moissons… Nous sommes devenues amies ! Corrin : Eh bien… Vous êtes bien récompensée de votre gentillesse ! Mozu : J’ai travaillé aux champs toute ma vie… L’huile de coude, ça me connaît ! Hum… Corrin : Mozu ? Quelque chose ne va pas ? Mozu : Non… Rien… Corrin : La vie au grand air te manque, c’est ça ? Mozu : Bien sûr que non ! Quelle idée ! Je suis heureuse ici, et vous avez fait tellement pour moi, Dame Corrin. Ne vous inquiétez pas ! Et puis, vous voyez bien que je ne suis pas une petite nature… Corrin : Ça… Rassure-toi, je n’ai plus aucun doute ! Mozu : En revanche, si vous avez une idée pour cuisiner tout ça, je suis preneuse ! Je crois bien que je vais tout simplement demander à nos amis, au camp. À bientôt, Dame Corrin ! Corrin : Ah, Mozu… Rien ne pourra m’empêcher de m’inquiéter pour toi… Soutien B Corrin : Je vais de surprise en surprise, avec vous… Quelle excellente chasseuse vous faites ! Mozu : Arrêtez… Vous me flattez… Travailler dans les champs, chasser… Je ne sais rien faire d’autre. Corrin : Quelles bêtes avez-vous l’habitude de chasser ? Mozu : Eh bien… Les habitants de mon village appréciaient particulièrement le sanglier. Sa chair est goûteuse, et il existe de nombreuses façons de le cuisiner. Et tant mieux, parce que c’est une chasse assez dangereuse. L’animal est coriace ! Tuer un sanglier seul marquait votre entrée dans le cercle des vrais chasseurs. Corrin : Et vous l’avez fait ? Mozu : Qu’est-ce que vous croyez ? Et du premier coup, en plus ! Et pourtant, j’étais distraite… J’avais oublié mon arc. J’ai dû chasser au couteau. Corrin : Vous avez chassé le sanglier au couteau ?! Mozu : Oui. Mais mes meilleurs souvenirs de chasse, c’est avec les ours. Corrin : D-Des ours ? Vous chassez l’ours… seule ? Mozu : Bah… Oui, évidemment ! Corrin : Mais ces bêtes sont énormes ! Elles pourraient vous tuer d’un coup de patte ! Mozu : Ce n’est pas ça le plus dangereux chez l’ours. C’est sa ruse ! Corrin : Vous aurez beau dire, moi je vois surtout une grosse bestiole prête à tout casser… Mozu : Ils savent éviter les flèches et retrouver l’archer grâce à leur flair. C’est une proie extrêmement difficile. Le vieux sage de notre village était le meilleur chasseur d’ours qu’on ait connu. Il était le gardien de nos traditions… transmises de génération en génération. C’était mon mentor. Je m’entraînais à imiter ses techniques de chasse. Mais tout ça, c’est loin derrière moi, maintenant… Corrin : Mozu… Mozu : Oh… Vous me prenez encore à penser à l’ancien temps. Corrin : Je peux vous suggérer quelque chose ? Bonne fermière, bonne chasseuse… Vous pourriez essayer une autre activité… Mozu : Ah oui ? Laquelle ? Corrin : Quelque chose que je pourrais vous enseigner… en remerciement. Mozu : Où voulez-vous en venir ? Corrin : Hé hé… Vous le saurez bien assez tôt ! Mozu : Vous exagérez… À cause de vous, je brûle d’impatience. Soutien A Mozu : Dame Corrin… Où est-ce que vous m’avez amenée ? Corrin : Bienvenue dans le monde de l’esprit, Mozu ! Mozu : Le monde de… Pardon ? Corrin : L’académie ! L’univers de la connaissance s’ouvre à vous. Histoire du monde, grammaire, littérature, sciences… Je peux vous enseigner la plupart de ces sujets ! Mozu : Comme… à l’école ? Corrin : Je me suis dit que votre instruction comptait peut-être quelques lacunes. J’ai voulu vous offrir l’opportunité d’étudier les matières de votre choix. Mozu : Mais enfin… C’est un truc pour les nobles, ça… Sérieusement, vous me voyez étudier ? Corrin : Autant je doute être la meilleure enseignante du monde… Autant je ne me fais aucun souci concernant votre intelligence. C’est plutôt vous qui avez des aptitudes qui me sont inaccessibles. Mozu : Il y a tant de choses que j’ai toujours voulu savoir… C’est vrai qu’au village, on n’avait pas de savant pour tout nous apprendre. Corrin : Et moi, je suis nulle pour chasser et transporter ma propre nourriture… En tant que membre de votre nouvelle famille, je vous offre cette possibilité. Mozu : Ma nouvelle famille ? Corrin : Oui. Je sais que le cadre dans lequel vous avez grandi vous manque… Mais je souhaite que vous vous sentiez bien, avec nous. Comme dans une famille. Si vous avez besoin de quoi que ce soit… Nous sommes là, n’hésitez pas. Mozu : Dame Corrin… Snif… Corrin : Mozu ? Qu’est-ce qui vous arrive ? J’ai dit quelque chose de mal ? Mozu : Snif… Évidemment que non… Vous êtes bête… Ce sont des larmes de joie… Mes premières depuis bien longtemps… Merci infiniment, Dame Corrin. Je peux vous rendre visite, ainsi qu’aux autres, si je me sens seule ? Corrin : Bien entendu, vous pouvez… Mozu : Oooh ! Merci… Vous êtes si bonne avec moi !
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 22 Mai - 22:28 | |
| Ok, c'est noté. Au passage, je viens de faire un tour vite fait sur le site et pour le soutien Kaze - Rinkah tu as mis l'image de Jakob pour les soutiens B, A et S au lieu de Kaze, du coup j'ai préféré signaler. Et pour Jakob - Sakura, tu as mis deux fois Rang A au lieu de S pour le dernier. | |
| | | Kratos Wright Admin
Fe préféré ? : Genealogy of The Holy War Messages : 1936
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 22 Mai - 22:32 | |
| Merci je vais rectifier sa (j'ai le nez dans les dialogue depuis toute cette aprem). | |
| | | Other M
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Lun 23 Mai - 0:24 | |
| - Corrin (M) & Ryoma:
C
Corrin : Bonjour, Ryoma. J'ai une faveur à te demander. Ryoma : Tout ce que tu veux. Que puis-je faire pour toi ? Corrin : Eh bien... Je n'ai que très peu de souvenirs des années ayant précédé mon enlèvement. Mais toi, tu dois en avoir. Accepterais-tu d'en partager quelques-uns avec moi ? Ryoma : Hmm... Oui. Mais je dois te prévenir que ce ne sont pas que des souvenirs heureux. Corrin : Ce n'est pas grave. J'ai l'impression qu'il y a un grand vide en moi. J'aimerais en savoir plus sur mon enfance dans le royaume d'Hoshido. Ainsi que sur le reste de la famille... Hinoka, Takumi, Azura et Sakura. Ryoma : Très bien. En fait, j'avais déjà prévu que ce jour viendrait. J'ai quelque chose pour toi. Corrin : Ah ? De quoi s'agit-il ? Ryoma : Je vais peut-être le garder encore un peu. Sa portée symbolique n'en sera que plus grande si je te le donne un peu plus tard. Corrin : D'accord... Et bien, je ferai preuve de patience, alors. Ryoma : Tant mieux. Mais j'ai bien peur que notre conversation ne doive être remise à plus tard. Car je dois m'occuper de quelque chose qui ne peut attendre. Corrin : Je comprends. Merci, Ryoma. J'espère reprendre cette conversation bientôt.
B
Corrin : Bonjour, Ryoma. Je ne te dérange pas ? Ryoma : Ah, Corrin. Tu ne me déranges pas, non. J'ai un peu de temps devant moi. Mais par où commencer ? Hmm... Ah oui ! Nos frères et sœurs. Commençons par cette petite pleurnicharde d'Hinoka. Corrin : Hinoka... une pleurnicharde ? Je ne la vois pas vraiment comme ça. Ryoma : Oh, elle a grandement mûri, depuis. Elle fait maintenant un soldat d'exception. On ne peut pas dire la même chose de Takumi, en revanche... Corrin : Mais... il est si fort et sûr de lui. Ryoma : Peut-être, mais ce vernis ne fait que masquer sa nature friable. Takumi est un garçon... volatil. Il a encore beaucoup d'efforts à faire pour progresser. Ceci étant dit, j'ai toute confiance dans ses aptitudes. Un grand destin l'attend. Corrin : Je vois. Ryoma : Quant à Azura, eh bien... elle a toujours gardé ses distances. Même enfant. Elle est douce et sage. Mais j'aimerais qu'elle se montre plus ouverte parfois. Corrin : Tes opinions sont aussi surprenantes que fascinantes ! Dis-m'en plus, je te prie. Ryoma : Bien sûr. Voyons, où en étais-je ? Ah, oui... Sakura. Une âme bienveillante. Toujours à l'écoute des autres. J'espère qu'elle parviendra à montrer plus d'amour-propre, un jour... pour son bien. Corrin : Merci, Ryoma. Je suis très heureux d'avoir entendu ton avis sur eux. C'est vraiment merveilleux de voir quelqu'un passer autant de temps à cerner les siens. Ryoma : Eh bien, j'imagine que la place d'aîné confère son lot de responsabilités. Et je passe beaucoup de temps à réfléchir à la nature des autres... et à la mienne. Car je suis loin d'être parfait. Corrin : Eh bien, tu es humain après tout. Aucun de nous n'est parfait. Mais tu es un grand frère sage et attentionné, et un modèle pour beaucoup. Ryoma : Merci, Corrin. Venant de toi, ces paroles me réchauffent le cœur. Corrin : J'aimerais tellement en savoir plus sur mon propre passé. Ryoma : Oui. Un passé qui est loin d'être clair. J'espère pouvoir un jour t'aider à résoudre cette énigme. Mais j'ai bien peur de ne pas en savoir beaucoup plus que toi. Corrin : Merci, Ryoma. C'est l'intention qui compte. Ryoma : Je t'en prie, Corrin.
A
Ryoma : Bonjour, Corrin. J'ai cru percevoir une certaine tristesse en toi, dernièrement. Quelle en est la cause ? Corrin : Hmm ? Non, je vais bien. Pourquoi ? Ryoma : Tu es sûr ? Tu sais que tu peux tout me dire. Au cours de notre dernière conversation, tu étais assez... distant. Ou plutôt lointain. Corrin : Eh bien, pour être tout à fait honnête... J'ai beaucoup apprécié tes histoires sur le passé de notre famille. Mais elle m'ont aussi attristé. Tant de choses se sont passées en mon absence. Ryoma : Voilà donc le poids qui pèse sur tes épaules. Il est important de garder en tête que le passé est gravé dans le marbre. Seul le futur peut être écrit. Alors, si tu n'as que peu de bon souvenirs, il t'appartient de t'en créer de nouveaux. Nous sommes tous ici, à tes côtés, à présent. Corrin : Merci, Ryoma. Tes paroles sont pleines de sagesse. Ryoma : Ce n'est rien. Oh, et j'ai autre chose qui saura peut-être te rendre le sourire. Tu te rappelles de ce que je t'ai dit l'autre jour ? J'ai quelque chose pour toi. Et je crois que le moment est venu de te l'offrir, de notre part à tous. Corrin : Oh... Quel bel anneau. Ryoma : Oui. Nous l'avons fait forger pour toi, il y a déjà bien longtemps. Nous espérions pouvoir te le remettre un jour. Et... te voilà, de retour parmi les tiens. Corrin : Ryoma... je suis si heureux de vous avoir pour frères et sœurs ! Merci infiniment. Ryoma : Nous sommes nous aussi heureux de te compter parmi nous. Et l'avenir ne fera que renforcer nos liens !
ATTENTION ! Bien que le soutien suivant implique Corrin mâle, il semble y avoir une grosse erreur de traduction de la part de Nintendo France car Takumi lui dit "tu es ma sœur". Cependant, par souci de fidélité au produit qu'on nous a mis entre les mains, j'ai laissé le passage tel quel. - Corrin (M) & Takumi:
C
Corrin : Bonjour Takumi. Takumi : ... Corrin : Takumi ? Je t'ai dit bonjour... Takumi : J'ai entendu, oui. Qu'est-ce que tu veux ? Corrin : Rien de particulier... Je me disais juste qu'on aurait pu discuter un peu. Takumi : Discuter ? Tu ne vois pas que je suis occupé, là ? Je m'entraîne. Corrin : Si, je vois. Mais au-delà de ton entraînement... Je crois surtout que tu te moques bien de faire ma connaissance. Takumi : Tu as tout juste. Je devrais pouvoir te faire confiance puisque tu es ma sœur... Mais nous avons été séparés si longtemps que nous n'avons presque rien en commun. Corrin : Je vois. Tu n'ignores pas que nous avons un passé commun... Et que nous combattons côte à côte. Takumi : Et toi, tu n'ignores pas que tu as passé ton enfance avec l'ennemi, si ? Corrin : Je ne peux pas le nier, mais je crois avoir déjà prouvé ma loyauté envers Hoshido. Comment te convaincre ? Hmm... Que dirais-tu de m'apprendre à tirer à l'arc ? Takumi : Je ne vois pas le rapport. Corrin : Eh bien, cela nous donnera l'occasion de faire un peu connaissance. Et je serai mieux à même de te prouver ma loyauté lors de la prochaine bataille. Takumi : Très bien. Je te laisse une chance. Une seule, tu as compris ? Si tu n'arrives pas à suivre, je te laisse tomber. Corrin : Je ne te décevrai pas. Merci, Takumi. Takumi : Hmm, on verra bien.
B
Takumi : Ton coude est trop bas, Corrin, il doit former un angle parfait ! Et ton genou n'est pas assez plié. Qu'est-ce que tu fabriques ? Je t'ai dit de ne jamais quitter la cible des yeux ! Corrin : Je fais de mon mieux, laisse-moi le temps de me concentrer ! Takumi : Pardon ? C'était ton idée, je crois. Tu es déjà en train de te plaindre ? Corrin : Non, j'y arriverai ! Nous sommes en guerre, je ne peux pas abandonner maintenant ! Gniii... Takumi : Pff, d'accord. On fait une pause. Corrin : Pfiou... Merci. Je dois avouer que ça ne me fera pas de mal. Bander un arc est plus difficile que j'imaginais... Takumi : Tu t'attendais à quoi ? Croyais-tu que ce serait facile ? Corrin : À vrai dire, oui... Quand on te regarde, Takumi, ça a l'air d'être un jeu d'enfant ! Takumi : Tu te moques de moi ? Corrin : Non. Tu sembles bander ton arc et décocher ces traits sans aucun effort. Mais quand j'essaie, je réalise à quel point cela requiert force et concentration. Il faut aussi que j'améliore ma position... Je fais des progrès, tu ne trouves pas ? Takumi : Oui, tu as fait des progrès. Mais ne te méprends pas, il te reste un très long chemin à parcourir ! Corrin : Je sais. D'ailleurs, si nous nous y mettions ? Takumi : Très bien. Alors... Mets-toi en position, expire... et inspire en bandant l'arc. Corrin : Ah, aïe ! Takumi : Qu'est-ce qu'il y a ? Corrin : Désolé, la corde m'a échappé. Ah zut... je saigne. Takumi : Est-ce que c'est grave ? Corrin : Non, ce n'est rien... Ça ira. Takumi : Laisse-moi regarder. Non, ça n'ira pas. On arrête pour aujourd'hui. Corrin : Mais je veux continuer, je veux que tu m'apprennes ! Takumi : J'ai dit non. Tu ne peux pas tirer, blessé comme tu es. Et puis, tu auras d'autres occasions de t'entraîner. Corrin : Tu es sérieux ? Ça me ferait vraiment plaisir, tu sais ! Je vais me mettre un bandage, à plus tard. Takumi : J'ai peut-être été un peu dur avec lui...
A
Takumi : Que fais-tu avec cet arc ? Je t'ai pourtant dit de te reposer tant que tu ne serais pas remis. Corrin : Oh, je sais. Je ne m'entraîne pas. Je graisse la corde et j'en profite pour ajuster la tension. Ça m'énerve de ne pas pouvoir tirer, alors je m'occupe comme je peux. Takumi : Tu as vraiment pris le pli, hein ? Corrin : Eh bien oui. C'était incroyablement dur au début, mais tu es bon professeur. J'espère seulement que je progresse assez vite, que je ne te fais pas perdre ton temps. Takumi : Non, ne t'inquiète pas. Corrin : Vraiment ? Takumi : Oui. En réalité, tu es très doué. Et même s'il me coûte de l'admettre... J'avais tort. Et je te présente mes excuses. J'ai été témoin de ton loyalisme envers le royaume d'Hoshido. Je te demande de me pardonner t'avoir douté de toi. Je serai content de poursuivre ton entraînement dès que tu seras prêt. Corrin : Merci Takumi. Je suis heureux que tu m'aies laissé une chance. Takumi : Je t'en prie. Au fait, prends ça. Cet onguent devrait accélérer la cicatrisation de ta main. Corrin : Merci... J'ai hâte de reprendre l'entraînement avec toi ! Takumi : Moi aussi, Corrin.
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Lun 23 Mai - 1:20 | |
| Rinkah & Subaki - Spoiler:
Soutien C Rinkah : Hé, Subaki. Subaki : Bonjour, Rinkah. Puis-je vous aider ? Rinkah : Je voulais te parler de notre dernier combat. Je n’arrête pas d’y penser. Subaki : Ah oui ? Et pourquoi donc ? Rinkah : Tu as pris nos ennemis en chasse quand ils ont sonné la retraite. Et je trouve que tu les as poursuivis assez loin. Subaki : Je n’avais pas remarqué… Rinkah : Tu l’as fait. On avait beau essayer de te rattraper, tu restais toujours hors de portée. Subaki : Hum… Vous avez peut-être raison. Je ne m’en rendais pas compte. Rinkah : Tu ne trouves pas que c’est un peu dangereux ? Que se serait-il passé si des archers t’avaient pris en embuscade ? Subaki : Rinkah, ne vous inquiétez pas. Je me suis assuré qu’il n’y avait personne. Rinkah : Tu étais à découvert. Même un guerrier aussi talentueux que toi peut être blessé par une flèche perdue. Subaki : Mes stratégies sont toujours parfaites. Jamais je ne me laisserais avoir par une flèche perdue, c’est ridicule. Non, vraiment, ne vous inquiétez pas. Je ne cours aucun risque. Rinkah : Quelle arrogance ! Le danger se trouve partout, sache-le. Et dire que je m’inquiétais pour toi. Fais ce que tu veux, je m’en fiche ! Subaki : Mais pourquoi s’est-elle mise en colère ? Je ne voulais pas la fâcher… Elle s’inquiétait simplement pour moi… Je devrais la rattraper et m’excuser auprès d’elle. Soutien B Subaki : Vous voilà, Rinkah ! Rinkah : Tiens, Subaki. Qu’est-ce que tu veux ? Subaki : Eh bien, je repensais à la conversation que nous avons eue l’autre jour. Je voulais vous demander de me pardonner. Je vous ai mise en colère alors que vous vous inquiétiez pour moi. Rinkah : Ce n’est pas grave. Je ne l’ai pas mal pris. Subaki : Je voulais simplement dire que je peux mieux observer le champ de bataille depuis le ciel. C’est plus facile pour moi d’analyser la situation et de tout prendre en compte. Rinkah : Au sol aussi, on peut tout prendre en compte. Il suffit d’être vigilant. Subaki : O-Oui, c’est vrai. Vous aurais-je encore mise en colère ? Rinkah : Non. Subaki : Je suis soulagé de vous entendre dire cela. Il n’est pas aisé de juger vos réactions quand je ne m’exprime pas clairement. Je ferais mieux de bien choisir mes mots quand je discute avec vous, Rinkah. Rinkah : Attends… Je rêve ou tu insinues que je suis susceptible ? Je croyais que tu étais venu t’excuser ! Tu te fiches de moi ?! Subaki : Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire ! Attendez, Rinkah ! Soutien A Rinkah : Ah, Subaki. Subaki : Rinkah ! Veuillez me pardonner. Ce n’était nullement mon intention de vous irriter. Rinkah : C’est moi qui devrais dire ça. Subaki : Pourquoi donc ? Rinkah : Je suis venue te demander pardon. Je me suis laissé emporter, désolée. Subaki : Il est normal que vous vous soyez fâchée. J’aurais dû mieux choisis mes mots. Rinkah : Non, tu n’as rien fait de mal. C’est moi qui prends mal les choses. Je suis susceptible, c’est comme ça. J’ai souvent du mal à garder mon sang-froid. Je le sais, et pourtant, je n’arrive pas à changer. Alors ce serait déplacé de ma part de juger mes interlocuteurs. Subaki : Je ne suis pas tellement d’accord. J’ai repensé à ce que je vous ai dit. Ce n’est pas facile à dire, mais… Je cherche toujours à atteindre la perfection dans tout ce que j’entreprends. Et je pense que je n’ai pas supporté que vous remettiez ma stratégie en question. Je vous prie de me pardonner. Rinkah : Alors on est quittes. Subaki : Nous sommes quittes. Si vous souhaitez me critiquer à nouveau, n’hésitez pas. Rinkah : Pareil pour toi ! Soutien S Subaki : Rinkah, je vous cherchais. Auriez-vous un moment à m’accorder ? Rinkah : Ouais, bien sûr. Qu’est-ce qu’il y a ? Subaki : Je repensais à la conversation que nous avons eue l’autre jour. Rinkah : On avait dit qu’on était quittes, non ? Plus besoin d’en reparler. Subaki : Oui, bien sûr. Mais je crois avoir compris pourquoi je vous ai dit toutes ces choses. Rinkah : Ah ? Je t’écoute. Subaki : Je me suis rendu compte que je vous aimais. Rinkah : Ah, tu m’aimes. Je vois, je vois. Je… Q-Quoi ?! Subaki : Cela semble vous surprendre… Rinkah : Évidemment ! Tu parles sérieusement ? Qu’est-ce que ça veut dire ?! Subaki : J’ai des sentiments pour vous, tout simplement. Et oui, je suis sérieux. Rinkah : Qu’est-ce qui t’a amené à penser ça ? Subaki : J’ai compris la raison pour laquelle je mettais toujours les pieds dans le plat. Depuis le début, j’essaie de vous impressionner en essayant d’être parfait. Mais en fait, je n’arrivais pas à être naturel. Et je finissais toujours par dire des choses que je ne pensais pas et qui vous irritaient. Et vous, qu’en pensez-vous ? Rinkah : Qu’est-ce que je pense de quoi ? Subaki : De moi. Me détestez-vous ? Rinkah : Non… Pas du tout… En fait, c’est moi qui ai commencé à critiquer ta stratégie. Tu cherches tellement à être parfait… Mais… Finalement, je crois que tu m’attires depuis la première fois qu’on s’est parlé… Subaki : Alors… Rinkah : Je ressens la même chose pour toi. Subaki : C’est merveilleux ! Alors nous allons nous marier, n’est-ce pas ? Rinkah : Hein ?! Quoi ?! Mais pourquoi tu parles déjà de mariage ? J’ai juste dit que je t’aimais ! Subaki : Si nous nous aimons, alors nous devrions nous marier, non ? Ce serait parfait. Rinkah : Euh… Plus tard, peut-être. On n’a pas besoin de le faire tout de suite. Subaki : Oh, vous êtes contre ? Rinkah : Ce n’est pas ce que j’ai dit ! C’est juste que ça ne sert à rien de se presser. Subaki : Vous avez sûrement raison. Rinkah : Sache que mes sentiments pour toi sont sincères. Subaki : Rien ne saurait me rendre plus heureux. Je souhaite passer toute ma vie avec vous. Je prendrai soin de vous. Je le promets. Rinkah : Je prendrai soin de toi, moi aussi.
Corrin (féminin) & Saizo - Spoiler:
Soutien C Corrin : Hum… ? ... J’ai l’impression que quelqu’un m’observe… Hé oh ? Il y a quelqu’un… ? Saizo ?! Vous m’avez fait peur… Pourquoi vous cachez-vous dans l’obscurité ? Saizo : Pff… Vous ne le remarquez que maintenant. En combat, vous seriez déjà morte. Corrin : Quoi ?! Pourquoi devrais-je être sur mes gardes dans le camp ? Et pourquoi me suivez-vous comme ça ? Saizo : Je vous garde à l’œil. Corrin : Hein ? Saizo : Il n’y a pas si longtemps, vous faisiez partie de la famille royale nohrienne. Mais maintenant, nous pouvons vous approcher sans problème. Si vous faites un truc louche, je serai le premier à le savoir. Corrin : Ou non, vu que je ne ferai rien de louche ! Mon frère ne vous a pas ordonné cela, n’est-ce pas ? Saizo : Pff. Ça n’a rien à voir avec Messire Ryoma, j’agis de mon propre chef. Bien que nous combattions côte à côte parfois, je ne vous fais pas confiance. Corrin : D’accord. Saizo : Si vous faites un seul pas de travers, je ne vous raterai pas. Faites en sorte de vous en souvenir. Corrin : Ça ne risque pas d’arriver. Que puis-je faire pour gagner votre confiance ? Saizo : Prouver votre valeur. J’ai beaucoup de notes sur vous, vous savez ? Corrin : Oui, vu que votre carnet s’appelle « Notes sur Corrin », je l’avais deviné. Est-ce que… vous faites ça pour tous les membres de notre armée ? Saizo : C’est confidentiel. Souvenez-vous simplement que je vous observe. Tout le temps. Corrin : Même quand je… Saizo : Oh, oui, principalement même… Corrin : Saizo, attendez ! J’ai compris, je ne vous vois pas mais vous m’observez, c’est ça ? Saizo ? Pff, ça risque d’être compliqué. Soutien B Corrin : Aaah… Je sens qu’il m’observe. Saizo, vous ne vous reposez jamais ? N’êtes-vous pas fatigué ? En tout cas, moi ça me fatigue de me faire épier toute la journée. Pas de réponse ? Rien de rien ? Pff… Saizo : … Corrin : Bon, je n’ai pas que ça à faire. Je dois ranger ces trucs. J’aurais aimé qu’ils soient moins lourds. Un… deux… Yaaah… Saizo : Très bien. Corrin : Ouah ! Prévenez-moi la prochaine fois, Saizo ! Saizo : Ce n’est pas dans mes habitudes. C’est à vous de sentir ma présence. Et il y a un problème, vous êtes pâle et fatiguée en ce moment. Nous n’avons pas vraiment besoin de vous, mais… J’ai peur que vous n’affectiez le moral des autres en combattant dans cet état. Corrin : Oh, ha ha… Désolée. Ça me fatigue de devoir constamment être sur le qui-vive. Saizo : Quoi ? Corrin : Vous ne me faites toujours pas confiance, n’est-ce pas ? Saizo : Vous ne m’avez pas encore convaincu. Vous aimeriez que j’arrête, mais je ne suis pas bête. Je n’ai qu’un œil, mais il est rivé sur vous. Mais c’est vrai que ça pourrait être un problème… Corrin : Un problème ? C’est-à-dire ? Ouah ! Saizo : Silence. Où devez-vous les transporter ? Corrin : C’est à moi ! Je peux très bien m’en occuper toute seule. Saizo : On dirait plutôt le contraire. Et malgré tout, vous êtes une alliée. Je ne suis pas cruel au point de vous laisser porter tout ça seule. Il n’y a rien d’honorable à ne pas aider une personne dans le besoin. Remettriez-vous mon honneur en question ? Corrin : P-Pas du tout… Merci, Saizo. Saizo : Ça ne veut pas dire que je vous lâche pour autant. Et dépêchez-vous de me dire où vont ces caisses. Corrin : Oh, euh… Là-bas, sur cette étagère. Saizo : Compris. Je n’en ai pas pour longtemps… Corrin : Il est parti si rapidement, était-il gêné ? Ha. Saizo, gêné… C’est une drôle d’image. Soutien A Corrin : Saizooo ! Vous êtes là ? Si oui, venez, il faut qu’on parle ! Saizo : … Corrin : Saiiizooo ! Saizo : Qu’est-ce que vous faites ? Ne révélez pas ma présence comme ça. Corrin : Ah, bonjour, Saizo. Je savais que vous étiez dans les parages. Saizo : À quoi vous jouez ? Vous interpellez la personne qui vous espionne ? Ce n’est pas très commun. Corrin : Je ne joue pas. Je n’ai jamais eu l’occasion de vous remercier pour votre aide. Pour remédier à ça, je vous ai apporté des bonbons à la menthe. Tenez. Saizo : Des b-bonbons… Corrin : Il y a un problème ? Saizo : Je n’en veux pas ! Mangez-les vous-même. Corrin : P-Pardon. Je ne savais pas… Je pensais vous faire plaisir, mais je ne vous connais visiblement pas très bien. Excusez-moi, Saizo. Je les mangerai avec quelqu’un d’autre. Saizo : Arrêtez de pleurer. Je me sens presque coupable. Corrin : C’est facile à dire pour vous… Saizo : Pff. Très bien. Je vais être franc… Corrin : Oui ? Saizo : Je déteste les bonbons. Corrin : Vraiment ? Oh, je crois que Ryoma l’avait mentionné un jour. J’avais complètement oublié. Saizo : Je sais qu’ils ne sont pas dangereux. Je n’aime pas le goût, tout simplement. Corrin : Alors, si c’est pour cette raison, cela veut dire que vous ne me détestez pas ? Saizo : … Corrin : Je comprends votre méfiance vu que j’ai été élevée en territoire ennemi. Mais garder cette image de moi ne sert à rien. Il faudra du temps pour que l’on se comprenne totalement… Mais jusque-là, pouvez-vous au moins essayer de me faire confiance ? Saizo : Ha. J’y avais déjà pensé. Corrin : Ah oui ? Saizo : Je ne vous suivrai plus. Vous êtes libre. Corrin : Est-ce que ça veut dire que vous me faites confiance ? Saizo : Je ne dirais pas ça, non. Je ne crois pas qu’une nigaude comme vous puisse comploter quoi que ce soit. Corrin : « Nigaude » ? Vous y allez fort, Saizo… Je suis heureuse que vous commenciez à m’accepter. Saizo : J’espère que vous continuerez à bien vous comporter, bien sûr. Corrin : Évidemment. Je ne veux pas perdre votre confiance, nous sommes amis maintenant. Saizo : Amis ? Où allez-vous chercher ça ? Corrin : Ça me paraît clair. Vous n’êtes pas d’accord ? Saizo : Pensez ce que vous voulez. Je m’en vais. Corrin : Saizo… ! Ha ha, d’accord. Vu sa réaction, je nous considère comme étant amis. Soutien S Corrin : Saizo, je sais que vous êtes là. J’espère que vous ne m’espionnez pas encore. Saizo : Pardonnez-moi. Je ne comptais pas rester caché longtemps. Je suis venu pour m’excuser. Corrin : Oh… ? Saizo : Oui. Pardon d’avoir douté de vous. Corrin : Vous y pensez toujours ? C’est du passé pour moi, depuis longtemps. Saizo : Tout de même, je devais venir m’excuser. Si je me trompe une nouvelle fois sur vous, n’hésitez pas à me le faire savoir. Corrin : C’est bon, vraiment. J’hésite un peu à vous le dire, mais vous êtes bizarre aujourd’hui. Pourquoi tenez-vous absolument à vous excuser ? Saizo : Parce que... Euh… L’idée que celle que j’aime me déteste peut-être m’est insupportable. Corrin : Celle que vous… ? Saizo : Bon sang ! J’essaie de vous dire que je vous aime ! Corrin : Quoi ?! M-Mais vous aviez des soupçons au départ ! Saizo : C’est pour ça que je m’excuse ! En vous suivant, j’ai vu à quel point vous preniez soin de vos amis. Ainsi que votre engagement au combat, prête à vous sacrifier pour la paix. Corrin : Saizo… Saizo : Voir cela m’a donné envie de combattre à vos côtés. D’être à vos côtés, en fait. Mais si vous ne le voulez pas, je continuerai à vous aider en secret. Ce rôle est peut-être plus approprié, d’ailleurs. Corrin : Je peux avoir mon mot à dire ? Saizo : Corrin… ? Corrin : Au début, votre besoin de me suivre ne me plaisait pas beaucoup. Mais vous m’avez aidée quand j’en ai eu besoin. Et ensuite… vous avez commencé à croire en moi. Moi aussi je veux être avec vous, Saizo. Me confierez-vous votre cœur ? Saizo : Évidemment. Corrin : Parfait ! Ça me fait plaisir de vous voir heureux grâce à moi. Saizo : Oh là là, ce n’est pas possible… Faites en sorte que personne ne vous entende dire de telles absurdités. Corrin : Hi hi. Qui aurait pensé que le terrible Saizo serait aussi timide ? Saizo : Pff... Je suppose que je ne peux plus être timide avec vous, n’est-ce pas ? Je promets de tout vous dire.
Azura & Subaki - Spoiler:
Soutien C Azura : Excusez-moi ! Y’a quelqu’un ? ??? (homme encapuchonné) : Ah ! Vous voilà, princesse. Maintenant, je vous tiens ! Azura : Qui êtes-vous ?! ??? (homme encapuchonné) : Silence ! Je vais vous tuer ! Subaki : Dame Azura, est-ce que ça va ? J’ai cru entendre des cris ! Azura : Subaki ! À l’aide ! ??? (homme encapuchonné) : Grr ! Mais d’où venez-vous ? Vous n’étiez pas censé être là ! Subaki : Et qu’est-ce que vous allez faire à présent ? Vous ne pouvez pas triompher contre moi ! ??? (homme encapuchonné) : C’est ce que nous allons voir ! Subaki : J’ai croisé le fer avec de meilleurs combattants, et je n’ai jamais perdu ! Si j’étais vous, je fuirais tant que je peux. Le reste de nos soldats va bientôt arriver. ??? (homme encapuchonné) : Rappelez-vous. Je reviendrai. La princesse ferait mieux de surveiller ses arrières ! Subaki : Eh bien, c’est fini ! Dame Azura, êtes-vous blessée ? Azura : N… Non, ça va. Subaki : Je suis fort surpris qu’un soldat ennemi ait pu s’introduire si loin dans le camp ! Nos procédures de sécurité sont à revoir. Je vais colmater les brèches. Je ne laisserai pas l’ennemi enlever un membre de la famille royale d’Hoshido. Azura : Quelque chose me dit que c’est autre chose… Subaki : Que voulez-vous dire, Madame ? Azura : Peu importe. Merci d’être venu à mon secours, Subaki. Vous avez ma gratitude. Subaki : Je vous en prie ! Je me demande ce qu’elle voulait dire par là… Soutien B ??? (homme encapuchonné) : Écartez-vous ! La princesse est à moi cette fois ! Subaki : Eh bien, on peut dire que vous êtes tenace ! Azura : Subaki, attention ! ??? (homme encapuchonné) : Je ne suis pas seul ! Même si vous êtes meilleur, vous ne nous vaincrez pas tous ! Subaki : Moui… Avez-vous idée du nombre de fois où j’ai entendu cette provocation ? Et une bonne chose de faite. Encore une journée bien remplie ! Dame Azura ! Certains se sont échappés. Désormais, je vous surveillerai étroitement. Azura : Je suis heureuse que vous soyez sain et sauf. Subaki : Bien sûr, Madame. Et vous êtes en sécurité avec moi. Je veillerai sur vous jour et nuit. Azura : Qu’est-ce que vous tenez ? Subaki : Il a fait tomber son brassard. Il n’est pas courant, je n’en ai jamais vu de tel. Azura : Moi si. Subaki : Vraiment ? Azura : Cet écusson appartient à des cousins distants de la famille royale. Quelqu’un en Hoshido a engagé ces gens. Subaki : Comment est-ce possible ?! Pourquoi quelqu’un d’Hoshido voudrait votre mort ? Azura : Il peut y avoir de nombreuses raisons. Je ne suis pas vraiment populaire. Subaki : Bien sûr. Certains ne vous aiment pas, mais personne ne veut votre mort ! Azura : Peut-être. Quoi qu’il en soit, vous m’avez sauvé la vie deux fois. Je suis votre obligée. Subaki : Ce n’est rien ! J’aurais juste souhaité résoudre ce mystère. Azura : Moi aussi, Subaki. Moi aussi. Soutien A Subaki : Je suis de retour de mission. Je me suis chargé des derniers traîtres ! Azura : Merci, Subaki. Je ne sais comment vous remercier. Subaki : Ce n’était rien. Je pensais vous voir heureuse maintenant que la menace est éradiquée. Azura : Que voulez-vous dire ? Bien sûr que je le suis ! Subaki : C’est tout le contraire que je lis sur votre visage. Dites-moi ce qui ne va pas. Azura : Oh, Subaki. Je ne voudrais pas avoir l’air de me plaindre. Subaki : Allons, Madame, ne dites pas de sottises. Azura : Quand je vivais en Nohr, les serviteurs étaient cruels. Je m’y attendais… Puis, je suis arrivée en Hoshido. J’aime la famille royale, mais certains me détestent. Et si c’était ma destinée d’être haïe ? J’ai peur que ma vie ne soit toujours en danger. Subaki : Ah, eh bien, si c’est le problème, vous n’avez plus besoin de vous inquiéter. Azura : Comment pouvez-vous dire ça ? Subaki : Je vous protégerai de ceux qui vous veulent du mal. Vous êtes en sécurité avec moi. Azura : Mais qu’en est-il de Sakura ? N’avez-vous pas fait le serment de la servir ? Subaki : Et puisque vous êtes la sœur de Dame Sakura, je serais honoré de vous protéger. Inutile de vous inquiéter. Je serai capable de vous protéger toutes les deux. Azura : Hé hé… J’en suis sûre, Subaki. Soutien S Subaki : Dame Azura, avez-vous un moment à me consacrer ? Azura : Oui, mais avant tout : Sakura est votre maîtresse. Votre devoir est de la servir. Il n’est pas juste que vous vous inquiétiez pour moi tout le temps de la sorte ! Subaki : Ah. C’est intéressant, mais ce n’était pas là ce dont je voulais vous entretenir. Azura : Oh. Et de quoi s’agit-il alors ? Subaki : Je sais que vous êtes passée par beaucoup d’épreuves difficiles, Madame. Au début, j’ai juste voulu vous protéger d’autres souffrances. Azura : Hum… Je ne suis pas sûre de savoir comment réagir à cela. Subaki : Je n’ai pas fini. J’ai réalisé que vous étiez une femme opiniâtre. Vous avez toujours recherché la paix même quand votre vie était en danger. C’est admirable. Et en fait, c’est pour cela que je suis tombé amoureux de vous. Azura : Oh ! Qu’est-ce que vous dites ? Subaki : Je vous aime, permettez-moi de rester à vos côtés en tant que protecteur et époux. Azura : Tout ce temps, je n’ai jamais réalisé que vous aviez ces sentiments à mon égard. Vous avez chassé ces hommes, et ensuite… je n’ai pas arrêté de penser à vous ! Mon cœur battait la chamade à chaque fois que nous nous rencontrions. Subaki : Vous êtes sérieuse ? Azura : Oui ! Je veux vous épouser ! Subaki : Vous n’avez pas idée de la joie que vous me faites. Je ferai tout pour vous mériter. Azura : J’ai tant de chance d’avoir rencontré quelqu’un en qui j’ai pleinement confiance !
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| | | Other M
Fe préféré ? : Genealogy of the Holy War Messages : 20 Age : 70
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Lun 23 Mai - 13:46 | |
| - Azura & Hinata:
C
Hinata : Eh, Dame Azura ! Vous tombez bien ! Tenez ! Attrapez ça ! Azura : Bonjour, Hinata. Vous savez que je n'ai pas de bon réfl... Oh ! Hmm. Dites-moi, est-ce que vous venez de me lancer un sac de légumes ? Hinata : Eh oui ! J'ai récupéré ces pousses de bambou au marché. Azura : Je ne sais pas pourquoi vous me les donnez, mais je les passerai au cuisinier. Nous mangeons les mêmes légumes depuis des semaines. Pourquoi en acheter plus ? Hinata : Euh, il y avait une promotion, une très bonne promotion ! Bon, d'accord. La fille du marché était une vendeuse extraordinaire. Azura : Je vois. Apparemment, elle était également très mignonne. Hinata : Oh, comment le savez-vous ? Dame Azura, pouvez-vous lire dans les pensées ? Azura : Non ! Je le lis seulement sur votre visage. Au moins, ces légumes sont frais. Hinata : Allons, Azura. Je n'y peux rien. Une jolie fille vous prie d'acheter pour que sa famille ne meure pas de faim... Que faites-vous ? Vous achetez ses pousses de bambou, n'est-ce pas ? Azura : Si votre bourse est pleine et votre tête vide, c'est exactement ce que vous ferez. Hinata : Ah, vous êtes dure, Dame Azura. Eh bien, à une autre fois, donc... Azura : Quelquefois, il m'inquiète.
B
Bandit : Hé hé ! Voilà une base secrète facile à localiser ! Hinata : Eh ! Vous ! Qu'est-ce que vous faites là ?! Vous n'êtes pas du camp ! Azura : Hinata, que se passe-t-il ? J'ai entendu des cris... Oh, je connais cette demoiselle. Hinata : Oui. C'est la fille du marché ! Mais pourquoi porte-t-elle un déguisement ? Azura : Je me souviens que vos parents étaient des nobles de Nohr. Pourquoi nous espionner ? Bandit : Vous ne comprendriez pas ! Vous n'avez jamais eu de problème dans la vie ! Azura : Eh bien, vous avez tort. Est-ce que quelque chose est arrivé à vos parents ? Est-ce qu'ils vont bien ? Laissez-moi vous aider. Inutile de nous espionner ! Bandit : Pourquoi m'aideriez-vous ? Avez-vous oublié comme j'étais cruelle avec vous ?! Azura : Bien sûr que non ! Mais je ne laisserai pas pour autant votre famille dans le désarroi. Bandit : Je n'accepterai jamais votre aide. J'aurais dû vous tuer quand j'en avais l'occasion. Hinata : Oh ! Vous allez trop loin ! Vous êtes sur notre territoire ici. De plus, je vous ai fait une faveur hier ! Bandit : En achetant des légumes ? Ha ! Vous êtes d'une naïveté sans bornes ! Vous m'avez conduite tout droit dans votre repaire. À présent, j'ai un rapport à faire ! Hinata : Non ! Attendez ! Revenez ici ! Azura : Hinata, laissez-la partir, c'est trop tard. Elle a sûrement déjà révélé notre position. Hinata : Je n'arrive pas à croire que j'ai pu avaler à son numéro. Quel idiot ! Je suis navré ! Azura : Ne soyez pas si dur avec vous-même. Veuillez m'excuser, je dois réfléchir... Hinata : Attendez ! Dame Azura ! Où allez-vous ?!
A
Azura : Bonjour, Hinata. Qu'est-ce que vous transportez ? Hinata : Ça ? Un cadeau. Cette fois, je vous le donne au lieu de vous le lancer. Azura : Quelle galanterie ! Sont-ce des pousses de bambou ? N'avez-vous pas appris la leçon ? Hinata : Bien sûr ! Je les ai achetées à un vieil homme hirsute. Ce n'était pas un piège ! Vous avez les traits tirés, depuis l'incident avec cette fille... Des antioxydants vous feraient du bien. Les pousses de bambou en sont riches. Azura : Elles sont récoltées dans les montagnes d'Hoshido, n'est-ce pas ? C'est bien la première fois qu'on m'offre des pousses de bambou... Merci, Hinata. Hinata : Aah. Ce joli sourire me manquait. Pardonnez mon indiscrétion, mais cette fille vous martyrisait-elle, étant petite ? Azura : Oui. Je pensais ces souvenirs éteints. Pourtant, je me sens mal pour elle. Hinata : C'est insensé ! Elle a récolté ce qu'elle a semé, enfin ! Azura : Je n'en suis pas si sûre. Nous devrions toujours songer à la paix... Toujours. Hinata : C'est une noble pensée, mais je ne pourrai pas oublier le passé. On ne peut pas s'y réfugier, mais on ne peut pas l'effacer de sa mémoire. Azura : Hinata, c'est très profond ce que vous dites. Hinata : Merci ! C'était le mieux que je puisse faire en si peu de temps. Azura : Ha ha ! Vous savez toujours comment me redonner le sourire, n'est-ce pas ? Hinata : Eh bien, j'essaie ! Allez, essayez un peu ces légumes pour vous remettre en forme ! Azura : Merci, Hinata. Je vais y goûter.
S
Hinata : Dame Azura, vous voilà ! Azura : Grands dieux, que vous est-il arrivé, Hinata ?! Vous êtes couvert de boue ! Et vous transportez des dizaines de pousses de bambou ?! Hinata : Bien sûr ! Je les ai récoltées dans les montagnes, il y en a un paquet ! Azura : Bonté divine ! En effet ! Mais pourquoi ne pas en avoir acheté au magasin ? Hinata : Il n'en restait qu'une poignée, alors j'ai pris le taureau par les cornes ! Azura : Qu'est-ce que vous comptez faire avec tout ça ? Vous ne comptez pas tout manger ! Hinata : Bien sûr que non ! C'est pour vous ! Azura : Pour moi ?! Hinata : La dernière fois que je vous ai offert des légumes, vous avez eu cet adorable sourire. Alors je me suis dit : et si je lui apportais plein d'autres légumes ? Comme ça, elle sourira encore plus ! Alors je suis parti en montagne tôt ce matin. Azura : Oh, Hinata. Quelle gentille attention ! Hinata : Eh bien, en fait... je n'arrête pas de penser à vous, Dame Azura ! Accepterez-vous ces tendres pousses de bambou en gage d'amour ? Azura : Vous me faites une déclaration d'amour avec des légumes ?! Hinata : Oui, ce n'est pas ma meilleure approche, mais ça vient du cœur. Oublions les cérémonies. Voulez-vous être ma petite amie ? S'il vous plaît ? Azura : Hinata, je suis touchée... et un peu choquée ! J'aime passer du temps avec vous. Vous illuminez mes journées. Hinata : Est-ce que c'est un oui ? Azura : Oui ! Il est temps d'avoir plus de joie dans ma vie. Hinata : Je serai toujours là pour vous. Sauf si je pars récolter d'autres légumes, bien sûr. Azura : Hinata, à ce propos...
- Hinoka & Setsuna:
C
Setsuna : Euh... Excusez-moi, Dame Hinoka... Hinoka : Mmh ? Qu'y a-t-il, Setsuna ? Setsuna : Je voulais simplement vous remercier de tout ce que vous avez fait pour moi... Je vous ai préparé un thé pour vous exprimer ma reconnaissance. Hinoka : Quoi ? C'est toi qui l'as fait ?! Setsuna : Nul besoin de paraître si surprise, Madame... Hinoka : Désolée. C'est juste que je ne pensais pas que tu étais du genre à faire du thé... Mais ton attention me touche. Merci beaucoup ! Setsuna : Je vous en prie, Dame Hinoka. Servez-vous. Hinoka : Très bien. Slurp ! Mais... ! Qu'est-ce que c'est ?! C'est si amer que je ne sens même plus ma langue ! Setsuna : Pardonnez-moi, Dame Hinoka. Je ne comprends pas... J'ai utilisé les mêmes feuilles de thé que d'habitude... Hinoka : Alors comment ça a pu devenir aussi amer... ? Oh, mais je me souviens maintenant. La cuisine n'est pas ton point fort... Mais de là à rater du thé ? Je ne savais même pas que c'était possible. Setsuna : Et pourtant... Mais je crois me souvenir que vous n'êtes pas bonne cuisinière non plus, Madame. Hinoka : Hé, doucement. Tu sais que je n'aime pas que l'on me rappelle ça... Setsuna : Ha ha... Nous sommes assez semblables. Hinoka : Je ne suis pas aussi mauvaise que toi ! Ne nous mets pas dans le même panier. J'ai une idée. Et si nous cuisinions ensemble pour nous améliorer ? Setsuna : Je ne sais pas si... Hinoka : Ne sois pas si négative, Setsuna. Je sais que tu es plutôt paresseuse... Mais c'est une occasion de renforcer notre relation en tant que vassale et seigneur. Setsuna : Bon, alors... C'est bien parce que c'est vous, Madame... Mais je ferai de mon mieux. Hinoka : Je n'en demande pas plus ! On se retrouve bientôt pour se mettre au travail ! Setsuna : D'accord... À plus tard.
B
Hinoka : Bon, je pense que, pour nous améliorer, il faut que nous nous entraînions beaucoup. Première étape : apprendre à faire une omelette ! Setsuna : Oh, j'aime les omelettes... Hinoka : Moi aussi, c'est pour ça que j'ai choisi cette recette-là ! Il paraît aussi qu'apprendre à cuisiner les œufs est la base pour devenir chef. Setsuna : Ah. Mais devenir un chef cuisinier ne m'intéresse pas vraiment... Hinoka : Notre approche doit être la même que si nous voulions devenir professionnelles ! Setsuna : D'accord. Bon, qu'est-ce qu'il faut faire en premier... ? Casser un œuf. Très bien. Yaaah ! Hinoka : Setsuna, qu'est-ce que tu... ? Tu l'as fracassé ! Setsuna : Oups. J'y suis allée un peu fort. J'ai du mal à contrôler ma force... Hinoka : Bon, je vais m'occuper de casser les œufs. Toi, mets de l'huile dans la poêle. Setsuna : D'accord... Oh non ! Ah ! Hinoka : Que se passe-t-il ? Par les... Setsuna ! Pourquoi la poêle est-elle en feu ?! Setsuna : Je crois que j'ai mis trop d'huile. Hinoka : Ne reste pas plantée là ! Éteins-le ! Setsuna : Ah oui, tiens. Veuillez m'excusez, Dame Hinoka... Hinoka : J'ai failli avoir une attaque, Setsuna ! Bon. Ne t'en fais pas. Il faut que nous nous reconcentrions. Où en étions-nous ? Ah, oui. J'ai cassé les œufs et je les ai mis dans ce bol. Maintenant, il faut juste que je les mélange délicatement avec de la sauce soja... Setsuna : Dame Hinoka, ça, c'est du vinaigre... Hinoka : Mais non, c'est de la sauce sojaaah ! Bon sang, tu as raison. C'est du vinaigre. Setsuna : Nous sommes vraiment de mauvaises cuisinières... Hinoka : Je ne comprends pas... Nous faisons tout de travers. Mais comment ? Nous avons juste à suivre la recette, mais même ça, nous n'y arrivons pas... Setsuna : Ne baissez pas les bras, Madame. Je suis sûre qu'en persévérant, nous réussirons. Hinoka : Je salue ton optimisme. Surtout alors que tu as failli faire brûler toute la cuisine. Setsuna : Je sais, j'ai fait une grosse bourde... Mais je pense réellement qu'on peut y arriver en travaillant ensemble. Nous avons toujours triomphé, par le passé. Peu importe où je suis, vous me trouvez et me sauvez de n'importe quel piège. J'ai le sentiment qu'ensemble, nous pouvons surmonter tous les obstacles. Nous devons juste nous raccrocher à cet espoir, Dame Hinoka. Hinoka : Setsuna... C'était un très beau discours. Mais tu as raison. Nous pouvons réussir ensemble, peu importe les difficultés. Si nous pouvons survivre à la guerre, nous pouvons survivre à la cuisine ! Setsuna : Bien parlé, Madame... Hinoka : Très bien ! Réessayons ! Setsuna : Je vais faire de mon mieux...
A
Hinoka : Setsuna, ça y est ! Nous avons enfin réussi ! Setsuna : Oui, Madame. Nous avons cuisiné une omelette. Et elle était délicieuse... Hinoka : Je n'arrive pas à croire que nous avons mis des jours avant de comprendre la recette... Mais nous y sommes finalement parvenues ! Aucune bataille ne nous résiste ! Tu avais raison en disant que nous pouvions accomplir cela ensemble. Pardon d'en avoir douté. Setsuna : Dame Hinoka, vous n'avez pas besoin de vous excuser... Je suis heureuse de vous voir si fière de ce que nous avons fait. Hinoka : C'est très gentil de ta part, Setsuna... Mais tout cela, c'est grâce à ta volonté d'essayer encore et encore. Alors que moi... J'ai presque abandonné lorsque nous avons failli brûler la cuisine... Setsuna : Je suis heureuse de vous avoir aidée, Dame Hinoka... Hinoka : Je pense que cette aventure a vraiment renforcé nos liens. J'ai l'impression que nous pouvons accomplir n'importe quoi, désormais ! Ah, je sais ! Attaquons-nous à la friture, maintenant ! Setsuna : Miam. J'adore tout ce qui est frit. C'est une bonne idée... Je vais chercher les ingrédients dans la réserve immédiatement. Hinoka : Très bien. Merci, Setsuna ! Setsuna : Pas de problème, Madame... Hinoka : Ha ha, cette omelette est vraiment exquise. Personne ne pourra dire le contraire ! Je suis sûre qu'en y ajoutant des légumes frits, les gens se battront pour y goûter. Setsuna est partie depuis longtemps... Il ne faut pas tant d'ingrédients que ça... Oh non... Il y a des pièges dans la réserve... Des pièges à souris ! J'arrive, Setsuna ! Setsuna : Ah... Dame Hinoka... J'aurais vraiment besoin de votre aide. Hinoka : Setsuna ! Où es-tu ? Il fait si sombre, ici... Je ne peux vraiment pas te laisser une seconde toute seule, hein ? Setsuna ! Setsunaaa !
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Lun 23 Mai - 18:36 | |
| Subaki & Saizo - Spoiler:
Soutien C Subaki : Bonjour, Saizo. Comment vas-tu en cette belle journée ? Saizo : Tu n’as pas besoin de prendre cet air placide avec moi. Subaki : Oh, je pensais simplement que cela rendrait mon salut plus agréable. Saizo : Peut-être. Mais parfois, je te soupçonne de dissimuler ta vraie nature en faisant cela. Subaki : D’où te vient toute cette agressivité ? J’ai toujours été parfaitement courtois avec toi. Saizo : Je dois au moins reconnaître que tu es puissant. Tu es l’un des plus forts parmi les vassaux de la famille royale d’Hoshido. Subaki : D’abord, tu m’insultes puis tu me complimentes la seconde d’après… Cette conversation est très étrange. Saizo : Je suis franc, rien de plus. Subaki : Fort bien. Je t’accorde que tu es puissant, toi aussi. Ton tempérament est regrettable, mais tu es l’un des meilleurs en force brute. Saizo : L’un des meilleurs… après toi, n’est-ce pas ? Subaki : J-Je n’ai jamais dit ça. Saizo : Mais c’est ce que tu penses. Subaki : Allons, allons… Soyons raisonnables… Saizo : J’ai l’habitude de tes airs de façade, mais j’ignore juste ce qui se cache derrière. Je pense que je ne le saurai qu’une fois que je t’aurais affronté. Subaki : Comment cela ? Saizo : Je te provoque en duel. Dans un combat en conditions réelles, bien évidemment. Subaki : Tu veux dire… avec de vraies armes ?! Hum… Très bien. J’accepte. Saizo : Ha. Tu vas le regretter. Subaki : C’est toi qui le dis. À mon avis, c’est toi qui vas t’en mordre les doigts. Saizo : Les résultats parleront d’eux-mêmes. Le combat aura lieu dans quelques jours. Cela te convient-il ? Subaki : C’est entendu ! Soutien B Saizo : L’heure du duel a sonné. J’ai choisi les shurikens pour ce combat. Subaki : De si petites armes pour faire face à ma lance ? Tu es sûr de toi ? Saizo : Oui, ça me va. C’est un vrai combat, nous devons utiliser nos armes de prédilection. Subaki : Si tu le dis. Bien. Si nous commencions ? Saizo : Oui. Prêts… C’est parti ! Subaki : Ha ! Tu lances une attaque à la seconde où le duel commence. Ça te ressemble bien. Je n’ai pas beaucoup d’opportunités pour t’attaquer, entre deux pluies de shurikens… Mais tu n’as pas encore gagné ! Saizo : Ouf… J’ai esquivé ce coup-là de justesse. J’avais bien estimé ta force. Tu me prouves que j’avais raison, rien de plus. Subaki : « Rien de plus », hein ? Je suis vexé. Mais tu ne feras pas le malin bien longtemps ! Yaaah ! Saizo : Argh… ! Prends ça ! Subaki : Grr ! Tu es doué… Saizo : Tu n’es pas mauvais non plus. Hum ? Depuis quand ces gens sont-ils là ? Ils sont venus pour nous regarder ? Subaki : Bonne question ! Je ne les avais même pas remarqués. Je suppose que ça prouve que notre combat fait des étincelles ! Saizo : Nous ne pouvons pas les laisser nous distraire. Si nous n’en finissons pas rapidement, quelqu’un risque d’interrompre le duel. Subaki : Oui, mieux vaut en finir avant que quelqu’un ne remarque que ce sont de vraies armes. Saizo : Disons que le prochain coup qui atteint sa cible gagne. Finissons-en ! Subaki : Très bien. On fatigue tous les deux. Alors lançons l’assaut final ! Saizo : Prépare-toi, Subaki ! Subaki : Je t’attends ! Saizo : Raaah ! Subaki : Yaaah ! Soutien A Subaki : Bonjour, Saizo ! Comment vas-tu ? Tu t’es déjà remis de notre duel ? Saizo : En grande partie, oui. C’est dommage que Dame Corrin nous ait arrêtés. Subaki : Dame Corrin a remarqué très vite que nous utilisions de vraies armes. Saizo : Oui. Et ça nous a empêchés de déterminer le vainqueur. Subaki : Je pense que finalement, nous avons mené un duel de volonté. Et sur ce point, je crois que nous sommes à égalité, tu ne crois pas ? Saizo : Oui… Au moins, j’ai pu voir tes techniques de combat de très près. Subaki : Quelque part, c’est rassurant de savoir que tu es fort à ce point. Saizo : Continue d’utiliser ta puissance pour protéger Dame Sakura. Et je ferai de même pour Messire Ryoma. Subaki : Parfait. J’ai hâte de combattre à tes côtés sur le champ de bataille, Saizo. Saizo : Moi aussi.
Jakob & Orochi - Spoiler:
Soutien C Orochi : Mais qui voilà ! Ne serait-ce pas Jakob ?! Vous arrivez juste à temps. Jakob : Que puis-je faire pour vous, Orochi ? Orochi : Pas grand-chose. Je m’ennuie. Mais je me demandais… Ça vous dirait que je vous lise votre avenir ? Juste pour s’amuser. Jakob : Mon avenir ? Je suis curieux de le connaître, je l’admets. Orochi : Ça ne me prendra qu’un instant pour communier avec la destinée… Ah, c’est fait. Jakob : Eh bien, je vous écoute, Orochi. Allons, nous n’avons pas toute la journée. Orochi : Je vois… Je vois que vous manquez de personnalité. Jakob : Je manque… ? Orochi : De personnalité, c’est bien ça. Jakob : Ce n’est que calomnies et idioties. Ce n’est pas mon avenir. Orochi : Ah ? Ça m’a l’air bien vrai, pourtant. Sur ce, ma communion avec les grandes vérités du destin est terminée. Jakob : Pourquoi me prendre ainsi pour cible, Orochi ? Je ne vous croyais pas aussi perfide. Soutien B Orochi : Mais qui voilà ! Ne serait-ce pas Jakob ?! Vous arrivez juste à temps. Jakob : Je ne tomberai pas dans le piège cette fois, Orochi. Plus de prédictions calomnieuses. Orochi : Oh ? Vous saviez pourquoi j’étais là. Vous prédisez donc l’avenir, vous aussi ? Non, je plaisante ! Je sais que vous ne connaissez rien à ces choses-là, Jakob. Jakob : Oui, ma chère. Continuez de rire. Mais vous ne faites que vous moquer de vous-même. Filez, je veux plus vous voir ! Orochi : Je suis sincère. J’aimerais me rattraper pour l’autre fois… en vous lisant l’avenir. Jakob : J’ai dit non ! Partez ! Orochi : Est-ce vraiment sage ? Ça concerne votre destin, ainsi que celui de votre maîtresse. Jakob : Le mien et celui de Dame Corrin ? Orochi : Mais vous avez refusé, deux fois même, alors je m’en vais. Inutile de me le redire. Jakob : Attendez. Je vous ai dit de partir, mais pas que cela ne m’intéressait pas ! Orochi : Vous vous contredisez. Alors, soyez clair. Vous voulez que je vous le lise ou non ? Jakob : Je vous en conjure, Orochi. Ne partez pas tant que vous ne m’aurez pas tout dit ! Orochi : Dans ce cas, je dois me préparer. Jakob : N’avez-vous pas dit que vous aviez déjà vu l’avenir de Son Altesse et de moi-même ? Orochi : C’est exact, mais c’était un peu flou. Il me faut du matériel pour y voir plus clair. Il me faudra des herbes très spéciales pour mon incantation. Et après, et seulement après… Jakob : D’accord, d’accord. Donnez-moi votre liste. Orochi : Ma liste, Monsieur, la voici. Jakob : Je vous rapporte ces herbes, Orochi. J’y vais de ce pas, en toute hâte ! Soutien A Jakob : J’ai trouvé vos herbes de divination, Orochi. Orochi : Vous vous êtes donné beaucoup de mal pour les trouver, Jakob. On m’a dit qu’elles ne poussaient que sur des falaises friables. Jakob : Je me suis simplement éraflé un ongle, rien de plus. Et peut-être foulé une cheville. Mais ce n’est rien. Maintenant que vous avez vos herbes, parlez ! Dites-moi ce que vous voyez dans mon avenir et celui de Dame Corrin. Orochi : Asseyez-vous, Jakob. Jakob : Très bien. Orochi : … Par tous les… ! Qu’est-ce que c’est que ça ?! Jakob : Quoi donc ?! Orochi : … Jakob : Dois-je vous supplier ? Allez, parlez. Orochi : Vous voulez vraiment… savoir ? Jakob : Je n’ai pas gravi ces dangereuses falaises pour rien, Orochi. Orochi : Peu importe ce que je vous dirai, vous ne vous mettrez pas en colère ? Jurez-le-moi. Jakob : Q-Quoi ? Pourquoi ? Orochi : Jurez-le-moi, c’est tout ce que je vous demande. Jakob : Il est hors de question que je jure une telle chose. Alors dites-le-moi, tout de suite ! Orochi : Très bien. Je vois… Je vois dans votre avenir et dans celui de Dame Corrin que… Jakob : Attendez. Orochi : Je suis navrée. La prophétie doit être révélée ! L’avenir doit parler, maintenant ! Jakob : Je vous ordonne de vous taire ! Argh ! Orochi : Hein ? Mais où va-t-il ? Hé. Je n’avais même pas encore vu l’avenir. Oh là là… Ma petite mise en scène a dû effrayer son âme sensible. Jakob : Je vous ai eue. Orochi : Euh… Attendez. Je vais tout vous expliquer. Jakob : Quoi ? La mise en scène ? Ne vous donnez pas ce mal. J’en ai assez vu. Orochi : D-Désolée, Jakob. Soutien S Jakob : Quelque chose me tracasse, Orochi. Pouvez-vous ou non lire l’avenir ? Orochi : Bien sûr. Je comprends pourquoi vous doutez de moi. Je vous ai déjà joué un tour, voire deux. Jakob : En effet. Orochi : Mais ne doutez pas de mes talents de devin. Ils pourraient s’avérer utiles. Jakob : J’espérais que vous diriez cela, Orochi. J’ai grandement besoin de vos dons. Orochi : Je vous promets que je le ferai bien cette fois, Jakob. Plus de farces. Dites-moi ce que vous voulez savoir. Jakob : Je veux connaître l’identité de ma future épouse. Orochi : … Jakob : La… La voyez-vous ? Orochi : Vous avez mal interprété mon expression. Là, ça veut dire « désolée, mais je refuse ». Jakob : Mais vous me l’avez promis, Orochi. Allez-vous me torturer encore longtemps ? Orochi : Vous ne comprenez pas. Jakob : Je comprends que vous ne me faites que des promesses, sans jamais me satisfaire. Orochi : Eh bien, si vous voulez vraiment le savoir… Je vais vous le dire. Vous me demandez qui sera votre épouse ? Jakob : Pour la dernière fois, oui ! Orochi : … Vous épouserez… Quoi ? Non, c’est impossible ! Jakob : C’est qui ? Veuillez excuser mon enthousiasme, je voulais dire « Qui est-elle ? » Orochi : C’est… moi. Jakob : Ouf. C’est un soulagement. Orochi : Un soulagement ? Ne m’avez-vous donc pas entendue ?! C’est moi. Jakob : Je vous en prie, Orochi, vous me hurlez dans les oreilles. Tout va bien. Enfin, tout ira bien… lorsque vous aurez accepté ceci. Orochi : Une bague ?! Jakob : Bonjour, chère épouse. Voulez-vous accepter cette alliance ? Orochi : … Jakob : Et là, c’est votre expression qui veut dire « mais bien sûr, j’accepte avec joie » ? Orochi : Non ! Enfin, oui ! Euh… je ne sais pas ! Je suis désolée. J’ai juste du mal à y croire. Vous voulez m’épouser ? Jakob : Vous avez dit que vous pouviez prédire l’avenir, oui ou non ? Orochi : Oui, je l’ai dit. Quant à ma réponse… C’est à moi de décider. Mais avant, je veux savoir pourquoi vous voulez m’épouser. Jakob : Votre côté farceur m’a séduit. Qui aurait cru que de telles sottises me feraient craquer ? L’amour est capricieux. Orochi : On n’a jamais dit aussi vrai. Je ressens la même chose. Jakob : Au sujet de l’amour… ou de moi ? Car il ne me semble pas que vous m’ayez donné votre réponse ! Orochi : Eh bien, les cartes ont parlé. La prédiction a été… prédite. Et elle dit que je dois vous épouser. Mais je ne ferai pas ce que mon avenir me dit de faire. Je veux d’abord vivre seule ! Jakob : Alors jetez les cartes et les feuilles de thé. Qu’est-ce que vous, vous voulez ? Je vous en prie, à genoux. Je vous veux, vous et vos farces… jusqu’à ma mort ! Orochi : Ha ha. C’est la demande que j’attendais. Dans ce cas, oui, je le veux. Maintenant, donnez-moi cette fichue bague.
Corrin (féminin) & Silas - Spoiler:
Soutien C Corrin : Bonjour, Silas. Tu aurais un peu de temps à m’accorder ? Silas : Hum ? Oh, bonjour, Corrin. Tu as besoin de quelque chose ? Corrin : Si on veut. Tu m’as dit que nous étions amis durant notre enfance, mais… Je ne comprends pas pourquoi tu t’en souviens et pas moi. Silas : Oh, ce n’est que ça ? À ta place, je ne m’en inquiéterais pas. C’est normal d’oublier des souvenirs aussi anciens. Corrin : Mais n’est-ce pas étrange que j’oublie quelqu’un dont j’ai été si proche ? Tu es devenu chevalier dans le seul but de me revoir un jour… Alors que moi, j’ai complètement oblitéré jusqu’à ton existence… Silas : Je t’en prie… il n’y a vraiment pas de quoi t’inquiéter pour ça. Tu t’en souviens, à présent, et c’est tout ce qui compte à mes yeux. Mes efforts ont fini par payer : je suis chevalier et nous sommes redevenus amis. Je suis seulement reconnaissant de pouvoir rattraper le temps perdu. Corrin : Reconnaissant ? Quelle belle façon de voir les choses. Merci Silas. Silas : Ah, je retrouve enfin ton optimisme légendaire ! Tiens, j’ai une idée ! Si on partait un peu en voyage tous les deux ? Corrin : Hum. Oui, pourquoi pas, mais où irions-nous ? Silas : Dans un endroit que tu veux visiter depuis toujours. Lorsque nous étions enfants, tu avais une longue liste de lieux que tu voulais explorer. À l’époque, c’était impossible, mais maintenant, plus rien ne nous en empêche ! Corrin : Ça me va… Même s’il vaut mieux ne pas partir trop loin, vu les circonstances… Silas : Hum, tu as raison. Mais ne t’inquiète pas, je trouverai bien une solution. Corrin : Aurais-tu une idée derrière la tête ? Silas : Ha ha, désolé, je ne veux pas te donner de faux espoirs. Nous limiterons nos choix aux endroits facilement accessibles. Tu ne te souviens peut-être pas de tout ce qu’il y avait sur la liste, mais moi, si. Corrin : Très bien ! Merci de faire tout ça pour moi, Silas. Silas : Pas de problème, c’est à ça que servent les amis ! Allez, va faire tes valises ! Corrin : C’est d’accord ! Silas est tellement gentil… Comment ai-je pu l’oublier tout ce temps ? Il m’a dit de ne pas m’inquiéter, mais il doit bien y avoir une raison… Soutien B Silas : Corrin ! Il faut que je te parle de notre voyage. Corrin : Bonjour, Silas ! Tu as réussi à te rappeler ce qu’il y avait sur la liste ? Silas : Eh bien… À ce propos… J’ai commencé à répertorier tous les endroits dont je me souvenais. Corrin : Bon sang ! C’est… une sacrée liste… Silas : Oui. Tout m’est revenu en tête d’un coup… Je me suis un peu laissé emporter. Corrin : J’étais vraiment avide de voir le monde, n’est-ce pas ? C’est incroyable que tu te souviennes de tant de choses après tout ce temps… Silas : Ha ha, pas tant que ça, tu sais. J’ai toujours eu une bonne mémoire. Alors lequel de ces endroits veux-tu visiter ? C’est toi qui choisis ! Corrin : En fait, la plupart ne sont pas de véritables lieux… « La grand-place d’une ville »… « Un marché »… « Un festival »… Je voulais vraiment aller voir « des insectes » ?! Silas : En tout cas, c’est ce dont je me souviens ! Corrin : Alors je m’en remets à ta mémoire. C’est difficile de choisir… Silas : Prends ton temps. Et tu peux toujours en choisir plusieurs, tu sais. On fera plusieurs voyages. Corrin : C’est très gentil à toi de faire tout ça pour moi… Ça m’étonne d’autant plus que j’aie pu t’oublier. Silas : Par les dieux, tu rumines encore cette histoire ? Pourquoi ne pas demander à tes servants ? Ils te connaissent depuis longtemps. Quelqu’un doit bien savoir ce qui s’est passé, non ? Corrin : Oui, mais ça me rend nerveuse… Et s’ils avaient une raison d’avoir gardé le silence ? Silas : Ne t’inquiète pas, Corrin. Je viens avec toi. Quoi qu’ils disent, je serai à tes côtés. Corrin : Merci, Silas. Silas : Viens, allons tirer les choses au clair avant de continuer à organiser notre voyage ! Corrin : Hein ? Hé ! Attends-moi ! Soutien A Corrin : Silas… Je suis vraiment désolée pour l’autre jour. Silas : Tu veux dire, à propos de ce qu’on a découvert ? C’était il y a bien longtemps. Inutile de t’excuser, Corrin. Mais je dois avouer que je ne m’attendais pas à ça. Corrin : Dire que j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps quand on m’a interdit de te voir. Silas : Je peux comprendre qu’ils aient voulu te pousser à m’oublier après tout ça… Je suppose qu’ils ont été vraiment très efficaces… Corrin : C’est peu dire… Et ils ont tout simplement fait fi de tes sentiments à toi. Silas : Ha ha, afin de protéger ceux de la jeune princesse ? J’aurais fait pareil à leur place. Corrin : Tu n’es pas rancunier, Silas. Même si je suis plus à blâmer que n’importe qui d’autre pour avoir pu t’oublier… Silas : En fait, je suis plutôt soulagé par ce que nous avons appris. Corrin : Vraiment ? Mais pourquoi ? Silas : Tu as pleuré tous les jours parce qu’on t’a empêchée de me voir, n’est-ce pas ? C’est bien la preuve que j’étais ton meilleur ami, non ? Corrin : Oui, j’imagine. Silas : Sache que je ne regrette en rien de t’avoir aidée à t’échapper ce jour-là. Rien ne me rend plus heureux que de t’être utile, de quelque façon que ce soit. Corrin : Silas… Je ne mérite pas d’avoir un ami qui ait un cœur aussi grand que le tien. Silas : À présent que c’est réglé, laissons derrière nous le passé. Seul compte le présent ! Corrin : Bien dit ! Silas : Alors, ça y est, tu as décidé de ce que tu voulais visiter ? Une seconde… Mince, j’ai oublié la liste ! Ne bouge pas, je la rapporte tout de suite. Corrin : Attends, Silas ! Je viens avec toi ! Hé, ce n’est pas la peine de courir si vite ! Soutien S Silas : Pff… Corrin : Est-ce que c’est Silas, là-bas ? Hé ho ! Silas ! Silas : … Corrin : Il ne m’entend pas ? Comment est-ce possible… ? Silas ! Ça ne va pas ? Silas : Aaargh ! M-Mon cœur… Ne refais plus jamais ça ! Corrin : Oups, pardon. Tu avais l’air complètement dans la lune. Je me demandais pourquoi. Silas : E-Eh bien… En fait… Je me disais que tu avais beaucoup changé, depuis notre enfance. Corrin : Oh ? J’étais très différente ? Silas : Tu as toujours la même personnalité, mais… tu es beaucoup plus… jolie. Corrin : Quoi ?! Et tu… t’en rends compte seulement maintenant ? Silas : Non… c’est la première chose qui m’a frappé quand nous nous sommes revus. Corrin : Vraiment ? C’est étrange, tu n’en as jamais parlé. Silas : Comment aurais-je pu ?! Comment aurais-je pu te dire que j’avais eu le coup de foudre pour toi… ? Corrin : L-Le coup de foudre ?! Silas : Quand nous étions enfants, tu étais ma meilleure amie et ma compagne de jeux. Mais nous sommes adultes désormais et… tu es devenue une superbe jeune femme. Découvrir cela lors de nos retrouvailles m’a fait l’effet d’une flèche en plein cœur. J’étais si euphorique que je n’ai pas tout de suite réalisé mes sentiments. Mais il n’y a plus aucun doute possible. Je t’aime, Corrin. Corrin : Silas… Silas : Ha ha, il n’y a que moi pour avoir un coup de foudre sans même en avoir conscience ! Corrin : N-Ne dis pas ça… Silas : Hum ? Mais… pourquoi tu rougis ? Corrin : À ton avis ? Silas : Oh… Écoute, je sais que tu es beaucoup trop bien pour moi. Restons au moins amis ? Même si je ne peux pas être avec toi, je veux continuer à me battre à tes côtés. Corrin : Tu n’as pas à t’inquiéter pour ça. Je… Je ressens la même chose que toi. Silas : Vraiment ?! Corrin : Oui. Depuis le jour où nous nous sommes retrouvés… Je ne me souvenais peut-être pas de qui tu étais, mais je me sentais attirée par toi. Au début, j’ai cru que c’était notre vieille amitié qui refaisait surface… Mais au fil du temps passé ensemble, je me suis rendu compte que ce n’était pas ça. En fait, pour moi aussi, ça a été une sorte de coup de foudre. Silas : Eh bien… pour une surprise… Ça veut dire que nous pouvons être un couple, tous les deux ? Corrin : Rien ne me ferait plus plaisir. Nous serons ensemble… pour l’éternité. Silas : J’y compte bien ! Je ne laisserai jamais plus personne nous séparer ! Je t’ai toujours considérée comme ma meilleure amie, mais tu es bien plus que ça, à présent. Je t’aime et c’est un honneur de vivre à tes côtés. Je promets de ne plus jamais te quitter.
Dernière édition par Sheezune le Lun 23 Mai - 21:34, édité 1 fois | |
| | | Lord Sephiran
Messages : 2151 Age : 35
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Lun 23 Mai - 20:42 | |
| Juste un message pour féliciter les contributeurs Je ne lis pas tout pour éviter le spoil mais c'est du bon boulot ! | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Lun 23 Mai - 21:28 | |
| Merci Lord Sephiran. J'adore faire les soutiens dans les Fire Emblem en général (ça enrichit tellement les personnages... et certains sont assez amusants ) donc ça ne me dérange pas de poster ceux que j'ai fait ici. | |
| | | Other M
Fe préféré ? : Genealogy of the Holy War Messages : 20 Age : 70
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Lun 23 Mai - 22:09 | |
| On est loin du niveau des 7, 8 et 9 mais ça sauve les meubles après Awakening. Soren62, Sheezune ; dites-moi, histoire que j'anticipe, vous comptez faire qui après ? Je me réserve Azama & Azura ainsi que ceux que j'ai posté en page précédente. | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Lun 23 Mai - 23:55 | |
| Ah les personnages de Fire Emblem 9 c'était quelque chose.... Mais les personnages de Fates m'ont l'air bien mieux que ceux d'Awakening pour le moment (bon après je ne sais pas encore ce que ça donne du côté Nohr et j'en suis encore qu'au chapitre 8 d'Héritage donc bon...). Soutiens que je prévois de faire : - Corrin (féminin) & Subaki - Corrin (féminin) & Orochi - Orochi & Saizo - Orochi & Silas - Orochi & Rinkah - Orochi & Kaze - Orochi & Subaki - Jakob & Hana Entre autres... En gros les soutiens qu'on a avec les personnages dont on dispose avant le chapitre 8 (sauf le Silas & Hana que tu comptes faire ). | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Mar 24 Mai - 2:57 | |
| Orochi & Saizo - Spoiler:
Soutien C Saizo : Vous êtes fin prête pour le combat, Orochi. Qui est votre proie ? Orochi : Vous. Saizo : Oh ? Et qu’ai-je bien pu faire pour mériter cela ? Orochi : Être vous-même. Saizo : Alors, je vous ai offensée toute ma vie ? Orochi : Oui. Vous avez toujours eu une attitude détestable. Saizo : Moi ? Mais qui êtes-vous pour me reprocher cela ? Orochi : Vous voyez, c’est exactement ce que je veux dire : irritable, collet monté, arrogant... Saizo : Continuez. Je n’ai rien d’autre à faire que de vous écouter pour le moment. Orochi : Comment pouvez-vous ignorer ce que l’on dit de vous ? Les femmes en particulier. Saizo : Oh, à présent, vous avez toute mon attention. Orochi : Vous semblez détester tout le monde, Saizo, même ceux qui sont de votre côté. Les femmes de l’armée vous comparent, Kaze et vous, au jour et à la nuit ! Saizo : De mieux en mieux. Est-ce que les femmes n’ont rien d’autre à faire que de jaser ? Je suis peut-être comme la nuit, un nuage d’orage, un ciel de plomb, peu m’importe. Orochi : Endurci jusqu’à la moelle… C’est votre dernière chance, améliorez vos manières, ou je m’en occuperai moi-même ! Saizo : Faites comme bon vous semble. Orochi : Saizo, je ne plaisante pas ! Je vous connais depuis longtemps, vous et vos secrets ! Soutien B Orochi : Mais qui voilà… L’incarnation de l’arrogance et du sarcasme ! Saizo : Je vois que vous vous êtes déjà armée de vos critiques les plus… acerbes. Orochi : Réglons ça. Vous ne disparaîtrez pas dans un nuage de fumée cette fois. Saizo : Allez-y. Vous rompre aux insultes vous est plus utile que de vous entraîner au combat. Orochi : C’est exactement le genre de sarcasme dont je parle ! Vos mots ternissent tout ! Saizo : Je dis ce que je pense. En avons-nous fini ? Orochi : N-Non. Rappelez-vous, j’ai dit que je prendrais l’affaire en main si vous ne changiez pas. Eh bien, le moment est venu. Saizo : Hein, quoi ? Orochi : Vous êtes arrivé au château Shirasagi avec votre père quand vous étiez enfant. Vous deviez vous entretenir avec le roi Sumeragi. C’était notre première rencontre. Saizo : Oui. Et alors ? Orochi : Je me suis présentée comme divinatrice afin de pouvoir lire votre avenir. J’ai prédit des choses effroyables, que le désastre frapperait à votre porte. Vous aviez une frousse bleue, vous vous rappelez ?! Vous en avez même pleuré. Saizo : N’importe quel enfant aurait pleuré en entendant de telles prédictions. Orochi : Oui, mais qu’en serait-il si je colportais cette histoire ? Comme vous le disiez tantôt, les femmes aiment jaser ! Saizo : V-Vous n’oseriez pas ! Orochi : Mais si ! Et j’ai d’autres rumeurs à répandre. Alors, allez-vous changer de comportement ? Saizo : Je… Je… Peu importe. Je vais réparer les dégâts que vous avez causés, sorcière ! Orochi : Euh, Saizo ? Revenez ! Hé hé. Comme je le pensais. Le puissant Saizo a un point faible. Qu’il est mignon ! Soutien A Saizo : Orochi ! Orochi : Hiii ! Saizo, vous m’avez fait peur ! Vous avez l’air furieux. Oh, laissez-moi deviner… Saizo : Vous m’avez menti ! Orochi : Moi, mentir ? Saizo : Vous avez déclaré avoir ébruité la rumeur sur l’incident de mon enfance. Celui durant lequel j’ai éclaté en sanglots quand vous m’avez lu l’oracle. Je suis parti expliquer à tout le monde que je n’étais qu’un enfant à l’époque ! Devinez ce qu’on m’a répondu ?! Orochi : Qu’ils n’ont jamais entendu parler d’un tel incident ? Hé hé. Je savais que ça allait se passer comme ça. Saizo : Grr… Vous m’avez manipulé pour que je raconte cette histoire moi-même. Je ne vous le pardonnerai jamais. Orochi : Du calme, Saizo. Je n’ai jamais dit avoir colporté cette histoire. Vous êtes désagréable avec tout le monde, mais je ne dirais jamais du mal des gens. C’était seulement une idée. Vous avez fui avant que je puisse développer. Saizo : Vous jouez franc jeu avec moi, n’est-ce pas ? J’ai cru que j’étais tombé dans un piège. Je vous connais pourtant… Vous êtes désinvolte, mais pas malicieuse au point de saboter une réputation. Orochi : Je n’irais pas si loin. La vipère que je suis sait où et quand frapper. Mais je ne m’attaquerais jamais à mes alliés. Voilà ce qui arrive quand vous laissez parler votre colère, Saizo. Vous vous rendez inaccessible et pensez que les autres agissent comme vous. Votre avenir sera vraiment funeste si vous traitez vos amis comme des ennemis ! Saizo : Attendez, Orochi. Est-ce encore une de vos prédictions ? Est-ce que c’est vrai ? Orochi : Non, juste l’avertissement d’une amie. Saizo : Je vais méditer là-dessus, Orochi. Peut-être suis-je trop strict. Donnez-moi du temps. Orochi : C’est tout ce que je demande. Éloignez-vous de l’abîme avant d’y tomber. Soutien S Orochi : Bonjour, Saizo. Saizo : Tiens, n’est-ce pas Orochi, alias la vipère ? Qu’y a-t-il ? Vous avez perdu vos crocs ? Orochi : Ce ne sont pas des salutations très polies mais au moins l’avez-vous noté. Saizo : Noté quoi ? Que quelque chose n’allait pas ? Orochi : Précisément. Je vous dois des excuses. Saizo : Est-ce à propos de l’incident où vous m’avez dupé… Enfin, dupé en me faisant raconter à tous que j’avais eu peur de vos prédictions ? Vous essayiez de me faire reconnaître mes erreurs. J’ai tourné la page. Orochi : C’est très bien, mais à propos de cette prédiction quand vous étiez jeune… Saizo : Quoi ? N’en parlons plus. C’était il y a longtemps. Orochi : J’y ai repensé… J’ai dit que le désastre frapperait à votre porte. Je me suis rendu compte que j’ai averti la mauvaise personne. Ce n’était pas vous. Saizo : Quoi ? Mais alors qui ?! Orochi : Je pense que vous savez. Votre père. Je ne sais pas comment j’ai pu me tromper à ce point, je suis désolée, Saizo. Saizo : Je vois…Ne soyez pas trop dure avec vous-même, nous étions tous deux enfants. Je ne lui ai jamais parlé de cette prédiction, j’avais trop peur. Est-ce qu’un enfant ne devrait pas dire à son père quand il a peur ? Si seulement… Orochi : Nous ne savons pas si nous aurions pu le sauver, Saizo. Saizo : Mais je sais une chose, vous avez toujours veillé sur moi. Vous m’êtes précieuse, Orochi, plus que vous ne vous en doutez. Orochi : Eh bien je le sais, maintenant, c’est tout ce qui compte. Saizo : Non, vous ne me comprenez pas. Ce que je veux dire, c’est que… Orochi : Attendez, ne me dites pas que… Saizo : Si ! Je ne peux pas me détourner de mes sentiments plus longtemps. Une femme qui tient tant à un idiot arrogant et fier… Vous êtes un trésor inestimable. Orochi : Tiens donc ? Il serait temps que vous vous en rendiez compte. Vous vous brûleriez si nul ne veillait sur vous quand vous êtes près de l’âtre. Saizo : C’est pourquoi je suis heureux que vous soyez là pour me tenir hors de danger. Orochi : Nous formerions un beau couple. Peut-être. Mais je sais d’autres choses à votre sujet. Comme ce qui s’est passé entre vous et ma meilleure amie. Saizo : Quoi ? Vous avez utilisé vos pouvoirs pour… Orochi : Seulement le pouvoir de l’amitié. Kagero et moi sommes proches. Bien sûr, elle m’en a parlé il y a longtemps. Vous étiez ensemble, puis vous vous êtes séparés. Fin. Saizo : Le passé est derrière nous. Orochi : Pas besoin de regarder derrière soi. Alors, voyons où cela nous mène, Saizo ! Saizo : Vraiment ? Alors je ferai tout pour être digne de vous, Orochi !
Corrin (féminin) & Subaki - Spoiler:
Soutien C Subaki : Haa ! Yaaah ! Corrin : Quelle énergie, Subaki. Subaki : Ah, Dame Corrin. Qu’est-ce qui vous amène ? Êtes-vous venue étudier quelques-unes de mes fabuleuses techniques de combat ? Corrin : Non, je passais simplement par là. Je ne voulais pas interrompre votre entraînement. Subaki : Aucun problème ! Vous pouvez vous asseoir et me regarder faire, si vous le souhaitez. Personne ne m’égale dans le maniement des armes, vous savez. Il se peut qu’une de mes techniques vous soit utile sur le champ de bataille. Corrin : En effet, c’est tout à fait possible. J’aimerais avoir votre dextérité au combat. Chacun de vos mouvements semble calculé. Subaki : Voudriez-vous vous entraîner avec moi ? C’est le meilleur moyen de s’améliorer. Corrin : Vraiment ? Cela ne vous dérange pas ? Subaki : Pas le moins du monde ! Je ferais n’importe quoi pour la sœur de Dame Sakura ! En plus, je maîtrise tous les types d’armes. Je saurai répondre à vos coups sans difficulté aucune. Grmblr. Corrin : Subaki ? Vous avez entendu ? Subaki : N-Non, je n’ai r-rien entendu ! Votre imagination vous joue des tours… Grrmlbrr. Corrin : Là ! Ce bruit-là ! Par tous les dieux, mais d’où cela vient-il ? Subaki : Grmblr. Corrin : Subaki… Serait-ce votre estomac qui crie famine ? Subaki : Eh… Eh bien… Corrin : Je suis désolée de ne pas avoir remarqué plus tôt que vous aviez faim. Et si nous allions manger quelque… Subaki : Non, non, vous vous méprenez ! Je m’entraînais simplement à faire du bruit avec mon estomac pour distraire l’ennemi. Corrin : Vraiment ? Vous êtes pourtant rouge comme une pivoine. Subaki : Aaah… Quel déshonneur. Corrin : Comment ? Allons, ne dramatisez pas. Cela arrive à tout le monde de gargouiller. Ne soyez pas aussi exigeant envers vous pour une chose aussi insignifiante. Subaki : Non, j’avais toujours parfaitement réussi à éviter ce genre d’échec. Cela signifie que je me suis relâché ! Dame Corrin. Pourrions-nous nous entraîner une autre fois ? J’ai tellement honte… À la revoyure ! Corrin : Il s’est enfui… Je ne pensais pas que ça le toucherait autant… Soutien B Corrin : Subaki ! Subaki, vous êtes là ? Subaki : Miam, miam. Ah, Dame Corrin ! Bonjour ! Que se passe-t-il ? Crounch, crounch. Corrin : La rumeur était donc fondée ! Subaki : Miam, miam. De quelle rumeur parlez-vous ? Corrin : On dit que vous n’arrêtez pas de manger ! Personne ne vous voit plus sans nourriture dans le gosier. Cela m’inquiétait, c’est pourquoi je suis venue vous trouver. Et j’ai l’impression que les gens avaient raison… Subaki : Ne vous inquiétez pas pour si peu, vraiment. Corrin : Oh que si ! Vous êtes mon compagnon d’armes. Nous veillons l’un sur l’autre. Votre comportement aurait-il rapport avec la fois où je vous ai entendu gargouiller ? Subaki : … Corrin : J’en étais sûre. Subaki : Écoutez, c’est le seul moyen de m’assurer que mon ventre ne gronde plus. Je n’ai pas faim si je mange tout le temps. Corrin : Vous ne pouvez pas continuer à vous empiffrer de la sorte ! Ce n’est pas sain. Vous allez devenir énorme et ne pourrez plus vous entraîner convenablement. Ce n’est pas ce que vous voulez, n’est-ce pas ? Subaki : Aucun souci de ce côté-là. J’ai calculé la quantité de nourriture qu’il me faut pour rester parfaitement en forme. Corrin : Mais… Je suis quand même inquiète. Subaki : Veuillez me pardonner. Ce n’était nullement mon intention. Si cela vous chagrine à ce point, j’arrête. Corrin : Tant mieux. Je préfère ça. Subaki : Mais que devrais-je faire ? Je ne pourrais supporter que l’on m’entende à nouveau… gargouiller. Corrin : Pourquoi cela vous ennuie-t-il autant ? Personne ne vous jugera jamais pour une chose aussi triviale. Subaki : Ce n’est pas un sujet dont je peux vous parler, Dame Corrin. Si vous voulez bien m’excuser ! Corrin : Il est encore parti… Je ferais mieux de le suivre. Qui sait quelle folle idée il a en tête, maintenant. Soutien A Corrin : Bonjour, Subaki. Subaki : Puis-je vous aider, Dame Corrin ? Corrin : Quelque chose me dit que vous cherchez encore un moyen de ne plus gargouiller. Subaki : Vous avez raison. Malheureusement, je n’ai toujours rien trouvé. Corrin : Je pense vraiment que vous ne devriez pas autant vous en faire. Ce n’est pas grave si votre ventre gronde. Subaki : Merci, Dame Corrin. Mais je ne peux pas m’en empêcher. Corrin : Hum… Très bien. Alors laissez-moi vous aider ! Subaki : Comment ça ? Corrin : Si ce problème vous trouble à ce point, je vais vous aider à trouver une solution. Je ne peux pas vous laisser vous torturer l’esprit comme vous le faites ! Subaki : C’est impossible, je ne peux pas accepter ! Corrin : J’étais avec vous quand tout a commencé. Alors je ne vais pas vous laisser tomber maintenant. Subaki : Dame Corrin… Très bien. Mais c’est vraiment parce que vous insistez. Personne… Personne ne s’est jamais comporté de la sorte avec moi. Corrin : Que dites-vous ? Subaki : Je ne supporte pas d’échouer en public. Mon but dans la vie est d’être parfait en toute circonstance. J’ai du mal à l’admettre, mais il m’arrive, très rarement, de commettre des erreurs. Et j’ignore comment réagir dans ces cas-là. Corrin : Vraiment ? Subaki : Oui, mais c’est très, très, très rare, vous savez. Corrin : Il est vrai qu’il n’est pas toujours évident d’exposer ses faiblesses aux autres. Mais je vous promets que je ne me moquerai pas de vous. Je veux vous aider. Subaki : Je ne suis pas vraiment du genre à demander de l’aide. C’est le souci quand on vise la perfection. On cherche à tout faire seul. Mais je suis très heureux d’avoir trouvé quelqu’un sur qui me reposer. Corrin : Vous aviez seulement besoin d’un confident, voilà tout. Subaki : Vous avez sûrement raison ! Alors, Dame Corrin… Maintenant que vous savez comment je fonctionne, je compte sur votre aide. Corrin : Je suis là pour vous, Subaki. Subaki : Parfait ! Alors trouvons un moyen d’empêcher mon ventre de gargouiller ! Je me suis dit que le problème venait peut-être de mon trop grand appétit. Alors je pensais manger uniquement des aliments bien consistants. J’ai d’ailleurs déjà quelques échantillons ! Je cours les chercher ! Corrin : Subaki, attendez ! Hé hé ! Au moins, il a retrouvé sa bonne humeur ! Soutien S Subaki : Bonjour, Dame Corrin. J’espère que je ne vous dérange pas. Corrin : Bonjour, Subaki. Pas du tout. Êtes-vous venu chercher d’autres conseils ? Je pensais que nous avions enfin trouvé un moyen d’empêcher vos gargouillements. Subaki : Oui, et d’ailleurs, merci pour votre aide. Corrin : Je vous en prie. Vous avez trouvé la solution tout seul, finalement. Il n’y a vraiment que vous qui puissiez y arriver juste en contractant vos muscles. Subaki : Hé hé… C’est vrai que c’était plutôt bien trouvé de ma part. Corrin : C’était une excellente idée. Au fait, que vouliez-vous me demander ? Subaki : J’ai besoin d’un conseil pour un problème que je ne peux résoudre seul. Corrin : Ah oui ? Et vous pensez que je peux vous y aider ? Subaki : Pour être tout à fait honnête, je pense que vous êtes la seule à pouvoir y arriver. Corrin : Vraiment ? Subaki : Eh bien, voilà… Dame Corrin, je vous aime. Corrin : Q-Quoi ?! Subaki : Votre réaction ne me surprend guère. J’ai caché si parfaitement mes sentiments. Mais cela n’est plus nécessaire dorénavant. J’avais besoin de vous avouer mon amour. Corrin : Subaki… Subaki : Nombreux sont ceux qui admirent la perfection que je représente. Mais vous êtes la seule à vous être penchée sur un de mes défauts. Je ne crains pas de vous montrer mon véritable moi, celui qui n’est pas parfait. Vous dévoiler mes faiblesses me rend plus fort. Corrin : Oh, Subaki… Je… En fait… Je vous aime, moi aussi. Subaki : V-Vraiment ? Corrin : Oui. Ensemble, nous pouvons devenir bien plus forts. Subaki : Dame Corrin… Merci ! Je suis un homme comblé ! Corrin : Et moi, une femme comblée. Subaki : Ma douce, vous êtes la perfection incarnée. Et ensemble, nous sommes un couple parfait…
Kaze & Saizo - Spoiler:
Soutien C Kaze : Mon frère… As-tu un moment à m’accorder ? Saizo : Ah, bonjour, Kaze. Que puis-je pour toi ? Kaze : Tu as travaillé pendant des années sans relâche pour venger la mort de notre père… Puis-je… Puis-je te demander pourquoi ? Saizo : Comment cela ? Kaze : Je comprends bien évidemment ton dévouement à cette cause… Mais cela semble t’obséder. Je me demande juste s’il n’y a pas une autre raison… Saizo : Je ne vois pas de quoi tu parles. Kaze : Qu’y a-t-il de plus que la vengeance ou ton devoir de protéger Messire Ryoma ? Tu as toujours soif de sang. Tu ne vaincs pas tes ennemis. Tu les extermines ! Quelle raison pousse mon frère à massacrer ses ennemis avec un tel acharnement ? Saizo : Merci de t’inquiéter pour moi. Tu es un frère attentionné, Kaze. On dirait que je n’ai que la vengeance et Messire Ryoma dans ma vie, en effet. Mais comme tu le dis… Autre chose entretient peut-être ma fureur. Kaze : C’est bien ce que je pensais. Saizo : Mais tu n’as pas à t’en faire. Ça ne te concerne pas. N’y pense plus. Au revoir. Kaze : Saizo… Soutien B Saizo : Kaze ? Tu me barres le chemin. Écarte-toi, s’il te plaît. Kaze : Non, mon frère. Je suis là pour te provoquer en duel. Saizo : Je te demande pardon ? Kaze : Je pense sans arrêt à ce dont nous avons parlé l’autre jour. Tout cela pèse lourdement sur ton cœur. Tu dois t’exprimer et t’en débarrasser. Je te défie donc. Si je gagne, tu m’avoueras ce qui te trouble à ce point. Saizo : Tu sais que tu ne peux pas gagner. À moins que tu aies quelques tours dans ton sac ? Kaze : Non, je sais très bien à quoi je m’expose. Mais ma décision est prise. Je dois savoir ce qui te pèse, quoi qu’il en coûte. J’irai jusqu’au bout pour t’aider, mon frère. Saizo : Rengaine ta lame. Je vais te le dire. Kaze : Très bien. Voilà. Je t’écoute… Saizo : Un jour, j’ai infiltré Mokushu, croyant qu’ils avaient un rapport avec la mort de Père. Et mes soupçons étaient fondés. J’ai trouvé la preuve que c’était un ninja mokushujin qui l’avait assassiné. Mais je n’ai pas réussi à me venger de son meurtrier, et j’y ai perdu un œil. Kaze : Mon frère… Pourquoi avoir gardé le secret si longtemps ? Saizo : Tu n’étais pas au village quand je suis rentré à ce moment-là. Tu étais en mission. Et je ne pouvais avouer à personne d’autre qu’un Mokushujin m’avait blessé. Kaze : Je ne comprends pas. Pourquoi n’as-tu pas partagé tes découvertes avec les autres ? Saizo : J’aurais pu. Mais j’étais blessé. C’était un souvenir constant de mon échec cuisant. J’avais échoué à venger notre père. Je n’étais pas assez fort. Je n’ai jamais ressenti une telle honte de toute ma vie ! Kaze : D-Désolé, mon frère. Je ne voulais pas réveiller de vieilles blessures. C’était idiot de ma part de penser qu’en parler t’aiderait… Saizo : Ce n’est pas un secret que je protégeais. Je préservais juste ma ridicule fierté. Je pensais que si personne ne connaissait cette histoire… Kaze : Mais tu as fini par la partager avec moi. Te sens-tu mieux, à présent ? Saizo : Comme je le disais, tu me barres le chemin. Écarte-toi, je te prie. Kaze : B-Bien sûr, mon frère… Pff… Soutien A Kaze : Saizo ? Je voulais reprendre notre discussion là où nous l’avions arrêtée. Saizo : Le passé appartient au passé, Kaze. Laisse les vieilles cicatrices tranquilles. Kaze : Ce n’est pas pour ça que je suis là. Je ne suis pas venu remuer le couteau dans la plaie, mais pour m’excuser. Saizo : Pourquoi ? Tu n’as eu aucun rôle dans cette histoire. Kaze : Si, un peu. Aussi loin que je m’en souvienne, tu as toujours cherché à venger notre père. Tout notre clan avait renoncé, alors tu as poursuivi cette mission… seul. Tu n’as pas non plus eu mon soutien. Je ne vaux pas mieux que les autres. Saizo : Je ne te l’ai pas demandé. Tu n’as rien à te reprocher. Cette honte est la mienne. Kaze : Quelque part, oui. La cicatrice sur ton visage le prouve, c’est vrai. Saizo : … Kaze : Mais cette honte, tu ne devrais pas la porter seul. Tous les habitants d’Igasato devraient partager cette culpabilité avec toi… Saizo : Kaze, je… J’en perds mes mots. Kaze : Quand je disais que je venais m’excuser… C’est pour t’avoir obligé à porter seul ce fardeau pendant trop longtemps. Mais tous, en Igasato, jurons à présent d’être l’œil de Saizo, cinquième du nom ! Saizo : Tu m’honores, mon frère. J’accepterai ton aide en toute circonstance avec plaisir.
Corrin (féminin) & Orochi - Spoiler:
Soutien C Corrin : Vous avez un moment, Orochi ? Orochi : Je vis pour vous servir, Dame Corrin. Corrin : Je me demandais si vous pouviez m’en dire plus sur ma mère. Orochi : Dame Mikoto… une femme remarquable. Je serais enchantée de partager mes souvenirs d’elle. Corrin : Je n’ai que peu connu ma mère. Si peu de temps… Et tout ça, à cause de… Hum. Pouvez-vous me raconter quelques histoires la concernant ? Orochi : Croyez-moi, elle ne vous aurait jamais blâmée pour l’incident qui a causé sa mort. Elle serait attristée de vous voir vous le reprocher, Dame Corrin. Voyons, quelle histoire pourrais-je vous raconter… ? Il nous en faut une drôle ! Corrin : Elle semblait si gracieuse. Vous connaissez des détails amusants à son propos ? Orochi : Oh, elle était hilarante. Une fois, elle s’est même baignée avec ses chaussons aux pieds ! Elle aurait oublié sa tête ! On aurait pu croire qu’elle était étourdie. Mais non… Elle était seulement rêveuse. Et si Dame Mikoto avait ses absences, on l’aimait pour ça. Corrin : S’il vous plaît, continuez. Orochi : Une fois, elle est restée assise en tailleur pendant des heures. À tel point qu’à la fin, elle avait les jambes tout engourdies ! Ensuite, quand elle a voulu se lever devant la cour, elle est tombée dans la fontaine ! Corrin : J’aurais aimé être là. Euh, au moins pour l’aider à sortir de l’eau. Orochi : Votre mère était unique, sa sagesse n’avait d’égale que sa maladresse. Elle avait une voix très douce, mais ce qu’elle disait… Honnêtement, elle était d’une drôlerie ! Corrin : Merci, Orochi. C’est exactement ce que j’avais besoin d’entendre. Soutien B Orochi : Bonjour, Dame Corrin. Corrin : Oh, Orochi ! Merci d’avoir partagé ces histoires sur ma mère, l’autre jour. Orochi : Je crains d’avoir fait d’elle une folle. C’est loin de la vérité. Corrin : Pas du tout. Vous avez révélé une facette d’elle que je n’aurais pu connaître. Orochi : Mais elle en avait d’autres. C’était un vrai joyau. Je voudrais vous parler de sa gentillesse. Corrin : Je suis tout ouïe. Orochi : Elle avait la bonté de me traiter avec le plus grand respect. Je suis issue d’une longue lignée de devins royaux. Mais nous avons toujours été très mal considérés. Corrin : Je n’arrive pas à y croire. Vraiment ? Orochi : Nous, les devins, prédisons le bon comme le mauvais, ce qui nous rend impopulaires. Corrin : C’est injuste. Dire la vérité, et être blâmés pour ça ? Orochi : En effet. Mais mon destin a changé quand j’ai rencontré Dame Mikoto. Elle m’a traitée comme sa propre fille. Peu importe mes prédictions. Corrin : Une âme rare, pour sûr. Orochi : Des plus rares ! Une fois, j’ai vu des ennemis à l’extérieur du palais… Je me suis précipitée sur eux pour les combattre, mais j’ai été blessée. Elle a pleuré à mon chevet cette nuit-là, et les nuits qui ont suivi. Quand je suis allée mieux, Dame Mikoto m’a dit de ne plus jamais partir toute seule. Pour s’en assurer, elle a fait de moi l’une de ses vassales. Corrin : Elle avait l’air d’être une personne exceptionnelle. Orochi : Dame Mikoto était si gentille, sa présence était comme un soleil pour moi. Corrin : Un beau souvenir. Merci de l’avoir partagé. Orochi : Je vous en prie. Et maintenant si vous voulez bien m’excuser, Dame Corrin... Je n’ai pas d’autres souvenirs qui me reviennent pour le moment. Soutien A Orochi : Ah, Dame Corrin. Puis-je partager un dernier souvenir de votre mère ? Corrin : Bien sûr. Vos histoires sont aussi précieuses que des perles, Orochi. Orochi : Je vous l’ai dit, elle avait plusieurs facettes. Amusante, gentille, sage, brillante… Mais aussi sombre. Corrin : Oh ? Orochi : Elle brillait toujours d’une façon ou d’une autre, en public. Mais quand je la trouvais seule, il y avait une ombre sur son visage… Elle traversait des périodes de tristesse et je crois qu’elle pensait toujours à… Corrin : Moi. Orochi : Oui, ou du moins, c’est ce que je crois. Elle souffrait de la perte de sa chère fille. Devant ses sujets et à la cour, elle brillait comme le soleil. Pourtant, devant Kagero et moi, elle n’avait pas peur de montrer ce visage troublé. Corrin : Ma pauvre mère… Orochi : Je ne savais pas si je devais vous le dire. Ce n’est pas vraiment un souvenir heureux. Et pourtant, dans un sens, ça l’est. Cela illustre à quel point vous lui manquiez. Corrin : Merci, Orochi. Je crois que personne ne connaissait mieux ma mère que vous. Cette histoire m’aide à la comprendre. L’amour se cache même dans les ténèbres. Je dois faire le nécessaire pour protéger ceux qui lui étaient chers. Orochi : Je sais qu’elle aurait été heureuse d’entendre ces mots. Corrin : Vous étiez parmi ceux qui comptaient le plus pour elle, Orochi. Orochi : Peut-être. Quoi qu’il en soit, je l’aimais profondément. Elle était comme une mère pour moi. Alors bien sûr, je me sens proche de vous. J’espère que je n’en ai pas trop dit. Corrin : Bien sûr que non, Orochi. Je vous remercie du fond du cœur. Orochi : Je vous en prie.
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Mar 24 Mai - 19:11 | |
| Hana & Saizo - Spoiler:
Soutien C Hana : Arf… Mon estomac… J’ai une faim de loup. Je n’aurais pas dû sauter le petit-déjeuner et le déjeuner pour m’entraîner… Ah, je sais ! Je n’ai qu’à demander à quelqu’un de partager son repas avec moi ! Hé ! Saizo ! Saizo : Quoi ? Hana : Je suis affamée… Tu n’aurais pas quelque chose pour me couper la faim ? Saizo : Si tu as si faim que ça, va donc au mess. Hana : Mais c’est tellement loin ! Je ne pourrais pas tenir jusque-là… Saizo : Je suis sûr que si. Hana : Mais tu n’en sais rien ! Et si je meurs en route ? Saizo : Ton petit jeu aura peut-être son effet sur d’autres, mais c’est peine perdue avec moi. Hana : Pourquoi est-ce que ça ne marcherait pas sur toi ? Saizo : Parce que je ne suis ni le plus gentil ni le plus empathique de nous tous… Hana : Saizo, de quoi est-ce que tu parles ? Tu t’imagines que c’est une compétition ? Avec une hiérarchie de la gentillesse ? On forme une équipe ! L’entraide est nécessaire… C’est pourtant simple ! Saizo : … Pff. Peu importe. Voilà. Je n’ai que ça. Hana : Génial ! Tu vois, tu as quelque chose ! Voyons voir… C’est quoi ? Un baozi ? Saizo : Oui. J’en ai toujours sur moi. Ça n’a pas de goût, mais au moins ça remplit l’estomac. Hana : Voyons voir… Miam miam ! Mmh ! C’est très bon. Saizo : Ah bon ? Ce n’est pourtant pas terrible… Hana : Pfiou… J’en avais bien besoin ! Merci beaucoup Saizo, tu m’as bien aidée. Saizo : De rien. Soutien B Hana : Oh, le voilà ! Saizo ! Saizo ! Saizo : Hana, j’entends encore très bien. Pas besoin de hurler comme ça. Hana : Tu te souviens de ce que tu m’as donné l’autre jour ? Ce petit pain farci ? Tu as dit en avoir toujours sur toi, je peux en avoir un autre ? Saizo : Hein ? Ça t’a plu à ce point ? Je t’ai pourtant dit que je n’utilisais ça que parce que c’est compact et nourrissant. Pour ce qui est du goût, c’est sûrement l’une des pires choses que j’ai mangées… Hana : Ah bon ? Mais c’est si tendre et savoureux ! J’adore ça ! Ça a la texture des mochi et… un arrière-goût de poisson, c’est ça ? Saizo : C’est une recette à base de riz gluant et de miettes de poisson, oui… Mais le but n’est pas d’en faire quelque chose de bon. Hana : Eh bien je trouve ça plutôt bon, moi… Saizo : Je n’ai jamais entendu personne dire ça de mes baozi. Hana : C’est sûrement un problème avec tes papilles ! Je vais dire aux autres d’essayer. Saizo : Je ne pense pas que ce soit une bonne idée… Hana : Pourquoi pas ? Je pense au contraire qu’ils seraient furieux de savoir que tu gardes ça pour toi. Alors, je peux en avoir un autre ? S’il te plaît ? Hein ? Saizo : Bon. Mais c’est le dernier, je n’en ai plus. Hana : Ça marche ! Merci Saizo ! Je te revaudrai ça. Saizo : Pfiou… Je n’arrive pas du tout à cerner cette fille. Soutien A Hana : Oh, Saizo ! Hé, Saizo ! Saizo : Il me semble t’avoir déjà dit de ne pas hurler. Je t’entends très bien. Hana : Hé hé… Désolée. Saizo : Qu’est-ce que tu veux, Hana ? D’autres bao ? Hana : Non, je n’ai pas très faim. Mais je t’ai dit que je te revaudrais ta gentillesse, non ? Eh bien… Je ne savais pas comment j’allais le faire… Alors je me suis dit que je ferais aussi bien de te demander directement ce que tu veux. Saizo : Je n’ai besoin de rien. Je n’ai fait que te donner des restes de notre dernière bataille. Hana : Mais c’est ma réputation de samouraï qui est en jeu ! Je dois payer ma dette ! Je trouverai un moyen, tu verras ! Saizo : Je t’ai dit que tu n’avais aucune dette à payer ! Et tu es en train de m’agacer avec tes jappements incessants. Hana : Oh… Je t’agace, hein ? Alors je vais continuer à parler jusqu’à ce que tu me dises ce que tu veux ! Saizo : Je ne crois pas que j’apprécierais. Hana : Sans blague ? Tu auras du mal à te faufiler partout, avec tout ce bruit… Alors, qu’est-ce que tu préfères ? Saizo : Tu cherches à me vexer ou à me faire plaisir ? J’ai du mal à comprendre. Hana : À te faire plaisir, voyons. Tu n’es pas content que je te propose quelque chose ? Saizo : … Grmpf. Bon. Je cède. J’aurai trouvé quelque chose lorsque nous nous reverrons. Maintenant, laisse-moi. Hana : Parfait ! Essaie de trouver quelque chose qui soit à la hauteur, Saizo ! Saizo : Par tous les dieux… Ma raison menace de céder à chaque fois que je lui parle… Mais… Ce n’est pas la pire des sensations. C’est même… plutôt agréable. Soutien S Saizo : Hana. Hana : Oh, salut Saizo. Ça va ? C’est drôle, d’habitude c’est plutôt moi qui viens te trouver. Saizo : Justement. Pourquoi est-ce que tu ne viens plus me voir ? Hana : Oooh… Je t’ai manqué ? Saizo : Non, ça n’a rien à voir ! Mais… tu venais sans cesse réclamer ma nourriture, et puis tu as disparu d’un coup. Je me suis inquiété. J’ai pensé qu’il t’était arrivé quelque chose. Hana : Tu étais inquiet pour moi ? C’est mignon. Je pensais simplement que je t’énervais avec toutes mes visites… Saizo : Que tu m’énervais ? Hana : Tu as dit que je t’agaçais ! Et que mes « jappements » perturbaient ta concentration… Saizo : Oui. J’ai dit quelque chose comme ça… Hana : Je me suis donc dit que ce serait plus simple si j’arrêtais de t’ennuyer avec ça. Saizo : Eh bien… Je ne pensais pas que tu étais capable d’introspection… Hana : Ce n’est pas gentil ! Je suis peut-être un peu lourde, mais je reste un samouraï ! Je sais comment me comporter quand il le faut. Saizo : Tu as raison. Excuse-moi. Hana : Pff… Avec une attitude pareille, je me demande si tu mérites ma récompense. Ce qui me fait penser que j’avais oublié que je te devais quelque chose. Alors ? Tu as une idée de ce que tu veux ? Saizo : Oh, eh bien… hum. C’est bien plus dur que n’importe laquelle de mes missions… J’aimerais… nous donner… une chance. Hana : Nous… ? Attends, tu te paies ma tête ? Saizo : Je ne plaisante presque jamais. Je pensais que tu allais me rendre fou, mais en fait, c’est quelque chose d’autre. Ton amabilité… Ta franchise… Tout ça est très… nouveau. Et… plaisant ? Hana : Oh, ouah… Merci Saizo. Je suis bien contente que tu aies dit quelque chose. J’ai moi aussi des sentiments pour toi, tu sais… Saizo : Vraiment… ? Hana : Mais je ne pense pas qu’un de tes baozi suffise à sceller notre relation… Saizo : Quelque chose d’autre alors ? Qu’est-ce que tu aimerais ? Hana : Plein de baozi, bien sûr ! Tu comptes m’en donner d’autres, hein ? Saizo : Oh… ça. Oui, tu auras tous les baozi que tu veux, si ça te chante. Hana : Alors je suis toute à toi, Saizo ! Saizo : Hé… Je crois que je dois faire des provisions de riz et de poisson. Je le ferai avec joie, si ça peut te faire plaisir. Je t’aime, Hana…
Orochi & Silas - Spoiler:
Soutien C Orochi : Aha ! J’ai fini par vous trouver. C’est vous, Silas, n’est-ce pas ? Je suis Orochi, la grande divinatrice d’Hoshido. Je vois tout. Silas : Si vous voyez vraiment tout, vous devriez savoir qui je suis et où me trouver, non ? Quoi qu’il en soit, je suis bien celui que vous cherchez : Silas, chevalier de Nohr. Mais trêve de bavardages. Qu’est-ce que vous me voulez ? Orochi : Oh, j’irai droit au but dans ce cas. On dit que vous connaissez bien Corrin. On dit aussi que vous êtes un bretteur impressionnant, Silas. C’est pourquoi je suis venue vous avertir. Silas : M’avertir ? Mais de quoi ? Orochi : J’ai vu… quelque chose de terrible. Soyez prudent lors de votre prochain combat. Silas : Quoi ?! Mais que va-t-il m’arriver ? Orochi : Quelque chose de terrible ! Silas : Terr… ? Oh, ha ha ha ! Vous avez failli m’avoir ! Mais je ne suis pas dupe de votre petit spectacle, Orochi. Certainement pas ! Orochi : Comme vous voudrez. Mais retenez bien mon avertissement ou vous vous en mordrez les doigts. Soutien B Silas : Orochi ! Regardez ! Pas une blessure, pas une coupure, pas même une égratignure ! Orochi : Et en quoi cela me concerne-t-il ? Silas : Vous avez dit que je devais être prudent lors de mon prochain combat ! J’ai foncé dans la mêlée et j’ai survécu. On dirait bien que vous vous êtes trompée ! Orochi : Et pourquoi cracher sur ma prédiction ? J’essayais juste de vous aider ! Silas : Mais je ne voulais pas vous froisser, juste signaler que ça ne s’était point réalisé. Orochi : Oh ?! Alors laissez-moi vous expliquer ! Ma prédiction était juste. Si vous êtes vivant, c’est parce que vous avez suivi mon conseil. Il suffit que vous ayez été un peu plus prudent que d’habitude. Silas : Mais non ! Vous réinterprétez les choses pour qu’elles aillent dans votre sens. Je ne tomberai pas dans le panneau encore une fois ! Orochi : Alors, je ne peux rien faire d’autre que vous prédire le prochain incident. Silas : Le prochain incident ?! Orochi : J’ai lu dans votre avenir. Quelque chose qui ne s’est jamais produit va vous arriver. Silas : Qui ne s’est jamais produit ? Mais quoi donc ? Orochi : Oh, maintenant, ça vous intéresse ? Alors rapportez-moi des herbes pour ma magie. Et je vous dirai ce que je sais. La première prédiction était gratuite. Silas : Gratuite ? Oh, ha ! Vous avez failli m’avoir encore une fois ! Orochi : Est-ce que j’ai l’air de plaisanter ? Silas : Non, mais ça ressemble à une escroquerie ! Vous effrayez les gens pour pouvoir leur vendre vos prédictions idiotes ! C’est de la manipulation ! Orochi : Comment pouvez-vous penser une telle chose ? Je suis dans votre camp ! Venant d’un citoyen de Nohr, j’aurais dû m’en douter. Silas : Je ne voulais pas vous offenser. Mais pourquoi cette situation se répète-t-elle à chacune de nos conversations ? Vos propos m’inquiètent, ça me contrarie et ça rejaillit sur vous. Alors, je vous en prie, cessez de me prédire l’avenir ! Orochi : Très bien. Soutien A Silas : Vous m’avez sauvé après le dernier combat, Orochi ! Je vous dois la vie. Orochi : Ce… Ce n’était rien du tout. Silas : Rien du tout ?! Vous plaisantez ? Au moment où je pensais le combat terminé… Un survivant m’a attaqué par derrière ! Vous avez bondi pour me sauver ! Orochi : Je l’avais prédit depuis longtemps. Je sais que vous ne croyez pas en mon talent. Mais je savais que vous alliez mourir si je n’intervenais pas. Silas : Et dire que je vous ai traitée d’escroc. Quel idiot ! Vous êtes héroïque, Orochi ! Orochi : N’en soyez pas si sûr, je pourrais quand même être un escroc. Silas : Alors escroquez-moi tant que vous voulez, Orochi ! Vous m’avez sauvé la vie ! Orochi : Hum. Vous êtes étrange, Silas. Mais bon, je pourrais m’y habituer. Vous êtes… urgh ! Silas : Qu’y a-t-il ? Êtes-vous blessée ? Orochi : Juste un peu sonnée, veuillez m’excuser, je vais m’appliquer de la glace sur la tête. Silas : Faites donc, Orochi. Je ne supporte pas l’idée que vous soyez blessée par ma faute ! Juste une chose avant que vous partiez… Pourquoi avez-vous accouru pour m’aider ? Orochi : Et pourquoi pas ? Silas : Je me suis comporté comme un rustre. D’une impolitesse sans égal. Orochi : Oui. Mais savez-vous comment j’ai su qu’un destin funeste vous attendait ? J’ai ressenti la même chose juste avant que Son Altesse Mikoto ne rencontre le sien. Silas : Oh, non… Orochi : Oui, mais je l’ai seulement avertie qu’un danger la guettait. Quand j’ai réalisé ce qui allait véritablement arriver, j’ai essayé de la prévenir. Mais je n’ai pas pu arriver à temps. Et c’est ainsi que… la tragédie s’est déroulée. Je regretterai ce qui s’est passé pour le restant de mes jours. Je n’ai pas pu la sauver, mais au moins j’ai pu vous sauver, vous, Silas. Silas : Quelle tragédie, vraiment. Dans ce cas, c’est décidé. Orochi : Quoi donc ? Silas : Je vais rétribuer votre acte de bonté. Qu’est-ce que vous vouliez déjà ? Des herbes pour votre magie ? Je vais cueillir toutes celles que je pourrai trouver ! Orochi : Ce n’est pas nécessaire. Après tout, si je suis un escroc, peut-être que je les vendrai toutes ! Silas : Cela me va. Vendez les herbes. Je vous en rapporterai davantage ! Soutien S Silas : Hé, Orochi ! Je vous ai apporté des herbes en quantité ! Orochi : Oh, une belle moisson. Ma petite escroquerie va me rapporter gros. Silas : Ha, ha ! Et puisque vous utilisez ces herbes pour la magie, me feriez-vous une faveur ? Orochi : Aha ! Vous avez changé d’avis finalement. Avez-vous une demande spécifique ? Silas : Pas… vraiment. Pouvez-vous me lire l’avenir ? Orochi : Intéressant ! Vous vous livrez complètement à moi. J’adore ! Bien, écartez-vous et laissez-moi faire. D’abord, je vais prendre ces herbes et… Hein ? Mais… qu’est-ce que c’est que cette petite boîte ? Vous avez dû la faire tomber. Tenez, reprenez-la. Silas : Peut-être… que je l’ai mise là volontairement. Pour vous faire un cadeau. Orochi : Un cadeau ? Silas : En quelque sorte. Ouvrez-la, Orochi. Je n’y tiens plus ! Orochi : Très bien, très bien, qu’est-ce qui vous arrive ? Mais, qu’est-ce que c’est que ça ? Silas : Vous aimez ? C’est une… Orochi : Alliance. Oui, j’aurais dû le voir venir. Oh ! Je viens de le voir. Mes pouvoirs divinatoires sont perturbés, aujourd’hui. Silas : Alors… Quelle est votre réponse, Orochi ? Est-ce que vous voulez m’épouser ? Orochi : Laissez-moi lire les signes… Ils indiquent… Oui ? Non ? Difficile à dire. Peut-être que vous devriez me redemander plus tard. Silas : Plus tard ? Plus tard ?! Mais je ne peux pas vivre plus longtemps sans vous ! Orochi : Oh ! La brume se dissipe. Je vois la réponse. Oui, c’est un oui. Silas : Un oui ?! Vous en êtes sûre ? Orochi : Honnêtement ? Je n’ai pas eu besoin de lire quoi que ce soit, je sais déjà quoi répondre. Parfois, mieux vaut ne pas tout savoir. Le mariage est un saut dans l’inconnu. Et le nôtre ressemble plus à une chute, tête la première, dans un abîme insondable. Silas : Vraiment ? Mais ça semble… Orochi : Magnifique ! J’ai toujours tout su à l’avance. Qui sait ce qui peut se passer ? Silas : S-Seulement de b-bonnes choses ! Je vous le promets ! Orochi : Ah, ne révélez rien. Je veux un vrai mariage. Pas des illusions. Je suis d’Hoshido. Vous êtes de Nohr. Je suis l’une des femmes les plus brillantes de ma génération. Vous êtes un petit naïf. Nous sommes comme le soleil et la lune. J’ai hâte de savoir ce qui nous attend ! Mais je le découvrirai au fur et à mesure. Sans divination. Jour après jour. Silas : Cela sera comme ouvrir un présent chaque jour ! Orochi : Il peut contenir un lingot d’or ou un bloc de charbon. Mais il y a toujours un lendemain. Silas : Je jure d’être à vos côtés pour vous ancrer dans notre présent. Pour toujours !
Azura & Saizo - Spoiler:
Soutien C Saizo : … Azura : Qu’y a-t-il, Saizo ? Pourquoi me dévisagez-vous ? Saizo : (Bien, nous sommes enfin seuls. C’est le moment ou jamais.) Bien, puisque vous insistez, laissez-moi vous dire le fond de ma pensée… Pour être franc, je n’ai aucune confiance en vous. Azura : Je vois… Saizo : La famille royale et surtout Mikoto ont toujours éprouvé de l’affection pour vous… Mais je ne peux avoir confiance en quelqu’un qui vient du royaume de Nohr. Azura : Ça ne me surprend pas. Je l’ai toujours su. Je n’ai qu’à vous regarder pour comprendre que vous n’avez aucune confiance en moi. Saizo : Ah, tiens donc ? Et si vous le saviez, pourquoi n’avez-vous rien dit plus tôt ? Si vous aviez prévenu Son Altesse Ryoma, il m’aurait certainement banni du royaume. Azura : Mais je ne vous veux aucun mal. Je peux me mettre à votre place. Je sais qui je suis et comprends que certaines personnes puissent me haïr. Saizo : Très bien. Je suppose qu’il n’y avait aucune raison de garder le silence si longtemps. Mais laissez-moi vous prévenir que je vous ai à l’œil… Je serai toujours là pour vous empêcher de nuire, si cela vous traversait l’esprit. Azura : Très bien. Je m’en souviendrai. Soutien B Saizo : Damnation ! Comment ai-je pu être aussi stupide ? Me voilà blessé au pied et incapable de bouger… Azura : Saizo, est-ce que ça va ? Vous n’auriez pas dû vous interposer entre cet ennemi et moi. Vous aviez dit ne pas me faire confiance ! Pourquoi avoir risqué votre vie pour moi ? Saizo : Vous garder saine et sauve fait aussi partie de ma mission. Rien de plus. Quoi qu’il en soit, pas de temps à perdre ! Dépêchez-vous, allez vous abriter ! Azura : Non, je ne peux pas faire ça et vous laisser ainsi. Je crois que le danger est passé. Nos ennemis ont battu en retraite, grâce à vous. Laissez-moi regarder cette blessure ! Saizo : Vous allez vous mettre en danger. Ce n’est pas qu’une simple égratignure. Partez ! Azura : La coupure est profonde… Vous perdez beaucoup de sang. Si vous ne pouvez plus bouger, c’est peut-être une fracture… Nous devons traiter et panser la blessure avant qu’elle ne s’aggrave. Saizo : Aaargh… Azura : Vous souffrez le martyre… Si seulement j’avais des bandages… Bon, ça devra faire l’affaire… Saizo : Qu’est-ce que vous faites ? Pourquoi déchirez-vous vos vêtements ? Azura : Je n’ai aucun bandage, c’est tout ce que j’ai sous la main. Saizo : Madame… Pourquoi en faire autant pour moi, après tout ce que je vous ai dit ? Hein ?! Mais quelle est cette cicatrice ? Azura : Oh, je m’excuse si cela vous met dans l’embarras. Je la garde cachée d’habitude… Saizo : Non, c’est moi qui devrais m’excuser. Je n’avais nulle intention de la voir, mais… Cette cicatrice semble être le résultat d’une profonde blessure. Azura : … Puis-je vous raconter une histoire pendant que je traite votre blessure ? Cela pourrait vous faire oublier la douleur. Cette blessure m’a été infligée quand j’habitais le royaume de Nohr. Ce n’était pas un accident. Saizo : Que voulez-vous dire ? Est-ce que c’est quelqu’un qui vous a fait ça ? Azura : Des enfants nobles, un peu plus âgés que moi, qui habitaient le royaume de Nohr… Ils trouvaient amusante l’idée de tourmenter une jeune enfant comme moi… Mais les choses ont dégénéré et… Bref, c’est comme ça que j’ai eu cette cicatrice. Saizo : … Éprouvez-vous de la rancune envers ces enfants… et le Royaume de Nohr ? Azura : Je n’en suis pas sûre. Mais je mentirais si je disais que je les ai pardonnés… Mais… c’est le monde entier qui doit changer et pas seulement Nohr. Saizo : Je vois… Azura : Voilà. Ça devrait tenir jusqu’à notre retour au camp. Pouvez-vous tenir debout ? Saizo : Oui, à peu près… Azura : Accrochez-vous à mon épaule. Je sais que vous ne m’aimez pas beaucoup, mais acceptez mon aide, cette fois-ci. Bien, rentrons avant que les autres ne s’inquiètent. Saizo : … Soutien A Saizo : Hum… Bonjour, Madame. Azura : Bonjour, Saizo. Que me vaut votre visite ? Saizo : Je suis venu m’excuser pour l’incident de l’autre jour. Je n’aurais pas dû vous parler de votre cicatrice et raviver de mauvais souvenirs. J’en suis sincèrement désolé… Azura : Ne soyez pas désolé, ce n’est rien. Est-ce là la raison de votre visite ? Saizo : En effet. J’ai trouvé légitime de m’excuser encore une fois. Bonne journée à vous… Azura : Attendez ! Je n’ai pas besoin de vos excuses, mais… N’y a-t-il pas autre chose ? Saizo : Autre chose ? Je… Je ne suis pas sûr de vous suivre. Azura : Je ne me suis pas confiée à vous pour obtenir votre pitié. Pas du tout, en fait. J’ai simplement voulu vous faire oublier la douleur en partageant un souvenir… Ce n’était rien. Plutôt que des excuses, je préférerais vous entendre dire merci. Saizo : Oh ! Je… Je suis désolé… Madame. Azura : Ha ha ha ! Vous vous excusez encore… Saizo : Pard… euh… Je veux dire… Merci, Azura. J’ai apprécié le fait que vous soyez venue spontanément à mon secours. Votre gentillesse me va droit au cœur… Et j’aimerais vous présenter des excuses. Mon comportement envers vous ne saurait être pardonné. Je n’en savais pas assez pour vous juger. Azura : Ha ha ! Vous êtes encore plus coincé que moi, n’est-ce pas ? Mais peu importe… Cela ne change rien à la place de choix que vous occupez parmi mes alliés. Mais si vous vous sentez encore redevable envers moi… Alors j’ai peut-être une idée… Nous pourrions peut-être mettre nos différends de côté à partir de maintenant ? Je ne suis moi-même pas très douée pour ce genre de choses… Mais je promets de faire de mon mieux. Qu’en dites-vous ? Saizo : Rien ne pourrait me faire plus plaisir, Madame. Vous êtes désormais une précieuse alliée, sur le champ de bataille comme ailleurs. Soutien S Saizo : Bonjour, Madame. Azura : Saizo, pourquoi faites-vous cette tête ? Ne me dites pas que vous venez vous excuser… Saizo : Pas vraiment, non. Mais j’aimerais vous faire un cadeau, en guise de remerciement. Dans ma région natale, nous utilisons un onguent capable d’effacer les cicatrices. Avec votre permission, je vous en amènerai, afin que vous puissiez oublier le passé… Azura : J’apprécie le geste, mais d’autres personnes en ont plus besoin que moi… Vous, par exemple. La cicatrice sur votre œil est plus profonde que la mienne. Saizo : Hum… Cette cicatrice fait maintenant partie de moi. Je ne me pardonnerais pas de la faire disparaître. Et puis, on attend des hommes qu’ils aient des cicatrices. Les femmes, en revanche… Azura : Je trouve ça plutôt idiot… Êtes-vous donc sexiste à ce point ? Saizo : On me l’a déjà fait remarquer… J’espère malgré tout que vous accepterez mon offre. Je ne peux pas m’empêcher de penser que j’ai une grande responsabilité envers vous. Azura : Que voulez-vous dire par là ? Quelle responsabilité ? Saizo : Madame, puis-je vous… accompagner ? Azura : Comment ? Je ne suis pas sûre de comprendre… Saizo : Vous m’avez tant appris. Votre gentillesse face à tant de cruauté m’a inspiré. J’ai besoin d’être auprès de vous. Je suis moi-même surpris par ces sentiments… Mais ils sont indéniables. En tant que ninja, je resterai au service de Son Altesse Ryoma pour toujours. Mais j’aimerais vous servir également, et vous protéger pour le restant de mes jours. Azura : Vous ne faites quand même pas tout ça pour vous faire pardonner, n’est-ce pas ? Saizo : Je ne peux expliquer comment ou pourquoi je suis tombé amoureux de vous, Madame. Je sais seulement que je le suis. J’espère que cela vous suffira. Azura : Saizo… Snif… Vous me rendez tellement heureuse ! Votre amour et votre confiance sont tout ce dont j’ai besoin. Saizo : Alors, est-ce que ça veut dire que vous… ? Azura : Je vous aime aussi, Saizo. Restez à mes côtés, pour toujours. Saizo : Je n’ai jamais été si heureux. Je ferai tout pour vous protéger ! Azura : Et moi de même.
Rinkah & Saizo - Spoiler:
Soutien C Saizo : Rinkah ! Rinkah : Hein ? Oh, Saizo. Ça va ? Saizo : Avez-vous déjà oublié la dernière bataille ? Pourquoi avez-vous ordonné un repli ? Rinkah : Nous avions déjà arrêté deux vagues d’attaque. Tout le monde était exténué. Il valait mieux partir tant qu’on le pouvait encore. Saizo : Si nous avions continué le combat, l’ennemi ne se serait peut-être pas échappé. Rinkah : Tu t’emportes un peu là. Même si tu as raison, es-tu sûr que personne ne serait mort ? Saizo : Le grand coup porté à l’ennemi aurait bien valu quelques pertes. Cette bataille aura des conséquences pour le restant de la guerre ! Rinkah : Pff… Dans ma tribu, nous étions si peu que perdre une personne était inconcevable. Saizo : Et alors ? Rinkah : Les anciens nous ont appris l’importance de savoir analyser une situation. La retraite est bienvenue quand elle permet de sauver ne serait-ce qu’une seule vie. Saizo : C’est ridicule. La lâcheté n’est pas une vertu. La tribu du feu… On dirait bien que vous n’êtes plus très ardents. Je ne compte pas rester ici à écouter vos justifications inutiles. Rinkah : Grr… Soutien B Saizo : Rinkah… Rinkah : Salut, Saizo. Saizo : Je suis venu m’excuser. J’ai laissé la frustration me guider. Une fois calmé, j’ai compris l’importance de préserver les vies de nos soldats. Rinkah : Ah oui ? Saizo : Je suis sûr que Messire Ryoma aurait pris la même décision. Rinkah : Ça va, je ne l’ai pas pris personnellement. En tant que guerrière, je te comprends. Je m’emballe aussi parfois. Avoir le dessus peut nous monter à la tête. Saizo : Ah oui ? Ça m’étonne venant de vous. Rinkah : Oh, oui. Avant, je chargeais sans réfléchir et je me faisais bien gronder. Mon chef s’en donnait à cœur joie… Saizo : Donc je ne vaux pas mieux que la Rinkah de cette époque. Rinkah : Je n’ai pas dit ça. Tu dois juste bien connaître tes priorités. Peut-être que perdre des soldats peut s’avérer utile. Ça dépend de la situation. C’est ce que je voulais dire quand je parlais de savoir analyser la situation. Saizo : Alors voilà la philosophie de la tribu du feu. C’est une bonne leçon… Rinkah : Hé, c’est ce que j’ai dit une fois que je l’ai comprise. Soutien A Rinkah : Saizo, je peux te parler une minute ? Saizo : Qu’y a-t-il ? Rinkah : Je me demandais… Pourquoi as-tu voulu devenir ninja ? Saizo : C’était principalement pour venger mon père. Mais à part ça… C’est grisant d’utiliser de telles techniques pour gagner une bataille. C’est peut-être pour ça que j’aime autant me battre. Rinkah : Je te comprends parfaitement. Je pense que c’est important pour un guerrier de ne pas oublier ces sensations. Saizo : Oui. Une épée n’étant pas aiguisée ne coupe pas le moment venu. Rinkah : Et si on l’aiguise trop souvent, elle se casse. Saizo : … Rinkah : Mais pour l’instant, mes talents auraient bien besoin d’un petit affûtage. T’en dis quoi, Saizo ? On s’entraîne ensemble ? Saizo : J’allais dire la même chose… Rinkah : Mais je te préviens, je suis un pur produit de la tribu du feu. Aucun guerrier n’est plus ardent que moi ! Saizo : Eh bien, vous verrez que je peux gagner en gardant la tête froide. En garde, Rinkah. Rinkah : C’est parti ! Soutien S Saizo : Rinkah, concernant notre dernier combat… Rinkah : On a fini à égalité, non ? Hé… Ça me va. Saizo : Je n’avais pas ressenti ça depuis un bon moment. C’était revigorant. J’ai encore quelques bleus, et cette entaille n’a pas encore bien cicatrisé. Mais en fait, ça me fait du bien. Rinkah : C’est dans nos veines. Je parie que sous ce masque, tu souriais durant le combat. Ha, que penseraient les autres s’ils nous entendaient ? Saizo : Ha ha… Ils seraient terrifiés. Mais pour Messire Ryoma, je dois me reconcentrer sur mon entraînement. Rinkah : Moi aussi, si je veux que la tribu du feu ait un avenir. Nous avons beaucoup en commun, Saizo. Ça t’arrive de penser à nous ? Ensemble ? Saizo : Puisque vous en parlez… Rinkah : Ha ha, j’en étais sûre. Je suis contente de ne pas être la seule à avoir eu cette idée. Saizo : Nous voulons tous les deux améliorer nos compétences au combat. Nous pourrions y arriver plus vite si nous étions ensemble. Rinkah : Ha ha… Tu lis dans mes pensées. Saizo : C’est assez troublant. Rinkah : Nous sommes faits l’un pour l’autre, c’est évident. Je n’aurais pas dit ça la première fois qu’on s’est rencontrés, mais… Saizo : Bon, si c’est bien ce que vous voulez… Rinkah : Oui, j’en suis sûre. Je suis prête à devenir ta compagne pour toute la vie, Saizo.
Dernière édition par Sheezune le Mer 25 Mai - 1:06, édité 1 fois | |
| | | Other M
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Mer 25 Mai - 0:11 | |
| - Ryoma & Mozu:
C
Mozu : Bien, ça commence à bouillir... Ryoma : Que préparez-vous, Mozu ? Mozu : Oh, bonjour, prince Ryoma. Je suis en train de mijoter une petite soupe. Ça nous réchauffera ! Ryoma : Ça a l'air délicieux. J'ignorais que vous étiez une fée du fourneau. Mozu : Oh, c'est rien qui mérite l'attention d'un prince. Et puis, c'est ma façon à moi d'apporter ma contribution. Ryoma : Que voulez-vous dire ? Mozu : Eh bien, je ne suis pas une guerrière comme vous autres... Et je ne suis pas non plus stratège... Alors, j'essaie de me rendre utile en faisant ce que je sais faire. C'est-à-dire la cuisine ! Ryoma : Voilà une décision qui illustre votre sagesse. Mais vous ne devriez pas être si humble. Mozu : Je sais pas... C'est-à-dire que... Ryoma : Et si je vous proposais de vous entraîner ? Mozu : Comment ! Non. Hors de question ! Je pourrai jamais... Enfin, votre temps est trop précieux pour que vous le perdiez à m'entraîner ! Vous avez déjà bien trop à faire dans le camp, prince Ryoma. Ryoma : Si vous refusez de vous entraîner, c'est que vous êtes en effet indigne de combattre. Rejetterez-vous l'occasion de briser les chaînes dont vous vous croyez entravée ? Mozu : Prince Ryoma... Ryoma : Vous avez un immense potentiel, Mozu. Vous êtes la seule survivante de la brutale attaque qu'a essuyé votre village. Ceci atteste assez de votre pugnacité. Il ne vous manque qu'un peu d'entraînement. Mozu : Je sais pas... Bon, très bien. Merci, prince Ryoma. Je vous prouverai que j'en suis capable. Je nous le prouverai à tous les deux. Ryoma : Je ferai de vous une redoutable guerrière en un rien de temps !
B
Ryoma : Ça suffit pour le moment, Mozu. Vous avez bien mérité une petite pause. Mozu : Pouf, pouf... Ouah ! Quand je pense que vous vous entraînez comme ça tous les jours ! Ryoma : Vous faites de remarquables progrès, Mozu. Vous vous habituez plus facilement à l'exercice militaire que je ne le pensais. Mozu : Si vous le dites... C'est que mon cas doit pas être si désespéré que ça... Ryoma : Vous constaterez vos propres progrès très bientôt, soyez tranquille. Mozu : J'ai encore du mal à y croire. Une fermière insignifiante telle que moi, fréquenter le prince... Ryoma : Cela importe moins que vous ne le croyez. Mozu : Quoi ? Ryoma : Peu importe que vous soyez de la plèbe ou qu'un sang bleu coule dans vos veines. Si vous désirez la paix avec conviction, vous deviendrez même plus forte que moi. Mozu : Je pense pas que ça puisse arriver, mais à vous entendre, on y croirait presque. Faut bien l'avouer, prince Ryoma : vous pouvez vous montrer très convaincant. Ryoma : Ha ha ! Vraiment ? Merci. Mozu : Mais j'ai encore beaucoup à apprendre. Vous continuerez à m'entraîner ? Ryoma : Bien sûr. Autant que vous le désirerez. Mozu : Merci !
A
Mozu : Prince Ryoma ! Vous avez un instant ? Je voudrais vous donner quelque chose... Ryoma : Bien sûr, Mozu. De quoi s'agit-il ? Mozu : Eh bien, pour vous remercier de tous les efforts que vous faites pour m'entraîner... Je vous ai fait une petite soupe. Ryoma : Oh, c'est vrai ? Merci. Mozu : Elle avait beaucoup de succès chez moi, alors j'espère qu'elle vous plaira ! Tenez. Bon appétit ! Ryoma : Merci. Slurp, slurp. Miam, quel délice. C'est là l'une des soupes les plus savoureuses que j'ai mangées. Mozu : Oh, ça me fait plaisir que vous trouviez ça bon. Ryoma : "Bon" ? Cette soupe est succulente, Mozu ! Mozu : J'ignorais que certains gentilshommes pouvaient avoir des goûts aussi simples... Ryoma : Vous trouvez que j'ai des goûts simples ? Hmm... Mozu : Vous savez, j'aime bien regarder les gens manger les plats que je leur prépare. Quand cette guerre sera terminée, j'aimerais ouvrir un restaurant... Ryoma : Mozu... Mozu : Oh ! Ma soupe vous reste sur l'estomac ? Je suis désolée ! Ryoma : Non, vous avez touché la corde sensible. Moi aussi, je suis las de cette guerre... Mozu : Je crois que nous voulons tous qu'elle s'achève vite. Ryoma : Votre entraînement commence à porter ses fruits, d'ailleurs. Poursuivez vos efforts et un jour, vous ouvrirez votre restaurant. Mozu : Dans ce cas, je vais mettre les bouchées doubles ! Ryoma : Voilà ce que je voulais entendre !
S
Ryoma : Que nous mijotez-vous aujourd'hui ? Mozu : Oh, je refais un peu de cette soupe que je vous ai préparée l'autre jour. Tous les soldats se sont mis à en réclamer ! Je me demande qui leur en a parlé... Ryoma : Ce n'est pourtant pas compliqué. C'est moi qui ai vendu la mèche. Mozu : Vous ? Ryoma : Oui. Mais je n'avais pas anticipé une telle réaction, je suis désolé. Mozu : Non, c'est pas grave. Ryoma : Il est un peu tard pour m'excuser, mais je peux peut-être vous aider... Mozu : N-Non, ça va... Je vais pas demander à un prince de m'aider à faire la soupe... Ryoma : Je vous ai dit que je ne faisais guère de cas du titre des gens. Nous voguons sur le même navire. Nous devons nous aider les uns les autres. Mozu : M-Mais... Ryoma : J'espère que mon propre titre ne vous met pas mal à l'aise. Mozu : Quoi ? Ryoma : Même le prince de Hoshido a un cœur... Et vous avez su l'émouvoir, Mozu. Mozu : Quoi ? Vous m'aimez, c'est ça ?! J'ai dû mal entendre ! Ryoma : Votre enthousiasme, aux fourneaux comme au camp d'entraînement, m'a séduit. Je trouve idiot de laisser des conventions sociales s'interposer entre nous. Mozu : Oui, c'est idiot, mais... Vous croyez qu'on est faits l'un pour l'autre ? Ryoma : Je l'ignore. Tout ce que je sais, c'est que vous me plaisez, Mozu. Mozu : Eh bien, si la différence de rang vous est égale, je serais idiote de m'en faire ! Moi aussi, vous me plaisez, prince Ryoma. Et si je suis celle que vous avez choisie, je vous offrirai tout ce que je possède. Ryoma : Vous m'ôtez les mots de la bouche. Je veux que vous restiez toujours à mes côtés. Mozu : Je vous le promets ! Cochon qui s'en dédit !
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Mer 25 Mai - 2:16 | |
| Orochi & Subaki - Spoiler:
Soutien C Orochi : Subaki ! Je t’ai cherché partout ! Subaki : Désolé, Orochi. Que puis-je faire pour vous ? Orochi : Non, qu’est-ce que moi je peux faire pour toi, mon cher ami insouciant. Même si ça ne va pas durer longtemps. Subaki : Quoi ?! Avez-vous lu mon avenir ? Orochi : Oui ! Je n’en avais jamais vu un de si lugubre. Tu vas bientôt subir une série de désastreuses mésaventures. Étrangement, ce seront de petites mésaventures… Mais nombreuses. Subaki : Des petites mésaventures ? Je suis sûr de pouvoir les supporter, alors. Orochi : Comme tu as tort. Il y en aura trop, et ce, trop souvent. Tu t’enfonceras une écharde dans le doigt, puis une araignée te tombera sur la tête… Tu te casseras une dent sur un noyau de pêche… Tu tacheras tes habits blancs… Si ces événements se produisaient seuls, tu les oublierais. Mais l’un après l’autre ?! Subaki : C’est vrai, surtout pour quelqu’un comme moi. Ma perfection volerait en éclats ! Orochi : Exactement, Subaki. C’est pour ça que je me suis précipitée à ta rencontre. Je sais comment y survivre. Tu dois arrêter d’être si perfectionniste et accepter les petits aléas de la vie. Subaki : Certainement pas. Je ferai en sorte que rien de ceci ne m’arrive ! Orochi : Oh ? Et comment comptes-tu y arriver ? Subaki : Jour et nuit, je resterai sur mes gardes. Je n’aurai qu’à être extrêmement vigilant. Rien de plus facile. Orochi : Si quelqu’un peut survivre à cette tornade de petits incidents, c’est bien toi. Bonne chance, Subaki. Soutien B Subaki : Auriez-vous une minute à m’accorder, Orochi ? Orochi : Pour toi, toujours, Subaki. Plusieurs, même ! Hum. Mais je n’aime pas cet immense sourire que tu arbores, Subaki. Subaki : Ha ! J’ai triomphé des mésaventures que vous m’aviez annoncées ! J’étais très vigilant. J’ai évité chaque incident et chaque piège. Par exemple… J’ai vu un homme extrêmement sale faire une chute, dans une ville voisine. Je l’ai aidé à se relever… mais pas sans avoir d’abord enfilé mes gants. Pas de crasse, pas de boue, et pas un grain de poussière ne m’a atteint. Orochi : Hum. Mais as-tu rencontré plus de difficultés que d’ordinaire ? Subaki : Oh, oui. Sans arrêt. Mais je m’en suis remis avec aplomb. Orochi : Bien joué… Subaki : Houlà, Orochi. Vous semblez loin d’être heureuse pour moi. Orochi : J’aurais espéré qu’un perfectionniste tel que toi échoue. Au moins une fois. Subaki : Ha ha ! Je vous pardonne. J’ai l’habitude que mes amis souhaitent me voir échouer. Ça ne doit pas être facile de me voir avancer dans la vie avec tant de facilité. Au fait… Pourquoi transportez-vous cette aiguière remplie de ce liquide visqueux ? Orochi : C’est une nouvelle infusion. J’ai fait mijoter des herbes avec des ingrédients toxiques. Oh ! Ah ! Je suis prise… de vertiges… tout à… Subaki : Attention, Orochi ! Hé ! Orochi : Oups. Subaki : … Orochi : Tout va bien, Subaki ? Subaki : Argh ! Qu’est-ce que c’est que ça ?! C’est tout gluant et grumeleux… On dirait une soupe diabolique ! Et ça, qu’est-ce que c’est ? Des croûtons ? Des nouilles ? Non ! Ce sont des insectes morts ! Beurk ! Et des vers ! Et des queues de rat ! Beurk ! Au secours ! À l’aide ! Venez m’aider ! Orochi : Quelle poisse. Je ne devrais pas me moquer. Ce serait mal et mesquin de ma part. Hi hi. Soutien A Subaki : Oh. Bonjour, Orochi. Je suis content que vous ne transportiez plus votre aiguière diabolique. Orochi : À ce propos, Subaki. Je suis désolée de t’avoir renversé son contenu dessus. Hé. Je veux dire… Je suis vraiment désolée, Subaki. Pff… Ha ha ha ! Subaki : Comment osez-vous en rire ? Vous n’êtes absolument pas désolée. Savez-vous à quel point je me suis senti souillé par votre infusion nocive ? Orochi : Je sais, je ne devrais pas me moquer, mais… Oh, c’était vraiment drôle à voir. Subaki : Je me suis lavé. J’ai bien frotté. J’ai même dû jeter mon savon après ça ! Mais rien à faire… L’odeur est à jamais incrustée. Cela n’a rien de drôle. Orochi : Mouah ha ha ha ! Subaki : Taisez-vous. Arrêtez de rire, espèce de hyène malveillante. Orochi : Oh ! Tu devrais plutôt me remercier. Tu n’as toujours pas compris que je t’ai sauvé d’une catastrophe certaine ? Subaki : Vous m’avez sauvé ? Orochi : Tu as réussi à éviter plusieurs petites mésaventures, Subaki. Mais le destin c’est le destin. On finit toujours par avoir à payer les pots cassés. Et ce tôt ou tard… Et tout à coup, dans un énorme tourbillon de malheurs. Subaki : Un tourbillon de… Orochi : Oh, plutôt une nuée ou une épidémie, qui s’abattrait sur toi brusquement ! Heureusement pour toi, j’ai renversé toute cette horrible infusion sur toi. J’ai chassé toute cette malchance qui s’accumulait. Subaki : Vraiment, Orochi ? Orochi : Est-ce que je plaisanterais à propos d’une telle chose ? Heureusement, tu n’as plus à t’en faire. Cette vague de malheur a disparu. Tu peux me remercier. Subaki : Mais c’était horrible d’être couvert de ce magma infâme ! Orochi : Tu ne comprends pas. Si cette malchance avait continué à s’accumuler, ne serait-ce qu’une journée… Boum, Subaki. Boum. Subaki : Boum… ? On dirait que je vous dois la vie. Orochi : En effet. Subaki : Eh bien, merci, alors. Orochi : Je t’en prie, Subaki ! Soutien S Subaki : Bonjour, Orochi ! Orochi : Ah, mon ami… Le parangon de la perfection. Que puis-je faire pour toi ? Subaki : Pourriez-vous m’apprendre la divination ? Orochi : C’est assez inattendu, Subaki. Subaki : Pas du tout. Après avoir frôlé toutes ces mésaventures, j’ai beaucoup réfléchi. Vous m’aviez averti. Si je savais lire l’avenir je pourrais aussi prévenir les autres. Orochi : C’est noble de ta part, mais la divination, c’est mon domaine, pas le tien. De plus, en général, je ne préviens jamais les gens des petites mésaventures. Autrement, ils feraient trop attention à tout ce qu’ils font à longueur de temps. Tu étais une exception. Subaki : Mais puisque de nouvelles personnes nous rejoignent, j’aimerais pouvoir les aider. Êtes-vous sûre de pouvoir supporter de prédire ces désastres à tout le monde ? Orochi : En vérité, je ne consulte pas l’avenir de tout le monde quotidiennement. Je prévois le futur de toute l’armée. Si un malheur arrive, j’essaie de voir pour qui. Pour être honnête, je lis régulièrement l’avenir d’une seule personne… Et c’est le tien, Subaki. Subaki : Vraiment ? Orochi : Je t’apprécie tant que je ne résiste pas à l’envie de lire ton avenir chaque jour… Subaki : Hein ? Orochi : Oh, qu’est-ce qui te choque ? Que je lise ton futur ? Que je t’apprécie autant ? Nous sommes si souvent en danger, que je ne peux m’empêcher de veiller sur toi. Subaki : Je ne suis pas vraiment choqué. Je suis plus ravi qu’autre chose. Orochi : Tu ne jouerais pas avec les sentiments d’Orochi, si ? Ce serait une grosse erreur. Subaki : Personne n’a jamais été bienveillant avec moi. Du moins, pas autant. Et c’est pour cela que je suis venu vous parler. Je vous aime… trop, moi aussi. Orochi : Nous nous aimons tous les deux ? Alors tu ne m’aimes pas trop. Mais juste ce qu’il faut. Subaki : Nous nous sommes approchés tels deux faons timides… C’est étrange. Orochi : Ou telles deux vipères dans un panier ? Subaki : Qu’importe, je suis heureux que nous nous soyons trouvés. Et maintenant, Orochi… Il faut vraiment que vous m’appreniez la divination. Je dois vous protéger. Orochi : Merci, Subaki. Mais nous serions bien plus en sécurité avec mes pouvoirs. Je vais m’assurer que nous soyons heureux jusqu’à la fin de nos jours, mon cher.
Sakura & Saizo - Spoiler:
Soutien C Saizo : Argh… J’ai échoué… J’ai pu m’échapper du territoire ennemi, mais vu mon état, ils me trouveront vite. Et je suis trop mal en point pour me traîner jusqu’au campement. J’y étais presque, mais je ne peux plus continuer… Oh, bon. Sakura : S-Saizo ? Saizo : Je ne vois rien, il fait trop sombre. Si vous êtes venu m’achever, faites-le vite. Sakura : Non, ce n’est que moi ! Sakura. Saizo : Dame Sakura ? Que… Sakura : Oh non ! Vous êtes blessé ! Attendez, je vais vous soigner. Saizo : Il n’y a pas le temps. Mes poursuivants peuvent me rattraper à tout instant. Allez-vous-en, vite ! Vous devez rentrer au campement ! Sakura : Mais… Mais je ne peux pas vous laisser mourir ici ! Cela ne prendra qu’un instant si vous voulez bien rester tranquille ! Saizo : S’il vous arrive malheur, comment pourrais-je regarder Messire Ryoma en face ? Sakura : Hi… Hi hi… Saizo : Dame Sakura… ? Sakura : Désolée… Je viens de me rendre compte que ça n’aura aucune importance si vous mourrez. J-Je dois être abasourdie… Saizo : Je suis sans voix. Sakura : Arrêtez de gigoter ! Nous devons rentrer au campement ensemble ! Saizo : Très bien… Soutien B Saizo : Excusez-moi, Dame Sakura. J’aimerais vous parler un instant, si vous avez le temps. Sakura : Oh, bonjour, Saizo. Bien sûr, je ne suis pas occupée. Saizo : Kof… Merci pour votre aide. C’est grâce à votre intervention que je suis en vie. Sakura : Pas de quoi ! Vous faites presque partie de la famille, alors ça ne me dérange pas. Saizo : Mais, Dame Sakura… Pourquoi vous trouviez-vous si loin du camp ? Sakura : Je n’arrivais pas à trouver le sommeil… Maintenant que j’y pense, j’ai peut-être deviné votre situation, je ne sais comment. Saizo : Hum. Ce doit être un don que seules les gardiennes comme vous possèdent. Sakura : Quoi que ce soit, je suis heureuse que vous soyez sain et sauf. Saizo : Eh bien… À propos… Sakura : Oui, Saizo ? Saizo : Je tiens à vous offrir ceci. Sakura : Ooh ! Des desserts venant des abords du château d’Hoshido ! Ils sont presque impossibles à trouver… Comment avez-vous fait ? Saizo : On m’a dit que c’étaient vos préférés… Je les ai achetés en gage de ma gratitude. Sakura : V-Vous les avez achetés rien que pour moi ? Saizo : Oui, c’est bien ce que j’ai dit. Sakura : … Hé. Hi hi… Saizo : Pourquoi rigolez-vous cette fois ? Sakura : Parce que ! Je rigole à l’idée de vous imaginer aller acheter des sucreries… Saizo : C-C’est… Sakura : Hi hi hi… Oh, désolée. Je n’arrête pas de rire bêtement devant vous. Oh ! Au lieu de tous les garder pour moi, je pourrais les partager avec vous ? Saizo : N-Non ! Ça ira. Je… Sakura : Mais il y en a beaucoup trop pour que je puisse tout manger toute seule. Saizo : J-Je suis désolé… Je dois partir ! Pouf ! Sakura : Kof ! Saizo… ? Il a disparu… A-Ai-je dit quelque chose de mal ? Soutien A Sakura : Oh, euh, Saizo… Saizo : Dame Sakura ? Sakura : Euh… Je suis désolée. Saizo : Hum ? Pourquoi êtes-vous désolée ? Ça aiderait peut-être si vous pouviez me regarder dans les yeux en répondant. Sakura : Lors de notre dernière discussion, vous avez disparu dans un nuage de fumée… Je vous ai offensé, n’est-ce pas ? C’est parce que je riais bêtement ? Je suis sûre que c’était cela. Saizo : Quoi ? Non. Sakura : Alors pourquoi… ? Saizo : Je… Euh… Je déteste les sucreries. Rien que leur odeur me rend malade. Sakura : Comment… ?! Saizo : Vous étiez sur le point d’ouvrir la boîte, alors instinctivement, je me suis enfui. Je suis désolé pour ce malentendu. Sakura : C’est donc pour cela… Je n’aurais jamais pensé cela d’un soldat si courageux. Saizo : J’ai honte d’avoir réagi ainsi. Ce n’est pas convenable de la part du vassal du prince. Sakura : Oh, ce n’est pas grave ! C’est même assez… mignon. Saizo : M-Mignon ? Sakura : Très mignon. C’est merveilleux de voir un côté plus humain chez vous. Et c’est adorable que vous m’ayez acheté quelque chose que vous haïssez tant. C’est très généreux de votre part ! Saizo : Je suis ravi que cela vous plaise, Dame Sakura. Sakura : Merci beaucoup, Saizo. J’espère que nous pourrons reparler bientôt. Saizo : Comme vous voudrez, Dame Sakura. Soutien S Saizo : Bonjour, Dame Sakura. Auriez-vous une minute à m’accorder ? Sakura : Bonjour, Saizo. Qu’y a-t-il ? Saizo : Je vais faire court. Je suis le fidèle vassal de Messire Ryoma et jamais je ne pourrai quitter son service. Pour cette raison, je ne peux me mettre au vôtre. Sakura : Oui, je le sais. Pourquoi en parlez-vous ? Saizo : Parce que je… Je vous aime. Sakura : Comment ?! Saizo : Votre sourire a un étrange effet sur moi. Au début, cela me gênait que vous vous riiez de moi. Mais votre sourire est resté gravé en moi après que vous avez fini de rire… Et avec le temps, j’ai réalisé qu’il était rassurant, dans un sens. Tout ça pour vous expliquer pourquoi je suis tombé amoureux de vous. Sakura : S-Saizo… Vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis ravie de vous l’entendre dire… Vous me faisiez peur quand j’étais petite, à cause de votre cicatrice et de votre tenue. Mais depuis que j’ai découvert que vous étiez si charmant et si mignon… J’ai commencé à éprouver des sentiments à votre égard. Saizo : Cela me soulage tant, Dame Sakura. Je n’étais pas sûr que mes sentiments soient partagés. Cependant… Que vouliez-vous dire par « mignon » ? Sakura : Hi hi, eh bien… Vous projetez toujours cette aura d’homme sérieux. Mais en vous voyant fuir des sucreries, j’ai compris que vous pouviez être enfantin. Saizo : J-Je vois… Je ne suis pas sûr que ce soit un compliment, comme vous le pensiez. Mais bien que ma faiblesse soit détestable, j’aime vous entendre en parler ainsi. Merci. Je ne peux vous prêter allégeance, mais je peux vous promettre mon amour éternel. Sakura : Saizo… Je ne suis peut-être pas parfaite, mais j’aimerais être avec vous. Saizo : De même. Mon monde sera meilleur tant que vous en ferez partie.
Mozu & Saizo - Spoiler:
Soutien C Mozu : Hum… Et voilà le travail. C’est l’heure de la pause ! Saizo : Vous là, qui êtes en train de labourer la terre. Mozu : Oh, salut, Saizo ! C’est moi, Mozu. Saizo : Vous avez ensemencé un nouveau champ ? Que voulez-vous y faire pousser ? Mozu : Plein de trucs ! Le sol est bon pour des légumes-racines comme les patates. Et puis pourquoi pas des citrouilles et des carottes en plus de ça. Saizo : Hum. Si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas à me demander. Mozu : Vous aimez ce genre de travaux, vous aussi ? Saizo : Je viens d’Igasato, dans les montagnes. Nous devions être autonomes. En plus de notre entraînement, il fallait aider dans les récoltes. Mozu : Vraiment ? Je suis contente d’avoir ça en commun avec quelqu’un ! Saizo : Planter tout ça est un travail trop difficile pour une seule femme. Si vous avez besoin d’aide, dites-le-moi, et je vous ramènerai une équipe entière. Mozu : Merci, Saizo ! Je vous ferai signe. Saizo : Je l’espère. Soutien B Saizo : Mozu, ce repas était délicieux. Mozu : Oh, n’en faites pas trop. N’importe qui de mon village aurait pu préparer ça. Saizo : Vous êtes bien trop modeste. Ce plat a une saveur… nostalgique. Mozu : Ça ressemble à la nourriture que vous aviez chez vous ? Saizo : Oui. Simple et légèrement relevé, mais tout de même savoureux. À la capitale, la nourriture a un goût bien plus prononcé. Ça ne me plaît pas. Mozu : Je suis d’accord ! Je pense la même chose de la nourriture qu’on trouve dans le coin. Saizo : Les paysans font les choses différemment. Puis-je revenir manger avec vous de temps en temps ? Mozu : Carrément ! Une fois que ces légumes auront poussé, je vous préparerai un plat avec. Saizo : Ça m’intéresse, je viendrai juste pour ça. Mozu : Mais bon, c’est pas encore la saison des récoltes, c’est pas pour tout de suite. L’agriculture prend de l’énergie et du temps. Mais revenez quand vous voulez ! Saizo : Je vous tire mon chapeau. Soutien A Saizo : Mmh… C’était encore délicieux, Mozu. Mozu : Merci ! Je suis contente que vous aimiez. Saizo : Je vous demande pardon, je viens souvent manger avec vous. Mais vos plats me rappellent l’endroit d’où je viens. Mozu : Hi hi ! Vous pouvez venir à tous les repas si ça vous fait plaisir ! J’ai une idée ! C’est quoi votre plat préféré ? Je vous le préparerai. Saizo : Hum ? Mozu : Allez, qu’est-ce qui vous fait vraiment envie ? Saizo : Peu importe, du moment que ce n’est pas sucré. Du poisson bouilli, peut-être. Mozu : C’est tout ? Saizo : Nous le préparons d’une manière spéciale dans mon village. Nous cuisons le poisson avec des épices et des champignons, sinon, il est trop fade. Mozu : Hum… C’est pas simple, en fait. Saizo : Oui. C’était pour les grandes occasions. Quand toute la famille était réunie. Mozu : D’accord ! Je suis pas sûre de réussir, mais je ferai de mon mieux ! Saizo : Ah oui ? J’ai hâte de voir le résultat. Mozu : Hi hi, moi aussi. Allez, ouste, je dois me mettre au travail ! Soutien S Saizo : Mmh… C’est délicieux. Mozu : C-C’est vrai ? Pfiou… Saizo : Même si ce n’est pas exactement comme dans mon souvenir. Mozu : Oooh, sans blague ? Pardon, Saizo. Je croyais avoir bien fait… Saizo : Mais c’est très bon. Ça manque juste de… Mais bien sûr ! Il y a une épice qui ne pousse que près de là d’où je viens. C’est pour ça que le goût n’est pas exactement pareil. Mozu : Oh ? C’est quoi cette épice ? Saizo : Je ne sais pas vraiment. Elle est tirée d’une plante qui pousse dans la région. Mozu : Oh ! En parlant de ça… J’aimerais bien visiter votre village, si la chance se présente un jour. Saizo : Pourquoi pas la prochaine fois que j’y vais ? Mozu : Hein ? Vous pensez que j’y serais la bienvenue ? Saizo : Eh bien, oui. Ce serait bien qu’ils rencontrent ma future femme. Mozu : Q-Quoi ?! Saizo : Ah, oui. Je voulais vous demander. Mozu, voulez-vous m’épouser ? Mozu : Mais… Euh… Je sais pas quoi dire ! Merci… ? Je… Saizo : Nous avons beaucoup en commun. Nous sommes plus proches de jour en jour. Mozu : Je comprends parfaitement. En fait, vous me faites craquer, Saizo. Saizo : C’est vrai ? Mozu : Oui. Alors d’accord ! Allons rencontrer vos proches le plus vite possible ! Saizo : Et j’aimerais que vous vous y sentiez chez vous, et à l’aise avec les autres. Vous avez perdu votre foyer, alors j’aimerais vous en donner un autre. Mozu : Oh, Saizo… Je vais pleurer. Je pensais ne plus jamais avoir de maison… Snif. Saizo : Ne vous inquiétez pas, Mozu. Vous ne serez plus jamais seule. Je serai toujours là pour vous. Mozu : Je vous aime, Saizo…
Orochi & Rinkah - Spoiler:
Soutien C Orochi : Ah, vous voilà, Rinkah ! Rinkah : Tu me cherchais, Orochi ? Pourquoi ? Pouah ! Qu’est-ce que c’est que cette odeur ? Orochi : J’ai apporté une potion qui m’aidera à lire ton avenir… Commençons. Rinkah : Hein ? Qui t’a dit que j’avais envie que tu fourres ton nez dans ma vie ? Orochi : C’est une proposition que je vous fais au nom de notre amitié. Vous refusez ? Rinkah : Je n’ai pas besoin de ton aide pour ça. La tribu du feu a ses propres méthodes. Nous lisons l’avenir dans les flammes. J’aime les flammes. Je leur fais confiance. Orochi : Vous utilisez le feu pour la divination ? Rinkah : Nous faisons couler de l’huile dans un plat et y déposons ensuite une bande de papier. Puis nous y mettons le feu et lisons l’avenir dans les ombres ainsi créées. Cela fait partie de nos préparatifs de bataille. Orochi : Vous ne lisez l’avenir que pour préparer une bataille ? Rinkah : Oui. Tu as l’air surprise. Orochi : Dans ce cas, vous avez besoin de moi ! Je sais lire l’avenir dans un autre contexte. Rinkah : Ce ne sera pas nécessaire. Rien ne m’importe en dehors du combat. Orochi : Mais la vie ne se résume pas à se battre ! Nos destins nous réservent bien plus. Rinkah : Comme je te l’ai dit, ça ne m’intéresse pas. Orochi : Attendez, Rinkah ! Pff… Elle va mal finir si elle ne me laisse pas l’aider… Soutien B Orochi : Ô, dieux de la moisson ! Pardonnez-moi d’interrompre votre sommeil sacré ! Votre fidèle servante vous supplie de nous envoyer de bons présages ! Rinkah : Pff… Orochi : Qui ose m’espionner en plein rituel magique ?! Oh… Bonjour Rinkah. Je ne vous ai pas entendue. Rinkah : Alors c’est à ça que ressemble ta magie… Orochi : Fascinant, n’est-ce pas ? Je comprends que vous soyez intriguée. Rinkah : Hum… « Curieuse » plutôt. Tu as dit pouvoir lire l’avenir dans un autre contexte que celui de la bataille. Lequel ? Orochi : Oh, tout ou presque : l’amour, la santé, le temps qu’il fait… Rinkah : Ah, vraiment ? Orochi : J’ai l’impression que vous aimeriez que je consulte les dieux pour vous. À quel sujet ? Rinkah : Pas ceux que tu as cités. Orochi : Allez-y, dites-moi lequel. Rinkah : La nourriture. Orochi : La… nourriture… Hum… Eh bien, d’accord. Rinkah : Allez, mets-toi au travail. Orochi : Je dois préparer les ingrédients adéquats pour mon incantation. Laissez-moi un peu de temps. Je vous appellerai lorsque je serai prête. Rinkah : Bon, mais ne traîne pas. Orochi : D-De la nourriture ? Qu’est-ce qu’elle attend de moi ? Que je lui parle de son prochain petit-déjeuner ?! Soutien A Rinkah : Orochi ! Orochi : Ah, c’est vous, Rinkah. Bonjour. Rinkah : Tes prédictions culinaires sont tout bonnement incroyables ! Orochi : Euh… Vraiment ? Rinkah : J’ai mangé ce que tu avais vu dans mon avenir. Et je suis en pleine forme ! Je déborde d’énergie, pas le moindre signe de fatigue. Orochi : Vous n’êtes pas sérieuse, là. Rinkah : Bien sûr que si ! Je n’ai mangé que des aliments saumurés : viande, légumes… Il m’a fallu quelques jours, mais je ne me suis jamais sentie aussi bien ! Orochi : Heureuse de l’entendre. Rinkah : Ah, j’ai l’impression de pouvoir déplacer des montagnes. Littéralement ! Je suis prête, partons au combat. Je décimerai l’armée ennemie toute seule ! Orochi : Je n’en doute pas une seconde. Rinkah : Désolée de m’être montrée sceptique au sujet de tes pouvoirs. Je ne les remettrai plus jamais en doute ! Et à partir de maintenant, je suivrai tes conseils gastronomiques à la lettre ! Orochi : Je suis contente d’avoir pu vous rendre service. Rinkah : Merci encore pour tes prédictions culinaires ! Orochi : … Mhh… J’espère qu’elle n’ira pas le crier sur les toits… Je n’ai fait que lui réciter quelques pages d’un livre de recettes, c’est tout… J’étais sûre qu’elle ne me croirait pas. On dirait que je me suis trompée. Mais on dirait que mes « prédictions culinaires » l’ont rendue heureuse… Ha ! Mes talents me surprennent, parfois !
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Jeu 26 Mai - 18:48 | |
| Orochi & Kaze - Spoiler:
Soutien C Orochi : Quelle plaie de toujours devoir chercher des herbes… Kaze : Excusez-moi, Oro… Orochi : Hiii ! Oh. Ce n’est que vous, Kaze. Ne me faites plus jamais peur comme ça. J’ai cru que vous étiez un assassin. Kaze : Hum, oui. Toutes mes excuses. Je suis seulement venu vous informer de quelques problèmes au camp. Orochi : La prochaine fois, pourriez-vous crier ou m’appeler ? Histoire de prévenir ! Kaze : C’est la façon de faire des ninjas. Sortir de l’ombre est devenu une habitude. Veuillez m’excuser. Orochi : Faites ce que vous voulez avec les autres. Mais avec moi… Réfléchissez-y à deux fois. Kaze : C’est si instinctif que je n’aurai sans doute pas le temps d’y penser du tout. Orochi : Eh bien, je vous félicite d’être plus rapide qu’une flèche. Mais je le répète une bonne fois pour toute. Ne recommencez jamais. Hum. Quoique… Kaze, au lieu de vous demander d’être discret… Je crois que je vais profiter de cette occasion pour me défendre contre vous. Kaze : Nul besoin est. J’ai compris ma leçon. Je ferai de mon mieux pour… Orochi : Non. On va faire les choses à ma façon. Je combattrai l’instinct par l’intuition. Je vais apprendre par moi-même à détecter vos approches furtives. Kaze : Très bien. Je serais heureux de vous apporter mon aide. Que puis-je faire ? Orochi : Soyez vous-même. À bon chat, bon rat. Kaze : Alors, je devrais… continuer de jaillir des ténèbres ? Orochi : Couic, couic ! Kaze : Est-ce que cela veut dire oui, Orochi ? Orochi : Oh, Kaze. Toujours aussi sérieux. Oui, c’est bien ça, en effet. Que le jeu commence ! Soutien B Orochi : Je suis… épuisée. Fichu Kaze. Kaze : Vous m’avez appelé ? Orochi : Hiii ! Kaze : Pardon, Orochi. On dirait que je vous ai encore surprise en surgissant de l’ombre. Orochi : Oui, je sais. Ça vous plaît de remuer le couteau dans la plaie, comme ça ? Kaze : Je ne peux plus jouer à cela avec vous, Orochi. Je vous fais peur à chaque fois. J’ai pratiqué des années durant l’art de la furtivité. Vous ne pouvez pas espérer me repérer aussi rapidement. Vous êtes exténuée ! Orochi : Chut. Orochi ne sera pas vaincue si facilement. J’apprendrai. Kaze : Ou vous allez finir à bout de nerfs. On ne peut pas voir les ninjas, voilà tout. Orochi : Nous finirons ce jeu coûte que coûte. Je n’abandonnerai pas. Kaze : Alors, si vous tenez à jouer à ce jeu du chat et de la souris… J’ai une proposition à vous faire. Orochi : Je vous écoute. Kaze : Le chat portera une clochette, pour que la souris l’entende mieux. Orochi : Vous feriez vraiment ça ? Hum, pas mal. Mais ça a intérêt d’être une clochette qui soit vraiment discrète. Kaze : Elle le sera. Cela aiguisera votre perception et vous aidera à m’entendre. Cela dit, je ne la porterai pas au combat. Seulement lors de nos jeux. Orochi : Alors allez mettre votre clochette maintenant, Kaze. Je tendrai l’oreille. Kaze : Heureux de vous aider, Orochi. Et ravi de vous voir de meilleure humeur. Orochi : Oui, oui. Allez donc. Je serai d’encore meilleure humeur en vous entendant tinter, Kaze. Soutien A Kaze : Ding ! Orochi : Je vous ai eu, Kaze. Kaze : Bien joué, Orochi. Vous pouvez m’entendre approcher à tous les coups, désormais. Orochi : Il est peut-être temps de nous débarrasser de cette clochette. Ou pas. J’apprécie le fait que vous ayez commencé à la porter pour me faire plaisir. Kaze : Tout le plaisir est pour moi. Mais je crois que vous pouvez vous en passer à présent. Votre assiduité vous a doté d’une oreille digne du plus doué des ninjas. Orochi : Alors il est peut-être temps d’inverser les rôles, Kaze. Miaou, miaou, miaou ? Kaze : Pardon ? Je crains que vous ne m’ayez pris au dépourvu. Miaou, dites-vous ? Orochi : Je ne me laisserai plus surprendre… C’est à mon tour de me jeter sur vous ! Vous voyez ? C’était un subterfuge. Orochi, un rat ? Vous rêvez ! Je ne supportais pas que vous fassiez un meilleur chat. La vraie chasse commence. Kaze : La chasse… à quoi ? Oh, je vois. Orochi : Vous feriez mieux de prendre vos jambes à votre cou, Kaze. Orochi part à la chasse. Kaze : Ah, il y a un petit problème, cependant. Orochi : Lequel ? Kaze : Vous pouvez entendre un ninja portant une clochette, mais pouvez-vous l’attraper ? Je suis rapide. À peine aurez-vous le temps de vous retourner, que je serai déjà parti. Orochi : Mais je me suis entraînée si dur ! Peut-être que si vous portiez de lourdes chaînes… Kaze : L’entraînement est terminé, Orochi. Pour vous… Comme pour moi. J’ai obtenu ce que je voulais : j’ai aiguisé mes talents et mes sens. Maintenant, je suis plus furtif. Alors, adieu clochette. Je retourne dans l’ombre. Merci d’avoir joué à mon petit jeu. Cela a fait de moi un meilleur ninja. Orochi : Votre jeu ?! Mais c’était mon jeu ! Kaze : Hé hé. En êtes-vous sûre ? Orochi : Quoi ?! Quel culot. Qui disparaît comme ça au beau milieu d’une conversation ?! C’est très impoli. Je me vengerai, Kaze. Vous m’entendez ?! Attendez un peu que je vous attrape ! Kaze… ? Soutien S Orochi : Je… Je vous attraperai, Kaze ! Vous ne pourrez pas m’échapper éternellement. Kaze : Je crois que si. Ne voulez-vous pas arrêter ce jeu ? Vous ne pourrez jamais m’attraper. Je suis un ninja. Vous êtes… Orochi. Le jour ne peut attraper la nuit. Orochi : Arrêtez avec votre philosophie ninja ! Je dédierai ma vie à essayer de vous attraper. Kaze : Cela me briserait le cœur. Orochi : Si je vous attrapais ? Kaze : Que vous gâchiez ainsi votre vie, enfin. Puis-je vous faire une autre offre ? Orochi : Oh, je n’écouterai plus aucune des offres que vous avez à me faire, Kaze. Vous m’avez dit que vous porteriez une clochette pour me faciliter la tâche. Mais vous m’avez tournée en ridicule. Je ne vous laisserai plus jouer avec moi ! Kaze : Je vous propose de… Orochi : Arrêtez avec vos offres, j’ai dit ! Kaze : Écoutez-moi. Ce que je vous propose c’est… que vous portiez cette bague. Orochi : Est-elle empoisonnée ? Truquée ? Va-t-elle me paralyser ? Me figer sur place ? Kaze : Vous voyez, c’est ce que j’aime chez vous. Orochi : Ce que vous aimez… ? Kaze : Vous êtes telle une bougie en pleine nuit. Vous illuminez mon monde. Orochi : Je vois. Vous remuez le couteau dans la plaie. Vous vous moquez de moi. Kaze : Jamais. Cela vient du cœur. J’espérais que vous ressentiez la même chose. N’était-ce pas le but de nos jeux ? Orochi : Hé. Je vous ai eu. Kaze : Quoi ? Non, écoutez-moi. N’essayez pas de retourner la situation contre moi. Vous n’auriez jamais pu m’attraper si je n’avais pas décidé de me montrer. Orochi : Un instant, Kaze. Pardon de vous interrompre. Puis-je voir votre doigt ? Kaze : Euh, bien sûr. Lequel ? Orochi : Main gauche, à côté de votre petit doigt. Puis-je avoir cette bague aussi ? Kaze : Quoi ?! D’accord, bien sûr. Maintenant, pourriez-vous m’écouter une minute ? Je suis un ninja extrêmement doué, et je ne me laisserais jamais attraper. Orochi : Ah bon… Attendez… Et… Voilà. Kaze : Vous m’avez passé la bague au doigt. Orochi : Oui, et c’est celle que vous vouliez que je porte, Kaze. Vous avez été pris à votre propre piège ! Notre petit jeu est fini. Je vous ai eu, mon cher ninja.
Mozu & Jakob - Spoiler:
Soutien C Mozu : Snif ! Jakob : Mozu ? Ça va ? Mozu : O-Oui. J’étais en train de rêver de ma ville natale. Avant les Sans-Visages. Je les ai tous vus. Je leur parlais. Ma famille, mes amis, tout le monde. Puis je me suis réveillée. Et c’est comme si on me les avait enlevés une deuxième fois… Pourquoi ?! Pourquoi ça leur est arrivé à eux ? Qu’est-ce qu’ils ont fait ?! Jakob : Mozu… Je suis désolé. Mais pleurer ne les ramènera pas. Mozu : Je sais. Mais… je peux pas m’en empêcher… Jakob : Hum. Dans ce cas… Pleure aussi longtemps que tu veux. Un jour, tu n’auras plus de larmes à verser. Et enfin, tu trouveras la force d’avancer. Pas avant. Mozu : Je l’espère. Snif ! Soutien B Mozu : Snif ! Jakob : Mozu ? Tu penses encore à ta ville natale ? Mozu : O-Oui. Mais contrairement aux apparences, je suis pas toujours en train de pleurer. Ce sont juste des petites choses qui déclenchent des souvenirs. Je viens de voir un soldat qui m’a rappelé un des garçons de chez moi. Il était si gentil… Il nous a aidés quand ma maman était malade. Je n’oublierai jamais. Jakob : Je vois. Je suis presque jaloux. Mozu : Jaloux ? De moi ? Comment pouvez-vous dire ça ?! Jakob : Contrairement à toi, je ne souffre pas d’avoir perdu quelque chose de précieux. Je n’ai aucun bon souvenir de mon passé. Mozu : Comment ça ? Jakob : On m’a confié au palais quand j’étais jeune. Je n’ai plus jamais revu mes parents. « Confier » est sans doute un euphémisme. J’ai été jeté à la première occasion. Je n’ai aucun bon souvenir de mes parents. Ils étaient d’une cruauté sans nom. Et ils étaient loin de vivre dans une communauté aimante. Mozu : Jakob… Jakob : Sans Dame Corrin, je serais encore dans la tourmente. Mozu : Je suis désolée… Jakob : Donc je pense que tu as de la chance, d’une certaine façon. Tu as de bons souvenirs de ton village. Et personne ne pourra te les enlever. Mozu : C’est vrai. Je devrais être contente de ce que j’ai. Merci, Jakob. Je me sens un peu mieux. Soutien A Mozu : Haaa ! Yaaa ! Jakob : Mozu ? Tu t’entraînes ? Mozu : Oui ! Exactement. Je veux être plus forte pour pouvoir protéger tout le monde ! Jakob : Oh ? Tu as bien changé. Tes larmes se sont-elles enfin taries ? Mozu : Non. Je pleure encore parfois, mais je sais que ça peut pas continuer ainsi. Je dois continuer de vivre. Et de me battre. Pour le bien de tous ceux que j’ai perdus. Jakob : Oh ? Es-tu bien sûre que tu ne vas pas te remettre à pleurer ? Mozu : Eh bien ! Que de méchanceté ! Mais c’est trop tard… Je sais que vous êtes un homme bon… Jakob : Oh ? Alors comme ça, on pense me connaître ? Mozu : Oui, je pense. Vous venez toujours me parler quand j’ai du chagrin. Et je sais que vous faites attention à moi. Jakob : J’étais dans le coin, c’est tout. Ne te fais pas de fausses idées. Mozu : Ha ha ! Vous êtes pas vraiment sincère, n’est-ce pas ? Jakob : Tss. Les villageois et leurs manières rustiques… Mozu : Merci. De prendre soin de moi. Et de m’aider. Je vais essayer de me rendre utile ici. Continuez de veiller sur moi, d’accord, Jakob ? J’aurai peut-être besoin d’aide. Jakob : Hum ! Peut-être. S’il m’en prend l’envie. Soutien S Jakob : Mozu. Veux-tu bien m’aider ? Mozu : Vous aider à quoi faire ? Jakob : Tu te souviens de ce que je t’ai raconté à propos de mon enfance ? Que je n’avais aucun souvenir qui en vaille la peine ? Mozu : Oui, je me rappelle. Jakob : J’espérais que tu m’aiderais à me créer de nouveaux souvenirs. Des bons cette fois. Mozu : Oh, ça me ferait plaisir. À quel genre de souvenirs pensez-vous ? Jakob : Eh bien… en fait… j’aimerais que tu partages ma vie. Mozu : Jakob, vous voulez dire que… Jakob : Alors qu’en dis-tu ? Veux-tu m’aider ? Mozu : J’aimerais beaucoup. Mais avant toute chose, j’aimerais bien comprendre. Jakob : Je m’offre à toi, Mozu. Je suis tout à toi. Avec toi, je me sens toujours à l’aise. S’il te plaît, accepterais-tu de m’épouser ? Mozu : Vous êtes sûr ? Vous préféreriez pas une femme plus sophistiquée ? Jakob : Mozu, non, tu te trompes. Tu es la femme la plus exquise que je connais. Mozu : A-Alors, oui ! Je suis à vous. Je vous aime, Jakob. Jakob : Vraiment ? Oh, Mozu ! Je t’aime aussi ! Alors restons ensemble pour toujours ! Mozu : Hi hi ! Je l’espère oui !
Mozu & Subaki - Spoiler:
Soutien C Subaki : Bonjour ! C’est toi, Mozu ? Mozu : Oui, c’est bien moi. Et vous, vous êtes Subaki, c’est ça ? Le prodige de notre armée ? Subaki : Ma réputation me précède, on dirait. En réalité, j’ai encore beaucoup à apprendre. Mais si tu as une question, n’hésite pas à venir me voir. J’essaierai de t’aider. Mozu : Oh, alors… Hoshidien : Messire Subaki ! Excusez-moi de vous déranger ! Subaki : Que se passe-t-il, soldat ? Dis-moi tout. Hoshidien : Un de mes amis a attrapé un mauvais rhume. Connaîtriez-vous un remède ? Subaki : C’est vrai qu’il y a une véritable épidémie, en ce moment. Fais-lui boire un bouillon de feuilles de jujubier et de lin. Tu verras, il sera vite remis sur pied. Hoshidien : B-Bien compris ! Merci, Messire ! Mozu : Vous savez, il y a un meilleur moyen de guérir le rhume qui circule en ce moment. Subaki : Ah oui ? Mozu : La recette que vous lui avez donnée marche bien, mais le jujubier est très cher. Et avec la guerre, il est presque impossible de trouver du lin en magasin. Il faut aller le cueillir soi-même, si tant est qu’il en reste encore dans les champs. Le mieux, c’est de lui préparer une tisane aux prunes et aux oignons. C’est bon marché, et surtout, très efficace. Subaki : Je ne connaissais pas ce remède… Mozu : Oh, c’est pas grand-chose. Une dame de mon village m’a enseigné cette recette. Subaki : Je vais vite rattraper ce soldat et lui parler de ton remède. Merci, Mozu ! Mozu : À votre service. Ça me fait plaisir d’avoir pu vous aider. Subaki : Et après, j’irai à la bibliothèque, il faut que j’étudie plus… Je ne m’y connais pas aussi bien en remèdes que ce que j’imaginais. Mozu : Subaki ? C’est moi ou vous aimez pas perdre… ? Soutien B Mozu : Subaki, Subaki ! Avez-vous entendu la nouvelle ? Subaki : À propos du soldat ? Bien sûr ! Je lui ai donné la recette de votre remède, et le lendemain, il allait déjà mieux ! C’est merveilleux. Mozu : Je suis ravie d’avoir pu être utile ! Subaki : Tu as l’air calée en la matière, Mozu. Je suis impressionné. Tu sais, je suis allé à la bibliothèque juste après avoir donné la recette à ce soldat. Figure-toi que je ne l’ai trouvée dans aucun des livres de remèdes que j’ai lus. Serait-ce une sorte de secret transmis dans ton village ? Mozu : Oh, non, non. C’est juste un remède de grand-mère, rien de plus. C’est sûrement pas le genre de choses qu’on trouve dans les bouquins. Subaki : Un remède de grand-mère ? Je vois… Crois-tu que tu aurais d’autres choses à m’apprendre ? Mozu : Oh, euh… Eh bien… Je sais comment conserver longtemps la nourriture. Subaki : C’est vrai ? Et quel est ton secret ? Mozu : Prenez par exemple les navets. Vous pouvez les conserver dans du papier parchemin après avoir coupé leurs feuilles. Subaki : Du papier parchemin ? C’est intéressant… Mozu : Oh, et il vaut mieux conserver certains légumes dans un endroit frais. Si vous y ajoutez du charbon, ils resteront frais encore plus longtemps. Subaki : J’ignorais tout ça… C’est vraiment fascinant. Je n’aurais jamais pu apprendre ça dans les livres. Dis, Mozu. Tu voudrais bien m’apprendre encore d’autres choses de ce genre ? Tout ce que tu sais pourrait nous être utile à tous. Qu’en penses-tu ? Mozu : Oh, euh… Bien sûr. Ça me ferait plaisir. Subaki : Merci ! Soutien A Mozu : Aaah… Tout le monde est venu me demander des conseils, aujourd’hui… Je suis exténuée, mais je suis contente de leur avoir rendu service. Subaki : Ah, Mozu ! J-Je suis désolé… Mozu : Pourquoi vous excusez-vous, Subaki ? Subaki : On m’a dit que des gens ont fait la queue pour te demander conseil, aujourd’hui… C’est de ma faute. Je n’ai pas arrêté de vanter tes connaissances. Je n’ai pas su m’arrêter, et tout le monde a commencé à en parler. Mozu : Oh ! Je comprends mieux pourquoi tout le monde est venu me voir aujourd’hui. Subaki : Je suis vraiment désolé. Je ne pensais pas à mal. Cela t’a-t-il embêtée ? Mozu : Oh, disons que j’ai été très occupée, voilà tout. Mais ça m’a fait plaisir d’être utile. Subaki : Tant mieux. Je suis soulagé. Mozu : Subaki… Je vous ai mal jugé. J’ai entendu dire que vous cherchiez à devenir parfait. Alors je vous ai pris pour un homme jaloux qui veut juste être le meilleur en tout. Mais en fait, vous cherchez qu’à apprendre et à aider les gens. Subaki : Je mentirais si je disais que je n’étais pas jaloux de toi, Mozu. Mais tu sais tant de choses, ce serait du gâchis de ne pas en faire profiter le monde. Mozu : Je suis pas étonnée que les gens pensent que vous êtes parfait. Vous êtes quelqu’un de bien, vraiment. Subaki : Tu me flattes, Mozu. Merci de nous avoir tant appris. À moi et aux autres. Mozu : Je vous en prie. Ça me fait plaisir. Soutien S Mozu : Su… Subaki ? Vous êtes occupé ? Subaki : Mozu ? Tu as besoin de moi ? Mozu : Je… Je voudrais vous parler… de quelque chose… Subaki : Bien sûr, je t’écoute. Mais je ne pense pas être le mieux placé pour te donner des conseils. Mozu : Non, j’ai pas besoin de conseil… Subaki : Ah ? Alors, qu’y a-t-il ? Mozu : Euh… Je vous aime, Subaki… Subaki : Hein ? Euh… M-Merci. C’est très gentil… Mozu : M-Merci ?! C’est tout ce que ça vous fait ? C’est pas une réponse, ça… ! Subaki : Désolé ! Je suis juste un peu surpris, c’est tout. C’est si soudain. Mozu : Je comprends. Désolée… Mais je vous aime depuis le jour où on s’est rencontrés. Vous êtes si talentueux, si gentil… J’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi parfait. Mais je sais que vous aimerez jamais une paysanne comme moi. On irait pas ensemble, c’est tout. Subaki : Mozu… Mozu : Nos conversations étaient tellement passionnantes, alors je me suis dit… Je… Je me suis dit que je pourrais tout vous avouer, même si j’avais aucune chance… C’était sûrement idiot de ma part d’espérer une réponse positive. Désolée. Subaki : Mozu… Pourquoi te dévalorises-tu à ce point ? Mozu : Hein ? Subaki : Mozu… Moi aussi, je t’aime. Mozu : Q-Quoi ?! V-Vraiment ? Subaki : Je ne supporte pas de t’entendre dire que nous n’irions pas bien ensemble. Ce n’est pas parce que nos milieux sont différents que nous ne pouvons nous aimer. Mozu : Subaki… Merci. Je suis si heureuse. Subaki : Je suis désolé de t’avoir inquiétée. Sache que je serai toujours à tes côtés si tu le souhaites. Mozu : Rien ne me ferait plus plaisir.
Hana & Kaze - Spoiler:
Soutien C Hana : Gnn… Grmpf… Kaze : Hana ? Que faites-vous donc avec tous ces légumes ? Hana : Oh, Kaze ! J’ai aidé à les cueillir… dans le champ voisin… et je dois maintenant les ramener. Kaze : Il y en a assez pour un régiment… Permettez-moi de vous aider. Hana : Non, non, non… Je peux… me débrouiller ! Kaze : Mais ils pèsent une tonne ! Pourquoi vous infligez-vous ça ? Hana : Cela m’aidera à… arf… devenir plus forte. Vous ne pensez pas que cela va m’aider à me… muscler ? Kaze : Ce qui est sûr, c’est que ça vous épuisera… Vous êtes déjà en nage. Laissez-moi vous aider. Sinon vous ne parviendrez pas à rentrer. Hana : Non, je… m’en sors très bien… toute seule. Kaze : Vous ne vous en sortez pas du tout. Allez, je vous en prends une partie. Pas plus de la moitié. Hana : Pfiou… Ouf ! Ça fait du bien… Hé, attendez ! Vous avez dit « pas plus de la moitié », pas « les trois-quarts » ! Kaze : Les trois-quarts ? Votre imagination vous joue des tours. Hana : Non, pas du tout ! Hé, mais où est-ce que vous allez ?! Rendez-moi ça tout de suite ! Kaze : Vous devrez me rattraper si vous les voulez. Allez ! Mettons-nous en route. Hana : Grr ! Ce n’est pas juste ! Vous savez bien que je ne vous rattraperai jamais ! Kaze : Ha ha… Très bien, faisons un marché. Laissez-moi devenir votre entraîneur et arrêtez ce genre d’exercices inutiles. Hana : Quoi ? Vous voulez dire que ce n’est pas un bon exercice pour moi ? Kaze : Pas vraiment, non. Si vous voulez vous entraîner, faites-le correctement. Brûler les étapes peut aussi vous brûler les ailes… Hana : Bon, ça va… Marché conclu. Kaze : Excellent. Maintenant, ramenons tous ces légumes au camp. Hana : D’accord ! Soutien B Hana : Cette journée d’entraînement était des plus plaisantes ! Merci Kaze ! Kaze : Je ne m’attendais pas à un tel investissement de votre part, Hana. Hana : Je vous avais prévenu de ne pas me sous-estimer ! M’entraîner et progresser… Je n’ai que ça en tête ! Kaze : Ce que je voulais dire, c’est que… j’admire et respecte un tel dévouement. Il est bon de faire ce que l’on entreprend avec concentration et détermination. Hana : Hi hi… Merci. Kaze : Mais pourquoi continuer à vous entraîner autant ? Vous êtes suffisamment affûtée. Hana : Non, j’ai un long chemin à parcourir. Je dois devenir plus forte pour Sakura. Ce n’est pas le repos qui m’a fait entrer à son service, alors pourquoi commencer ? Kaze : Ha ha, ne vous inquiétez pas… Personne n’ira dire que vous n’êtes pas à la hauteur. Hana : Aujourd’hui, peut-être, mais ça n’a pas toujours été le cas… Un garçon m’a un jour dit : « Les filles ne peuvent pas devenir samouraïs ! » Je m’en souviens comme si c’était hier. Cette blessure ne s’est pas refermée. Kaze : Mais vous êtes maintenant devenue un samouraï respectable et respecté, non ? Je ne vois pas pourquoi de telles bêtises continuent à vous hanter… Hana : Merci… Ce que je garde à l’esprit, c’est cette sensation de dégoût lorsqu’il me l’a dit. Le combat continuera tant que des hommes se permettront de parler de la sorte… Je montrerai que les femmes aussi peuvent accomplir de grandes choses. Kaze : Ahh… Je comprends. C’est donc de là que vient votre force. Hana : En effet. Et ce qui me motive plus que tout aujourd’hui… C’est le désir de protéger Dame Sakura. Kaze : J’entends bien. Mais veillez à ne pas commettre d’imprudence. Cette volonté de fer peut aussi se retourner contre vous. Vous pourriez être gravement blessée si vous vous laissez aveugler par elle. Hana : Je ne vous savais pas si inquiet, Kaze. Pas d’inquiétude, je peux me débrouiller. Kaze : Mais… Hana : Oh ! Je viens de me rappeler que c’est bientôt mon tour de garde ! Je dois partir. Merci pour cette conversation, Kaze ! Kaze : De rien… Hum… Je ne suis pas sûr qu’elle m’ait vraiment écouté. Soutien A Kaze : Hana… Vous souvenez-vous de ce que je vous ai dit, l’autre jour ? Hana : Hum… Bien sûr ! Vous m’aviez demandé de, euh… me montrer prudente au combat ? Kaze : En effet. Et l’on m’apprend que vous avez chargé les rangs ennemis… Toute seule. Hana : Mais… Je les entendais dire que je serais une proie facile pour eux, étant une fille ! Comment pouvais-je laisser passer ça ?! Kaze : Songez plutôt d’abord à votre importance dans nos rangs à nous ! Votre précipitation a créé une faille dans notre formation, nous laissant vulnérables. Et vous laisser ainsi encercler par l’ennemi nous a aussi causé beaucoup de souci. Hana : Je suis désolée. Kaze : Il est facile de se laisser emporter par ses émotions et de commettre des erreurs… Vous pouvez me croire, je suis bien placé pour le savoir. Hana : Que voulez-vous dire ? Kaze : Mon frère Saizo… Il a tendance à se laisser guider par ses émotions… Il m’a causé bien du tracas à plus d’une reprise. Hana : Oh, je l’ignorais… Kaze : C’est pour ça que je vous parle de tout ça. Vos émotions sont source de force autant que de faiblesse. Gardez le contrôle. Hana : Je comprends. Désolée de vous avoir inquiété, Kaze. Kaze : Il n’y a pas que moi. Tous les autres étaient inquiets, également. Alors essayez de vous en souvenir lors de notre prochain combat, d’accord ? Hana : D’accord. Kaze : Bien. Maintenant, laissez-moi jeter un œil à cette blessure. Ce n’est qu’une égratignure, mais il ne faut pas la laisser s’aggraver. Hana : Merci de votre aide. C’est vrai que si on ne fait rien, j’aurais du mal à m’entraîner. Kaze : Cette blessure ne guérira pas par magie… Accepterez-vous de vous reposer pendant quelques jours, au moins ? Hana : Bon, d’accord ! Mais une fois guérie, je vous attendrai au pied levé pour mon entraînement, vu ? J’ai l’impression que votre présence m’aide à tenir mes émotions en bride… Kaze : Bien. Alors faites-moi signe lorsque vous serez de nouveau d’attaque. Hana : J’ai tellement hâte ! Soutien S Kaze : Mademoiselle Hana… Je dois vous parler de quelque chose. Hana : Bonjour, Kaze ! Pourquoi ce ton si solennel ? Plus qu’à l’accoutumée en tout cas. Kaze : Eh bien… J’ai beaucoup appris de nos séances d’entraînement… Ainsi que de votre dévouement envers la protection de Son Altesse Sakura. Hana : Mm-hum… Kaze : Et j’ai compris que… j’avais à cœur de vous aider. Et la meilleure façon d’y parvenir est pour moi de vous protéger. Hana : Quoi ? Me protéger ? Kaze : C’est exact. Cela peut vous paraître étrange, venant de moi… Mais c’est là mon désir, et il découle de mes sentiments pour vous. Hana : Euh… Kaze : Me ferez-vous l’honneur de devenir… ma partenaire ? Je serais ainsi à même de vous aider et vous défendre. C’est là mon souhait le plus cher. Hana : Quoi ?! Vous êtes… amoureux de moi ? Ce n’est pas une plaisanterie, hein ? Kaze : Pas du tout. Je suis on ne peut plus sérieux. Est-ce que cette requête vous importune, Hana ? Hana : Non, pas du tout… En fait, elle me rend même heureuse. Vous avez toujours été là pour moi, lorsque j’en avais besoin… Je crois que je viens seulement de réaliser que j’étais moi aussi amoureuse de vous. Alors… Oui ! Je deviendrai votre partenaire et protégée. Kaze : Hana, vous ne savez pas à quel point vos paroles me comblent de joie ! Hana : Moi aussi ! Au fait, je plaisantais quand je parlais de devenir votre protégée. Kaze : Quoi ? Qu’est-ce que vous voulez dire ? Hana : Que c’est moi qui m’occuperai de votre protection, voyons ! Nous nous aiderons et nous protégerons l’un l’autre ! C’est là le propre d’un couple. Kaze : Ha ha. Je vois. Merci, Hana. J’en suis très heureux. Hana : Et moi donc !
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Ven 27 Mai - 19:11 | |
| Silas & Kaze - Spoiler:
Soutien C Silas : C’est… Kaze, attention ! Un Sans-Visage ! Baissez-vous ! Kaze : Qu’est-ce que… ?! Sans-Visage : Grr… ! Silas : Pfiou… Ne baissez pas votre garde, Kaze. Vous étiez une proie facile. Kaze : Excusez-moi, Silas. Je ne faisais pas assez attention, c’est impardonnable. Silas : Bah, ça arrive à tout le monde. Soyez sur vos gardes la prochaine fois. Kaze : Oui. Merci… Silas : Je suis heureux que vous ne soyez pas blessé. Prenez soin de vous, Kaze. Kaze : Silas… Attendez, s’il vous plaît ! Silas : Bizarre… Je croyais l’avoir entendu m’appeler. Il a dû partir. Kaze : Silas ! Silas : O-Ouah ! Mais d’où est-ce que vous venez comme ça ? Kaze : Désolé si je vous ai fait peur. Ce n’était pas mon intention. Je ne suis pas un ninja assez expérimenté pour savoir le bruit que je fais. Silas : D-D’accord… Qu’est-ce que vous voulez ? Kaze : J’ai réalisé quelque chose. Vous m’avez sauvé la vie. J’ai donc une dette envers vous. Silas : Ne vous inquiétez pas. N’importe qui aurait fait la même chose. Kaze : Ça ne me convient pas. Je ferai tout ce que vous voulez. Vous n’avez qu’à demander. Silas : Tout ce que je veux ? Hum… Vous me prenez un peu au dépourvu, là… Écoutez, les choses sont bien comme elles sont. Vos remerciements me suffisent. Kaze : Silas… Soutien B Silas : Ahh… En voilà une belle pomme. Mûrie à la perfection. Pleine de jus. C’est comme ça que je les aime ! Mais… C’est bizarre. Je suis sûr de n’avoir emporté qu’une seule pomme, aujourd’hui. Pourquoi en ai-je une deuxième ?! Kaze : Je suis désolé… Je pensais que c’était ce que vous vouliez. Silas : Kaze ?! Quand diable êtes-vous arrivé ?! Kaze : Malgré mon inexpérience, je suis entraîné à me déplacer rapidement et sans bruit. Vous sembliez apprécier les pommes, alors je vous en ai apporté une autre. Silas : C’est donc ça… Bien. J’imagine que je dois vous dire merci. Attendez… Essayez-vous encore de me remercier pour le Sans-Visage ? Kaze : En effet. Et j’ai bien peur que toutes les pommes du monde ne suffisent pas… Vous m’avez sauvé la vie. Ma dette reste impayée. Silas : Non, c’est faux. Je vous assure que ça va. Je vous libère, nous sommes quittes. Kaze : Ce n’est pas aussi simple. Prenez soin de vous, Silas. Silas : Comme vous voudrez… En voilà une bonne soupe. Qu’est-ce qu’elle remplit bien le ventre ! J’ai à peine entamé le bol que je me sens déjà rassasié. Il faut absolument que je mette la main sur cette recette ! … Oh, non… Aucune soupe ne peut être aussi nourrissante. Ne me dites pas que… Kaze ! Kaze : Argh. Comment m’avez-vous détecté ? Silas : Vous avez rempli mon bol durant tout le repas ?! Mais comment ?! Kaze : Je vous demande pardon. Je pensais bien faire… Silas : Je n’arrive pas à y croire. Je vous ai dit que je n’avais besoin de rien d’autre ! C’est bon ! Vraiment ! Vous commencez à me faire peur… Soutien A Silas : Pff… Vous pouvez sortir, Kaze. Je sais que vous êtes là. Kaze : Bien joué. Silas : Je le savais ! Pourquoi vous ne voulez pas laisser tomber ? Nous sommes quittes. Les gens commencent à se poser des questions. Ils pensent que je suis maudit. Kaze : Je suis désolé. Je ne pensais pas que cela deviendrait un problème. Silas : Je ne suis pas fâché. Je comprends ce que vous ressentez, et je vous en remercie. Je n’aime pas avoir de dette non plus. Je donnerais ma vie en remboursement. Alors je crois comprendre ce que vous traversez. Kaze : Je ne savais pas… Silas ! À terre ! Silas : Hein ?! Kaze : Ha ! Sans-Visage : Aaargh… ! Kaze : Vous êtes blessé ? Silas : Un Sans-Visage ? Ici ? C’était moins une… Merci, Kaze. C’est vous qui m’avez sauvé, cette fois. Kaze : Ce n’est rien. Je suis heureux qu’il ne vous soit rien arrivé. Silas : Votre dette est désormais payée. Je pourrais même vous être redevable… Kaze : Je suis heureux de vous l’entendre dire. Bien que je me sente vide de n’avoir plus rien à vous devoir… Silas : Eh bien, si c’est là le seul problème… Pourquoi ne pas mettre de côté toutes ces courtoisies qui nous embêtent ? Cela nous ferait certainement du bien à tous les deux. Kaze : Vous le pensez vraiment ? Silas : Juste une chose… Portez des bottes plus lourdes, la prochaine fois. Cela me donne des frissons quand vous vous glissez furtivement derrière moi. Kaze : Je comprends. J’essaierai de mieux vous avertir à partir de maintenant. Silas : Parfait. Faites cela et tout ira bien.
Sakura & Subaki - Spoiler:
Soutien C Subaki : Ouf ! Si je ne me connaissais mieux, je dirais que c’est de la fatigue… Sakura : Subaki, viens-tu de dire que tu étais fatigué… ? Subaki : Ah ! D-Dame Sakura… ! Bien sûr que non ! Je n’ai rien dit de tel. Sakura : Oh, j’ai dû mal entendre. Je ne t’ai jamais entendu te plaindre auparavant… Subaki : Je n’ai jamais ressenti de fatigue… Alors je doute que j’en reconnaisse les symptômes. Sakura : Subaki, quand as-tu dormi pour la dernière fois ? Maintenant que j’y pense… Tu as combattu dans la bataille épique d’hier. Nous avions à peine fini que… Quelques minutes plus tard, tu t’es rendu à la réunion stratégique… N’est-ce pas ? Et voilà que tu diriges les arrière-troupes et que tu gères les provisions… Subaki : Tout cela est vrai… Mais comme vous le savez, pour moi, c’est un jeu d’enfant ! Sakura : Je ne remets pas tes talents en question, mais… ne te tue pas à la tâche, d’accord ? Subaki : Ce serait impossible ! Sakura : Je sais que tu t’efforces de faire comme si c’était facile. Tu n’as pas à faire semblant. Subaki : Chut ! D-Dame Sakura… ne dites plus un mot ! Sakura : M-Mais… ! Subaki : Je viens de me rappeler que nous venons de recevoir des provisions. Excusez-moi… Sakura : Subaki… ! Soutien B Subaki : Pff ! C’est terrible ! Sakura : Subaki, que lis-tu ? Cela te rend si nerveux que tu en froisses les pages ! Subaki : D-Dame Sakura ! C-Ceci ? Ce n’est… rien… Pff ! Cela ne sert à rien de le cacher… La rumeur aura tôt fait de se répandre. Sakura : Quelle rumeur ? Subaki : Sans le vouloir, j’ai doublé notre commande d’armes. Regardez. Il devrait être écrit 10. Sakura : C’est tout ? Ce n’est pas grave. Mieux vaut avoir trop d’armes que pas assez ! Subaki : Seul un idiot pourrait se tromper en exécutant une tâche aussi… rudimentaire ! C’est accablant. J’ai entaché mon bilan pourtant sans faute. Je suis fichu ! Sakura : Enfin, Subaki… Il me semble que ce n’est pas la première erreur que tu commets… Subaki : J’espère toujours que vous oublierez cet… euh… incident. Sakura : Comment pourrais-je oublier ton arrivée au château ? Tu étais resplendissant ! Puis tu es tombé de ton pégase… Juste devant Hana et moi. C’était mignon… Subaki : Vous voulez dire gênant. Vous ne devriez pas vous réjouir du malheur des autres… Sakura : J-Je suis désolée… ! Au moins, je ne me suis pas moquée, contrairement à Hana… Subaki : Eh bien, ne vous bercez pas d’illusions. Je ne répéterai jamais une telle erreur. Sakura : Subaki, je suis désolée ! Subaki : Un soldat imparfait ne vaut rien ! Je dois prendre congé. Excusez-moi… Sakura : Subaki… ! Je crois qu’il m’a mal comprise… Soutien A Sakura : Subaki, j’ai beaucoup pensé à notre conversation de l’autre fois… Subaki : Encore ça ! Dame Sakura, je vous en prie, toute cette histoire appartient au passé. Sakura : Je m’inquiète de ta quête de perfection. Personne ne te demande d’être parfait. Subaki : Comprenez-moi. Je suis destiné à intégrer la garde du château depuis mon enfance. C’est pour cela que mes parents ont placé la barre aussi haut. Je devais être parfait. Sans quoi je me serais mis dans l’embarras devant la cour royale. Nul droit à l’erreur ! Sakura : Mais tout le monde commet des erreurs ! Subaki : Pas moi. Je ne veux pas salir votre réputation, Dame Sakura. Sakura : Comment ? Subaki : Vos vassaux sont à votre image. J’ai eu honte en tombant de cette selle. Mais vous m’avez gracieusement pardonné. Vous m’avez choisi pour vassal… Ce jour-là, j’ai juré de ne plus jamais vous décevoir. J’ai juré d’être parfait. Sakura : Mais, Subaki… Je ne t’ai pas choisi parce que j’avais pitié de toi. Subaki : Ah bon ? Sakura : Non. Je t’ai choisi parce que tu étais incroyable. Tu étais courageux et fort ! Tu travaillais dur ! Cette petite chute t’a même rendu encore plus charmant. Subaki : Vraiment ?! Sakura : Oui ! Alors, arrête de te torturer ! Tu n’as pas besoin de faire tant d’efforts ! Subaki : Dame Sakura, merci de m’accepter comme je suis. C’est un honneur de vous servir. Sakura : Merci, Subaki. Je compte sur toi ! Soutien S Subaki : Dame Sakura, je voudrais vous jurer allégeance. Sakura : Me jurer… allégeance ? Subaki : Oui. Le discours que vous m’avez donné l’autre jour m’a vraiment marqué. Ce serait un honneur de pouvoir renouveler le serment que je vous ai prêté. Sakura : O-Oh, je vois. Alors, vas-y. Subaki : Je suis né dans une famille qui a servi la royauté d’Hoshido des générations durant. Mes parents m’ont élevé pour que je devienne un modèle de force et d’habileté. Sakura : Oui… Subaki : Je croyais que le seul moyen de rendre les autres heureux était d’être parfait… Sakura : M-Mais tu as appris que ce n’était pas vrai, n’est-ce pas ? Subaki : Oui. Vous avez complètement chamboulé ce en quoi je croyais ! Sakura : Quoi ?! C-Ce n’était pas mon intention ! Mais tu dois avoir raison. C’est le cas. Subaki : Ha ha ha, ce n’est pas grave. Je vous suis extrêmement reconnaissant. C’était une fierté. Je n’aurais jamais pensé que j’oublierais ces croyances si facilement. Et pourtant… quand je suis avec vous… Je veux vous montrer mon côté parfait… Et mon côté un peu moins parfait. Sakura : J’accepte ton serment et je te demande encore une chose. Subaki : Oui ! Que puis-je faire pour vous ? Tout ce que vous voudrez. Sakura : Cela me ravirait si tu me voyais comme une femme, et non comme ta souveraine. Je t’aime, Subaki. Est-ce que c’est mal ? Subaki : B-Bien sûr que non ! J’ai toujours pensé que vous me seriez hors de portée, puisque je suis votre vassal. Même si je vous aimais, je me suis résigné à n’être que votre loyal serviteur. Sakura : Alors… tu as des sentiments pour moi ? Subaki : Oui ! Désormais, je vous servirai comme ma souveraine et comme la femme que j’aime ! Sakura : Merci. Je t’aime aussi, Subaki !
Kaze & Mozu - Spoiler:
Soutien C Kaze : Tiens ? Que faites-vous seule au bord de la rivière, Mozu ? Mozu : Oh, bonjour, Kaze. Je suis en train de peler et laver des pommes de terre. Kaze : Je vois. Puis-je vous aider ? Mozu : Oh, non, ça va aller ! C’est mon travail. Kaze : Allons. Je n’ai rien de mieux à faire, et je me débrouille plutôt bien, vous verrez. Mozu : Quoi, vraiment ? Kaze : Mais oui. Donnez-moi cela, vous allez voir… Un, deux, trois… Mozu : Oh là là, vous êtes rapide ! On dirait que vous êtes encore meilleur que moi… Kaze : Autrefois, je cuisinais beaucoup. Cela faisait partie de mon entraînement. Curieusement, mon maître me faisait aussi peindre des barrières et polir des armures. Les corvées ménagères ont un grand rôle dans l’entraînement aux arts martiaux. Mozu : Et moi qui pensais être la plus douée du camp pour peler les pommes de terre. Pour être honnête, c’est démoralisant d’être surpassée dans ce domaine… Kaze : Je vois. Eh bien, si jamais vous avez besoin de mon aide, venez me trouver. Je vous apprendrai tout ce que je sais de la préparation des tubercules. Mozu : Vous feriez ça ? Merci, Kaze ! Ça me fait plaisir. Je compte sur vous, d’accord ? Kaze : Oui, bien sûr. Soutien B Mozu : Hum… Kaze : Qu’y a-t-il, Mozu ? Mozu : Eh bien, je pèle ces pommes de terre comme vous, mais ça marche pas… Kaze : Ce n’est rien. Avec un peu de pratique, vous finirez par y arriver. Ça ne s’apprend pas en un jour. C’est comme l’entraînement au combat. Mozu : L’entraînement au combat ? Kaze : Oui. Vous construisez une base en faisant quotidiennement travailler vos muscles. À partir de cette base, vous passez ensuite à des techniques avancées. Pour la cuisine, c’est pareil. Travaillez les bases jusqu’à ce que vous les maîtrisiez. Mozu : Oui, ça me paraît sensé. Kaze : Entraînez-vous, et vous pèlerez bientôt les pommes de terre en un clin d’œil. Mozu : Oui ! C’est vrai que je n’étais pas très forte en cuisine, quand j’ai commencé. Mais à force, je suis devenue une cuisinière correcte. Il faut juste que je fasse pareil pour l’épluchage de pommes de terre ! Kaze : C’est cela ! Je suis content de voir que vous vous sentez mieux. Mozu : C’est grâce à vous. Merci, Kaze ! Kaze : Ce n’est rien, Mozu. Je suis toujours ravi de rendre service. Soutien A Mozu : Vous auriez une minute, Kaze ? Kaze : Bien sûr. Que vous faut-il ? Mozu : Je commence à comprendre comment vous vous y prenez pour les légumes. Et si on faisait un petit concours d’épluchage de pommes de terre ? Kaze : Vous voulez votre revanche, c’est ça ? Mozu : Eh oui ! Je voulais apprendre uniquement pour pouvoir gagner contre vous un jour ! Kaze : Très bien, j’accepte. Mozu : Merci, Kaze ! Bon, allons-y, alors. Attendez que je prépare tout… Kaze : Allez-y. Mozu : Bon, prêt ? C’est parti ! Kaze : Quelle puissance, quelle rapidité ! Ce n’est plus la même Mozu ! Mozu : Cette fois, pas question de perdre ! Grr ! Kaze : Gniiin ! Mozu : Grr… Voilà ! Fini ! Kaze : C’était… incroyable. Vous êtes une virtuose de l’épluchage de pommes de terre, Mozu. J’admets ma défaite. Mozu : Vraiment ? Youpi ! Kaze : Vous vous êtes donné du mal, j’ai hâte de voir vos progrès futurs. Nous aurons bientôt une cuisinière mondialement reconnue. Mozu : Oh, voyons ! Pas la peine de me flatter. Kaze : Et je suis sûr que vous vous améliorerez aussi dans d’autres domaines. Il suffit que vous le vouliez, et vous y arriverez. Mozu : Eh bien… J’aimerais être plus forte. Kaze : Plus forte ? Mozu : Oui, sur le champ de bataille ! Je ne sais pas si je suis encore assez forte pour ça. J’ai du mal à faire aussi bien que vous tous. Kaze : Mozu… Mozu : Mais parler avec vous me réconforte toujours et me met sur la bonne voie ! Je dois pratiquer les bases, tous les jours, jusqu’à ce que je sois experte en combat ! Kaze : Je vous encouragerai. Non, mieux, je vous entraînerai, si vous le voulez. Mozu : Merci, Kaze ! Soutien S Mozu : Ah, vous voilà, Kaze ! Kaze : Bonjour, Mozu. Que transportez-vous dans cette marmite ? Mozu : De la soupe ! C’est pour vous remercier de m’avoir autant aidée. Ça vous dirait de la goûter ? Kaze : Bien sûr. Elle sent très bon… Et elle tombe à point, je suis affamé ! Mozu : Ne vous emballez pas, ce n’est qu’un ragoût de pommes de terre. Rien à voir avec les choses raffinées que mangent vos amis à la cour. Kaze : C’est le plat idéal, compte tenu de toutes les pommes de terre que vous avez pelées… Hum… C’est délicieux, Mozu ! Mozu : Hi hi ! Vous aimez ? J’en suis ravie. Kaze : Je l’adore. Elle est… apaisante. Quelque chose en elle me rappelle… vous. Douce et réconfortante. Plutôt discrète, mais avec beaucoup de personnalité. C’est un bon petit plat maison, bien consistant. Mozu : Hi hi. Merci ! Kaze : Ah… Si je pouvais manger cela tous les jours, je serais le plus heureux des hommes. Mozu : Si cela pouvait vous rendre heureux, je vous en ferais tous les jours ! Kaze : Oh, non, je ne vous demanderai pas cela. Ce serait bien trop de travail pour vous. Mozu : Non, pas du tout ! Pour quelqu’un d’autre, peut-être, mais pas pour vous… Kaze : Mozu… Mozu : Vous m’avez tellement aidée ! Il faut absolument que je vous rende la pareille ! Et puis… Je… J’ai des sentiments pour vous, Kaze. Je voudrais vous garder près de moi. Kaze : Quoi ? Vraiment ? Je ne sais quoi vous dire. Merci, Mozu. Vous me rendez tellement heureux. Mozu : Heureux ? Vous voulez dire… que vous ressentez la même chose que moi ? Kaze : Vous êtes l’une des personnes les plus travailleuses et honnêtes que je connaisse. Rien ne me ferait plus plaisir que de rester auprès de vous pour toujours. Je vous aime, Mozu. Mozu : Oh, Kaze ! J’ai l’impression de vivre un rêve ! Kaze : Moi aussi, mon amour.
Azura & Silas - Spoiler:
Soutien C Silas : Est-ce que je peux vous parler ? Azura : Bien sûr, Silas. Que puis-je faire pour vous ? Silas : Je ne sais pas comment vous dire ça sans paraître grossier, donc je vais être direct. Azura : Je vous en prie, allez-y. Inutile de faire des cachotteries. Silas : C’est ironique, venant de la plus grande gardienne de secrets de toute l’armée. Azura : J’ai bien peur de ne pas comprendre. Silas : Vous ne parlez quasiment à personne. Il est évident que vous cachez quelque chose ! Alors… Que préparez-vous, au juste ? Azura : Pardon ? Silas : Peut-être que les autres croient en vos mensonges, mais pas moi. Nous ne pouvons pas nous permettre de baisser notre garde ! J’ai de sérieux doutes concernant votre loyauté. Vous êtes une espionne, pas vrai ? Azura : Silas, je suis désolée de vous avoir donné cette mauvaise impression. Je n’ai aucun secret, et je ne suis pas en train de comploter contre nos amis. Silas : « Nos » amis ? Écoutez-moi bien : mes amis les plus proches vous font confiance. Si jamais vous trahissez Corrin, je ne vous pardonnerai jamais, compris ? Azura : Parfaitement. Soutien B Silas : Que… ?! Qui va là ? Azura : Chut ! Ce n’est que moi. Silas : Dame Azura ?! Voilà que vous m’attaquez dans mon sommeil ? Azura : Ce n’est pas ce que vous croyez… Silas : Ah bon ?! Et qu’en savez-vous, au juste ? Vous pouvez lire dans les pensées ? Ah ! Qu’est-ce que c’est que ça ? Une… Une esp-pèce de c-créature ? Azura : Vous pouvez arrêter de trembler ! Ce monstre n’est plus une menace. Silas : V-Vous avez tué cette chose ?! Azura : Oui. Je faisais ma promenade nocturne quand je l’ai vu se glisser sous votre tente. Le monstre s’apprêtait à vous attaquer dans votre sommeil, donc je l’ai tué. Silas : Oh. Je ne savais pas… Je suis vraiment désolé de vous avoir agressée comme ça. Azura : Inutile de vous excuser. Les gens ne me comprennent jamais. J’y suis habituée désormais. Silas : Dame Azura, attendez ! Soutien A Silas : Dame Azura, j’ai quelque chose à vous demander. Azura : Ah ? Quoi donc ? Silas : Vous m’avez sauvé la vie l’autre jour, mais je ne comprends pas pourquoi. J’ai été très méchant envers vous. Vous devriez me détester ! Azura : Bien sûr que non, voyons… Ne sommes-nous pas des alliés ? Vous cherchiez à protéger Corrin. Je comprends votre réaction. Silas : Vraiment ? Et vous avez encore le cœur de me pardonner... Vous êtes une femme mystérieuse, Azura, mais je pense enfin vous comprendre. À partir de maintenant, je ne douterai plus jamais de votre loyauté. Azura : Merci, Silas. J’apprécierais que nous soyons amis à présent. Silas : Oui, moi aussi ! Soutien S Azura : Bonjour, Silas. De quoi vouliez-vous me parler ? Silas : Nous sommes amis maintenant, alors… seriez-vous prête à me révéler vos secrets ? Azura : Je pensais que nous étions au-delà de ça. Je vous l’ai déjà dit, je ne cache rien ! Silas : Non ! Ce n’est pas ce que je voulais dire. Je voulais savoir… Si vous en pinciez pour quelqu’un… en secret. Azura : Vous voulez dire… si j’admire quelqu’un ? Pourquoi voudriez-vous savoir ça ?! Silas : Parce que c’est mon cas. J’en pince pour quelqu’un… Pour vous, en fait. Azura : C’est une plaisanterie, c’est ça ? Silas : Non ! Je ne ferais pas de blague à ce sujet. Je suis sérieux ! Azura : Eh… Je ne sais pas si c’est un secret, mais… Oui, j’ai des vues sur quelqu’un. Silas : Ah bon ? Enfin… c’était évident. J’aurais dû me douter que vous étiez déjà prise. Azura : Hi hi hi. Silas : S’il vous plaît, ne rigolez pas ! C’est vraiment très gênant… Azura : Ne faites pas la tête, Silas. C’est vous… Vous êtes la personne que j’aime. Silas : Hein ?! Azura : Vous m’avez d’abord blessée quand vous avez dit toutes ces choses sur moi. Et puis je me suis rendu compte que vous vouliez juste protéger Corrin. J’admirais votre loyauté et j’avais espoir d’être un jour aussi téméraire que vous. Silas : Je suis ravi de l’entendre. Maintenant, nous devrions partager un autre secret. Azura : Lequel ? Silas : Une promenade nocturne secrète. J’aimerais tout savoir sur vous, Azura. Azura : Ce serait avec plaisir, Silas. Merci.
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| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 28 Mai - 3:23 | |
| Silas & Hana - Spoiler:
Soutien C Silas : Hana, j’aimerais vous parler de quelque chose. Hana : Ah ? De quoi ? Silas : Désolé d’avoir à vous dire cela, mais quelle mouche vous a piquée lors de la bataille ? Hana : Pardon ? Silas : On m’a dit que vous étiez l’un des samouraïs les plus talentueux d’Hoshido… J’avais hâte de vous voir à l’œuvre et m’attendais à une véritable démonstration. Mais pour parler franchement… Votre performance m’a un peu laissé sur ma faim. Hana : Quoi ?! Comment osez-vous… ?! Silas : Vos premières estocades manquaient de puissance… Vous n’avez même pas essayé d’anticiper ou de contrer les assauts de vos ennemis. Vous avez manqué de volonté et avez mis vos alliés et vous-même en danger… Hana : Ben… J’ai plutôt mal dormi cette nuit. Et je n’ai pas pris de petit-déjeuner ce matin. Je suis d’habitude bien meilleure que ça. Silas : Hum… Pourquoi avoir suivi la voie du sabre, Hana ? Pourquoi combattez-vous ? Hana : C’est évident, non ? Je me bats pour la princesse Sakura, ma meilleure amie. Silas : Vos qualités au combat en disent donc long sur la loyauté dont vous l’estimez digne. Si c’est de cette façon que vous vous battez pour elle, alors elle mérite bien peu. Hana : Je vous demande pardon ?! Bien, je vais oublier l’espace d’un instant que vous venez de m’insulter… Mais jamais je ne permettrai un tel affront sur la personne de Sakura ! Silas : Si mes mots blessent votre orgueil, alors défendez-le au prochain combat. Hana : Alors ça, vous pouvez en être sûr ! Grr ! Soutien B Hana : Silas, et si vous m’expliquiez un peu ce que vous aviez en tête lors de cette bataille ? Silas : Qu’est-ce que vous entendez par là ? Hana : Je vous ai observé au combat… À en juger par ce que j’ai vu, vous n’avez nul droit de critiquer mes performances ! Silas : Je crois que je vois où vous voulez en venir… Cherchez-vous à me faire payer mes commentaires cinglants de l’autre jour ? Hana : Bien sûr ! Je vous pose donc moi aussi la question : pourquoi combattez-vous ? Silas : La réponse est bien simple. Je me bats pour ma vieille amie, Son Altesse Corrin. Hana : Votre amie, hein ? On dirait que nos raisons sont en tout point similaires. Silas : Ha ha, je ne crois pas qu’il soit juste de nous comparer, vous et moi. Ces similarités ne sont que coïncidences. Ma détermination surpasse la vôtre. Hana : Non mais quel rustre ! Très bien, je ne sais pas exactement ce que vous ressentez pour Corrin, mais… Soyez sûr que le bien-être de Son Altesse Sakura passe avant tout pour moi. Silas : Ah oui ? Continuez… Dites-moi tout sur votre dévouement envers elle. Hana : Très bien ! Sakura et moi sommes comme les deux… Silas : Eh bien ? Qu’est-ce qui ne va pas ? Hana : Je ne dirai rien de plus. Aucun terme ne peut décrire notre relation. En essayant d’y apposer des mots, je ne ferais que la rabaisser. Silas : Je vois. Eh bien, je crois que je comprends ça, oui. Essayer de décrire le lien qui m’unit à Corrin me semble aussi futile. Hana : Mais alors comment déterminer lequel de nous est le plus dévoué envers son amie ? Je ne suis pas du genre à me détourner lorsqu’un défi s’offre à moi. Silas : Hum… Et moi donc. Hana : Alors pourquoi ne pas simplement s’en remettre à un affrontement direct ? Retrouvons-nous ici à chaque fois que c’est possible pour nous entraîner. Silas : Bonne idée, laissons les lames exprimer notre attachement envers elles. Prouvons de quoi nous sommes capables ! Hana : Je vous attends ! Soutien A Hana : Vous avez remporté l’affrontement d’hier, nous sommes donc à égalité à présent. Pourquoi ne pas nous départager ici et maintenant ? Finissons-en. Silas : Je suis d’accord. En fait, j’allais vous le proposer. Hana : Vos compétences arrivent-elles seulement à la cheville de vos fanfaronnades ? Préparez-vous, j’attaque ! Silas : Gnn… Grr… Je n’en resterai pas là ! Yaaah ! Hana : Ah ! Pfiou… On dirait que j’ai gagné ! Silas : Je ne crois pas, non. Je vous ai porté assez de coups pour remporter la victoire. Hana : Pas question ! Ma victoire est indéniable. Vantez-vous tant que vous voudrez, vos mains tremblantes en disent bien plus ! Rendez-vous à l’évidence : ma loyauté dépasse la vôtre ! Silas : Pfiou… Après vous avoir vue sur le champ de bataille, je m’attendais à une victoire facile. Mais vous vous êtes améliorée en un rien de temps… Hana : Et vous également. Je suis surprise par la férocité de vos attaques, Nohrien. Vous m’avez poussée dans mes derniers retranchements. Silas : Je peux en dire autant, Hoshidienne. J’ai maintenant du respect pour les vôtres. Hana : Ha… En fait, tout cela est plutôt amusant. Silas : De quoi parlez-vous ? Hana : Nous avons tous les deux progressé grâce à une dispute au sujet de nos amies. Silas : C’est vrai, oui. Hana : Et ce n’est pas tout… Honnêtement, je trouve un peu ennuyeux les jours où nous ne combattons pas. Silas : Je ressens la même chose. Hana : Ah oui ? Silas : En nous battant pour nos amies, nous sommes nous aussi devenus amis. Ça fera une belle histoire, non ? Hana : En effet. Silas : Devons-nous cesser ces combats ? Je ne voudrais pas que notre amitié en pâtisse… Hana : Jamais ! C’est justement la compétition qui renforcera notre amitié. L’affrontement fait partie de toute relation honnête et véritable. Silas : Ha, vous marquez un point. Bien, dans ce cas, debout et en garde ! Hana : Mon amour pour Sakura vous mettra au tapis ! Silas : Sauf si ma loyauté envers Corrin vous fait plier avant ! Soutien S Silas : Hana, ravi que vous ayez pu venir. Hana : Assez de palabres ! En garde ! Silas : Rangez cette arme, elle ne vous servira à rien. Je vous ai appelée pour autre chose. Hana : Quoi ? De quoi parlez-vous ? Est-ce là une nouvelle tactique ? Nous étions d’accord pour continuer les affrontements au nom de notre amitié. Silas : Oui. Mais aujourd’hui, je veux simplement vous offrir… ceci. Une alliance. Hana : Ha ha ! Si vous croyez émousser mes sens avec ces pacotilles, vous rêvez. Merci mais non merci ! Maintenant, prenez votre arme ! … Euh… Attendez une minute. Vous avez bien dit « une alliance » ? Silas : En effet. Hana : Qu-Quoi ?! Silas : Vous me plaisez tant que j’ai du mal à le supporter. Voulez-vous m’épouser ? Hana : Oui. Silas : Voilà une réponse bien concise… Hana : Je vous aime aussi. La décision est donc plutôt simple à prendre ! Silas : Ah bon ? Mais depuis quand ? Hana : Eh bien, je ne sais plus exactement quand… Peu de temps après le début de nos entraînements. Silas : Je vois… Je… Vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis heureux. Mais je dois vous dire que je vous ai aimée bien avant le début de nos entraînements. Hana : Quoi ? Vous n’allez quand même pas faire de ça une nouvelle compétition, si ? Silas : En fait, je vous affirme que je vous ai aimée le premier. Hana : Je n’y crois pas une seconde. Quelle preuve avancez-vous ? Silas : Aucune. Je me contenterai de mon instinct. J’ai toute confiance en lui. Hana : Ce n’est pas juste ! Et si le mien me disait le contraire ? Qu’auriez-vous à répondre ? Silas : Que c’est peu probable. Hana : Pff… Dans ce cas, je vous parie que je vous aime plus que vous ne m’aimez ! Silas : Comment pouvez-vous dire une chose pareille ?! C’est tout le contraire ! Hana : Pff ! Silas : Vous voulez régler ça par les armes ? Hana : Oh que oui ! Je ne vais quand même pas me laisser faire ! Vous allez regretter ça ! Silas : C’est ce qu’on va voir. En garde ! Puissent nos armes en décider !
Mozu & Silas - Spoiler:
Soutien C Mozu : Silas… Vous pensez que je devrais tout laisser tomber et rentrer chez moi ? Silas : Je ne comprends pas… Pourquoi feriez-vous ça ? Mozu : Oh, bah, vous savez… Je suis pas très forte, et j’ai peur de ralentir tout le monde. Je m’entraîne jusqu’à épuisement mais ça sert pas à grand-chose. Ça a l’air facile pour tous les autres. Ils progressent à pas de géants. Mais moi, non… Je suis bonne à rien à part pour labourer des champs. Je me dis que je ferais mieux de rejoindre la prochaine ferme qu’on croisera. Silas : Tu le penses vraiment ? Mozu : Désolée de vous ennuyer avec mes histoires. Mais merci de m’avoir écoutée. Silas : Pas de problème. À vrai dire, je sais exactement ce que nous devrions faire. Mozu : Euh… « nous » ? Silas : Je vais t’entraîner ! Et autant battre le fer quand il est chaud, allons-y maintenant ! Mozu : Hein ?! Mais… je peux pas… Silas : Avant de dire que c’est impossible, il faut essayer. Allons au terrain d’entraînement. Mozu : Je suis pas très sûre… Soutien B Silas : Il est temps de s’entraîner sérieusement. Prête à devenir une grande guerrière ? Mozu : Oh, euh... Non, Messire… Silas : Hein ? Mozu : Je veux pas que vous gâchiez votre temps avec moi… Je ne deviendrai jamais plus forte. C’est comme ça. Silas : … Ton défaitisme est ton plus grand problème, Mozu. Mozu : Comment ça ? Silas : « Je ne suis pas douée. » « Je ne suis qu’une paysanne. » « C’est impossible. » Comment veux-tu réussir si tu te répètes ce genre de choses en boucle ? Mozu : De… Hein ? Silas : C’est surtout ce genre de pensée négative qui t’empêche de progresser. Mozu : … Silas : Alors on va continuer l’entraînement. Et je n’accepterai aucun refus. C’est bien clair ? Mozu : Hum… Silas : « Hum » n’est pas une réponse plus acceptable qu’un « Non ». Écoute-moi bien, Mozu. Tu as du potentiel. Si toi tu ne le vois pas, moi, si. Mozu : … Silas : Et je pense que gâcher ce potentiel est une véritable insulte. Mozu : Une insulte ?! Silas : Oui. C’est une insulte envers tes parents que de gâcher ce potentiel qu’ils t’ont offert. C’est aussi une insulte envers tes amis qui ont placé leur confiance en toi. Mozu : Hé… C’est un coup bas, ça… D’accord, j’essaierai. Silas : Je préfère ça ! Soutien A Mozu : Silas ! J’ai bien combattu lors de la dernière bataille, hein ? Silas : Tu progresses à toute allure, ça c’est sûr ! J’étais époustouflé. Mozu : Peuh ! C’est vous qui êtes époustouflant ! Silas : Moi ? Mais qu’est-ce que j’ai fait ? Mozu : Vous m’avez persuadée que j’avais du potentiel. Après le savon que vous m’avez passé, je voulais retenter ma chance. C’est parce que je voulais pas vous décevoir que j’ai si bien combattu. Alors merci, Silas ! Silas : Rien n’est impossible si on s’y met avec conviction. Je parle par expérience… Mozu : Comment ça ? Silas : Je ne me suis jamais considéré comme particulièrement talentueux. Je viens d’une famille noble, mais ça ne m’a pas aidé à savoir tenir une épée. Mozu : Pour une paysanne comme moi en tout cas, c’est vachement impressionnant ! Silas : Crois-moi, ça ne l’est pas. C’est grâce à mes efforts que je suis devenu chevalier. Mozu : Oh… Vous savez, je suis sûre que je pourrais être tout ce que je veux, avec votre aide. J’espère que vous continuerez à m’entraîner ! Silas : Tu penses vraiment que j’abandonnerais une élève aussi prometteuse ? Mozu : Oh, en parlant de ça… Pour vous remercier, je vous ai fait un plat maison ! Silas : Donc c’est… toi qui l’as fait ? Mozu : N’ayez pas l’air effrayé comme ça. C’est peut-être un peu fort pour un citadin comme vous, mais je sais que vous aimerez. Après tout, rien n’est impossible si j’y mets un peu de conviction, pas vrai ? Soutien S Silas : Bonjour, Mozu… Mozu : Coucou, Silas. Quoi de neuf ? Silas : Je voulais encore te remercier pour le repas que tu m’as préparé. Tout était délicieux. Vraiment. Mozu : Oh, ne me remerciez pas ! Ce repas était ma façon de vous remercier, vous ! Vous voir sourire après votre cinquième part de tarte m’a amplement suffi. Silas : J’ai vraiment mangé tout ça… ? Mozu : Ouaip. Silas : Si tu le dis. C’était vraiment délicieux. À vrai dire, ça m’a donné envie de manger tes petits plats tous les jours… Mozu : Ooh, Silas. Toujours à plaisanter ! Enfin, si vous êtes sérieux, vous pouvez venir les chercher ici tous les jours… Silas : Oh, vraiment ? Attention, je te prends au mot. Mais… venir jusqu’ici tous les jours serait pénible. Ce serait plus facile si on vivait ensemble. Mozu : Hein ? Vous voulez que je sois votre domestique, c’est ça ? Silas : Ha ha ha ! Non, pas ma domestique. J’aimerais que tu sois… Eh bien… Tiens. Mozu : Qu’est-ce que c’est ? Silas : Une alliance. Mozu : U-Une alliance… V-Vous… me demandez en mariage ?! Silas : Oui, je veux que tu sois ma femme. Mozu : Mais… Bah mince alors, vous avez vraiment dû voir quelque chose en moi ! Silas : Que veux-tu dire ? Mozu : J’ai du potentiel, pas vrai ? Et vous m’aidez à le réaliser. J’ai hâte de voir à quel point je vais devenir forte une fois que vous serez mon mari ! Je vais réduire nos adversaires en purée ! Silas : Alors… euh… C’est un oui… ? Mozu : C’est pas évident ? Je suis p’têt’ pas une poule de la ville, mais je suis toute à vous ! Silas : Et je te chérirai jusqu’à la fin des temps, Mozu. Mozu : Rôôôh, Silas… !
Jakob & Hana - Spoiler:
Soutien C Hana : Bonjour, Jakob ! Jakob : Bonjour, Hana. Vous allez vous entraîner ? Hana : C’est exact ! Voulez-vous vous joindre à moi ? Jakob : Non, merci. Contrairement à certains, je n’ai pas de temps à perdre. Hana : Je n’ai pas beaucoup de temps libre non plus ! Je m’efforce juste de garder quelques heures pour m’entraîner, dès que je peux. Jakob : Ce que vous faites de votre temps libre ne m’intéresse pas particulièrement. Hana : Vous savez, Jakob, je ne suis pas sûre qu’on vous l’ait déjà dit… Mais vous êtes vraiment impoli. Jakob : Oui je l’ai entendu… de gens qui n’en valaient pas la peine, en général. Hana : Oooh, je vois. Vous n’êtes pas qu’impoli. Vous êtes pourri jusqu’au bout des ongles. Pff. Peu importe. J’ai mieux à faire que de rester ici à converser avec vous. Je dois continuer à m’améliorer afin de protéger Sakura du mieux que je peux. Jakob : Vous consacrez votre temps libre au bien de quelqu’un d’autre ? Hana : Bien sûr. Et ce n’est pas tout. S’il le fallait, je sacrifierais ma vie pour la protéger. Jakob : Intéressant… Soutien B Hana : Haaayaaah ! Ha ! Hiiiyaaah ! Jakob : Ah, voilà d’où viennent ces nuisances. Je croyais qu’on égorgeait un sanglier. Hana : Pff. Toujours aussi poli, à ce que je vois. Jakob : Il est important de s’adresser à un esprit simple d’une façon qu’il puisse comprendre. Hana : Un argument valable de mon point de vue également… Jakob : En parlant de valeur, je vois que vous vous entraînez de nouveau. Hana : Oui. J’essaie toujours de me surpasser, sinon je ne m’améliorerai jamais. Jakob : Vous faites cela pour Dame Sakura ? Hana : Oui. Je dois être aussi forte que possible afin de protéger Sakura comme il faut. Jakob : C’est amusant que vous vous démeniez tant pour quelqu’un d’autre. Hana : Vous trouvez ? Il me semble que vous en connaissez un rayon sur le dévouement. Nous sommes bien plus semblables que vous ne voulez l’admettre. Jakob : Vous voulez rire. Qu’est-ce qui vous fait penser que nous sommes semblables ? Hana : Vous feriez tout pour Dame Corrin, n’est-ce pas ? Jakob : Bien sûr. Insinuer le contraire serait une insulte. Hana : Eh bien, en voilà la preuve, servie sur un plateau d’argent. Dame Corrin et vous entretenez la même relation que Dame Sakura et moi. Jakob : Hum. C’est incroyablement énervant qu’il y ait une part de vérité dans ce que vous dites. Hana : Ha ha, je le savais ! Jakob : Cet air satisfait sur votre visage a le don de m’irriter. Retournez vous entraîner. Hana : Oh non, nous avons déjà fini de nous défier ? Dites-moi que ce n’est pas vrai ! Soutien A Hana : Yaaah ! Jakob : C’est stupéfiant que vous n’ayez jamais l’air d’être fatiguée par vos entraînements. Hana : Oh, bonjour, Jakob. Jakob : Vous passez tant de temps à vous entraîner et à manier le katana… Voyez-vous une progression ? Hana : Bien sûr ! Je suis beaucoup plus forte que je ne l’étais. Mais on peut toujours s’améliorer. Jakob : Hum, ce n’est pas surprenant. Notre capacité à apprendre seuls est limitée. Hana : Oui, vous avez probablement raison. Jakob : Dans ce cas, je serai votre adversaire, à partir de maintenant. Hana : Pardon ? Vous allez vous entraîner avec moi ? Jakob : Quel est ce regard ? Cela vous dérange-t-il de vous entraîner avec moi ? Hana : Non, je suis juste surprise que vous m’offriez votre aide… Jakob : Mon aide ? Ne soyez pas stupide. Si je propose que nous nous entraînions ensemble, c’est pour moi-même. Surtout pour que je puisse être plus fort, et mieux protéger Dame Corrin. Hana : Aaah, là, je vous reconnais. Cependant, j’aimerais retirer ce que j’ai dit à votre propos, plus tôt. Vous n’êtes pas pourri jusqu’à la moelle. En fait, vous n’êtes pas si méchant. Jakob : Et vous ne vous en rendez compte que maintenant ? Vous êtes vraiment lente… Mais trêve de bavardages ! Commençons. Je ne vais pas me retenir. Hana : Parfait ! Donnez tout ce que vous avez ! Soutien S Jakob : Hana, joignez-vous à moi pour une séance d’entraînement ou deux. Hana : Oh, bonjour, Jakob. D’accord, ça me va. Mais c’est assez inhabituel que vous initiiez ces sessions. Jakob : Je me suis rendu compte qu’il fallait que je redouble d’efforts pour être plus puissant. Hana : Et pourquoi ça ? Jakob : Parce que le nombre de personnes que je veux protéger a doublé. Hana : Oh ? Il y a quelqu’un d’autre que Dame Corrin ? Jakob : En effet. Hana : Alors, qui est l’heureux élu ? Jakob : Eh bien, c’est vous. Hana : Voo ? S’agit-il de l’une de nos nouvelles recrues ? Jakob : Non… c’est de vous que je parle, Hana. Hana : Oh. Oooh ! Oh… Jakob : Je ne sais que dire. Quoi qu’il en soit, je veux vous protéger, ainsi que Dame Corrin. Hana : Mais… pourquoi ça ? Jakob : Eh bien, c’est évident : je vous aime. Hana : Je ne sais pas quoi dire. Je suis si surprise… Jakob : Et pourquoi ? Vous devriez comprendre cette envie de protéger quelqu’un. Hana : Non, ça je le comprends bien. J’ai du mal avec le fait que je sois l’objet de votre am… Amou… Enfin, vous comprenez. Jakob : Amour. Je vous parle d’amour. Je veux que nous soyons ensemble, Hana. Je le veux de tout mon cœur. Hana : Vous êtes sûr ? Vous ne dites pas ça pour découvrir mes sentiments envers vous ? Jakob : Vos sentiments ? Que voulez-vous dire ? Hana : Vous êtes un peu brut, et vous pouvez être impoli, parfois… Et pourtant j’ai beaucoup d’affection pour vous. J’ai autant d’affection pour vous que vous en avez pour moi. Jakob : Alors… vous m’aimez aussi ? Nous pouvons être en couple ? Hana : Oui, Jakob ! Bien sûr !
Silas & Jakob - Spoiler:
Soutien C Silas : Oh, bonjour, Jakob. Comment allez-vous ? Jakob : Bonjour, Silas. Encore occupé à voler au secours de la veuve et de l’orphelin, j’imagine ? Silas : C-Comment le savez-vous ? Jakob : Cela se voit sur votre visage. On peut y lire une grande abnégation. Je suis surpris que cette inclination ne vous ait pas encore totalement consumé. Silas : Dites ce que vous voulez. Je ne suis pas un héros… Jakob : Il n’est pourtant aucune histoire assez larmoyante à vos oreilles. Silas : Eh bien, sur ce point, vous avez raison… Jakob : Plus vous écoutez, plus vous vous faites ensorceler… Et le problème finit par vous peser plus qu’il ne pèse à votre interlocuteur. Ai-je tort ? Silas : Pas… vraiment… Jakob : Voilà ! C’est bien là la définition même du héros. Toutes mes condoléances. Silas : Il… Il m’a bien eu… Soutien B Silas : … Jakob : Oh là, un bienfaiteur en pleine dépression. Je ferais mieux de garder mes distances. Silas : Jakob… Jakob : Argh. Ne me regardez pas avec cet air de chien battu, de grâce ! Silas : Attendez, écoutez-moi un instant. Jakob : Hors de question. Quelle que soit la raison de votre tourment, gardez-la pour vous. Silas : Ne dites pas ça ! Vous pouvez au moins m’accorder un peu de votre temps, non ? Jakob : Un peu de mon temps, vous dites ? Vous avez 10 secondes. Parlez. Silas : Que diriez-vous à quelqu’un qui refuse catégoriquement de combattre ? Jakob : Quoi, est-ce un jeune soldat qui a la peur au ventre ? Vous vous faites beaucoup trop de souci… Prendre à cœur les problèmes d’autrui m’est totalement étranger. Silas : Il dit qu’il ne veut pas mourir parce qu’il a quitté un être cher en partant à la guerre. Jakob : Dans ce cas, il devrait rentrer chez lui. Silas : C’est ce que je lui ai dit, mais il ne veut pas abandonner son unité non plus. Jakob : Dans ce cas, il devrait rester. Silas : Mais enfin, soyez un peu sérieux ! Jakob : Je suis on ne peut plus sérieux. C’est votre soldat qui ne voit pas la chose avec assez de recul. S’il a eu le temps de vous faire part de son histoire… Il a le temps de réfléchir sérieusement à son problème et de trouver une solution. Silas : Vous avez raison… Il n’y a rien que je puisse lui dire d’autre. Il doit prendre sa décision lui-même. Merci, Jakob. Je vais aller en discuter avec le pauvre bougre. Jakob : Quelle perte de temps… Soutien A Silas : Jakob ! Attendez ! Jakob : Ah, voilà Silas le bienfaiteur. Silas : Merci pour vos conseils de l’autre jour. Le soldat en question a décidé de rentrer chez lui. Jakob : Je n’ai pas besoin d’un compte-rendu. Ce ne sont pas mes affaires. Silas : Ha ha, vous êtes vraiment grincheux. Jakob : Ne vous moquez pas de moi. Silas : Pardon… Mais vous dites tout le temps que je suis un bienfaiteur… Et il se trouve que vous êtes plutôt gentil vous-même. Jakob : Qu’est-ce que vous dites ? Silas : Eh bien, l’autre jour, par exemple… Je vous ai parlé d’un de mes problèmes, et vous m’avez donné des conseils. Jakob : … Silas : Pour être franc, cela m’a vraiment soulagé. Je vous suis redevable. Jakob : Alors payez votre dette immédiatement. Silas : Euh, pardon ? Jakob : Je vous demande de me rendre le temps que j’ai passé à écouter vos bêtises. Moi, un bienfaiteur… C’est une absurdité, une calomnie. Je ne le tolérerai pas. Rendez-moi ce temps tout de suite. Silas : C-Comment voulez-vous que je fasse pour vous rendre votre temps ?! Jakob : Et voilà, vous voulez encore que je vous aide à résoudre vos problèmes. Pathétique. Vous allez me repayer très vite chaque seconde perdue. Silas : Bon d’accord ! Je retire ce que j’ai dit sur le fait que vous soyez un bienfaiteur. Vous êtes aussi froid que le vent qui souffle sur la tour de la forteresse nord… Jakob : Je vois que nous sommes d’accord. De cette manière, je ne serai plus mêlé aux probl-mes fastidieux des autres. Silas : C’est ridicule. Jusqu’où irez-vous pour cacher votre embarras ? Jakob : Vous êtes toujours là ? Silas : Plus pour longtemps !
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| | | Other M
Fe préféré ? : Genealogy of the Holy War Messages : 20 Age : 70
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Sam 28 Mai - 23:58 | |
| Je crains qu'à l'issue de ma revente un peu précipitée de mon opus, je ne puis plus contribuer. Toutes mes excuses ! | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 29 Mai - 1:51 | |
| Hana & Sakura - Spoiler:
Soutien C Sakura : Hana, est-ce que tu as un moment ? Hana : Bien sûr, Sakura ! Euh, je veux dire… Dame Sakura. Sakura : Ne t’en fais pas, les formalités sont inutiles. Quand nous sommes seules, je préfère que tu me parles comme tu le faisais avant… Hana : Très bien, comme vous voudrez. Mais c’est un peu étrange. Vous êtes normalement si… réservée. Sakura : C’est devenu une habitude. Je ne pense pas que je puisse la changer à présent. Hana : Vous avez sûrement raison. Alors, de quoi vouliez-vous parler ? Vous savez que vous pouvez compter sur moi ! Sakura : Oh, ce n’est rien d’important, je voulais juste discuter un peu. Je pense souvent à notre rencontre, et à la façon dont nous sommes devenues amies. Hana : Vous voulez dire avant que j’entre à votre service ? Sakura : Oui, tu étais vraiment entêtée, obsédée par l’idée de devenir soldat… Tu te déguisais pour prendre part aux entraînements de la garde royale… Tu étais encore plus motivée que les recrues qui venaient de s’engager ! Mais tu ne t’en sortais jamais sans égratignure. Tu te souviens ? Hana : Je préfère éviter de m’en souvenir, c’est assez embarrassant ! Sakura : Hé hé… Je me rappelle avoir pansé plus d’une plaie lorsque tu rentrais. Hana : Et il y a des jours où votre aide n’était vraiment pas de trop. Vous m’avez toujours soutenue de bien des façons quand je m’entraînais. Et je vous en remercie… Sakura : C’était bien naturel. Hana : Oh ! Mais je n’oublie pas le jour où vous vous êtes perdue dans les montagnes. Je vous croyais juste derrière moi, sans réaliser que je vous avais en fait semée. Il m’a fallu des heures pour revenir sur mes pas et vous retrouver. Sakura : Oui, j’avais été ralentie par des branches, et tu as continué sans t’en rendre compte. Tu restes toujours concentrée sur ton but, quoi qu’il arrive. Hana : Je suis vraiment désolée… J’étais tellement préoccupée par mon entraînement, je n’ai pas fait attention. Ce n’était pas très aimable de ma part… Sakura : Ha ha ! Mais non, voyons. Ce n’est rien. Avec le recul, c’était une bonne expérience. J’étais déjà très introvertie à l’époque. J’étais très heureuse que quelqu’un me fasse visiter ces lieux. Hana : Vraiment ? Je me sens beaucoup mieux maintenant que je sais cela. Sakura : J’espère que tu resteras toujours la même, Hana. Ne change jamais rien. Hana : Bien sûr ! Attendez, vous voulez dire que je suis toujours la même ? Celle qui vous a abandonnée dans les montagnes ? Ce n’est pas gentil, Sakura ! Sakura : Hé hé… Soutien B Hana : Bonjour, Sakura. Est-ce que vous aimeriez continuer notre conversation ? Sakura : Bonjour, Hana. Bien sûr. Je suis toujours partante pour passer un moment avec toi. Hana : J’ai repensé à tout ça, et… Vous avez vraiment beaucoup de cœur pour avoir passé tout ce temps avec moi. Après tout, nous avions des personnalités si différentes ! Mais je me disais qu’en entrant au service d’une personne aussi bonne que vous… Je pourrais devenir un samouraï encore meilleur que ce que mon père avait été. C’est pourquoi j’ai travaillé si dur. Sakura : Hana… Hana : Quand j’étais jeune, je me suis juré de vous servir fidèlement. Je savais que je voulais suivre les pas de mon père… Et votre gentillesse m’a permis de parvenir à mon but. Sakura : … Quand j’ai dû choisir un vassal, on m’a dit de prendre le temps de la réflexion. Mais je t’ai choisie immédiatement. Ma décision était prise depuis longtemps, bien avant que l’on ne m’ait donné le choix. Hana : Sakura… Sakura : Tes aptitudes au combat étaient évidentes, c’est certain, mais… Hana : Mais… ? Sakura : Ton jeune âge a fait que certaines personnes ont critiqué ma décision… Peu importe tes aptitudes, ces personnes pensaient que tu faillirais à ton devoir. Hana : Quoi ? Je l’ignorais ! Sakura : Ils disaient qu’un vassal avait besoin d’expérience plus que de talent guerrier… Et que tu ne pouvais avoir l’expérience nécessaire pour accomplir ta mission. Mais j’ai tenu bon, malgré tout. Et ma détermination a fini par les faire taire. Hana : Je l’ignorais. Je suis désolée que vous ayez eu à subir cela, Sakura. Merci beaucoup. Mais… pourquoi n’avez-vous pas changé d’avis ? Sakura : Eh bien, parce que… Excuse-moi… Je viens de me rappeler que j’ai une course urgente à faire. Hana : Hein ? Sakura : Continuons cette conversation un autre jour, Hana, d’accord ? Hana : Bien sûr… Étrange… Ça ne lui ressemble pas. Soutien A Sakura : Hana… Hana : Oui ? Sakura : Je suis désolée de t’avoir quittée si précipitamment l’autre jour. Hana : Oh, ne vous en faites pas, Sakura. Ce n’est rien. Mais j’aimerais vraiment savoir pourquoi vous teniez tant à m’avoir pour vassale. Je suis même dévorée par la curiosité ! Sakura : Je me disais bien que tu insisterais pour le savoir… Surtout après que j’ai laissé planer un tel suspens l’autre jour… Hana : … Sakura : Ma raison principale était… que je savais que je pourrais toujours compter sur toi. Le nier était impossible. Tu l’avais déjà démontré tant de fois. Ta peau, marquée par les blessures reçues en venant à mon secours, en est la preuve. Les blessures se referment. Les cicatrices, restent, comme autant de souvenirs… Hana : … Sakura : Comme la fois où j’ai escaladé un arbre lors d’une expédition. La branche sur laquelle je me tenais s’est brisée, mais tu as amorti ma chute. Ou la fois où tu t’es interposée alors qu’un chien sauvage nous a attaquées… Tu as été blessée à chaque fois. Même si rien ne t’obligeait à le faire. Hana : Sakura… Sakura : Je souffre moi aussi de toutes ces blessures qui t’ont été infligées à mon service… Mais à l’époque, tout ce que je savais, c’était que tu serais toujours là pour moi… Hana : Alors, l’autre jour… Vous êtes partie parce que vous vous sentiez coupable ? Sakura : Bien sûr, pourquoi ? Est-ce que tu étais inquiète ? Hana : Oui ! J’avais peur d’avoir dit ou fait quelque chose de mal, qui vous ait offensée. Mais pourquoi avoir attendu aujourd’hui ? Vous auriez pu m’en parler plus tôt. Sakura : J’étais trop gênée pour en parler. Je ne voulais pas raviver de souvenirs douloureux en parlant de ces blessures… Des souvenirs qui m’ont submergée l’autre jour, en apercevant l’une de tes cicatrices. Hana : Ha ha ! Vous n’avez aucune raison de vous en faire ! J’arbore ces blessures avec fierté ! Je suis un samouraï, après tout. Chacune de ces cicatrices témoigne d’un sauvetage réussi ! Sakura : Merci, Hana. Du fond du cœur. Hana : De rien. Je réalise à présent à quel point vous avez de l’estime pour moi. Alors, merci à vous, Sakura. Sakura : Tu seras toujours ma meilleure amie.
Sakura & Silas - Spoiler:
Soutien C Sakura : Oh non… Oh là là… Silas : Princesse Sakura… Pourquoi faites-vous ces petits bruits ? Ça ne va pas ? Sakura : E-Euh… Silas : Dites-moi ? Que se passe-t-il ? Sakura : C’est juste que… Silas : Oui ? Vous êtes sûre que tout va bien ? Sakura : O-Oui… désolée. J’ai… euh… quelque chose de très impoli à vous demander… Oh là là… Silas : Allez-y. Je ne vous jugerai pas. Sakura : Je ne veux pas paraître grossière… Mais, vous voyez… Oh, je ne peux pas ! Impossible de demander ! Silas : Respirez bien, princesse. Inspirez… Expirez… Sakura : … N-Non, je n’y arrive pas ! Pardon, Silas. Je suis vraiment désolée ! Silas : Mais enfin de quoi s’agit-il ? Devrais-je en parler à quelqu’un ? Peut-être pas tout de suite. Mais je vais la surveiller de près. Soutien B Sakura : S-Silas… Silas : Princesse Sakura, je suis inquiet pour vous. Si quelque chose ne va pas… Sakura : N-Non, ça va. Silas : Alors… qu’essayiez-vous de dire la dernière fois ? Sakura : C’était à propos de… votre maladie. Silas : Ma maladie ? Je ne savais pas que j’avais une maladie. Rassurez-vous, princesse, je suis en pleine forme. Sakura : … Silas : Vous ne me croyez pas, c’est ça ? Sakura : Je me sentirais mieux si je pouvais euh… vous examiner… Silas : Euh, si ça peut vous faire plaisir, allez-y. Sakura : D’accord. Cela ne prendra qu’une seconde… Silas : J’ai tout mon temps. Pourquoi pensez-vous qu’il y a quelque chose qui ne va pas ? Sakura : Je… euh… Votre tête… Silas : Ma tête ? Oh ! Mes cheveux, vous voulez dire ? Ils restent en l’air oui, mais je ne pensais pas que c’était une maladie. Sakura : N-Non, ce ne sont pas vos cheveux ! Enfin, oui vous avez beaucoup d’épis, mais ce n’est pas ce qui m’inquiète… Silas : Attendez. Nous sommes d’accord que j’ai un problème capillaire ? Peut-on en parler ? Sakura : C’est étrange. Vous n’avez pas l’air d’avoir mal ou d’être malade… Silas : Dans ce cas… pourquoi pensez-vous que je le sois ? Je suis perdu… Sakura : Oh ! Bien sûr… Comment ai-je pu manquer ça ? Je pense que vous êtes… maudit ! Silas : Maudit ?! Comment ?! Par qui ?! Sakura : J’ai bien peur que quelqu’un ait maudit votre tête… Il n’y a pas de temps à perdre… Excusez-moi ! Silas : Maudite ? Ma tête ? Mais de quoi est-ce qu’elle parle ?! Soutien A Sakura : Silas ! Je l’ai ! Silas : Princesse Sakura… Que vous est-il arrivé ? Vous êtes couverte de brindilles. Vous avez été farfouiller dans la forêt ? Sakura : Ne vous en faites pas pour ça… J’ai apporté des herbes qui devraient vous protéger de la malédiction. Allongez-vous et je m’en occupe ! Silas : Je suis désolé, mais non. J’ai besoin d’une explication avant de faire quoi que ce soit. Mais enfin que se passe-t-il ? Sakura : D’accord… Je vais vous expliquer… Cela fait un moment que ça m’ennuie. La première fois que je vous ai vu, j’ai pensé que vous deviez être malade… Silas : Pourquoi ? Je ne me rappelle pas avoir souffert d’un rhume ou d’une bronchite. Sakura : Mais vous nous avez dit que vous étiez le plus vieil ami de ma sœur. Silas : Oui. Ce qui est vrai. Sakura : Mais Corrin a dit qu’elle ne vous reconnaissait pas… Donc j’ai pensé que vous aviez un problème de mémoire. Silas : Euh… quoi ? Sakura : Vous n’aviez pas non plus de bleus. Il n’y avait donc qu’une seule explication. Vous deviez être maudit ! Silas : Non, non, non. Vous vous méprenez. Je ne suis ni malade, ni maudit. Corrin et moi étions vraiment meilleurs amis. Même si Corrin a dit qu’elle ne se souvenait pas de moi au début… Elle a fini par s’en souvenir. Sakura : O-Oui, sauf que… Corrin disait ça juste pour être polie. Je pense qu’elle a changé son histoire juste pour vous faire plaisir… Silas : Non, vous ne comprenez pas. Je dis la vérité. Mais nous étions très jeunes, et nous ne nous sommes pas vus pendant longtemps. C’est pourquoi elle ne s’est pas rappelée de moi tout de suite. Sakura : V-Vraiment ? Silas : Oui. Demandez à votre sœur, ou à vos amis nohriens. Sakura : … Alors… c’est la vérité ? Je suis vraiment désolée… Silas : Maintenant que nous avons dissipé ce malentendu, tout va bien. J’ai été surpris, c’est tout… Mais je suis curieux… Vous avez vraiment escaladé ces montagnes pour trouver ces herbes ? Sakura : Oui… J’étais inquiète de ce que cette malédiction pourrait vous faire… Je suis vraiment désolée… pour tout… Je ferai plus attention désormais. Silas : C’est toujours bon de savoir que quelqu’un prend soin de moi. Je suis content que nous soyons enfin sur la même longueur d’onde. Soutien S Sakura : Silas, vous vouliez me voir ? Silas : Argh… Sakura : S-Silas ?! Vous vous sentez mal ? Silas : Oui… Je n’arrive pas à respirer… Je pense que je suis vraiment maudit cette fois. Sakura : Quoi ?! Oh non ! Je vais vite chercher ces herbes, je ne serai pas longue ! Silas : Non… Les herbes ne serviront à rien… Sakura : Qu’allons-nous faire ?! Silas : Il n’y a qu’une solution… Sakura : Laquelle ?! Je ferais tout pour vous aider ! Silas : La rumeur dit que… la malédiction ne sera levée que si… vous acceptez cette bague… Sakura : … Q-Quoi ?! Silas : C’est la raison pour laquelle j’ai du mal à respirer… Mon amour pour vous est irrépressible, princesse Sakura… Chaque fois que je pense à vous, j’ai le souffle court, je me sens oppressé… Sakura : D-Donc ce n’est pas une malédiction, mais… Silas : Non, en effet… je souffre d’une maladie mortelle qui se nomme l’amour… Sakura : … Silas : Désolé. Assez plaisanté. Je vais être direct. Voulez-vous m’épouser, princesse Sakura ? Je sais que les relations entre Nohr et Hoshido sont tendues… Mais cela ne doit pas être une barrière. C’est pourquoi je vous ai acheté une bague. Sakura : … Silas : Oh. Je savais bien que vous ne voudriez pas d’un Nohrien… Sakura : N-Non, je n’ai rien contre vous ! Je ne m’attendais pas à ça… Oh, je ne suis pas douée pour ce genre de choses… Je suis si heureuse que vous m’ayez dit ça… Silas : Ah oui ?! Sakura : Du fait de nos nationalités, je n’y avais jamais vraiment pensé… Mais si cela peut vous rendre heureux… alors ma réponse est oui. Silas : Merci… Notre engagement est un remède puissant. Mes problèmes de respiration s’estompent. Sakura : Quel soulagement… Silas : Je me sens toujours un peu oppressé… Mais c’est probablement dû au bonheur.
Rinkah & Silas - Spoiler:
Soutien C Silas : Rinkah ? Que faites-vous à l’écart du camp ? Venez, rejoignons les autres. Rinkah : Bien essayé. Je ne suis là que pour me battre. Je n’ai nulle intention de te côtoyer. C’est la loi de ma tribu. Silas : Hum… Dans ce cas, je vous défie en duel. Rinkah : C’est une plaisanterie ? Silas : C’est un genre de combat spécial, appelé « chat ». Vous allez adorer, croyez-moi. Rinkah : Hum. Dis-m’en plus. Silas : C’est un jeu de guerre nohrien traditionnel. Rinkah : Ah oui ? Comment ça marche ? Silas : C’est simple. L’un de nous est le chat, et il chasse sa proie. Si le chat arrive à toucher sa proie, comme cela, alors la proie a perdu. Rinkah : Oh, hé ! Bas les pattes ! Silas : Maintenant que je vous ai touchée, c’est vous le chat et vous devez me chasser. Rinkah : Peuh. Ce sera fini en un rien de temps. Silas : Vous croyez ? Alors essayez un peu de m’attraper ! Rinkah : Hééé ! Reviens ici, toi ! Soutien B Rinkah : Hmpf. Silas : Vous êtes toujours énervée de ne pas avoir réussi à m’attraper, l’autre jour ? Rinkah : Tu as fui trop rapidement. Je n’étais pas prête. Silas : Ha ha ! Vous savez, vous n’auriez pas eu à me chercher très loin. Rinkah : Hein ? Silas : J’ai couru droit vers un groupe de soldats et je me suis caché parmi eux. Rinkah : T-Tu t’es caché pendant toute la partie ?! Espèce de lâche ! Silas : « Lâche » ? C’est un peu dur. Aucune règle n’interdit de se cacher. Rinkah : C’est ça ton excuse ? Pff ! Très bien, nous allons refaire une partie. Silas : Euh… Rinkah : Je veux ma revanche. Silas : Vous êtes sérieuse ? Rinkah : Je déteste perdre. Alors on va jouer jusqu’à ce que je gagne. Silas : Comme vous voudrez… Lequel d’entre nous est le chat ? Rinkah : Moi, bien sûr. Je vais t’attraper coûte que coûte. Je le jure sur ma vie. Silas : J’ai l’impression que ce n’est plus tellement un jeu… Bon, très bien. Comptez jusqu’à 20 avant de partir à ma poursuite. Rinkah : Très bien, j’y vais. Un… Deux… Silas : Je ferais mieux de rester bien caché au milieu des soldats, cette fois… Rinkah : Ne me dis rien ! Allez, file ! Cinq… Six… Soutien A Silas : Vous m’avez battu à plate couture, lors de notre dernière partie. Je suis ébahi. Rinkah : Ha ha, exactement ! C’est qui la meilleure ? C’est moi ! Silas : Mais si je ne m’abuse… La loi de la tribu du feu vous interdit d’interagir avec des étrangers, c’est cela ? Rinkah : Ouais, plus ou moins. Silas : Mais cette loi ne rend-elle pas votre vie un peu… terne ? Je pense plutôt qu’il serait mieux que vous appreniez à connaître vos alliés. Rinkah : Où veux-tu en venir ? Silas : Comment avez-vous fini par m’attraper ? Rinkah : Eh bien… J’ai parlé aux soldats pour qu’ils me disent par où tu t’étais enfui. Donc ils m’ont aidée… à te trouver… Oh non… Ne me dis pas que tu essayais de me faire parler à des gens pendant tout ce temps. Silas : Je plaide coupable. Je me suis dit que vous le feriez, si ça pouvait vous aider à gagner. Rinkah : Je n’arrive pas à y croire… Silas : Ce n’était pas une si mauvaise idée, n’est-ce pas ? Rinkah : Ouais… J’ai dû parler à un tas de gens pour réussir à te trouver. Même ceux que je détestais se sont révélés supportables après avoir fait connaissance. On m’a même invitée à dîner pour papoter. Une fille veut des conseils sur son arme. Silas : C’est formidable ! J’espère que vous allez accepter quelques-unes de ces invitations. Rinkah : … Bof… Discuter de temps à autre, c’est déjà pas si mal… Si je me montre trop amicale avec eux, ça pourrait aller à l’encontre de notre loi. Silas : C’est à vous de voir. En tout cas, je resterai toujours à votre écoute, si besoin. Je reviendrai vous voir. Rinkah : Merci, Silas. Ça m’arrache la bouche de le dire, mais… je me suis bien amusée. Soutien S Silas : Alors ? Que s’est-il passé avec tous ces gens que vous avez rencontrés ? Les avez-vous revus ? Rinkah : Non… Silas : Oh. Je suppose que vous préférez respecter la loi de votre tribu. Rinkah : … Silas : Mais au moins, vous avez vu que les étrangers n’ont pas que de mauvais côtés. Finalement, ça n’a été que du positif. Surtout que cela m’a décidé à me déclarer… Rinkah, voulez-vous m’épouser ? Rinkah : Est-ce que c’est encore une de tes manigances ? Silas : Pas du tout. Regardez, j’ai même amené une alliance. Vous feriez de moi le plus heureux des hommes en l’acceptant. D’accord, contourner vos lois pour les autres ne veut pas dire que vous m’aimez… Mais au moins, comme cela, je saurai. Rinkah : … Tu sais quoi ? J’accepte. Ça veut dire qu’on est mariés, non ? Silas : Euh… ah bon ? C’est tout ? Je pensais que vous seriez en colère. Rinkah : Oh, je l’étais. J’étais même furieuse. Silas : Quoi ?! Rinkah : Tous ces gens qui m’invitaient à dîner, à sortir… Et toi, jamais… J’attendais que tu me proposes autre chose que de jouer à chat. Bien sûr, au début, je t’ai trouvé bizarre… Mais après, à chaque fois que l’on se voyait, je m’attachais un peu plus à toi. Silas : Ho… Rinkah : Alors je ne peux pas continuer à t’en vouloir. À vrai dire, je suis folle de joie ! Silas : Et moi donc… Je ne pensais même pas pouvoir être aussi heureux. Rinkah : Il y a juste une chose : nous devons obtenir la bénédiction du chef de la tribu du feu. Je ne sais pas s’il me laissera épouser quelqu’un qui n’appartient pas à la tribu… Mais nous devons essayer. Il est très sévère… et c’est mon père, donc ça risque de ne pas bien se finir… Silas : Peut-être, mais peu importe. Je ne reculerai devant rien. J’insisterai jusqu’à ce qu’il accepte ! Rinkah : Tant mieux. Parce qu’il pourrait dire non juste pour voir ta réaction. Il pourrait même te faire rosser juste pour avoir demandé ma main, alors prépare-toi. Silas : Me faire rosser ?! Comment ça ? Et ça vous fait sourire ! M-Mais… peu importe. J’endurerai n’importe quoi pour être aux côtés de celle que j’aime ! Rinkah : C’est toi qui vois…
Corrin (féminin) & Hinoka - Spoiler:
Soutien C Corrin : Mmh ? Je crois avoir entendu un hennissement. Oh, ce ne serait pas Hinoka, là-bas ? C’est son pégase que j’ai dû entendre, alors… Hinoka : Et voilà… Ça fait du bien, pas vrai ? Oh, n’ébouriffe pas tes plumes comme ça, je n’arrive pas à les brosser, après… Nous faisons équipe depuis un bail. Depuis ma décision de devenir chevalier céleste… Mmh ? Corrin : Oh, désolée, Hinoka. Je ne voulais pas te déranger… Hinoka : Bonjour, Corrin. Pas de problème. Que puis-je faire pour toi ? Corrin : Je t’ai entendu parler du moment où tu as décidé de devenir chevalier céleste. À vrai dire, je suis curieuse de savoir d’où te vient cette vocation. Hinoka : Je ne sais pas si je devrais t’en parler… Non. Maintenant que nous sommes réunies, je peux partager cette histoire avec toi. Après que tu as été kidnappée, j’étais si en colère que j’en voulais au monde entier… J’ai souvent tenté de fuir le château, en me disant que moi, je pourrais te sauver. Corrin : Vraiment ?! Hinoka : Mais les serviteurs du château, Ryoma ou même Mikoto m’ont toujours arrêtée. J’étais tellement furieuse que ces Nohriens t’aient enlevée… Et j’étais en colère contre moi-même pour n’avoir rien pu faire contre ça. Corrin : Hinoka… Hinoka : En grandissant, j’ai réalisé que ce que j’essayais de faire était stérile. J’étais si jeune. Je ne pouvais pas traverser tout Nohr et te sauver ! C’était impossible. Et puis un jour, j’ai vu un pégase voler… Corrin : C’est à ce moment-là que tu as décidé de devenir chevalier céleste ? Hinoka : Exactement. C’est cette décision qui a guidé presque tous mes choix depuis lors. Cela a fait de moi la personne que je suis à présent. Je suis plus forte et déterminée. Je devrais te remercier, Corrin, même si j’aurais préféré que tu ne vives jamais ça. Corrin : C’est à moi de te remercier. Désormais, je sais que tu pourras venir me sauver s’il m’arrive quoi que ce soit. Merci, Hinoka. Soutien B Corrin : Bonjour, Hinoka. Encore en train de panser ton pégase ? Hinoka : Eh oui. C’est lui qui m’a accompagnée sur tous les champs de bataille, après tout. C’est important que je lui montre ma reconnaissance dès que je peux. Corrin : Tu étais très jeune quand tu as décidé de devenir chevalier céleste, non ? C’est un métier dangereux… Personne n’a tenté de t’en dissuader ? Hinoka : Oh, si, bien sûr. Beaucoup ont essayé. Ta mère en tête. Corrin : Quoi ? Même ma mère ? Elle s’inquiétait pour toi, même si vous n’étiez pas de même sang ? Hinoka : Oui, j’étais même surprise de la voir si farouchement opposée à cette idée. Elle a tout tenté pour me convaincre de changer d’avis. Elle m’a supplié, m’a offert des cadeaux… Corrin : Comment as-tu réagi ? Hinoka : Eh bien… J’étais encore une très jeune fille… Ryoma et les autres l’ont vite acceptée comme leur nouvelle mère. Pour moi, ça a été plus difficile. J’ai été cruelle avec elle. Plus qu’elle ne l’a jamais mérité. Corrin : Oh, non ! Que s’est-il passé ? Qu’est-ce que tu lui as répondu ? Hinoka : Je lui ai dit qu’elle n’était pas ma mère et qu’elle n’avait pas à me donner d’ordre. Je me suis excusée plus tard, bien sûr. Mais ce qui était dit, était dit. Son visage s’est décomposé à peine les mots avaient-ils franchi mes lèvres. Je regretterai sûrement ce que j’ai dit pour le restant de mes jours… Corrin : C’était il y a des années ! Je suis sûre qu’elle t’a pardonnée depuis longtemps. Tu étais jeune et stupide, comme tout le monde. Je pense que tu peux te pardonner, maintenant… Hinoka : Non. Je crois que je préfère porter ce fardeau, en souvenir de ce moment. Corrin : Hinoka… Soutien A Corrin : Eh, mais c’est le pégase d’Hinoka. Salut, toi. Tu as de la chance. Tu le sais sûrement déjà, mais Hinoka est géniale. Elle est forte et courageuse… et vraiment très déterminée. Mais elle est aussi si gentille et aimable. Tu ne pouvais pas avoir meilleur cavalier. Hinoka : Corrin ? Que fais-tu ici ? Corrin : Aaah ! B-Bonjour, Hinoka. Je ne t’avais pas vue… Hinoka : Tu as fait un de ces bonds, Corrin. Je t’ai fait peur ? Corrin : Non ! Non… Ça va. Je ne m’attendais pas à te voir, c’est tout. J’étais… très occupée à parler de toi à ton pégase. Hinoka : Ah, vraiment ? Et que lui disais-tu ? Corrin : Je lui disais qu’il avait de la chance d’avoir quelqu’un qui prend tant soin de lui. Même si devenir chevalier céleste a fait de toi ce que tu es aujourd’hui… Tu es toujours aussi bienveillante qu’avant. Hinoka : … Corrin : Je te remercie du fond du cœur pour avoir été si attentionnée avec moi. Et je pense que je dois, à mon tour, veiller sur toi pour te remercier. Hinoka : Corrin… Corrin : Tu as travaillé si dur pour me protéger. Je veux être capable de te venir en aide aussi. Hinoka : Ha ha… Depuis quand es-tu si éloquente ? Corrin : N-Ne te moque pas ! Je suis sérieuse ! Hinoka : Je sais, Corrin. Je sais. Merci. J’ai de la chance d’être ta sœur. Corrin : Et j’ai de la chance de t’avoir. Alors repose-toi sur moi dès que tu en auras besoin, d’accord ? Hinoka : D’accord.
Dernière édition par Sheezune le Dim 29 Mai - 12:00, édité 3 fois | |
| | | Kratos Wright Admin
Fe préféré ? : Genealogy of The Holy War Messages : 1936
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 29 Mai - 2:06 | |
| - Other M a écrit:
- Je crains qu'à l'issue de ma revente un peu précipitée de mon opus, je ne puis plus contribuer. Toutes mes excuses !
Pas de souci ! Je te remercie pour les soutiens que tu nous as déjà fournit ! | |
| | | Kratos Wright Admin
Fe préféré ? : Genealogy of The Holy War Messages : 1936
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 29 Mai - 14:04 | |
| J'ai ajouter tous les dialogues de soutiens jusqu'au post de Lord Sephiran ! | |
| | | Sheezune
Fe préféré ? : Path of Radiance et Radiant Dawn Messages : 136 Age : 34
| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Dim 29 Mai - 21:09 | |
| Corrin (féminin) & Azama - Spoiler:
Soutien C Corrin : Ah, belle journée pour une balade. Tiens, on dirait que je ne suis pas la seule ici. Bonjour, Azama. Est-ce que vous faites la sieste… assis ? Azama : Dame Corrin, mes salutations. À vrai dire, je méditais. Corrin : Méditer ? Qu’est-ce donc que cela ? Pourriez-vous m’expliquer ? Azama : Certainement. Faites silence un moment je vous prie. Corrin : Oh, bien sûr. Azama : … Corrin : (Ça devient gênant. Va-t-il enfin dire quelque chose ? Oh, mais cette forêt fourmille de sons…) Azama : Et voilà ! C’est ça, la méditation. Corrin : C’est fascinant ! Et dire que j’ai failli passer à côté de ça… J’entends le murmure du courant et le bruissement des feuilles. C’est très relaxant. Azama : N’est-ce pas ? Corrin : Oh pardonnez-moi, je réalise que j’ai dû interrompre un moment de sérénité. Azama : Aucun problème. Cela arrive parfois avec les ignorants des choses de ce monde. Corrin : Je vous demande pardon ? Azama : Oui ? Corrin : Non, rien en fait… Merci pour la leçon. J’ai appris quelque chose, aujourd’hui. Azama : Oh, mais j’ose espérer que vous en apprenez un peu tous les jours. Parce que vous n’avez pas l’air de savoir grand-chose. Corrin : Comment ?! Azama : Votre désir d’apprendre est cependant tout à fait louable. Corrin : Non mais vous… Azama : Bref, il se fait tard. J’aimerais continuer à élargir vos horizons mais j’ai autre chose à faire. Corrin : Quel est donc cet énergumène ? Soutien B Corrin : Bonjour, Azama. Navrée de vous déranger, mais j’ai une faveur à vous demander. Azama : Ah, Dame Corrin. En quoi puis-je vous être utile ? Corrin : Je me demandais si je pouvais méditer avec vous un petit moment. J’ai essayé plusieurs fois toute seule, mais la sensation est différente. Azama : Certainement. Vous pouvez rester ici des heures entières, si vous êtes silencieuse. Corrin : Parfait ! Je voudrais ressentir encore une fois cette connexion avec la forêt. Le chant des oiseaux et le clapotis de l’eau. C’est si apaisant… Désolée, je me tais. Azama : Chut ! Corrin : J’ai dit que je me taisais ! Inutile d’être aussi discourtois alors que… Azama : Silence ! Écoutez ! Corrin : Oh ! Quel est ce bruit ? Azama : Attendez ici, je n’en ai pas pour longtemps. Corrin : Azama ?! Mais où allez-vous ? Quel est ce bruit monstrueux ? Azama : Et voilà. Corrin : Mais qu’est-ce que c’est que ça ?! Azama : Un ours, bien sûr. Corrin : Et il est… mort ? Azama : Malheureusement, oui. Il est bien naturel de rencontrer des ours dans la forêt. Et malheureusement, de temps à autre, il est nécessaire de les tuer. C’est la loi de la jungle. N’est-ce pas une parabole amusante de la vie ? Corrin : Je n’arrive pas à croire que vous ayez tué cet ours… Était-il sur le point d’attaquer ? Azama : Évidemment. C’est là le propre de l’ours ! Corrin : Eh bien… Merci de m’avoir protégée. Azama : Oh, je vous en prie, ce n’était rien. Une si copieuse source de nourriture, quelle bénédiction ! Maintenant, si vous permettez, je voudrais écorcher la bête sans plus attendre. Nous pourrons ainsi ramener la viande à la cuisine du camp tant qu’elle est fraîche. Corrin : Si je le permets ? Quoi, vous voulez faire ça ici et maintenant ?! Je suis venue ici en quête de quiétude… Et voilà que je me retrouve devant le spectacle grotesque d’une bête éviscérée. Azama : Ha ha ha ! La vie n’est-elle pas prodigieuse ? À présent, donnez-moi un coup de main pour retirer ces intestins ! Hooo-Hisse ! C’est qu’ils pèsent leur poids ! Corrin : … Soutien A Corrin : Bonjour, Azama. Je pensais bien vous trouver ici à nouveau. Je voulais vous remercier encore une fois de m’avoir protégée l’autre jour. Azama : Mais je vous en prie, c’était bien peu de chose. Corrin : Et je dois dire que votre civet d’ours était plutôt savoureux. Je voudrais aussi m’excuser d’avoir refusé d’amener des intestins au camp. Azama : De tels détails sont anodins. Inutile de s’excuser pour si peu. Corrin : Allez-vous à nouveau méditer, aujourd’hui ? Azama : Oui, j’aspire à passer ma vie entière à méditer. Cela me distrait de la futilité de la guerre. Corrin : Ne voyez-vous donc pas d’intérêt à défendre vos amis et votre famille ? Azama : Ho ho ! Voilà un argument intéressant. Je concède qu’il est douloureux de voir une âme familière quitter ce plan d’existence. Mais je pense alors à la nature même de l’univers, et cela me réconforte. Nous sommes tous la manifestation d’une conscience supérieure. Corrin : Au risque de vous paraître vieux jeu… J’apprécie grandement ce plan d’existence, comme vous l’appelez. Même s’il est peut-être plus sage de se détacher de l’absurdité de la vie… Azama : Oui, c’est exactement ça ! Je savais que vous étiez plus sage que votre apparence ne le laissait penser. Corrin : Je suppose… que je dois prendre ça comme un compliment. Azama : Maintenant, si vous le permettez… J’aimerais profiter du silence. Corrin : Oh, oui, bien sûr. Je ne dirai rien. Puis-je rester assise ici avec vous ? Azama : À votre aise. Soutien S Corrin : Aha ! Je pensais bien vous trouver ici. Azama : Dame Corrin ? Vous avez l’air courroucé. Corrin : Je m’inquiétais pour vous, voyez-vous ? Vous étiez absent si longtemps… J’ai eu peur que vous soyez tombé nez à nez avec un autre ours ! Azama : Ho ho ! Les ours ne m’inquiètent pas plus que le pèlerin n’inquiète la montagne. Votre considération me touche. En dépit d’un léger manque de sommeil, je vais bien. Corrin : Oh ? Qu’est-ce qui a bien pu troubler votre repos ? Azama : J’ai passé du temps à fabriquer ceci. Corrin : Un… costume d’ours ? Azama : Ha ! Voilà qui serait cocasse ! Non, c’est une fourrure. Elle est pour vous. Corrin : Pour moi ? Mais… pourquoi ? Azama : S’il vous plaît, prenez-la. Elle est chaude et forme une excellente protection. Corrin : Merci ! Elle est douillette. Je n’ai jamais rien porté de tel. Azama : Je suis ravi de l’entendre. C’est aussi la première fois que je fais une demande en mariage… Corrin : Qu… Comment ?! Azama : Ha ha ha ! Je suis heureux d’être parvenu à vous surprendre de la sorte. Voyez-vous, je ne me suis jamais préoccupé d’une personne autant que de vous. Je vous ai initialement rejetée, comme toute autre âme perdue en mal d’illumination. Mais vous avez alors révélé un très bel esprit, doublé d’une exquise curiosité ! Aussi ai-je voulu vous offrir quelque chose en retour, en gage de mon intérêt. Corrin : Mais… le mariage. Cela est si soudain ! Azama : Oui. Que dire ? Je suis amoureux de vous. Et le temps joue contre nous. Nos enveloppes charnelles ont une espérance de vie bien limitée… Cela serait une perte de temps précieux que de vous faire la cour ! Corrin : Eh bien, croyez-le ou non, mais j’arrive enfin à comprendre ce que vous dites. Je me demande si je ne viens pas de me laisser convaincre de rejoindre une secte… Azama : Ha ha ! Alors, c’est oui ? Peu importe, vous n’avez pas besoin de me répondre. Je n’ai qu’à lire dans vos yeux, et je vois que vous êtes follement amoureuse de moi. Corrin : Hé, n’exagérez pas non plus ! Mais oui, j’accepte. Azama : Je suis si heureux de vous avoir trouvée dans ce plan de l’existence. Le nirvana m’ouvre ses portes…
Silas & Setsuna - Spoiler:
Soutien C Silas : Qu’est-ce que c’était ?! Est-ce que notre position est attaquée ?! Est-ce une attaque ennemie ? Où sont leurs archers ?! Hein ? Vous là, dans le trou… Vous êtes Setsuna, non ? L’archer hoshidien ? Setsuna : Oui… C’est moi. Silas : Qu’est-ce que vous faites là-dedans ?! Oh ! Vous vous abritez de l’embuscade ? Setsuna : Non… Je suis tombée dans ce trou. Je vais sûrement mourir de faim si je n’en sors pas. Silas : On va faire en sorte que cela n’arrive pas. Tenez, attrapez ma main ! Là, je vous tiens. Setsuna : Merci… Silas : Restez sur vos gardes. Nous sommes tombés dans un piège ennemi. Ils m’ont tiré dessus tout à l’heure. Leurs archers d’élite peuvent être n’importe où. Setsuna : Oh ! Ça, c’était moi. Silas : C’était… vous ? Setsuna : J’essayais d’attirer votre attention, alors j’ai décoché une flèche… Silas : Ce n’est pas très prudent… Et si elle m’avait touché ? Setsuna : Aucune inquiétude, ce trou est un piège pour la chasse. Vous pouvez vous détendre. Il n’y a pas d’ennemis dans les environs… Silas : Vous êtes tombée dans un piège pour la chasse ? Vous êtes bizarre, Setsuna. Setsuna : Je suis bizarre ? C’est gentil de votre part… Merci. Silas : Euh… Quoi ? Bref, tâchez de prendre soin de vous, Setsuna. Soutien B Silas : Setsuna… Setsuna : Vous semblez furieux… Quelqu’un aurait-il volé votre petit-déjeuner ? Silas : Non. Nous venions de vaincre un groupe d’ennemis et revenions au camp… Quand soudain, une flèche est arrivée par derrière. Nous avons cru que des survivants étaient en train de nous attaquer… Mais, en fait, c’était encore vous. Setsuna : Oui, je me souviens. Je n’ai pas eu trop le choix, je suis retombée dans un trou. Silas : Mais, Setsuna, vous ne comprenez pas ? Vous n’avez pas besoin de faire ça. Il vous suffit d’appeler à l’aide au lieu de tirer des flèches dans tous les sens. Setsuna : Je ne sais pas trop… Je ne voulais pas parler. Silas : C’est bien mieux de dire quelque chose, à mon avis. Imaginez les conséquences si quelqu’un avait été touché. Setsuna : Oh, pas de problème. Je ne tirais pas pour de vrai. Silas : Je ne vous comprends vraiment pas, Setsuna. C’est simple. Quand vous tombez dans un trou, criez : « Au secours ! » Vous pouvez faire ça, n’est-ce pas ? Setsuna : Hi… Hii hiii… Silas : Pourquoi devenez-vous toute rouge ? Setsuna : Vous pensez que j’en suis capable… C’est un gentil compliment… Silas : Oh là là. Vous commencez à m’inquiéter. Vous vous êtes cogné la tête ? Setsuna : Aah, arrêtez… Vous me faites rougir… Silas : Quoi ?! Il faut que je parte avant de devenir fou… Soutien A Silas : Setsuna… Je voulais vous remercier. Setsuna : De rien. Pour quoi ? Silas : Pour tout. Vous nous avez tous sauvés. L’autre jour, nous étions en patrouille, tout euphoriques d’avoir remporté la victoire… Quand nous sommes brusquement tombés dans une embuscade. Nous avons été tellement pris de court que nous allions nous faire décimer. Mais quand tout semblait perdu, une pluie de flèches a fait fuir les ennemis. Ces flèches, c’était vous, n’est-ce pas ? Setsuna : Oh, ça. Oui. C’était moi… J’étais dans un trou… Encore… Alors j’ai tiré des flèches… Encore. Silas : Oh, ça s’est passé comme ça ? Je me demandais si vous aviez tout calculé… Alors c’est la chance qui a fait que votre mésaventure nous est venue en aide. Setsuna : Hii hiii… Silas : P-Pourquoi êtes-vous si heureuse ? Setsuna : Parce que je suis flattée. Vous parlez de ma mésaventure… Silas : … Eh bien, quoi qu’il en soit, vous nous avez sauvés. Je vous suis reconnaissant. C’était une belle démonstration de tir à l’arc. Setsuna : … Silas : Il y a un problème ? Vous semblez fâchée. Setsuna : Si vous voulez me remercier, faites-moi un vrai compliment… Silas : Mais, je… Je viens de vous féliciter et de louer vos talents à l’arc. Setsuna : Dites-le plus fort que ça. Silas : Merci, Setsuna ! Vous faites plus sans le vouloir que d’autres archers de plein gré ! Setsuna : Ouah… Vous ne dites pas ça pour me faire plaisir… ? Soutien S Silas : Merci d’avoir accepté mon invitation, Setsuna. Setsuna : Pourquoi m’avez-vous fait venir ici ? Silas : Je vais être direct : Setsuna, j’aimerais vous demander en mariage. Ah ! Setsuna ! Qu’est-ce qu’il y a ? Où êtes-vous passée ? Setsuna : Je suis toujours là… Silas : Un autre trou ? Incroyable… Qui pourrait bien en creuser un ici ? Là, attrapez ma main. Tout va bien ? Setsuna : Merci, Silas… Silas : Où en étions-nous… Oh, oui. Alors ? Quelle est votre réponse ? Setsuna : De quoi parlions-nous déjà… ? Silas : J-Je disais que… Je vous demande en mariage. J’ai même amené une bague pour cette occasion ! Setsuna : Pourquoi voulez-vous vous marier avec moi ? Silas : Vous voulez une explication… ? Euh, eh bien… Au début, je n’avais pas une très bonne opinion de vous. Mais j’ai fini par me sentir attiré par vos charmes uniques. Passer un seul jour sans eux serait d’un tel ennui… Je suis amoureux de vous, Setsuna. Setsuna : … Bon, d’accord. J’accepte la bague. Silas : Bien. Je suis heureux de l’entendre. Mais nous sommes tous deux issus d’une famille puissante dans nos royaumes. Et cela risque de nous poser quelques difficultés… Setsuna : Tout se passera bien. Silas : Oh ? Qu’est-ce qui vous fait dire ça ? Setsuna : Je ne sais pas. J’ai un bon pressentiment, c’est tout. Silas : Hum… Si vous le dites, alors je vous crois. Que… Elle a encore disparu ! Setsuna ! Vous êtes là ?! Une flèche ?! E-Elle m’a vraiment frôlé celle-là ! Setsuna : Par ici… Silas : Vous êtes encore tombée dans un trou ?! Setsuna : Oui… Il faudra vous y habituer. Une fois mariés, ça sera votre quotidien… Ça vous convient toujours ? Silas : Je n’en ai rien à faire, je ne peux pas vivre sans vous. Peu importe dans combien de trous vous tomberez, je serai là pour vous en sortir. Et cela, même si le monde était couvert de trous ! Setsuna : … Oooh. Merci, Silas…
Corrin (féminin) & Setsuna - Spoiler:
Soutien C Corrin : Hum… Bon, il est temps d’aller voir si les pièges à sangliers ont fonctionné. J’espère qu’on a attrapé quelque chose… Setsuna : … Corrin : Mais qu’est-ce que… ? Setsuna ? Qu’est-ce que vous faites dans cette cage ?! Vous n’êtes pas un sanglier ! Setsuna : Bonjour, Dame Corrin… C’est donc pour eux que vous avez mis ce piège ? Corrin : Oui ! Comment êtes-vous… ? Oh, laissez tomber. Je vais vous sortir de là. Voilà ! J’ai déverrouillé la porte. Au moins, vous n’êtes pas blessée. Setsuna : Merci de m’avoir sortie de là… Corrin : Pourquoi n’avez-vous pas appelé au secours ? Le camp n’est pas loin d’ici. La prochaine fois, criez très fort et je suis sûre que quelqu’un viendra vous sauver. Enfin, je vous dis ça, mais ce genre de choses n’arrive pas souvent. Setsuna : Cela m’arrive quotidiennement, Madame… Corrin : De… De quoi ? Setsuna : Je crois que le destin veut que je me retrouve toujours prise au piège. Si je vais me balader en montagne, je tombe dans les pièges à animaux… Je m’emmêle toujours dans les filets de pêche en traversant les rivières… En ville, je tombe même dans les trous que les enfants creusent pour jouer. Corrin : Je… Je ne sais même plus quoi dire. À ce niveau-là, ce n’est plus de la malchance, c’est un don… Setsuna : Merci beaucoup… Corrin : Ce n’était pas vraiment un compliment. Vu que cela vous arrive très souvent, pourquoi ne criez-vous pas à l’aide ? Setsuna : Oh… Dame Hinoka finit toujours par me retrouver, alors… Corrin : Ma sœur part à votre recherche à chaque fois que vous tombez dans un piège ? Setsuna : Oui. Dame Hinoka est très douée pour s’occuper de ses vassaux… Corrin : Dit comme ça, j’ai l’impression que vous parlez d’animaux de compagnie. Setsuna : Ah bon ? Hum… Bref, c’est pour ça que je ne m’inquiète pas trop quand je tombe dans un piège. Corrin : J’imagine que c’est votre manière à vous d’interagir avec Hinoka… Soutien B Corrin : Pfiou ! Ça fait une sacrée trotte, mais je suis presque arrivée aux collets posés hier. Si j’ai attrapé du gros gibier, toute l’armée pourra festoyer comme il se doit ! Setsuna : Oh, bonjour… Corrin : Ouaaah ! Qu’est-ce qui pend au bout de mon piège ? Non… C’est… Setsuna ?! Setsuna : Oui, c’est moi. Bonjour, Dame Corrin. Corrin : Bonjour… Ce n’est pas le moment d’échanger des politesses ! Comment avez-vous fini là ?! Setsuna : Oh, je pensais vous l’avoir expliqué lors de notre dernière discussion… Corrin : Mais je vous ai dit d’être plus prudente… Ah… Bon, on en parlera plus tard. Je vais d’abord vous faire descendre de là ! Setsuna : Merci… Corrin : Pff… Pff… Ha… Voilà. Il faut vraiment que l’on résolve votre problème. Il nous faut un plan. Setsuna : Oh non, je ne veux pas vous déranger, Dame Corrin… Corrin : Vous l’avez déjà fait. Deux fois. Setsuna : Dans ce cas, il sera peut-être préférable de m’ignorer la prochaine fois ? Dame Hinoka a toujours réussi à me trouver par le passé. Tout ira bien. Corrin : Le problème n’est pas là, Setsuna. Rester piégée pendant des heures n’est bon ni pour vous ni pour notre armée. Setsuna : Oh, ça ne dure jamais des heures, Madame. Dame Hinoka réussit toujours à me retrouver après un jour ou deux. Corrin : Vous voulez dire… Que vous êtes restée piégée des nuits entières ?! Setsuna : C’est une façon de voir les choses, oui… Corrin : C’est un fait, surtout ! Ah, ça suffit maintenant ! Vous ne pouvez pas vivre ainsi, Setsuna ! Je vous ordonne de suivre un entraînement spécial pour apprendre à éviter les pièges ! Setsuna : Hum… Votre offre est très généreuse, mais je préfère la décliner. Corrin : Mais vous… Vous ne pouvez pas ! C’est un ordre, pas une offre ! Setsuna : Oooh… Corrin : Ne me regardez pas comme ça ! C’est pour votre bien ! Setsuna : Si vous le dites… Soutien A Corrin : Regardez ceci ! Vous voyez ? Les feuilles de cette zone sont d’une couleur différente. Setsuna : Oh oui… En y regardant de plus près elles sont vraiment jolies… Corrin : Non ! Ne vous approchez pas d’elles ! Vous m’avez écouté ou pas ? Une couleur différente indique qu’il y a un trou caché ! Setsuna : Oh… Vous me l’avez dit ? Corrin : Oui… Bon. Regardez sous cet arbre, là-bas. Cela ne vous semble-t-il pas étrange que ces fruits soient posés là ? Setsuna : Oh, ils ont l’air bien mûrs et juteux. Ils me donneraient presque faim… Corrin : Setsuna ! Je vous ai dit de ne pas toucher à ce genre de choses ! Si vous le faites, vous allez finir avec la main dans un piège à loup ! Setsuna : Oh. Pardon… Corrin : Je ne saisis pas… Comment pouvez-vous être aussi distraite en permanence ? Vous devez être plus attentive à ce qui vous entoure… Setsuna : Hi hi hi… Corrin : Qu’est-ce qui vous fait rire ? Setsuna : Pardonnez-moi. Mais c’est tellement drôle… La plupart des gens baissent les bras avec moi, parce que je n’écoute pas beaucoup. Mais vous vous accrochez, et je trouve ça vraiment amusant… Corrin : Hum… Setsuna : Madame, votre visage est tout rouge… Avez-vous besoin de vous rafraîchir ? Si ça peut vous aider, nous pouvons aller là-bas, c’est très ombragé. Suivez-moi… Corrin : Setsuna ! Attendez, c’est… ! Setsuna : Aaah ! D’où vient ce filet ? Oh non, c’est encore un piège… Corrin : Oui… Setsuna : C’est heureux que vous soyez déjà sur place. N’est-ce pas, Dame Corrin ? Pourriez-vous m’aider ? Cela me ferait très plaisir… Corrin : Ha ha… Oui, j’arrive. Ne bougez pas. Setsuna : Merci…
Silas & Hinoka - Spoiler:
Soutien C Hinoka : Silas, vous voilà. Je vous cherchais. Silas : Bonjour, princesse Hinoka. Que puis-je faire pour vous ? Hinoka : J’ai quelques questions et je pense que vous pouvez m’aider. Cela concerne la stratégie de la cavalerie nohrienne. Silas : Vous vous adressez à la bonne personne. Que voulez-vous savoir ? Hinoka : Alors, dès que votre unité aperçoit l’ennemi… Ahh… Je comprends mieux, maintenant. Silas : Est-ce que votre curiosité est satisfaite ? Hinoka : Oui. Mais certaines réponses m’ont un peu surprise. Silas : Comment ça ? Hinoka : À quelques détails près, ce n’est pas bien différent de notre manière de faire. Silas : Un chevalier est un chevalier. Une épée est une épée. Il y a peu de variantes. Hinoka : Hum… oui, peut-être. Silas : « Peut-être » ? Vous avez encore des doutes ? Hinoka : Non… pas vraiment. Si quelque chose vous revient, vous savez où me trouver. Silas : Compris. Content de pouvoir vous aider. Soutien B Hinoka : J’ai une question pour vous, Silas. Durant la dernière bataille, votre unité a réussi à encercler l’ennemi. L’un d’eux s’en est rendu compte et a jeté son arme, n’est-ce pas ? Silas : En effet, je m’en souviens. Hinoka : Vous avez ensuite ordonné à vos troupes d’attaquer une autre zone ? Silas : Exact. Il ne faut pas gâcher nos forces sur un ennemi qui s’est déjà rendu. Pourquoi me demandez-vous cela ? Hinoka : Ne vous êtes-vous pas demandé ce que cela vous aurait offert d’achever cet ennemi ? Vous aviez déjà tellement fait dans cette bataille, après tout. Cela aurait été un trophée supplémentaire facile à votre tableau. Silas : Que… Jamais je ne ferais cela ! C’était notre ennemi, mais il s’était rendu. Ce n’était plus une menace. Quel « trophée » aurais-je gagné par sa mort ? C’est de la lâcheté, pure et simple ! Hinoka : Hum… Vous avez raison. Silas : Je n’en crois pas mes oreilles. D’autant plus venant de vous, princesse Hinoka. Hinoka : Ne vous méprenez pas. Je n’ai pas dit que c’est ce que vous auriez dû faire. Et je ne voulais pas vous insulter. Mais je suis rassurée par votre réaction. Silas : Vous êtes rassurée ? Hinoka : Oui. Je sais que je peux compter sur vous si nous combattons côte à côte. Et j’espère que vous compterez sur moi. Silas : Oui… bien sûr. Soutien A Silas : Princesse Hinoka… Hinoka : Oui, Silas ? Silas : Je ne sais toujours pas quoi penser de notre dernière conversation. Alors je suis venu vous le demander directement. Hinoka : De quoi s’agit-il déjà ? Silas : Vous m’avez demandé pourquoi je n’avais pas achevé un ennemi qui s’était rendu. Hinoka : Oh, ça. Je suis désolée si cela vous tourmente toujours. Silas : Je me demandais surtout pourquoi vous m’aviez posé cette question. Et d’ailleurs, vous m’avez aussi questionné sur les tactiques nohriennes. Est-ce que les deux sujets sont liés ? Hinoka : Eh bien, je ne savais pas comment me battre aux côtés d’un Nohrien. Cela ne veut pas dire que je ne vous fais pas confiance, mais… Silas : Mais quoi ? Hinoka : J’avais peur que vos valeurs soient différentes des nôtres. Comprenez-moi… Les Nohriens ont tué mon père et enlevé ma sœur. Alors c’est dur de ne pas les croire capables de toutes les atrocités. Silas : Oui, mais nous ne sommes pas tous… Hinoka : Bien sûr. Je ne blâme pas tout votre peuple pour les actions d’un seul homme. Mais cet homme commande les forces militaires. Vous avez dû être entraîné à tout faire pour arriver à vos fins, il me semble. Si c’est le cas, alors il faut que nous en discutions avant de combattre ensemble. Silas : Vous m’avez posé ces questions pour me forcer à me dévoiler. Hinoka : Je suis désolée, mais c’était le moyen le plus rapide. Vous êtes commandant, j’ai pensé que vos tactiques en diraient long sur vous. Silas : Et qu’avez-vous découvert ? Hinoka : Je vous l’ai déjà dit, non ? Je suis rassurée. Silas : Donc, vous trouvez que nous formons une bonne équipe ? Hinoka : En effet. Et n’oubliez pas que j’ai dit que je comptais sur vous également. Silas : Très bien ! Maintenant que tout est clair, je serai ravi de vous aider ! Soutien S Hinoka : Silas… ? Pourquoi m’avez-vous demandé de venir dans ces montagnes ? Silas : Princesse Hinoka. Heureux que vous soyez venue. Hinoka : Voulez-vous établir une stratégie pour la prochaine bataille ? Ou y a-t-il encore un souci concernant notre dernière conversation ? Silas : Ni l’un ni l’autre. Je voulais votre avis sur mes projets d’avenir. Hinoka : Oh ? Silas : Oui… Je compte construire une maison ici. Hinoka : Une maison, ici ? Au sommet de la montagne ? Pourquoi… ? Silas : Rien ne l’indique, mais nous sommes à la frontière entre Hoshido et Nohr. Aucune inquiétude, il n’y a pas âme qui vive, à part nous et la faune des alentours. Hinoka : Hum. Il y a aussi une belle vue. Silas : Oui… Hum. Excusez-moi, je dois rassembler mon courage pour la phrase suivante… Princesse Hinoka, une fois la maison bâtie, j’aimerais y vivre avec vous. Hinoka : Ici… ? Avec moi… ? Quoi… ? Silas : En tant que mari et femme. Hinoka : E-Est-ce que j’ai bien entendu ? Silas : En effet. J’aimerais me marier avec vous. Hinoka : Mais… C’est impossible ! Silas : Pourquoi cela ? Hinoka : C’est évident, non ? Je suis une princesse hoshidienne. Et vous, vous venez d’une famille noble nohrienne, n’est-ce pas ? Une relation entre nous deux ne se décide pas juste sur une montagne ! Silas : Voilà pourquoi je veux construire une maison ici. Ce lieu n’appartient ni à Hoshido ni à Nohr. Nous serions des deux côtés… Moi, un noble nohrien marié à une princesse hoshidienne. Et vous, une princesse hoshidienne mariée à un noble nohrien. Hinoka : Ça ne peut pas marcher. Nous serions forcés de choisir un côté. Silas : Je ne pense pas. C’est du déjà-vu. Regardez Corrin, elle fait à la fois partie d’Hoshido et de Nohr. Hinoka : … Silas : Vous me connaissez bien maintenant, et vous me faites confiance. Vous m’avez testé pace que vous pensiez que nous ferions une bonne équipe. N’est-ce pas ? Hinoka : Oui… mais sur le champ de bataille. Pas dans la vie. Silas : Oh… J’ai peur d’avoir fait une grosse erreur… Hinoka : N’en soyez pas si sûr. Nous savons maintenant que nous allons bien ensemble au combat. Et maintenant que vous le dites, j’aimerais voir si c’est vrai aussi dans la vie. Silas : Alors… Hinoka : Oui. Considérez votre demande comme étant acceptée. Silas : Bien, si c’est réglé, voudriez-vous rester encore un peu ici, avec moi ? Le chemin pour redescendre est assez long, après tout. Reposons-nous un moment et discutons de notre avenir sur le site de notre maison… Hinoka : Voilà qui promet une belle soirée. J’ai hâte d’entendre vos idées. Silas : Parfait, parce que j’en ai des tonnes. Alors, d’abord je pensais à…
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| | | Sheezune
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| Sujet: Re: Dialogues de soutien - Héritage - Ven 3 Juin - 0:01 | |
| Corrin (féminin) & Hayato - Spoiler:
Soutien C Hayato : Hum… Hum… Corrin : Oh, bonjour, Hayato. Que fais-tu ? Tu écris ? Tu as l’air bien concentré. Pourquoi fronces-tu ainsi les sourcils ? Hayato : Ah ! Corrin ?! Ne me faites pas peur comme ça ! J’ai failli faire un pâté. Encore un peu et je devais réécrire entièrement ce charme. Corrin : Oh, excuse-moi. Mais sur quoi travailles-tu exactement ? Hayato : Je pense que je peux bien vous le dire. J’ai inscrit ici un charme très spécial. Je les réalise pour les gens du village. Ils ont différentes utilités : protection, moisson abondante… Tout ce qui peut vous passer par la tête. Corrin : Intéressant. Je n’avais jamais entendu parler de ça. Hayato : Eh bien, ce sont mes propres créations. J’écris un sort sur chaque feuille. Ils sont très efficaces. Corrin : Ah. Et à quoi sert celui-ci, par exemple ? Hayato : Je l’ai créé pour que le prochain festival de la tribu du vent soit une grande réussite. Les organisateurs me l’ont réclamé, alors je n’allais pas les laisser tomber. Corrin : Donc, tu vas leur envoyer ce charme. J’ai une idée ! Pourquoi ne pas inclure une lettre également ? Hayato : U-Une lettre ? Que voulez-vous dire ? Corrin : Il y a sûrement au village des habitants qui s’inquiètent pour toi, non ? Hayato : Je suis un devin talentueux. Je n’ai aucun compte à rendre aux villageois. En outre, j’ai encore beaucoup à faire. Je vous prierais de bien vouloir me laisser. Ah ! Corrin : Tu as fait tomber quelque chose. Des notes personnelles, peut-être ? Hayato : N-Non, bien sûr que non ! Et n’espérez pas que je vous laisse lire ceci ! Corrin : Ha ! Donc tu avais toi-même envisagé d’écrire une lettre, si je comprends bien ? Pourquoi tant de gêne ? Je ne vois pas où est le problème. Hayato : Eh bien, c’est que… En fait, je suis totalement incapable de rédiger une lettre. Corrin : Comment ? Que veux-tu dire ? Hayato : Je n’en ai jamais écrit. Je n’ai aucune idée de ce que je suis censé y mettre ! Vous êtes satisfaite, maintenant ?! Corrin : Calme-toi. Mais je comprends pourquoi ta missive semblait si fragmentaire. Hayato : M’aiderez-vous à la terminer, Corrin ? Corrin : Euh… Mais pourquoi moi ? Hayato : C’est vous qui m’avez encouragé à écrire. C’est votre responsabilité, à présent. Alors aidez-moi ! Et je veux que le résultat soit à ma hauteur ! Corrin : C’est une drôle de façon de solliciter une faveur, Hayato. Mais j’imagine que t’apprendre à écrire une lettre est la meilleure chose à faire. Hayato : Naturellement. Alors mettons-nous au travail ! Corrin : Soit ! Soutien B Hayato : Corrin, que faut-il mettre dans une lettre exactement ? Je ne sais absolument pas par où commencer. Corrin : Eh bien, tu écris à la tribu du vent. Tu devrais commencer par leur dire comment tu vas. Qu’avais-tu couché sur le papier jusque-là ? Hayato : Oh, je leur expliquais quel était l’effet du charme et comment l’utiliser. Corrin : Ça, ce n’est pas une lettre. C’est une page de grimoire. Une lettre est une chose personnelle. Tes lecteurs ont envie de lire de tes nouvelles. Hayato : Des choses personnelles, hein ? Corrin : De préférence, oui. Tiens… Dis-leur comme tu dors bien à présent… Même après avoir entendu des histoires de fantômes ! Hayato : D-De quoi parlez-vous ?! Je n’ai jamais eu de souci avec les histoires de fantômes ! Corrin : Ah ? Ce n’est pas ce qu’on m’a dit. Mais fort bien, trouvons autre chose… Je suis sûre qu’ils aimeraient savoir à quel point tu as grandi. Hayato : Non, très mauvaise idée ! Je préférerais leur conter mes exploits sur le champ de bataille. Corrin : Hum, cela pourrait faire l’affaire, oui. Je t’ai vu te dresser seul contre tout un groupe de Sans-Visages, l’autre jour. Tu es sans nul doute un grand atout dans cette guerre, Hayato. Hayato : N’est-ce pas ? Voilà qui m’inspire pour écrire cette lettre, en effet. Corrin : Alors c’est décidé. Raconte donc tes hauts faits d’armes. Bonne chance. Hayato : Très bien, merci. Mais vous savez, vous devriez peut-être écrire une lettre, vous aussi. Corrin : Moi ? Tu crois ? Hayato : Mais oui ! Cela me dérangerait d’être le seul à en rédiger une. Vous pourriez peut-être me divertir avec quelques anecdotes ? Ça me plairait. Corrin : Ah, tu veux que je t’écrive une lettre ? Bien sûr, pourquoi pas… Hayato : Parfait ! Nous verrons ainsi lequel de nous deux possède la meilleure plume ! Mais vous êtes prévenue : j’ai bien l’intention de remporter ce petit duel ! Corrin : Hi hi. Eh bien, je n’ai plus qu’à faire de mon mieux, alors ! Soutien A Corrin : Hé, Hayato ! J’ai terminé d’écrire ma lettre ! Hayato : Oh, vraiment ? Ça ne pouvait pas mieux tomber. Corrin : Que veux-tu dire ? Hayato : J’ai envoyé ma lettre à la tribu du vent, en même temps que mon charme. Et je viens tout juste de recevoir leur réponse. Corrin : C’est merveilleux ! Que disent-ils ? Hayato : Il semble que tous les villageois aient été satisfaits du charme. Apparemment, il s’est montré très efficace. En outre, ils sont ravis d’en avoir appris plus sur mes victoires au combat. Corrin : Quelle bonne nouvelle ! Es-tu heureux de leur avoir écrit cette lettre, alors ? Hayato : Bien sûr. À l’évidence, ma missive leur a laissé une impression extraordinaire. Je pense qu’on peut en conclure que j’ai remporté notre petit duel de lettres, non ? Mais je tiens tout de même à vous remercier pour l’idée de la missive. Corrin : Je suis contente d’avoir pu t’aider. Au sujet du duel que tu évoquais… Comme je te le disais tantôt, ma lettre est terminée. Veux-tu la lire ? Hayato : Hum, ma foi… Voyons cela. C-C’est une plaisanterie ?! Corrin : Pardon ? Un problème, peut-être ? Hayato : Cette lettre… On dirait… un hymne à ma gloire ! « Hayato a la plus belle écriture… » « Ses charmes sont les plus efficaces… » C’est très embarrassant ! Je pensais que vous alliez me parler de vous ! Corrin : En vérité, je ne savais pas quoi dire d’autre. Tu es déjà au courant des derniers événements. Je ne voyais pas quel autre sujet évoquer ! Hayato : Peut-être, mais tout de même… J’ai à présent deux lettres qui ne parlent que de moi. Ce n’est pas très passionnant. Je sais ce qu’il me reste à faire. Je vais rédiger une nouvelle lettre ! Corrin : Que veux-tu dire ? Hayato : Je vais écrire une lettre sur vous ! Ainsi, vous serez tout aussi embarrassée que moi. J’y inclurai peut-être même un charme, pour faire bonne mesure. Corrin : Ça alors, on dirait que toi et moi sommes en train de devenir correspondants… Hayato : Oui, ça se pourrait. Je n’avais pas réalisé à quel point j’aimais manier la plume. Je vais vous écrire d’abord, puis j’enverrai une lettre à quelqu’un d’autre. J’espère que vous vous réjouissez de recevoir ma missive ! Corrin : C’est le cas, Hayato. Je suis sûre que ta lettre sera sensationnelle. Soutien S Hayato : Voilà, Corrin, je vous ai écrit une lettre. J’espère que vous en êtes flattée ! Corrin : Je te remercie d’avoir pris le temps de m’écrire, Hayato. Hayato : Je vous le devais bien. J’ai parlé de vous en toute honnêteté, tel que je vous vois. J’espère que vous ne vous en offusquerez pas. Corrin : Comment ?! Faut-il que je m’attende à des révélations embarrassantes ? Te connaissant, il s’agit sans doute d’une liste de défauts à corriger. Hayato : Arrêtez un peu de geindre. Vous feriez mieux de la lire ! Corrin : Bon… Très bien ! Hum… « Je vous trouve très mignonne. » « J’aime votre propension à venir en aide à ceux qui en ont besoin. » Eh bien, dis-moi ! Quel éloge ! Je ne sais plus où me mettre ! Hayato : Ha ha, parfait. Vous comprenez maintenant ce que j’ai pu ressentir. Corrin : Ha ha ha, assurément. Mais je suis surprise. J’ignorais que tu éprouvais tout cela à mon égard. Je crois bien avoir rougi en lisant ces compliments… Mais avant tout, je crois que je ressens de la joie. Hayato : Vous n’avez même pas terminé votre lecture ! Poursuivez donc ! Corrin : D’accord, d’accord… Comment ?! Hayato, tu n’étais pas sérieux en écrivant la dernière phrase ? Hayato : Si, parfaitement sérieux… Je vous aime. Corrin : Oh là là ! Hayato : Habituellement, j’ai beaucoup de mal à exprimer mes sentiments à voix haute. Le fait de les coucher sur le papier m’a grandement facilité la tâche. Après le temps que j’ai passé avec vous, je sais que ces sentiments sont sincères. Je… Je vous trouve adorable. Vous comprenez ? Corrin : Je tombe des nues. Une telle déclaration venant de toi, c’est totalement inattendu. Hayato : Avez-vous vu le charme que j’ai ajouté à la fin de la lettre ? Corrin : Quel est son utilité ? Hayato : Si vous ressentez la même chose que moi, il vous protégera. Corrin : Je ne comprends pas… Hayato : Ce charme agit en fonction des sentiments de celui qui le possède. Si vous n’en avez aucun pour moi, l’effet sera nul. Corrin : Dans ce cas… Je vais en prendre soin aussi longtemps que je vivrai. Hayato : Attendez, vous voulez dire que… Corrin : Disons que je pense que ce charme sera très efficace, Hayato. Hayato : Oh, Corrin, je suis si heureux ! Je vous promets d’être là pour vous, à chaque fois que vous aurez besoin de moi. Je sais qu’ensemble nous serons invincibles. Corrin : Je pense que tu as raison. Voudrais-tu aller te promener avec moi ? Nous avons tant à nous dire. Hayato : Avec joie. Je vous suis. Écrivons le prochain chapitre de nos vies ensemble. Je vous aime…
Hinoka & Jakob - Spoiler:
Soutien C Hinoka : Ha ! Hi-yaaah ! Jakob : Vous ne retenez jamais vos coups, princesse Hinoka, même à l’entraînement… Je ne suis pas surpris que l’on vous surnomme la princesse guerrière. Hinoka : Bonjour, Jakob. Je ne vous avais pas vu. Jakob : Je vous en prie, pardonnez cette interruption. Hinoka : Cela ne fait rien. J’avais l’intention de faire une pause, de toute façon. Jakob : Je pourrais vous préparer une tasse de thé, si vous le souhaitez… Hinoka : Oh non, n’en faites rien. Mes pauses ne durent jamais très longtemps. Jakob : Vous êtes fascinante, princesse Hinoka… Malgré votre sang royal, vous insistez pour être en première ligne au combat. Je ne crois pas connaître de personne plus courageuse que vous… Hinoka : J’ai passé d’innombrables heures à m’entraîner pour devenir un soldat. Pourquoi gâcher tout cela en restant cachée derrière les troupes ? Je n’ai bien sûr pas négligé mon éducation d’héritière du trône pour autant… Mais c’était il y a bien longtemps, et j’ai peur d’en avoir oublié une grande partie. Jakob : Ha ha ha… Cela ne m’étonne guère. Quand je vous vois l’arme à la main, il m’est difficile de vous imaginer faire la révérence. Hinoka : Les talents au combat passent avant toutes ces formalités et coutumes… C’est une décision que je ne regrette pour rien au monde. Je ne compte pas ranger les armes, même si Corrin n’est plus prisonnière. Le combat est loin d’être terminé. Jakob : … Soutien B Jakob : Bonjour, princesse Hinoka… Hinoka : Jakob ? Vous êtes décidément très discret. Que puis-je faire pour vous ? Jakob : Si j’osais… J’ai une suggestion à vous soumettre. Hinoka : Dites-moi tout. Jakob : Aimeriez-vous que je vous rafraîchisse la mémoire sur les règles de bienséance ? Hinoka : Bienséance ? Comment se tenir à la cour et toutes ces choses-là, c’est ça ? Je n’y vois pas grand intérêt. Je n’ai pas beaucoup d’occasions de saluer l’ennemi. Jakob : Eh bien, à première vue, non. En effet… Mais n’y voyez pas une interférence dans votre entraînement aux armes. Nous pourrions nous retrouver lorsque vous avez un peu de temps libre. Vous seriez surprise de voir à quel point ces règles peuvent s’avérer utiles… Hinoka : En supposant que j’accepte, vous seriez donc mon professeur ? Hum… J’imagine qu’une princesse se doit de savoir autre chose que l’art de la guerre. Bien, si vous pensez que cela me serait utile, alors j’accepte de faire un essai. En fait, commençons tout de suite. Jakob : Ho ho ! Félicitations, princesse Hinoka. On dirait que ces leçons de bienséance ont laissé leur empreinte, après tout. Hinoka : J’ignorais qu’elles étaient encore là après toutes ces années… J’imagine que je le dois aux tuteurs qui s’occupaient de moi à l’époque. On dirait que votre tâche ne sera pas aussi ardue que vous le pensiez. Jakob : Oui, c’est même un soulagement. Hinoka : Hé. Bien, s’il n’y a rien d’autre au programme du jour, je retourne m’entraîner. Soutien A Hinoka : Hi-yah ! Aaah ! Jakob : Bonjour, princesse Hinoka. Je vous ai apporté un peu de thé glacé. Hinoka : Oh, merci, Jakob. Je suis heureuse de vous voir. Je voulais vous poser une question… Jakob : Ah ? Je vous écoute. Hinoka : Pour quelle raison m’avez-vous proposé de suivre ces cours d’étiquette ? Jakob : Oh… Pour la simple raison que la guerre n’est pas confinée au champ de bataille. Hinoka : Hum. Hé, je crois que je comprends. Et vous avez bien raison. Politique et diplomatie ne sont que d’autres types de batailles… Jakob : En effet. Certaines guerres ne peuvent se gagner à la force de l’épée… C’est mon avis, en tout cas. Hinoka : Donc, vous souhaitiez faire du protocole ma nouvelle arme sur l’échiquier politique… Je comprends… Les mots et la prestance peuvent être aussi tranchants que l’épée. Est-ce que j’ai bien compris ? Jakob : À merveille, Votre Altesse. Hinoka : Eh bien, merci, Jakob. Vos leçons valent n’importe quel entraînement aux armes. Jakob : Je suis ravi d’avoir pu vous être utile, princesse Hinoka. Soutien S Jakob : Princesse Hinoka, puis-je avoir votre attention une minute ? Hinoka : Bien sûr, Jakob. Que puis-je faire pour vous ? Est-ce déjà l’heure de notre prochaine leçon ? Jakob : Non, Votre Altesse… En fait, je… Eh bien, je souhaitais vous déclarer ma flamme. Hinoka : P-Pardon ?! Jakob : J’espérais ainsi vous convaincre de devenir mon épouse… Et j’ai un cadeau pour vous. Hinoka : Ouh là, ouh là… Une minute… C’est un peu soudain quand même ! Jakob : Est-ce vraiment si soudain ? J’y ai longuement réfléchi avant de vous faire ma demande. Hinoka : C’est très soudain pour moi, en tout cas ! Nous n’avions jamais parlé de… De ça. Jakob : En effet, non… Eh bien, je peux revenir dans quelques jours et vous laisser le temps de la réflexion. Hinoka : Bon, bon, une seconde… Il me faut juste une minute pour reprendre mes esprits. Jakob : Prenez le temps qu’il vous faudra. Hinoka : Vous savez, je ne suis pas ce que l’on peut appeler une princesse comme les autres. Malgré toutes vos leçons, je ne compte pas abandonner mon entraînement. Jakob : Bien entendu. Hinoka : Et je continuerai à combattre ! Pas question de m’effacer face au danger. Mais, par curiosité… Qu’est-ce qui a pu vous séduire chez moi ? Jakob : N’est-ce pas évident ? Vous êtes ambitieuse, dévouée, forte… Je trouve ces qualités admirables, et très séduisantes. Hinoka : O-Oh ! Eh bien, euh… Mais vous réalisez que mes responsabilités me condamnent à une vie… inhabituelle ? Jakob : Qu’a-t-elle d’inhabituel ? Hinoka : Eh bien, si nous étions mariés… Vous devriez vous plier à quelques règles qui n’ont rien d’amusant. Ce serait un défi. Je ne peux me soustraire à mes obligations et responsabilités… Jakob : Et c’est tout ? Rien de cela ne m’effraie. Hinoka : Hum, et puis, il y a aussi… Jakob : Permettez-moi de vous interrompre… Je vais être très direct, mais… J’ai l’impression que vous cherchez à vous persuader que vos sentiments sont réels. J’ai su dès l’instant où j’ai posé les yeux sur vous que nous ressentions la même chose. Hinoka : Jakob… Ha ! Merci… Votre franchise vous honore. Et… vous avez raison. Mais comment… ? Jakob : J’ai passé de longues heures face au miroir, à contrer la moindre de mes hésitations. Vous me surpassez sans doute au combat, mais nous restons très similaires. Hinoka : C’est tout à fait vrai… Très bien, Jakob. J’accepte votre demande. Avançons vers l’avenir, main dans la main. Jakob : Vous avez fait de moi le plus heureux des hommes, Hinoka.
Hayato & Rinkah - Spoiler:
Soutien C Hayato : Hum… Rinkah : Oh, mais ne serait-ce pas… Hayato ! Ohé ! Que viens-tu faire par ici ? Hayato : R-Rinkah ! R-Rien du tout ! Je ne fais rien de spécial ! Rinkah : Minute… Ce sont les légumes frits qu’ils ont distribués aujourd’hui, non ? Pourquoi te promènes-tu avec ça ? Tu n’allais pas les jeter dans un coin, quand même ? Hayato : Quoi ? N-Non, pensez-vous. Je cherchais juste le parfait accompagnement. Rinkah : Un accompagnement ? Je suis sûre qu’ils sont excellents tels quels, voyons. Pourquoi chercherais-tu à atténuer leur saveur avec un accompagnement ? Hayato : Franchement, je les trouve beaucoup trop amers. Ils sont immangeables. Rinkah : Oh. C’est tout ? Alors ce n’est qu’un caprice de petit garçon, au fond. Hayato : Hé ! Je vous interdis de dire ça ! Je ne suis pas un petit garçon ! Rinkah : Tu réalises que nous sommes en temps de guerre ? Chaque denrée est précieuse. Et toi, tu serais prêt à gâcher de la nourriture ? Hayato : Arrêtez avec vos sermons ! Si le goût est écœurant, je ne peux rien y faire ! Et puis d’abord, mêlez-vous de vos affaires. Cela ne vous regarde pas. Rinkah : Ne fais pas l’idiot ! Attends ! Tu ne vas pas me planter là avec ta portion de légumes… Crounch crounch… Faire le difficile devant un mets si délicat… Quel crime ! Tu ne l’emporteras pas au paradis, Hayato ! Soutien B Hayato : Pff… Rinkah : Ah, revoilà ce vaurien. Et avec sa portion de légumes frits, comme la dernière fois ! Je ne permettrai pas que cette nourriture soit jetée… Hé, Hayato ! Hayato : Rinkah ! Vous comptez me suivre partout ?! Rinkah : Tu es ridicule. Tu ferais mieux d’essayer de te débarrasser de tes caprices plutôt que de tes légumes. Médite donc là-dessus. Hayato : Si seulement je le pouvais. Mais rien ne peut me guérir d’une telle aversion pour les légumes. Si vous avez la solution, je suis tout ouïe ! Vous êtes la seule à connaître mon secret. M’aiderez-vous ? Rinkah : D’habitude, j’essaie de ne pas me mêler des affaires des autres soldats… Mais j’imagine que dans ton cas, je peux faire une exception. Alors, pourquoi détestes-tu à ce point les légumes ? Hayato : Je vous l’ai dit : ils sont trop amers. Ils me font vomir. Rinkah : Ha ha ha ! Hayato : C’est comme ça que vous comptez m’aider ? En vous riant de moi ? Rinkah : Tu es trop drôle, je ne peux pas m’en empêcher ! Ha ha ha ! Hayato : Je déteste qu’on se moque de moi ! C’est pour ça que je voulais que ça reste secret. Rinkah : Si tu ne supportes pas le goût des légumes, pourquoi ne pas essayer de le masquer ? Par exemple, tu pourrais te pincer le nez en mangeant. Hayato : Quelle drôle d’idée ! Rinkah : Le goût est différent quand tu ne sens pas ce que tu manges. Tu devrais commencer par essayer cette astuce. Hayato : Avez-vous perdu la tête ?! Cela ne donnera rien ! Rinkah : Hayato, grandis un peu ! Pince-toi le nez et avale ces légumes, à présent ! Allez ! Hayato : Mmh ! Mmh ! Crounch crounch… Gloups… Rinkah : Alors ? Qu’en dis-tu ? Tu as senti l’amertume ? Hayato : Pouah ! Kof kof ! Beurk ! Ça ne marche pas du tout ! Rinkah : Pourtant tu as tout avalé ! Hayato : Et alors, ça ne veut pas dire que j’y ai pris du plaisir ! Rinkah : Tss… Très bien, je vais essayer de trouver autre chose… Hum… J’y suis ! Hayato : A-Alors, Rinkah, que proposez-vous maintenant ? Rinkah : J’ai la solution ! Il suffit d’incorporer les légumes dans une recette. Hayato : Dans une recette ? Vous allez me faire la cuisine ? Rinkah : Écoute, donne-moi un jour pour réunir les ingrédients et nous en reparlerons. Hayato : Soit, je n’ai rien à perdre… Soutien A Hayato : Me voici, Rinkah ! Alors, qu’avez-vous préparé ? Rinkah : J’ai concocté un délicieux plat de légumes bouillis. Je suis sûre que tu ne verras plus les légumes du même œil après l’avoir goûté. J’ai utilisé une épice spéciale qui devrait masquer l’amertume qui te répugne tant. Hayato : Euh… Quelle épice, au juste ? Rinkah : C’est un ingrédient traditionnel que la tribu du feu utilise depuis des générations. Il suffit d’une poignée pour neutraliser l’âpreté d’un plat. La saveur s’en trouve alors instantanément relevée. Hayato : Peut-être, mais les légumes sont toujours là… Rinkah : Ça suffit ! Arrête de chouiner et goûte. Hayato : T-Très bien… Crounch crounch… Ouah ! Rinkah : Alors ? Qu’en dis-tu ? Hayato : C’est succulent ! Toute l’amertume a disparu ! Ça ne ressemble plus du tout à un plat de légumes ! Rinkah : Tu vois ? Je te l’avais dit ! Hayato : Je raffole des légumes, maintenant ! Cette épice spéciale est vraiment miraculeuse. Rinkah : Entre nous, j’avais aussi du mal avec certains aliments à une époque. Cette épice m’a aidée à les apprécier, alors je savais que ça marcherait pour toi aussi ! Hayato : Alors il vous est aussi arrivé de faire la difficile sur certains plats ? Rinkah : Eh oui ! Tu verras, le secret c’est de diminuer peu à peu la dose d’épice utilisée. Tu t’habitueras ainsi doucement aux autres saveurs qui constituent le plat. Tiens, prends donc ce petit sac d’épice. Hayato : Rinkah, vous êtes vraiment gentille. Je m’étais fait une mauvaise opinion de vous… Rinkah : Vraiment ? Hayato : Oui. Avant, je vous trouvais distante. Je ne savais pas comment vous aborder. Mais maintenant, j’ai le sentiment que nous pourrions être amis. Rinkah : Nous ne venons pas de la même tribu, mais nous avons des points communs. Je ne voulais pas me montrer abrupte la dernière fois, mais j’ai horreur du gâchis. Hayato : Je comprends mieux votre réaction… Dites, accepteriez-vous encore de m’aider ? Rinkah : De quoi s’agit-il cette fois ? Hayato : Euh… En fait, il y a plein d’autres aliments qui me répugnent. Rinkah : C-Comment ?! Tu es sérieux ? Hayato : S’il vous plaît, vous êtes la seule à pouvoir m’aider ! Rinkah : Pff, hors de question ! Débrouille-toi tout seul maintenant. Soutien S Hayato : Miam… C’est fou, cette épice transforme n’importe quel plat en mets délicat ! Rinkah : Bon, combien de temps vais-je encore devoir te préparer tes repas ? Je t’ai donné des épices, alors pourquoi ne cuisinerais-tu pas ta propre nourriture ? Hayato : Ce serait en vain ! Je n’obtiendrais qu’une bouillie insipide. J’ai besoin de votre touche personnelle. J’ai besoin de vous ! Rinkah : C’est ridicule, Hayato. Je suis sûre que tu n’as même jamais essayé de faire la cuisine. Hayato : Je vois. Si je vous ennuie… Rinkah : Si c’était le cas, je ne t’aurais pas proposé mon aide. Je dois assumer, à présent. Hayato : Rinkah, je dois vous demander quelque chose… Rinkah : Oh oh… Que me vaut ce ton soudainement si sérieux ? Hayato : Je pensais juste au plaisir que j’ai à partager ces repas en votre compagnie. J’aimerais que ça ne s’arrête jamais… Rinkah : Que veux-tu dire ? Hayato : Maintenant que j’ai pu apprécier votre générosité, je réalise que… Eh bien, alors que vous me criiez dessus, je tombais amoureux de vous… Rinkah : Tu tombais… Hayato : Amoureux, oui. Je vous aime, Rinkah. Rinkah : À vrai dire… Moi aussi… Mais je ne voulais rien en dire. Hayato : Comment ?! Vous ne vous moquez pas de moi ? Rinkah : Au départ, je trouvais tes caprices un peu risibles. Puis, en passant du temps à tes côtés, mon jugement sur toi s’est affiné. Tu as fini par accepter de faire de nouvelles expériences, malgré tes réticences. J’apprécie vraiment cette attitude. J’aurais juste une petite faveur à te demander… Hayato : Bien sûr ! Tout ce que vous voudrez ! Rinkah : Tu dois apprendre à cuisiner. Je refuse de m’en occuper tous les jours. Hayato : Entendu ! Merci, Rinkah. Je me réjouis de passer plus de temps avec vous. Rinkah : Moi de même. Je ferai en sorte que tu perdes tes habitudes d’enfant gâté… Hayato : Ne soyez pas trop dure ! Souvenez-vous, vous étiez capricieuse aussi à une époque !
Azama & Setsuna - Spoiler:
Soutien C Azama : Hé, Setsuna. Tu reviens du marché, n’est-ce pas ? Setsuna : Oui, comment l’as-tu deviné ? Azama : Mon intuition. Tout s’est bien passé ? Tu as trouvé tous les ingrédients dont tu avais besoin en bonne quantité ? Setsuna : Bien sûr, j’ai trouvé tout ce qu’il me fallait. Dame Hinoka m’a fait une liste détaillée. Et le gérant a eu la gentillesse de tout choisir pour moi. Azama : Pfiou, je suis rassuré. Eh bien, je dois dire que je suis presque fier de toi, Setsuna. Tu as complété une tâche sans qu’il y ait d’incident. Félicitations. Setsuna : Oh, merci… Azama : Tu ne comprends toujours pas l’ironie, à ce que je vois. Quels sont tes plans pour ce soir ? Setsuna : Je compte préparer le dîner. J’ai tellement hâte. Azama : Ah, d’accord. Attends. Quoi ?! Une personne saine d’esprit ne te laisserait jamais t’approcher d’une flamme nue ! Encore moins d’une cuisine ! Nous sommes tous condamnés ! Setsuna : Mais de quoi tu parles ? J’adore cuisiner. Azama : Souviens-toi de tous les dégâts que ta cuisine a déjà causés. La personne qui t’a demandé de cuisiner doit vouloir mettre fin à sa vie. Ça va être un véritable désastre culinaire. Setsuna : Oh, tu crois ? Je suis contente que tu sois aussi excité. Azama : Setsuna, parfois, tu ne comprends vraiment rien, tu sais ? Setsuna : Merci pour le compliment. Azama : Pff. Laisse tomber. Je vais aller prévenir Dame Hinoka que tu es saine et sauve. Soutien B Azama : Le plat que Setsuna a préparé était vraiment abominable. Je préférerais manger de la bouse de vache que de devoir encore subir sa cuisine. Je ne suis même pas sûr que c’était comestible. Je devrais implorer Dame Hinoka de la bannir de cette cuisine. Mmh ? Ouh là. C’est quoi cette odeur ? Ça sent les cheveux brûlés. Oh non. Est-ce qu’il est trop tard ?! Setsuna : Azama, il y a un problème ? Je ne fais que préparer un nouveau plat. Est-ce cette délicieuse odeur qui t’a attiré ici ? Azama : C’est bien une odeur qui m’amène. Mais elle n’est pas vraiment « délicieuse ». Je dirais plutôt « infecte », ou « nauséabonde ». Setsuna : Je suis heureuse que tu aies autant hâte de goûter mon prochain plat. Azama : Je crois que tu ne comprends vraiment pas ce que je veux te dire. Setsuna, tu le fais exprès ? Je me le demande parfois. Setsuna : J’espère qu’ils aimeront tous ce plat autant que le dernier. Je vais devoir tout donner pour être à la hauteur de leurs attentes. Azama : Bon, d’ordinaire, je suis le premier à moquer ton caractère insouciant. Mais là, ma vie est en jeu, alors je vais être le plus clair possible. Pour le bien de tous, tu dois préparer un plat convenable pour un être humain. Setsuna : Convenable… Oh. Tu veux dire un truc que seul un vrai chef pourrait inventer. J’ai compris. Azama : Je ne vois absolument pas comment tu en es arrivée à cette conclusion. Pourquoi interprètes-tu ce que j’ai dit ? Comment puis-je être plus clair ? Setsuna : Ce n’est pas la peine. J’ai bien compris ce que tu voulais dire, ne t’en fais pas. Tu veux que je continue à m’améliorer. Je dois persévérer. Fais-moi confiance… Azama : Non, tu n’as rien compris du tout. Écoute-moi bien. Ne nous empoisonne plus avec tes plats ! Soutien A Setsuna : Azama, tu as aimé mon plat de l’autre jour ? Azama : Je suis encore sous le choc, mais c’était vraiment excellent. Dès la première bouchée, j’étais au paradis. C’était la première fois que je goûtais un mélange si subtil d’épices et d’herbes. On aurait dit qu’un miracle culinaire se produisait dans ma bouche. Aucun plat ne m’avait jamais fait cet effet auparavant. Setsuna : Oh, merci… Azama : Depuis combien de temps caches-tu un tel talent ? Comment ai-je pu ne pas me rendre compte que tu possédais un tel génie culinaire ? Si tu avais cuisiné comme ça dès le début, je n’aurais pas été si dur avec toi. Setsuna : Tu m’as demandé de préparer un plat digne d’un grand chef. Alors j’ai dû innover. Je suis peut-être un gourou de la cuisine. Azama : C’est une théorie intéressante. Mais on va attendre pour t’appeler « gourou ». Explique-moi comment tu as créé cette délicieuse recette. Setsuna : En temps normal, j’essaie de faire ressortir une saveur en particulier. Ou alors, j’essaie de diversifier mes plats pour contenter tout le monde. Azama : Tu as dû devoir longuement étudier la question. C’est bizarre. Setsuna : Mais après notre discussion, j’ai compris que je devais changer ma manière de faire. Pour une fois, je n’allais pas trop réfléchir. Je voulais être dans un état d’esprit serein. Comme un moine qui médite. Et au bout d’un moment, j’étais totalement zen. C’est comme si j’avais atteint le nirvana… Azama : D’accord, si j’ai bien compris, tu as encore moins réfléchi que d’habitude. Et tu as pensé que c’était une bonne idée de faire à manger dans cet état. C’est ça ? Setsuna : Exactement. Voilà comment j’ai préparé ce plat. Azama : Et dire que ma remarque sarcastique a engendré un miracle culinaire. Incroyable. Comme tu le sais, je médite tous les jours. Et il est vrai que vider son esprit peut être une expérience enrichissante. Tu t’es peut-être découvert un don surnaturel dont tu ignorais l’existence. Quoi que ce soit, je suis heureux d’avoir pu déguster un plat aussi délicieux. Setsuna, je te demande de ne plus réfléchir quand tu fais la cuisine désormais. Je t’en prie ! Setsuna : D’accord, si tu insistes… Soutien S Setsuna : Azama, on peut discuter ? Azama : Bien sûr. Qu’est-ce qu’il y a ? Tu comptes préparer un nouveau plat ce soir ? Setsuna : Non, il ne s’agit pas de ça. Je… Azama : Parce que si c’est le cas, n’oublie surtout pas d’être dans ton état zen. Comme ça, ce que tu prépareras sera forcément encore délicieux. Setsuna : Pour tout te dire, ce n’est pas exactement ce qu’il s’est passé. Azama : Comment ça ? Setsuna : Je t’ai dit que mon secret c’était de ne pas trop penser à ce que je faisais. Mais en vérité, je me suis donné du mal pour faire un plat que tu aimes. Azama : Quoi ?! Setsuna : Oh non, je ne voulais pas le dire… Azama : Évidemment que non ! Et pourquoi avoir mis autant d’énergie pour me faire plaisir ? Setsuna : Tu… Tu me plais. Azama : Fascinant. Tu sais, tu es la personne la plus étrange que je connaisse. J’ai du mal à te comprendre. Pourquoi est-ce que je te plais ? Je suis tout le temps impoli et sarcastique ! Setsuna : Ça me touche que tu dises ça. Azama : Tu ne comprends pas, comme d’habitude ! Pff. Je vais vraiment dire ça… ? Peut-être que le destin nous a rapprochés pour une raison particulière. Seule une personne aussi gentille que toi pourrait m’accepter tel que je suis. C’est comme si les dieux me faisaient une bonne blague. Setsuna : Alors, tu… Azama : Oui. Je l’admets. Toi aussi tu me plais. Et ce depuis longtemps. C’est tellement gênant. Setsuna : Oh, Azama, tes paroles sont toujours si douces. Je suis si émue… Azama : Moi aussi, Setsuna. Et si nous allions nous promener ? Nous avons beaucoup de choses à nous dire. Setsuna : Hum ? Tu sembles un peu différent. Azama : Ha. J’essaie peut-être de changer de comportement. Je dois souvent énerver les gens. Setsuna : Je ne comprends pas pourquoi…
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